TopFormation Les 7 miracles

1 Rois 15

    • 1

      1 Ă  8 Abijam, en Juda (957-955). Comparez 2Chroniques 13.1-21.

      2

      Maaca, fille d'Abisalom. Le mot fille signifie ici petite-fille, de même que le mot : son père, à la fin du verset 3, signifie son aïeul. Comme Absalom n'avait pas de fils (2Samuel 14.27), Maaca devait être la fille de Thamar, fille d'Absalom, dont le mari se nommait Uriel (2Chroniques 13.2). D'après 2Chroniques 11.20, Abijam était le fils aîné de Maaca, la femme préférée de Roboam, circonstance qui lui valut d'être le successeur de son père.

      DAVID
      Absalom Salomon
      Thamar Roboam
      (Ă©pousa Maaca,
      fille de sa cousine
      germaine)
      Maaca Abijam

      3

      Son cœur ne fut pas tout entier... Il était lui-même un adorateur de l'Eternel, mais tout en permettant la pratique de l'idolâtrie autour de lui, ce que n'avait pas fait David, et même en y prenant une certaine part.

      4

      Car pour l'amour... En effet, par cette conduite, il aurait mérité d'être destitué, comme les nombreuses familles qui régnèrent les unes après les autres sur les dix tribus ; sa famille dut uniquement à la promesse faite à David de ne s'être pas éteinte, comme celles du royaume voisin.

      5

      La grande chute de David, dont l'auteur reconnaît le caractère criminel, n'avait pourtant pas été, comme l'idolâtrie, la rupture de l'alliance avec l'Eternel.

      6

      Il semble qu'il devrait y avoir Abijam au lieu de Roboam, mais le texte primitif était probablement : Comme il y avait eu guerre entre... il y eut guerre entre... (verset 7). Nous ne savons ce qui a occasionné le déplacement de ces derniers mots, séparés dans le texte actuel du verset 6 par le début de 7. D'autres pensent que Roboam (verset 6) est mis ici pour la maison de Roboam.

      7

      Annales ; voir 11.41, note.

      9

      9 à 24 Asa, en Juda (955 à 914) ; comparez 2 Chroniques chapitres 14 à 16.

      La vingtième année, Abijam étant monté sur le trône la dix-huitième année de Jéroboam (verset 1) et ayant cessé de régner la vingtième, il faut admettre que la première et la troisième année de son règne n'ont été que des années incomplètes.

      10

      Maaca ; sa grand-mère, d'après le verset 2. Peut-être sa mère était-elle déjà morte au moment de son avènement, de sorte que sa grand-mère aurait occupé le rang de reine-mère, jusqu'au moment où son petit-fils la destitua (verset 13).

      12

      12 à 15 Réformation opérée par Asa.

      14

      La différence essentielle avec l'idolâtrie éphraïmite, dont le caractère paraît au premier coup d'oeil moins grave (puisque les veaux d'or étaient censés représenter l'Eternel), consiste en ce que l'idolâtrie en Israël était le culte officiel, tandis qu'en Juda elle se pratiquait privément, à côté du culte de l'Eternel qui était toujours celui du temple de Jérusalem. Les hauts-lieux dont il s'agit ici étaient sans doute des lieux consacrés, d'après l'ancien usage, au culte de Jéhova. Mais ils n'auraient plus dû subsister à côté du culte du temple ; car ils ouvraient la porte à l'idolâtrie.

      15

      Et il fit porter... Il commença à reconstituer le trésor du temple, pillé sous Roboam par les Egyptiens. Les choses consacrées provenaient sans doute du butin de ses expéditions militaires et de celles de son père (2Chroniques 13.19 ; 14.14 ; 15.18).

      16

      16 à 22 Guerre entre Asa et Baésa ; voir 2Chroniques 16.1-13. D'après le verset 33, Baésa devint roi la troisième année d'Asa et régna vingt-quatre ans. Cette guerre avec Baésa ne peut donc avoir duré que jusqu'à la vingt-septième année d'Asa. Or il est dit dans 2Chroniques 16.1 qu'elle commença la trente-sixième année d'Asa. Il y a certainement ici une erreur de chiffre ; voir à ce passage des Chroniques.

      17

      Rama : Rama de Benjamin (Josué 18.25 ; Juges 19.13), à 8 km au nord de Jérusalem ; aujourd'hui Er-Râm. Baésa avait donc repris les villes que Jéroboam avait perdues (2Chroniques 13.19) ; la frontière de son royaume s'était ainsi rapprochée de Jérusalem. Le but de Baésa, en faisant cette construction, était de fermer la route qui conduisait du royaume d'Asa dans le sien propre.

      18

      Ce recours d'Asa à l'alliance du roi de Syrie est le résultat d'un affaiblissement de sa foi, comme le prophète Hanani le lui fait sévèrement sentir (2Chroniques 16.7 et suivants). Au commencement de son règne, Asa avait montré une grande confiance en l'Eternel, à l'occasion d'une redoutable invasion éthiopienne. Mais dans sa vieillesse, il paraît y avoir eu chez lui un déclin spirituel qui se manifesta également dans la maladie dont il mourut (2Chroniques 16.12).

      Prit tout l'argent et l'or qui restait... Peut-être Asa avait-il déjà puisé lui-même dans le trésor qu'il avait précédemment reconstitué. Ce qui restait fut envoyé à Ben-Hadad.

      Ben-Hadad, fils de Hadad (Hadad. probablement le dieu du soleil chez les Syriens). C'est le premier des trois rois de ce nom qui ont régné à Damas.

      Tabrimmon, Rimmon est bon. Rimmon, dont le nom paraît dans les inscriptions cunéiformes sous la forme Ramanu, était le dieu de l'air et du tonnerre.

      HĂ©zion, peut-ĂŞtre le mĂŞme que RĂ©zon, 11.23.

      20

      Ijjon, aujourd'hui Ajûn, contrée fertile où l'on arrive quand on entre en Galilée depuis le nord en venant de Damas.

      Dan ; voir Juges 18.7.

      Abel-Beth-Maaca ; voir 2Samuel 20.14-15 ; probablement aujourd'hui Abil-el-Kamh.

      Tout Kinnéroth : toute la contrée qui s'étend depuis les Eaux de Mérom jusqu'au lac de Génézareth (Nombres 34.11 ; Josué 19.35).

      21

      Et il habita à Thirtsa : la résidence des rois d'Israël à ce moment-là. Ce fut à la suite de cette invasion et des menaces de Ben-Hadad que Baésa abandonna la construction de Rama et la partie du royaume de Juda qu'il avait envahie.

      22
      25

      25 à 33 Nadab, en Israël (953-952).

      Le récit revient en arrière, car le court règne de Nadab avait précédé celui de Baésa. En comparant les chiffres, versets 28 et 33, on voit que Nadab ne régna qu'un an et demi au plus.

      27

      Ahija, non le prophète du même nom, qui était d'Ephraïm (verset 29).

      Guibbéthon ; ville de la tribu de Dan, sur la frontière des Philistins, qui l'avaient reprise après la conquête sous Josué et que les Israélites voulaient reconquérir. Baésa, qui occupait sans doute une place élevée dans l'armée, se débarrassa du jeune roi par une conjuration militaire et s'empara de la royauté.

      29

      Personne ; ni hommes, ni femmes.

      Selon la parole : non pas selon l'ordre, mais conformément à la menace prononcée par le prophète (14.10).

      32

      Ce verset, qui paraît faire double emploi avec verset 16, est placé ici en rapport avec le règne de Baésa d'après la partie des Annales qui concerne les rois d'Israël, tandis que, plus haut, il se rapportait au règne d'Asa et était tiré de la partie qui renferme les Annales des rois de Juda.

      33

      15.33 à 16.7 Baésa, en Israël (952-930).

      Une fraction d'année au commencement ou à la fin d'un règne compte ordinairement pour une année entière.

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