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L'Eternel dit à Moïse : « Rassemble auprÚs de moi 70 hommes pris parmi les anciens d'Israël, des hommes que tu connais comme anciens et responsables du peuple. AmÚne-les à la tente de la rencontre et qu'ils s'y présentent avec toi.
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» Tu établiras des juges et des magistrats dans toutes les villes que l'Eternel, ton Dieu, te donne, selon tes tribus, et ils jugeront le peuple avec justice.
19
Tu ne porteras aucune atteinte au droit, tu ne feras pas preuve de partialitĂ© et tu nâaccepteras pas de pots-de-vin, car ils aveuglent les yeux des sages et corrompent les paroles des justes.
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» Si, dans le pays dont l'Eternel, ton Dieu, te donne la possession, l'on trouve étendu au milieu d'un champ un homme mort, sans que l'on sache qui l'a tué,
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tes anciens et tes juges iront mesurer les distances Ă partir du cadavre jusqu'aux villes des environs.
3
Quand on aura déterminé quelle est la ville la plus proche du cadavre, les anciens de cette ville prendront une génisse qui n'ait jamais servi au travail ni été attelée avec un joug.
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Ils la feront descendre vers un torrent qui nâarrĂȘte jamais de couler et oĂč il n'y ait ni culture ni semence, et lĂ , ils lui briseront la nuque, dans le torrent.
5
Alors les prĂȘtres, les descendants de LĂ©vi, s'approcheront. En effet, l'Eternel, ton Dieu, les a choisis pour qu'ils le servent et bĂ©nissent au nom de l'Eternel, et ce sont eux qui doivent juger toute contestation et toute blessure.
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Tous les anciens de la ville la plus proche du cadavre laveront leurs mains sur la génisse à laquelle on a brisé la nuque dans le torrent.
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Prenant la parole, ils diront : âNos mains n'ont pas versĂ© ce sang et nos yeux ne l'ont pas vu verser.
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Pardonne, Eternel, Ă ton peuple, IsraĂ«l, que tu as rachetĂ©. Ne charge pas ton peuple, IsraĂ«l, de ce sang innocent.âAlors ce sang ne sera pas portĂ© Ă son compte.
9
Ainsi, tu feras disparaĂźtre du milieu de toi le sang innocent en faisant ce qui est droit aux yeux de l'Eternel.
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Le lendemain matin, David Ă©crivit une lettre Ă Joab et il la lui fit parvenir par lâintermĂ©diaire d'Urie.
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Il écrivit dans cette lettre : « Placez Urie au plus fort du combat, puis reculez derriÚre lui afin qu'il soit frappé et meure. »
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Le roi d'Israël appela tous les anciens du pays et leur dit : « Sachez bien et comprenez que cet homme nous veut du mal. En effet, il m'a déjà réclamé mes femmes et mes enfants, mon argent et mon or, et je ne lui ai rien refusé ! »
1
AprÚs ces événements, voici ce qui arriva. Un certain Naboth, de Jizreel, avait une vigne à Jizreel, à cÎté du palais d'Achab, roi de Samarie.
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Elle Ă©crivit alors, au nom d'Achab, des lettres qu'elle marqua de lâempreinte du roi, puis elle les envoya aux anciens et aux magistrats qui Ă©taient concitoyens de Naboth.
1
Il y avait à Samarie 70 fils d'Achab. Jéhu écrivit des lettres qu'il envoya à Samarie aux chefs de Jizreel, aux anciens et aux responsables des enfants d'Achab. Il leur disait :
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« Maintenant que cette lettre vous est parvenue, puisque vous avez avec vous les fils de votre seigneur, ainsi que des chars et des chevaux, une ville fortifiée et des armes,
3
voyez lequel des fils de votre seigneur est le meilleur et convient le mieux, mettez-le sur le trÎne de son pÚre et combattez pour la famille de votre seigneur ! »
4
Ils eurent trÚs peur et dirent : « Deux rois ont été incapables de lui résister. Comment pourrions-nous résister, nous ? »
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Le chef du palais, le chef de la ville, les anciens et les responsables des enfants dâAchab envoyĂšrent dire Ă JĂ©hu : « Nous sommes tes serviteurs et nous ferons tout ce que tu nous diras. Nous ne proclamerons personne roi, fais ce qui te semble bon. »
6
JĂ©hu leur Ă©crivit une seconde lettre oĂč il disait : « Si vous ĂȘtes avec moi et si vous ĂȘtes prĂȘts Ă mâobĂ©ir, prenez les tĂȘtes des fils de votre seigneur et venez me trouver demain Ă la mĂȘme heure, Ă Jizreel. » Or les 70 fils du roi se trouvaient avec les grands de la ville qui les Ă©levaient.
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Quand la lettre leur fut parvenue, ils prirent les fils du roi et ils Ă©gorgĂšrent ces 70 hommes. Puis ils mirent leurs tĂȘtes dans des corbeilles et les envoyĂšrent Ă JĂ©hu, Ă Jizreel.
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Et JĂ©hu tua tous ceux qui restaient de la famille d'Achab Ă Jizreel, ainsi que tous ses grands, ses proches et ses prĂȘtres, sans laisser un seul survivant.
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SanchĂ©rib avait aussi Ă©crit une lettre insultante pour l'Eternel, le Dieu d'IsraĂ«l, en s'exprimant ainsi contre lui : « Les dieux des nations des autres pays n'ont pas dĂ©livrĂ© leur peuple de ma domination. Il en ira exactement de mĂȘme pour le Dieu d'EzĂ©chias : il ne dĂ©livrera pas son peuple de ma domination. »
7
A lâĂ©poque d'ArtaxerxĂšs aussi, Bishlam, Mithredath, Thabeel et le reste de ses associĂ©s Ă©crivirent Ă ArtaxerxĂšs, roi de Perse. La lettre Ă©tait Ă©crite en caractĂšres aramĂ©ens et formulĂ©e en aramĂ©en.
8
Rehum, le commandant, et Shimshaï, son secrétaire, écrivirent au roi ArtaxerxÚs la lettre suivante à propos de Jérusalem :
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Voici la copie de la lettre qu'ils envoyĂšrent au roi ArtaxerxĂšs : « Tes serviteurs, les habitants de la rĂ©gion situĂ©e Ă lâouest de lâEuphrate, etc.
5
La cinquiĂšme fois, Sanballat m'a fait parvenir ce message par son serviteur. Celui-ci tenait une lettre ouverte
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On convoqua les secrĂ©taires du roi le treiziĂšme jour du premier mois et l'on Ă©crivit un message en tout point conforme aux ordres dâHaman et adressĂ© aux satrapes du roi, aux gouverneurs de chaque province et aux chefs de chaque peuple, Ă chaque province dans son Ă©criture et Ă chaque peuple dans sa langue. Le message fut Ă©crit au nom du roi AssuĂ©rus et lâon y apposa lâempreinte du roi.
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Les lettres furent envoyĂ©es par lâintermĂ©diaire de coursiers dans toutes les provinces du roi. Elles disaient quâil fallait en un seul jour â le treiziĂšme du douziĂšme mois, câest-Ă -dire le mois d'Adar â exterminer, massacrer et supprimer tous les Juifs, jeunes et vieux, petits enfants et femmes, et procĂ©der au pillage de leurs biens.
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Une copie du document devait ĂȘtre donnĂ©e avec force de loi Ă chaque province et ĂȘtre communiquĂ©e Ă tous les peuples afin quâils soient prĂȘts pour ce jour-lĂ .
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Les coursiers partirent sans tarder, sur ordre du roi. L'Ă©dit fut aussi proclamĂ© Ă Suse, la capitale, et, tandis que le roi et Haman sâinstallaient pour boire, la ville de Suse Ă©tait plongĂ©e dans la consternation.
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Ecrivez donc ce que vous voudrez concernant les Juifs ! Faites-le au nom du roi et apposez lâempreinte royale sur vos lettres ! En effet, un document Ă©crit au nom du roi et porteur de lâempreinte royale ne peut ĂȘtre rĂ©voquĂ©. »
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On convoqua alors les secrĂ©taires du roi, le vingt-troisiĂšme jour du troisiĂšme mois, câest-Ă -dire le mois de Sivan, et l'on Ă©crivit un message en tout point conforme aux ordres de MardochĂ©e et adressĂ© aux Juifs, aux satrapes, aux gouverneurs et aux chefs des 127 provinces qui couvraient un territoire allant de l'Inde Ă l'Ethiopie, Ă chaque province dans son Ă©criture et Ă chaque peuple dans sa langue, y compris aux Juifs dans leur Ă©criture et dans leur langue.
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On Ă©crivit ce message au nom du roi AssuĂ©rus et l'on y apposa lâempreinte du roi. On envoya les lettres par lâintermĂ©diaire de coursiers Ă cheval qui montaient des attelages royaux, des pur-sang.
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Le roi y autorisait les Juifs, quelle que soit la ville qu'ils habitent, Ă se rassembler et Ă dĂ©fendre leur vie en exterminant, massacrant et supprimant tous les groupes armĂ©s dâun peuple ou dâune province qui les attaqueraient, y compris les petits enfants et les femmes, et Ă procĂ©der au pillage de leurs biens.
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Cette autorisation concernait toutes les provinces du roi AssuĂ©rus mais Ă©tait valable un seul jour : le treiziĂšme du douziĂšme mois, câest-Ă -dire le mois d'Adar.
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Une copie du document devait ĂȘtre donnĂ©e avec force de loi Ă chaque province et ĂȘtre communiquĂ©e Ă tous les peuples afin que les Juifs soient prĂȘts pour ce jour-lĂ , pour la vengeance contre leurs ennemis.
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Dans la ville de Naboth : en opposition Ă Samarie oĂč rĂ©sidait en ce moment Achab.
Qui habitaient avec lui ; qui devaient ainsi connaĂźtre sa piĂ©tĂ© et son honnĂȘtetĂ©.
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