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Houram fabrique deux colonnes de bronze. Elles ont 9 mètres de haut et 6 mètres de tour.
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Il fabrique aussi deux sortes de couronnes pour les mettre en haut des colonnes. Elles sont en bronze, et chacune a 2 mètres et demi de haut.
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Pour les couronnes, il sculpte encore d’autres décorations de bronze qui ressemblent à des filets et à des petites chaînes. Il y en a sept sur chaque couronne.
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Il fabrique également des fruits en bronze appelés grenades, sur deux rangs, sur les filets qui couvrent les couronnes.
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Sur chaque colonne, il y a une deuxième couronne de 2 mètres de haut. Elle a la forme d’une fleur de lys.
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Juste au-dessus des couronnes, il y a une partie plus grosse. Elle dépasse le filet et les 200 fruits rangés autour de chaque couronne.
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Houram fait dresser les deux colonnes avec leurs couronnes devant la salle d’entrée du temple. Il place la première à droite, et il appelle cette colonne Yakin. Il place l’autre à gauche et il appelle cette colonne Boaz.
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Voilà comment Houram finit le travail des colonnes.
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Par exemple, les colonnes ont chacune 9 mètres de haut. Au-dessus de chaque colonne, il y a une couronne de bronze, haute d’un mètre et demi. Elle est décorée tout autour d’une natte en bronze et de fruits en bronze, appelés grenades. Les deux colonnes et leurs décorations sont les mêmes.
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Par exemple, les colonnes avaient chacune 9 mètres de haut et 6 mètres de tour. Elles étaient creuses, et le bronze avait 8 centimètres d’épaisseur.
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Au-dessus de chaque colonne, il y avait une couronne de bronze, haute de 2 mètres et demi. Elle était décorée tout autour d’une natte en bronze et de fruits en bronze appelés grenades. Les deux colonnes et leurs décorations étaient les mêmes :
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quatre-vingt-seize grenades sur les côtés, c’est-à-dire cent fruits en tout, autour de la natte en bronze.
Trois coudées. Jérémie 52.22 et 1Rois 7.16 disent cinq, probablement parce qu'ils réunissent les deux nombres de la hauteur du treillis et du chapiteau.
Au-dessus. C'est surtout par rapport au lys d'airain (1Rois 7.16, note), l'ornement le plus remarquable des colonnes, que l'auteur fait ressortir leur parfaite ressemblance.