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Apocalypse 21.1

I saw a new heaven and a new earth: for the first heaven and the first earth have passed away, and the sea is no more.

Un nouveau ciel, et une nouvelle terre : la nouvelle Jérusalem, où Dieu demeure et bannit toute peine. (Apocalypse 21:1-8)
L’origine céleste de cette ville, sa gloire, et ses murailles invulnérables. (Apocalypse 21:9-21)
La félicité parfaite au sein de cette ville, éclairée par la présence de Dieu et de l'Agneau ; son libre accès, à la multitude des rachetés. (Apocalypse 21:22-27)

Le nouveau ciel et la nouvelle terre ne seront pas séparés l'un de l'autre ; la terre des saints et leurs corps glorifiés, seront célestes. L’ancien monde terrestre, avec tous ses troubles et ses tumultes, aura disparu. Il n'y aura plus de mer ; ceci représente d'une manière pertinente la libération de toute servitude aux diverses passions, aux tentations, aux différents troubles, changements incessants, et frayeurs de l’ancien monde : bref, tout ce qui peut détruire ou interrompre la communion des saints.

Cette nouvelle Jérusalem est l'église de Dieu dans son état nouveau et parfait, l'église triomphante. Sa béatitude provient entièrement de Dieu, et ne dépend que de Lui. La présence de Dieu, parmi Son peuple, dans le ciel, ne sera pas interrompue, comme elle l'est ici-bas : Il demeurera continuellement avec les Siens !

Tous les effets résultant des problèmes de ce monde, seront anéantis. Les enfants de Dieu ont souvent pleuré à cause du péché, de la détresse, et des calamités de l'église ; mais dans le ciel, aucun souvenir, aucun élément des peines anciennes ne subsisteront.

Christ fait toutes choses nouvelles. Si nous sommes disposés et désireux que le Rédempteur « plein de Grâce », renouvelle notre cœur et notre nature, Il fera alors toutes choses « nouvelles » en nous, conformément à notre situation, jusqu'à ce qu'Il nous ait amenés à nous réjouir d'un bonheur complet !

Remarquez la véracité de la promesse de ce texte : le Seigneur annonce Ses « titres » : l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin, preuve qu’Il accomplira inexorablement tous Ses desseins.

Les plaisirs sensuels et coupables sont semblables à des eaux boueuses et empoisonnées ; les meilleures consolations de ce monde (par rapport aux célestes), ne sont que de piètre envergure, elles ressemblent à des « citernes presque vides » ; lorsqu'elles sont mises sur un « piédestal », elles deviennent alors de véritables « citernes crevassées », ne pouvant offrir que des déceptions.

Mais les joies que Christ nous offre sont comme des eaux qui jaillissent d'une source, pures, rafraîchissantes, abondantes, et éternelles !

Les consolations du Saint-Esprit, préparent notre âme au bonheur céleste ; ce sont des « ruisseaux » qui coulent pour nous, dans le désert. Les âmes craintives n’osent par percevoir les difficultés apparentes de la piété, leur « peur » servile vient en fait de leur incrédulité ; les personnes qui n'osent pas « relever la croix de Christ », préfèrent par lâcheté avancer dans leur méchanceté.

Les agonies et les angoisses de la « première mort » mèneront les pécheurs vers des terreurs encore plus grandes : celles de la mort éternelle.
Puis je vis un nouveau Ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus.

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    • Esaïe 27

      1

      Le soin de Dieu, envers Son peuple. (Esaïe 27:1-5)
      Le rappel des promesses divines. (Esaïe 27:6-13)

      Le Seigneur Jésus, avec cette épée redoutable, qu'est la croix et par la prédication de Son évangile, détruira celui qui possède la puissance de la mort, c'est-à-dire, le diable, ce serpent ancien.

      Le monde est un désert stérile et sans valeur; par contre, l'église est une « vigne », un lieu bien particulier où elle est soigneusement choyée, et où ses fruits précieux sont recueillis. Dieu la gardera pendant la « nuit » de l'affliction et de la persécution, aux jours dangereux de la tentation, comme en ceux où règnent la paix et la prospérité. Dieu prend soin également de la productivité de cette vigne.

      Nous avons sans cesse besoin des « aspersions » continuelles de la Grâce divine ; si elles devaient être soudainement ôtées, nous dépéririons, et serions réduits à néant. Bien que Dieu se dresse parfois contre Son peuple, Il use de patience malgré tout, dans Sa Grâce, en vue de se réconcilier avec lui. Il est vrai, que lorsqu'Il trouve des ronces et des épines au lieu d'une vigne, Il les entasse en un lieu où elles seront alors brûlées.

      Telle est, en quelques mots, la doctrine de l'évangile, par laquelle l'église doit être vivifiée à chaque instant. Depuis que le péché est entré dans le monde, il y a toujours eu, de la part de Dieu, une lutte en faveur de la sainteté, alors que l'homme, de son côté, cédait à l'impiété.

      Une invitation à la Grâce divine nous est donnée. La Miséricorde et le Pardon manifestent la Puissance de notre Seigneur ; sachons bien tenir compte de cet état de fait !

      Christ crucifié représente la Puissance divine. Sachons, par une foi vivante, saisir cette force spirituelle : elle s'adresse à l'indigent, à celui qui croit qu'il n'y a aucun autre Nom par lequel nous pouvons être sauvés, à l'homme qui, à la dérive et en perdition, s'accroche désespérément à une branche spirituelle. C'est le seul moyen, le plus sûr, par lequel nous pouvons être sauvés.

      Dieu est toujours disposé à se réconcilier avec nous !

      Esaïe 57

      Esaïe 65

      17 Dans la Grâce et l'espérance que les croyants trouvent en Christ, nous devons attendre l'avènement des « nouveaux cieux » et de la « nouvelle terre », cités dans ce texte. Tous les anciens désordres, péchés et misères de la race humaine, seront alors oubliés, ils auront disparu. La béatitude qui attend l'église, est ici décrite par diverses images.

      Ceux qui, malgré leurs péchés, auront l'opportunité de vivre longtemps ici-bas, seront néanmoins maudits dès leur jeunesse. Seuls les événements futurs, révèleront les détails significatifs de ce texte ; mais il est clair que le Christianisme, s'il est « universel », bannira toute violence et toute souffrance, étant à l'origine d'un allongement considérable de la durée de vie, en ces temps futurs.

      Dans les jours heureux prédits par ce texte, tout le peuple de Dieu pourra bénéficier des fruits de ses œuvres. Les enfants ne souffriront plus, ils ne causeront plus d'ennuis à leurs parents. Les mauvaises intentions des pécheurs seront complètement inhibées ; tous vivront en harmonie. L'église, ici-bas, sera dans la félicité, la même que celle des lieux célestes !

      Cette prophétie assure aux serviteurs de Christ, que ce temps est proche, période où ils seront bénis par des béatitudes qui seront à l'origine de leur bonheur spirituel. En tant « qu'ouvriers » au service du Seigneur, sachons attendre Ses directives, obéissons à Ses commandements !

      Esaïe 66

      Daniel 7

      2 Pierre 3

      Apocalypse 13

      1

      Une bête sauvage monte de la mer, le dragon lui donne son autorité. (Apocalypse 13:1-10)
      Une autre bête à deux cornes surgit, telle un agneau, mais parlant comme un dragon. (Apocalypse 13:11-15)
      Elle oblige toutes les personnes qui lui sont consacrées à adorer son image et à recevoir sa marque. (Apocalypse 13:16-18)

      L'apôtre Jean, se tenant sur le rivage, vit une bête sauvage sortir de la mer ; elle possédait un pouvoir tyrannique, idolâtre et persécuteur, occasionnant différents troubles.

      Cette bête était un monstre effroyable ! Elle semble représenter une domination oppressante du monde, qui, durant de longues périodes, même du temps de la captivité babylonienne, avait été hostile à la piété.

      Cette première bête commença à opprimer et à persécuter les saints, au nom de la justice : cette fois, ils souffrirent davantage que ceux qui subirent les sévices de la quatrième bête de Daniel, (l'Empire romain), qui les affligea par de nombreuses et cruelles persécutions.

      L’autorité de cette bête provenait du dragon. Elle était instaurée par le diable, qui la soutenait. Sa blessure à la tête peut représenter l'abolition de l'idolâtrie païenne, et sa guérison, l’introduction de la vénération du pape : il s’agissait du même type d’idolâtrie, mais, sous un nouvel aspect, répondant efficacement aux différents desseins du diable.

      Le monde entier admirait le pouvoir, la politique et le succès de cette bête. Tous lui rendaient honneur, se soumettant au diable et à ses anges. Elle exerçait un pouvoir infernal et une politique d’adoration des hommes, adoration qui ne peut être rendue qu’à Dieu seul. Cependant le pouvoir et le succès du diable s’avérèrent limités...

      Christ possède un « reste », parmi Son peuple persécuté : des âmes préservées, rachetées par Son sang, enregistrées dans Son « livre de vie » et scellées par Son Esprit ; bien que le diable et l'antéchrist puissent vaincre le corps et enlever la vie ici-bas, ils ne peuvent pas conquérir l'âme, ni forcer les véritables croyants à abandonner leur Sauveur, pour rejoindre Ses ennemis.

      La persévérance dans la foi à l'Évangile et dans la véritable adoration de Dieu, à cette grande heure d'épreuve et de tentation, qui trouble l’ensemble du monde, sauf les élus, est la caractéristique de ceux qui sont enregistrés dans le « livre de vie ».

      Cette ferme détermination à la sainteté et cet encouragement à la constance, représentent le grand dessein de tout le livre de l'Apocalypse !

      Apocalypse 20

      11 Après les prédictions annoncées dans les versets précédents, la fin viendra rapidement ; aucun autre évènement prophétique n’est mentionné avant que Christ ne paraisse pour juger le monde.

      Ce sera le « grand jour » : le Juge, le Seigneur Jésus-Christ, imposera Sa Majesté et la terreur. Les morts seront alors jugés, petits et grands, jeunes et vieux, de condition humble ou élevée, les pauvres comme les riches.

      Chacun devra expliquer ses œuvres, et nul ne pourra user d’arguments pour pouvoir passer outre ce Jugement. Ce dernier ne s’adressera pas seulement aux vivants, lors de la venue de Christ, mais aussi à tous les morts.

      Il y a un livre qui retrace les actes de chacun, à la fois le bien accompli, comme le mal ; un autre livre contient l’état de conscience de chaque pécheur : il était auparavant gardé secret, il sera alors ouvert.

      Chaque homme retracera tous ses actes passés, bien qu'il en ait depuis longtemps oublié la majeure partie !

      Un autre livre sera ouvert, celui de l'Écriture, « règle » de la vie ; il représente la connaissance qu'a le Seigneur de Son peuple, ainsi que la déclaration de son repentir, de sa foi, et de ses bonnes œuvres ; il retrace les bénédictions de la « nouvelle alliance ».

      Les hommes, selon leurs œuvres, seront justifiés ou condamnés ; le Seigneur éprouvera leurs intentions préalables d’après leurs œuvres pratiquées. Ceux qui sont justifiés et acquittés par l'évangile, seront justifiés et acquittés par le Juge, et entreront « dans la vie éternelle », n'ayant plus rien à craindre de la mort, de l'enfer, ou des méchants : tout cela sera détruit en même temps ! C'est la seconde mort ; elle représente la séparation définitive, des pécheurs et de Dieu.

      Il faut soigneusement nous enquérir de notre état spirituel, de façon à voir dès aujourd’hui, si la Bible nous justifie ou nous condamne ; Christ jugera les secrets de tous les hommes, conformément à l'évangile.

      Qui pourra alors résister au feu dévorant de l’enfer ?

      Apocalypse 21

      1

      Un nouveau ciel, et une nouvelle terre : la nouvelle Jérusalem, où Dieu demeure et bannit toute peine. (Apocalypse 21:1-8)
      L’origine céleste de cette ville, sa gloire, et ses murailles invulnérables. (Apocalypse 21:9-21)
      La félicité parfaite au sein de cette ville, éclairée par la présence de Dieu et de l'Agneau ; son libre accès, à la multitude des rachetés. (Apocalypse 21:22-27)

      Le nouveau ciel et la nouvelle terre ne seront pas séparés l'un de l'autre ; la terre des saints et leurs corps glorifiés, seront célestes. L’ancien monde terrestre, avec tous ses troubles et ses tumultes, aura disparu. Il n'y aura plus de mer ; ceci représente d'une manière pertinente la libération de toute servitude aux diverses passions, aux tentations, aux différents troubles, changements incessants, et frayeurs de l’ancien monde : bref, tout ce qui peut détruire ou interrompre la communion des saints.

      Cette nouvelle Jérusalem est l'église de Dieu dans son état nouveau et parfait, l'église triomphante. Sa béatitude provient entièrement de Dieu, et ne dépend que de Lui. La présence de Dieu, parmi Son peuple, dans le ciel, ne sera pas interrompue, comme elle l'est ici-bas : Il demeurera continuellement avec les Siens !

      Tous les effets résultant des problèmes de ce monde, seront anéantis. Les enfants de Dieu ont souvent pleuré à cause du péché, de la détresse, et des calamités de l'église ; mais dans le ciel, aucun souvenir, aucun élément des peines anciennes ne subsisteront.

      Christ fait toutes choses nouvelles. Si nous sommes disposés et désireux que le Rédempteur « plein de Grâce », renouvelle notre cœur et notre nature, Il fera alors toutes choses « nouvelles » en nous, conformément à notre situation, jusqu'à ce qu'Il nous ait amenés à nous réjouir d'un bonheur complet !

      Remarquez la véracité de la promesse de ce texte : le Seigneur annonce Ses « titres » : l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin, preuve qu’Il accomplira inexorablement tous Ses desseins.

      Les plaisirs sensuels et coupables sont semblables à des eaux boueuses et empoisonnées ; les meilleures consolations de ce monde (par rapport aux célestes), ne sont que de piètre envergure, elles ressemblent à des « citernes presque vides » ; lorsqu'elles sont mises sur un « piédestal », elles deviennent alors de véritables « citernes crevassées », ne pouvant offrir que des déceptions.

      Mais les joies que Christ nous offre sont comme des eaux qui jaillissent d'une source, pures, rafraîchissantes, abondantes, et éternelles !

      Les consolations du Saint-Esprit, préparent notre âme au bonheur céleste ; ce sont des « ruisseaux » qui coulent pour nous, dans le désert. Les âmes craintives n’osent par percevoir les difficultés apparentes de la piété, leur « peur » servile vient en fait de leur incrédulité ; les personnes qui n'osent pas « relever la croix de Christ », préfèrent par lâcheté avancer dans leur méchanceté.

      Les agonies et les angoisses de la « première mort » mèneront les pécheurs vers des terreurs encore plus grandes : celles de la mort éternelle.

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