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Deutéronome 11.27

Aujourd’hui, je vous donne les commandements du SEIGNEUR votre Dieu. Si vous obéissez à ces commandements, la bénédiction sera sur vous.
la bénédiction, si vous obéissez aux commandements de l'Éternel, votre Dieu, que je vous prescris en ce jour ;
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      Lévitique 26

      Deutéronome 11

      Deutéronome 28

      1

      Les bénédictions qui suivent l'obéissance. (Deutéronome 28:1-14)
      Les malédictions dues à la désobéissance. (Deutéronome 28:15-44)
      La ruine qu'encourt le peuple, s'il désobéit. (Deutéronome 28:45-68)

      Ce chapitre est un large exposé se concentrant sur deux mots : la bénédiction et la malédiction, deux entités aux effets bien manifestes ! Les bénédictions sont d'abord traitées.

      Dieu est lent à la colère et toujours prêt à manifester rapidement Sa miséricorde. Il aime bénir. Il est préférable, en ce qui nous concerne, que notre conduite soit animée par l'espérance de jouir de la faveur divine, plutôt que par la crainte de subir les effets de la colère du ciel.

      La bénédiction est promise aux enfants d'Israël, à condition qu'ils écoutent attentivement la voix de l'Éternel.

      Efforçons-nous donc de garder et de mettre en pratique tous les commandements de Dieu, sous toutes leurs formes, que ce soit au sein de notre famille, ou dans notre pays ; la Providence divine nous fera alors prospérer dans toutes nos entreprises !

      Psaumes 19

      11 La Parole de Dieu exhorte l'homme impie à ne pas continuer dans la voie qu'il pratique et avertit le juste pour qu'il ne se détourne pas du bon chemin. Il y a une récompense, non seulement pour avoir observé les commandements divins, mais aussi pour celui qui les observe en permanence. La religion nous console et nous soulage, elle nous aide dans nos divers chemins, elle nous donne une raison de vie et le désir de « déloger » vers Christ.

      David ne désire pas uniquement être pardonné et lavé des péchés dont il se souvient et qu'il a confessés, mais aussi de tous ceux qu'il a oubliés ou ignorés. Toutes les révélations des péchés que la Loi nous à manifestées devraient nous mener au trône de la grâce pour ensuite nous conduire dans la prière.

      C'est une dépendance caractérisant chaque chrétien, qui peut ainsi dire : je dispose d'une assurance dans le Seigneur Jésus, d'un modèle de droiture, d'une force. Aucune prière ne peut être digne d'une attention divine si elle n'est présentée au nom de notre puissant Rédempteur, au nom de Celui qui s'est chargé de notre nature, au nom de celui qui peut nous racheter auprès de Dieu, pour l'éternité. Que notre cœur puisse être sensible à l'excellence de la Parole de Dieu ; qu'il puisse aussi considérer l'horreur du péché, le danger auquel sa pratique nous expose et la situation dans laquelle il nous place.

      Esaïe 1

      Esaïe 3

      10 Le décret divin était arrêté : quel que soit l'état d'Israël, en pleine prospérité ou dans l'épreuve, le juste devait connaitre la félicité, alors que le méchant devait subir la ruine.

      Béni soit Dieu, pour Ses nombreux encouragements adressés aux « justes », à Lui accorder leur confiance, et aux pécheurs, à se repentir et à se tourner vers Lui !

      Le temps était venu pour l'Éternel, de révéler Sa Toute Puissance. Il demandera un jour aux hommes, de rendre compte de toute la richesse et de la force qui leur ont été confiées, et de tous les abus auxquels ils se sont livrés. Si la non assistance aux pauvres et aux nécessiteux est déjà un péché, combien plus grave en sera-t-il pour ceux qui auront provoqué la pauvreté de leur prochain, pour ensuite, les opprimer !

      Matthieu 5

      3 Notre Sauveur donne ici huit catégories de personnes, à même de recevoir des bénédictions ; ces dernières nous sont directement applicables, en tant que chrétiens.

      1. Heureux les « pauvres en esprit ». Ils adaptent leur mentalité à leur modeste condition. Ils sont humbles et vivent dans la simplicité. Ils connaissent leurs différents besoins, ils pleurent sur leur culpabilité, et ont « soif » d'un Rédempteur. Le Royaume de la Grâce est pour de telles personnes ; le Royaume de Gloire est pour eux !

      2. Heureux ceux qui pleurent. Il semble qu'il s'agisse ici d’un chagrin issu de la piété, celui qui produit la véritable repentance, la vigilance vis-à-vis du mal, un esprit contrit, une dépendance continuelle à la miséricorde de Dieu, en Jésus-Christ, avec une recherche constante du Saint-Esprit, et de la sanctification. Le ciel est la joie de notre Seigneur ; une montagne de joie, vers laquelle nous conduit notre chemin à travers une vallée de larmes. Ceux qui sont ainsi affligés seront consolés par « leur » Dieu !

      3. Heureux ceux qui sont pleins de douceur. Les doux, les débonnaires, sont ceux qui se soumettent en toute quiétude à Dieu ; ils peuvent supporter l'insulte : ils restent silencieux, ou répliquent par une réponse pleine de douceur ; ils savent, dans leur patience, garder leur âme, alors qu’ils ne savent garder d’autres choses qu’avec peine. Ces débonnaires sont heureux, même ici-bas. La douceur de caractère amène la richesse, le réconfort, et la sécurité, même en ce monde !

      4. Heureux ceux qui ont faim et soif de justice. Le terme « justice » concerne ici toutes les bénédictions spirituelles. Celles-ci sont acquises pour nous, par la Justice de Christ, confirmées par la fidélité de Dieu. Nos désirs de bénédictions spirituelles doivent être fervents. Bien que tous les désirs d’obtention de la Grâce ne soient pas perçu en tant que tels par le « monde », ils permettent de voir la Gloire de Dieu, car Il ne nous abandonnera pas, nous qui sommes l'œuvre de Ses propres mains !

      5. Heureux les miséricordieux. Nous devons non seulement supporter patiemment nos propres afflictions, mais nous devons aussi faire tout notre possible pour aider ceux qui sont dans la misère. Nous devons avoir compassion pour les âmes de ceux qui nous entourent, nous devons les aider ; nous devons éprouver de la pitié envers ceux qui pratiquent le péché, et chercher à les extirper de ce « feu dévorant ».

      6. Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu. La sainteté et le bonheur sont ici mentionnés : ils forment un tout. Le cœur doit être purifié par la foi, et consacré à Dieu : « crée en moi un tel cœur pur, ô Dieu ». Nul, s’il n’est pas pur, n'est capable de discerner Dieu, et le ciel ne peut être le lieu de félicité des impurs. Dieu ne pouvant pas supporter l’iniquité des hommes, ces derniers sont incapables de voir Sa pureté.

      7. Heureux ceux qui procurent la paix. Ils l’aiment, ils la désirent, et se plaisent en elle ; ils recherchent la tranquillité. Ils gardent la paix lorsqu'elle n'est pas brisée, et travaillent à son rétablissement lorsqu'elle est rompue. Si ces « pacificateurs » sont bénis, malheur à ceux qui la rompent !

      8. Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice. Cette parole est propre au Christianisme : elle est particulièrement soulignée, plus que le reste du texte. Malgré tout, rien dans nos souffrances ne nous permet de mériter quoi que ce soit, de la part de Dieu ; mais ce Dernier pourvoira de Sa Grâce, ceux qui perdent tout pour Lui, même leur vie ; en fin de compte, Il ne les délaissera jamais !

      Béni soit Jésus ! Combien ces enseignements sont différents de ceux des hommes, qui profèrent que l'orgueilleux est heureux et qui admirent celui qui est gai, riche, puissant, et victorieux. Puissions-nous trouver la Miséricorde auprès du Seigneur ; puissions-nous être considérés comme Ses enfants, héritiers de Son Royaume. Armés de ces joies et de cette espérance, nous pouvons affronter en toute sérénité les circonstances les plus douloureuses de l’existence !

      Matthieu 25

      31 Nous trouvons dans ce texte une description du Jugement dernier : c'est en fait la suite des explications relatives aux paraboles précédentes.

      Plus tard, aura lieu le Jugement dernier, où chacun recevra la juste rétribution de sa vie ici-bas : la félicité éternelle, ou les tourments. Christ viendra, non seulement dans la Gloire de Son Père, mais aussi dans Sa propre Gloire, en tant que Médiateur. Le méchant, comme l’homme pieux cohabitent sur cette terre, dans les mêmes villes, les mêmes églises, les mêmes familles, sans se connaître vraiment l’un l’autre ; tel est le résultat de la faiblesse du témoignage des saints, face aux hypocrisies des pécheurs : la mort surprendra les uns comme les autres... En ce jour du Jugement, ils seront alors séparés pour toujours.

      Jésus-Christ est le grand Berger ; Il sait distinguer immédiatement les âmes qui Lui appartiennent, de celles qui Lui sont étrangères. Il n’y a aucune autre distinction possible, seule sera visible la différence entre le racheté et le pécheur, entre le sanctifié et l'impie et cela, de manière irréversible. Dans le ciel, la félicité éternelle des saints sera merveilleuse. Ce sera le Royaume du Seigneur ; la plus grande des possessions ici-bas ne sera que bien modeste, face à cette bénédiction des saints dans les cieux.

      Ce Royaume est préparé : le Père l'a conçu pour les Siens, dans la grandeur de Sa Sagesse et de Sa Puissance ; le Fils l'a « acquis » pour eux ; et l'Esprit béni, en préparant les âmes des rachetés pour ce Royaume, prépare en fait le ciel pour elles : il est en tous points adapté à la nouvelle nature de ceux qui sont sanctifiés. Ce Royaume est préparé depuis la fondation du monde. La félicité en ce lieu a été prévue pour les saints, de toute éternité. Ils viendront, et en hériteront.

      Nous n’avons pas acquis notre héritage spirituel : c'est Dieu qui nous fait héritiers du ciel. Nous ne devons pas supposer que les actes de générosité que nous pourrions accomplir ici-bas, puissent donner droit au bonheur éternel. Les bonnes œuvres opérées pour Dieu, par le biais de Jésus-Christ, sont mentionnées dans ce texte, comme étant le « fruit spirituel » des croyants, rendus saints par l'Esprit de Christ ; ce fruit est le résultat de la Grâce, conférée à ceux qui accomplissent ces œuvres.

      Les méchants de ce monde ont souvent été appelés à venir à Christ, pour bénéficier de la vie et du repos éternels, mais ils se sont détournés de ces appels : de ce fait, il est juste qu’ils soient séparés de Christ. Les pécheurs condamnés, lors du Jugement, présenteront en vain des excuses. Le châtiment des méchants sera éternel ; leur culpabilité ne peut pas être révoquée.

      Ainsi la vie et la mort, le bien et le mal, la bénédiction et la malédiction, sont placés devant nous, pour que nous puissions choisir notre chemin : tel il sera, telle sera notre destin !

      Luc 11

      Jean 13

      Jean 14

      Romains 2

      Jacques 1

      Apocalypse 22

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