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Deutéronome 31.6

Fortifiez-vous et soyez fermes, ne les craignez pas, et ne soyez point épouvantés devant eux ; car c'est l'Éternel, ton Dieu, qui marche avec toi ; il ne te laissera pas et il ne t'abandonnera pas.
Fortifiez-vous donc et vous renforcez ; ne craignez point, et ne soyez point effrayés à cause d'eux ; car c'est l'Eternel ton Dieu qui marche avec toi ; il ne te délaissera point, et ne t'abandonnera point.
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    • Nombres 14

      Deutéronome 1

      Deutéronome 4

      Deutéronome 7

      Deutéronome 20

      1

      Exhortation et proclamation au sujet de ceux qui vont à la guerre. (Deutéronome 20:1-9)
      Proposition de Paix envers les villes que l'Éternel a prévu de donner à Israël. (Deutéronome 20:10-20)

      Quand Israël engageait une guerre selon la volonté divine, il pouvait espérer l'assistance toute particulière de l'Éternel. Ce dernier était en fait leur seul appui. En tant que chrétiens, nous sommes, en quelque sorte, également en guerre. Ceux qui ne voulaient pas combattre devaient être renvoyés chez eux. De tels sentiments ne pouvaient provenir que de personnes n'étant pas de tout cœur avec Israël. Dieu ne voudrait pas être honoré par quelqu'un qui serait « forcé » d'être à Son service. Les enfants d'Israël devaient être volontaires, Psaume 110:3.

      Dans le combat que nous menons pour Christ, par la foi, nous devons veiller à écarter tout ce qui pourrait nous en dissuader. Celui qui va combattre à contrecœur ferait mieux de renoncer à la guerre. Ne cherchons pas à nous échapper, comme certains, mais ne soyons pas effrayés par le bon combat, Esa 8:12.

      Deutéronome 31

      23 Ce passage décrit comment Moïse donna solennellement le livre de la loi aux Lévites, afin qu'ils le placent à côté de l'arche. Le patriarche donna ensuite au peuple, un cantique qui figure au chapitre suivant. Il le rédigea d'abord, inspiré par le Saint-Esprit, puis le communiqua ensuite au peuple.

      Moïse annonça clairement qu'il savait qu'après sa mort, Israël se corromprait totalement. Cet homme, qui avait tant fait pour le peuple, devait être accablé de tristesse ; mais il pouvait se réconforter en estimant avoir accompli son devoir, sachant que Dieu serait finalement glorifié, à la fin de la dispersion d'Israël : si, dans le futur, ce dernier n'était plus en Canaan, les promesses divines à son égard, n'en seraient pas moins immuables.

      Josué 1

      5 Josué compte bien utiliser la Loi, comme règle de vie. Il est chargé par Dieu de la méditer jour et nuit, afin de « prendre garde à faire selon tout ce qui est écrit ». Quelles que soient les affaires que nous avons à traiter en ce monde, nous ne devons pas négliger cette lecture de la Parole, si utile. Tous les ordres et tous les jugements que Josué allait donner, devaient s'appuyer sur la Loi. Même le patriarche y était lui-même soumis ; aucune dignité humaine, aucune domination ne peut se placer au dessus de la Parole de Dieu.

      Josué devait s'encourager par les Promesses et par la Présence divines. Le patriarche ne devait pas être découragé par le constat d'éventuelles faiblesses personnelles ; Dieu est tout suffisant ! C'est Lui-même qui a appelé Josué, pour lui commander d'accomplir cette tâche, étant sûr qu'il était capable d'en supporter les difficultés. Quand nous accomplissons notre devoir, nous avons de bonnes raisons d'être forts et très audacieux. Notre Seigneur Jésus, comme Josué dans le cas présent, est né dans la perspective de subir plus tard la souffrance, par la volonté et l'ordre de Dieu, Son Père.

      Josué 10

      1 Chroniques 22

      1 Chroniques 28

      2 Chroniques 32

      Psaumes 27

      1

      La foi du psalmiste. (Psaumes 27:1-6)
      Son désir de s'approcher de Dieu, l'espoir qu'il a en Lui. (Psaumes 27:7-14)

      Le Seigneur, qui est la lumière du croyant, est la force de sa vie ; le chrétien vit non seulement par cette force, mais il se dirige par elle. Oh Dieu, fortifie-nous. La présence de Dieu, pleine de grâce, sa puissance, sa promesse, sa disponibilité à écouter la prière, le témoignage de Son Esprit dans les cœurs, tel est le secret de son tabernacle dans lequel les saints trouvent toute leur sécurité spirituelle, la paix de l'âme dans laquelle ils demeurent à l'aise. Le psalmiste prie en faveur d'une communion constante avec Dieu dans ses saintes ordonnances.

      Tous les enfants de Dieu désirent demeurer dans la maison du Père. Non pas pour séjourner une nuit, en tant que voyageur itinérant, ou temporairement, comme une servante qui ne veut pas rester dans la maison de ses maîtres toute sa vie, mais pour demeurer tous les jours de leur vie, comme des enfants avec un Père. Croyons-nous que nos prières à Dieu seront les bénédictions de notre éternité ? Nous devrions certainement y consacrer beaucoup de notre temps. Nous devrions avoir cela à cœur plus que tout autre chose. Quel que soit l'état de la vie du chrétien, il doit considérer la faveur ou la grâce divine comme la chose la plus nécessaire. C'est ce qu'il doit désirer, demander dans la prière, rechercher, et en tout cela il se réjouira.

      Esaïe 41

      10 Dieu s'exprime ici avec tendresse : « ne crains rien, car je suis avec toi ». Il s'agit non seulement d'un encouragement, mais aussi d'une promesse de Sa présence : « es-tu faible ? Je te donnerai de la force. Désires-tu être épaulé par un Ami ? Je t'aiderai, quand tu seras dans le besoin. Es-tu sur le point de tomber ? Je te soutiendrai de Ma main droite, Celle de la Justice, Celle qui, à la fois, récompense ou punit ».

      Certains s'acharnent contre les enfants de Dieu, ne recherchant que leur ruine. En de tels cas, ces derniers ne doivent pas vouloir se venger, mais savoir attendre « l'heure » que Dieu a prévue.

      « Ne crains-pas, vermisseau de Jacob », (verset Esaïe 41:14*) ; le peuple d'Israël était alors peu représentatif, bien faible, dédaigné et méprisé par tous. Les véritables enfants de Dieu sont comme ces « vermisseaux », animés d'humbles pensées, constatant le mépris que leur témoignent leurs ennemis ; par cette image, on ne doit pas les assimiler à ces derniers, qui ne sont que des « vipères », de la famille du serpent !

      La Parole de Dieu, dans son ensemble, vise à abaisser l'orgueil de l'homme, elle tend à diminuer ce dernier à ses propres yeux.

      L'Éternel aidera Son peuple, Il est son Rédempteur ! Il incitera Jacob à devenir « l'instrument zélé », qui témoignera de l'existence de Sa Personne. Dieu lui donnera les capacités d'accomplir cette tâche, avec un esprit nouveau, actif. Tout cela sera manifesté par l'accomplissement du triomphe de l'évangile de Christ, avec tous Ses fidèles serviteurs, luttant contre la puissance des ténèbres.

      Dieu a accordé tout Son soutien aux enfants d'Israël, Il a répondu à toutes leurs prières. Notre cheminement vers le ciel passe par le désert de ce monde. L'âme de l'homme est en perpétuelle recherche de satisfaction : en fait elle se lasse de ne rien trouver de valable ici-bas, rien qui ne puisse vraiment la contenter. Il existe pourtant une source sûre, capable de « restaurer » cette âme : « celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein », nous annonce Christ, mentionnant l'Esprit, Jean 7:38,39.

      Quand Dieu établit son église ici-bas, dans le « désert », parmi les « Gentils », il y eut un changement remarquable : les épines et les ronces se transformèrent en cèdres, en sapins, et en myrtes ! Toutes ces bénédictions s'adressent aux « pauvres en esprit », à tous ceux qui désirent humblement et ardemment la Lumière, le pardon et la sainteté célestes.

      Dieu, dans Sa Grâce et par Son Esprit, transforme l'âme stérile : il la rend vivante et fructueuse, afin, qu'en retour, elle puisse Le glorifier !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Esaïe 43

      1

      L'amour immuable de Dieu, envers Son peuple. (Esaïe 43:1-7)
      Les idolâtres et les apostats sont dénoncés. (Esaïe 43:8-13)
      La délivrance de Babylone, et la conversion des Gentils. (Esaïe 43:14-21)
      Avertissement à se repentir du péché. (Esaïe 43:22-28)

      La faveur et les bonnes résolutions de l'Éternel envers Son peuple sont de précieux réconforts pour tous les croyants. Toute âme spirituellement régénérée, « n'existe » que grâce à Dieu. Tous ceux qui sont rachetés par le sang de Son Fils, sont « mis à part ». Ceux qui sont sous le bénéfice de la faveur divine n'on aucune raison de craindre qui ou quoi que ce soit.

      Que peuvent représenter tous les délices et tous les trésors égyptiens et éthiopiens, comparés au sang de Christ ? Les véritables croyants sont précieux aux yeux de Dieu ; Son plaisir est en eux, plus qu'en importe quelle autre personne. Bien que les Siens puissent traverser moult épreuves, ils ne craignent, malgré tout, aucun mal, sachant que Dieu est avec eux ; pour cela, ils doivent être « nés de nouveau », « mis à part ». L'Éternel sauve les âmes des « quatre coins » de la terre.

      Le prophète, devant cette vision merveilleuse, est de nouveau encouragé, étant prêt à faire face à toute crainte ou anxiété.

      Esaïe 51

      Aggée 2

      Zacharie 8

      Luc 12

      1 Corinthiens 16

      13 Un chrétien est toujours en danger spirituellement et doit donc sans cesse se tenir sur ses gardes. Il doit être « enraciné » dans la foi que donne l'Évangile, et ne jamais l'abandonner. À l’heure de la tentation, ce n'est que par la foi qu'il pourra résister.

      Les Chrétiens doivent veiller à ce que la charité (l’amour) règne non seulement dans leur cœur, mais resplendisse également dans leur vie. Il y a une grande différence entre la fermeté d’une bonne conduite chrétienne et la fièvre qui pollue et anime le monde.

      Dans ce texte, l'apôtre donne des directives particulières à ceux qui servaient la cause de Christ, parmi les Corinthiens. Ceux qui servent les saints et qui ne veulent être sujets d'aucun reproche, doivent recevoir la déférence et l’amour de leurs frères et sœurs en Christ.

      Les Corinthiens devaient reconnaître la valeur des personnes mentionnées dans ce texte, ainsi que de tous ceux qui travaillaient avec l'apôtre Paul.

      Ephésiens 6

      10 La force spirituelle et le courage sont nécessaires, lors de l’épreuve, comme dans notre combat avec « l’ennemi ».

      Ceux qui sont convaincus de posséder la Grâce véritable, doivent viser à en obtenir toute l’entité : revêtir l'armure de Dieu, celle qu'Il nous a préparée et mise à notre disposition. L'armure chrétienne est faite pour être portée ; nous ne devons pas ôter cette armure tant que notre combat n’a pas cessé, ni achever notre course spirituelle. Ce combat ne consiste pas à s’opposer à des ennemis humains, ni à notre propre nature corrompue : nous avons en fait, affaire à un ennemi qui possède mille manières pour déstabiliser les âmes vulnérables. Les démons nous attaquent dans le domaine qui appartient à notre âme, ils opèrent pour dépraver « l'image » céleste qui réside en notre cœur. Nous devons, par la grâce de Dieu, prendre la résolution de ne pas céder à Satan. Résistez-lui, et il s'enfuira. Si nous lui « ouvrons la voie », il gagnera immanquablement du terrain...

      Si nous doutons de notre état spirituel, de notre Chef, ou de la solidité de notre armure spirituelle, nous donnons l'avantage à Satan.

      Ce texte décrit les différentes parties de l'armure des soldats bien armés, capables de soutenir les assauts les plus violents. rien n’est prévu pour protéger le dos : il n’y a rien pour défendre ceux qui tournent le dos au combat chrétien.

      La vérité, (ou la sincérité), représente la ceinture. Celle-ci entoure tous les autres constituants de notre armure, elle est d’ailleurs mentionnée en premier lieu. Il ne peut pas y avoir de religion sans authenticité. La justice de Christ, dont nous pouvons disposer, est une véritable cuirasse, elle nous protège des flèches du courroux divin. La justice de Christ, implantée en nous, fortifie notre cœur, contre les attaques de Satan.

      Une ferme résolution de lutter, ressemble à des guêtres, destinées à protéger nos jambes ; elle sert à tenir ferme dans notre marche ; dans les sentiers accidentés, les pieds doivent être chaussés avec la « préparation de l'Évangile de paix ».

      L'obéissance, lors de l’épreuve, doit être accompagnée d'une solide connaissance de l'Évangile.

      La foi est un tout, à l'heure de la tentation. Elle est basée sur des éléments invisibles ; elle reçoit Christ et les bienfaits de Sa rédemption : elle est un véritable bouclier, une défense efficace.

      Le diable est le « méchant ». Les tentations virulentes, par lesquelles l'âme est confrontée au « feu de l'enfer », sont de véritables flèches que Satan décoche contre nous. Elles peuvent consister également dans de mauvaises pensées à l’égard de Dieu, voire défaitistes contre nous-mêmes. La foi, qui se base sur la Parole de Dieu et la Grâce de Christ, éteint les flèches enflammées de la tentation.

      Le salut doit représenter notre casque. Une solide espérance du salut et une attente scripturaire de la victoire spirituelle, purifieront l'âme et lui éviteront d'être souillée par Satan.

      Au chrétien revêtu d’une telle armure, pour sa protection dans le combat, l'apôtre recommande une seule arme offensive ; elle est toutefois suffisante : c'est l'épée de l'Esprit, la Parole de Dieu. Elle subjugue et mortifie les mauvais désirs et les pensées blasphématoires qui peuvent s'éveiller en nous ; elle répond à l'incrédulité et aux différentes déviations qui peuvent nous assaillir de l’extérieur. Un texte biblique, relativement simple, bien compris et appliqué en toute droiture, détruit immédiatement toute tentation ou une objection négative, il subjugue l'adversaire le plus redoutable.

      La prière doit fixer toutes les parties de notre armure chrétienne. Différents devoirs existent dans l’exercice de la piété ; dans notre situation ici-bas, nous devons réserver un temps de prière. Une prière « artificielle » n’est guère efficace, cependant celle qui est sobre et fervente apporte toujours un bienfait.

      Nous devons avoir de saintes pensées dans notre cheminement spirituel. Un cœur vain sera inefficace dans la prière. Nous devons intercéder par toutes sortes de prières, en public, comme en privé, dans le secret ; en société ou seul ; solennellement ou spontanément ; une prière doit comporter : - La confession du péché ; - L'appel à la Miséricorde ; - Des actions de grâces pour les bénédictions reçues.

      Nous devons prier par la Grâce de Dieu, avec le Saint-Esprit, dans Sa dépendance et d'après Son enseignement. Nous devons persévérer dans nos demandes spécifiques, sans nous décourager. Nous devons prier, non seulement pour nous-mêmes, mais pour tous les saints.

      Nos ennemis spirituels sont puissants, et nous disposons de peu de force, mais notre Rédempteur est tout-puissant, et grâce à Lui, nous sommes capables de vaincre ! Nous devons donc réagir ! N'avons-nous pas souvent négligé de répondre aux appels divins ?

      Méditons les paroles de ce texte et persévérons dans l’exercice de la prière !

      2 Timothée 2

      1

      L'apôtre exhorte Timothée à persévérer avec assiduité, tel un soldat, un combattant ou un laboureur. (2 Timothée 2:1-7)
      Il l'encourage en l'assurant d'une fin heureuse, en gage de sa fidélité. (2 Timothée 2:8-13)
      Avertissements : fuir les vains discours et les méprises dangereuses. (2 Timothée 2:14-21)
      Il lui demande de fuir les passions de la jeunesse, et de se dresser avec zèle contre l'erreur, avec toutefois une certaine douceur d'esprit. (2 Timothée 2:22-26)

      À mesure que nos épreuves augmentent, nous avons besoin de nous fortifier par ce qui est bien : avoir une foi plus ferme, un zèle déterminé, et un amour solide envers Dieu et Christ. Ceci s'oppose à ce que nous soyons forts par nos propres aptitudes.

      Tous les chrétiens, en particulier les serviteurs de Dieu, doivent être fidèles à leur « Capitaine » (Christ), déterminés à soutenir Sa cause. Tout chrétien doit se soucier de plaire à Christ. Nous devons lutter pour obtenir la maîtrise de nos convoitises et de nos corruptions ; nous ne pouvons pas toutefois espérer de récompenses spirituelles, si nous n'observons pas les règles que nous enseigne la Parole de Dieu.

      Nous devons prendre soin de pratiquer le bien, de manière convenable, pour qu'aucun mal ne puisse nous être reproché. Certaines personnes actives « dépensent » leur zèle en vaine recherche de parures extérieures et de diverses contestations. Celles, par contre qui œuvrent de manière honnête, conformément aux enseignements de la Parole, seront finalement couronnées.

      Si nous voulons avoir des bénéfices, il nous faut travailler ; si nous voulons « gagner le prix », nous devons courir la course. Nous devons accomplir la volonté divine, avant de recevoir Ses promesses, et de ce fait, user de patience. Par nos prières d’intercession, pour que le Seigneur accorde à notre prochain la Grâce de comprendre Sa Parole, nous devons l’exhorter et le solliciter jusqu'à ce qu'il considère positivement le message spirituel qui lui est adressé.

      Hébreux 13

      Apocalypse 21

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