Les connexions par Google sont momentanément indisponibles sur iOS.
Si vous souhaitez retrouver votre compte. Faites “Mot de passe oublié” et renseignez l'adresse email
rattachée au compte Google que vous utilisez pour vous connecter sur le TopChrétien. Cela permettra de définir un mot de passe lié à votre email sur le TopChrétien.
Les connexions par Google sont momentanément indisponibles sur iOS.
Si vous souhaitez retrouver votre compte. Faites “Mot de passe oublié” et renseignez l'adresse email
rattachée au compte Google que vous utilisez pour vous connecter sur le TopChrétien. Cela permettra de définir un mot de passe lié à votre email sur le TopChrétien.
"Let Reuben live, and not die; Nor let his men be few."
Que RUBEN vive, et qu'il ne meure point, encore que ses hommes soient en petit nombre.
Moïse dit encore : « Que la tribu de Ruben vive ! Qu’elle ne disparaisse jamais, même si elle est peu nombreuse ! »
L'énumération commence par Ruben, l'aîné, comme dans Genèse 49.3. Le second en âge, Siméon, est omis en raison du châtiment de dispersion dont Jacob l'avait menacé et en vertu duquel il ne devait avoir ni individualité propre, ni territoire à part en Israël. Lévi devait, d'après la même menace, partager son sort, mais il a été relevé en partie du châtiment annoncé, en vertu d'un choix qui, tout en laissant subsister la forme du châtiment (la dispersion), lui a rendu une place particulière et, à certains égards, la première de toutes. Avant de parler de lui, l'auteur prononce la bénédiction de Juda, auquel avait été transmis par Jacob le droit d'aînesse enlevé à Ruben. A la suite de Juda et de Lévi sont placés les deux fils de Rachel, la bien-aimée, puis les deux fils de Léa, non encore nommés, Zabulon et Issacar ; enfin les quatre fils des servantes. Asser est séparé de Gad, fils comme lui de Zilpa, pour que l'énumération se termine par une bénédiction éclatante qui couronne dignement le tout, celle d'Asser, dont le nom signifie heureux. La réunion de Manassé et d'Ephraïm en une tribu unique aurait réduit le nombre des tribus à dix, si Lévi, ordinairement mis en dehors, ne reprenait ici sa place. Quant à l'omission de la douzième tribu (Siméon), voir plus haut.
L'ordre dans lequel sont bénies les tribus d'Israël,
n'est pas le même que celui où elles ont été citées ailleurs.
Les bénédictions destinées à Juda peuvent s'adresser
entièrement à cette tribu, ou à David, qui était, en quelque
sorte, une image de Christ. Moïse bénit aussi grandement Lévi.
Vivre avec Dieu, devrait être l'objet de tous nos désirs,
quelle que soit l'opinion des hommes à ce sujet,
2Corinthiens 5:9. Cette prière est une prophétie : Dieu
veillera, en effet, à garder ce type de ministère, dans
l'église, jusqu'à la fin du temps de grâce. La tribu de
Benjamin bénéficia de l'héritage accordé sur le mont Sion.
Le fait d'être placé « près de l'Éternel », est un précieux
avantage, qui ne doit surtout pas être échangé contre les
attraits ou les fantaisies d'ici-bas. Nous devrions recevoir
avec reconnaissance les bénédictions qui nous sont octroyées en
ce monde, saison après saison. Mais les dons merveilleux qui
nous parviennent du « Père des Lumières », le « Soleil de
Droiture », et du Saint-Esprit, véritable « pluie » qui procure
des fruits, sont infiniment plus précieux, ils sont le
témoignage de l'Amour divin. Les « plus précieux des produits »
demandés dans la prière de ce passage, sont des images des
bénédictions spirituelles que le ciel peut nous offrir, en
Christ : les dons spirituels, les différentes grâces et le
réconfort que nous accorde le Saint-Esprit. Quand Moïse pria
pour que la volonté de Celui qui se trouvait dans le buisson
ardent, soit accomplie, il se référait à l'Alliance que
l'Éternel avait faite avec Son peuple, en laquelle toute notre
espérance spirituelle doit être fondée.
La Providence divine fait concourir tous les événements, pour
que les hommes trouvent une habitation et exercent un métier
qui soit au service des autres. Quelles que soient notre place
et notre occupation, nous avons le devoir de discerner la
volonté divine. Ne cherchons pas seulement à inciter les autres
à servir Dieu, soyons surtout attentifs à abonder en zèle dans
notre engagement pour Lui !
La bénédiction de Nephtali : la faveur divine est la seule qui
puisse satisfaire l'âme. Heureux ceux qui possèdent une telle
faveur et qui reconnaissent avoir en elle tout ce dont ils ont
besoin, sans désirer quoi que ce soit de plus !
En cliquant sur le bouton « Accepter tous les cookies », vous acceptez que TopChrétien
utilise des traceurs (comme des cookies ou l'identifiant unique de votre compte utilisateur) et traite vos données à caractère personnel (comme vos données de navigation et les informations renseignées dans votre compte utilisateur) dans les buts suivants :
Mesurer l'audience de notre service
Vous permettre d'utiliser des services tiers tels que de la vidéo, des cartes du monde…
Vous permettre d'entrer en contact avec notre service de relation aux utilisateurs.
J'autorise les cookies pour les services suivants : Analyse de l'utilisation du site :Partage des articles sur les réseaux sociaux :Assistance aux utilisateurs :Systèmes de paiement :Système d'affichage des cartes : :Services vidéo :
Si vous n'activez pas certains cookies, certaines fonctionnalités du site pourraient ne pas fonctionner.
6 à 25 Les bénédictions.
L'énumération commence par Ruben, l'aîné, comme dans Genèse 49.3. Le second en âge, Siméon, est omis en raison du châtiment de dispersion dont Jacob l'avait menacé et en vertu duquel il ne devait avoir ni individualité propre, ni territoire à part en Israël. Lévi devait, d'après la même menace, partager son sort, mais il a été relevé en partie du châtiment annoncé, en vertu d'un choix qui, tout en laissant subsister la forme du châtiment (la dispersion), lui a rendu une place particulière et, à certains égards, la première de toutes. Avant de parler de lui, l'auteur prononce la bénédiction de Juda, auquel avait été transmis par Jacob le droit d'aînesse enlevé à Ruben. A la suite de Juda et de Lévi sont placés les deux fils de Rachel, la bien-aimée, puis les deux fils de Léa, non encore nommés, Zabulon et Issacar ; enfin les quatre fils des servantes. Asser est séparé de Gad, fils comme lui de Zilpa, pour que l'énumération se termine par une bénédiction éclatante qui couronne dignement le tout, celle d'Asser, dont le nom signifie heureux. La réunion de Manassé et d'Ephraïm en une tribu unique aurait réduit le nombre des tribus à dix, si Lévi, ordinairement mis en dehors, ne reprenait ici sa place. Quant à l'omission de la douzième tribu (Siméon), voir plus haut.
Les bénédictions destinées à Juda peuvent s'adresser entièrement à cette tribu, ou à David, qui était, en quelque sorte, une image de Christ. Moïse bénit aussi grandement Lévi.
Vivre avec Dieu, devrait être l'objet de tous nos désirs, quelle que soit l'opinion des hommes à ce sujet, 2Corinthiens 5:9. Cette prière est une prophétie : Dieu veillera, en effet, à garder ce type de ministère, dans l'église, jusqu'à la fin du temps de grâce. La tribu de Benjamin bénéficia de l'héritage accordé sur le mont Sion.
Le fait d'être placé « près de l'Éternel », est un précieux avantage, qui ne doit surtout pas être échangé contre les attraits ou les fantaisies d'ici-bas. Nous devrions recevoir avec reconnaissance les bénédictions qui nous sont octroyées en ce monde, saison après saison. Mais les dons merveilleux qui nous parviennent du « Père des Lumières », le « Soleil de Droiture », et du Saint-Esprit, véritable « pluie » qui procure des fruits, sont infiniment plus précieux, ils sont le témoignage de l'Amour divin. Les « plus précieux des produits » demandés dans la prière de ce passage, sont des images des bénédictions spirituelles que le ciel peut nous offrir, en Christ : les dons spirituels, les différentes grâces et le réconfort que nous accorde le Saint-Esprit. Quand Moïse pria pour que la volonté de Celui qui se trouvait dans le buisson ardent, soit accomplie, il se référait à l'Alliance que l'Éternel avait faite avec Son peuple, en laquelle toute notre espérance spirituelle doit être fondée.
La Providence divine fait concourir tous les événements, pour que les hommes trouvent une habitation et exercent un métier qui soit au service des autres. Quelles que soient notre place et notre occupation, nous avons le devoir de discerner la volonté divine. Ne cherchons pas seulement à inciter les autres à servir Dieu, soyons surtout attentifs à abonder en zèle dans notre engagement pour Lui !
La bénédiction de Nephtali : la faveur divine est la seule qui puisse satisfaire l'âme. Heureux ceux qui possèdent une telle faveur et qui reconnaissent avoir en elle tout ce dont ils ont besoin, sans désirer quoi que ce soit de plus !