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ENFANT DE DIEU

Définition biblique de Enfant de Dieu :

Les termes d' « enfant de Dieu » et de « fils de Dieu » sont employés indifféremment dans les divers livres de la Bible, quoique, en particulier dans le N.T., le terme de « fils » semble bien marquer une nuance de filialité d'un degré supérieur.

Sommaire

I. DANS l'A.T.

1. Le point de départ : la paternité divine

« Dieu dit : Faisons l'homme à notre image et à notre ressemblance » (Ge 1:26). Il y a ici une volonté expresse du Créateur de faire du nouveau dans sa création, et Ge 2:7 insiste : l'homme n'est plus seulement le produit d'une parole de Jéhovah, mais une création particulière, le travail des mains mêmes du Créateur. Là déjà se trouve la notion d'un Dieu Père de tous les hommes. L'homme a reçu de Dieu le « souffle de vie » qui fait de lui un être unique, spécial parmi les créatures. Cette affirmation, d'ailleurs, se retrouve dans certaines données des religions de l'Egypte et des mythologies païennes, mais jamais avec ce relief saisissant. Cette notion de la paternité de Dieu envers tous les hommes restera pourtant incomplète et voilée dans l'A. T, (tout entier dominé par la notion d'une paternité appliquée à la nation juive) ; mais elle percera malgré tout dans certains textes jalonnant une révélation qui s'épanouira en pleine lumière dans le N.T. (cf. Mal 2:10 : « N'avons-nous pas tous un même père ? Un même Dieu ne nous a-t-il pas tous créés ? »)

2. Israël, l'enfant de Dieu

Voilà la notion que nous retrouvons à toutes les pages de l'A.T.

(a) L'Éternel reste bien, aux yeux des Juifs, le Créateur de tous les hommes ; mais, parmi toutes ses créatures, il est, dans un sens unique, le Père du peuple qu'il a élu, adopté. C'est Israël qui est son enfant. « Ainsi a dit l'Éternel : Israël est mon fils, mon premier-né » (Ex 4:22). « Quand Israël était enfant, je l'avais pris en affection, et j'appelai mon fils hors d'Egypte » (Os 11:1). Dans De 14:1-2, l'adoption d'Israël comme collectivité est nettement marquée : « Vous êtes les enfants de l'Éternel votre Dieu... car tu es un peuple consacré à l'Éternel, ton Dieu, et l'Éternel t'a choisi parmi tous les peuples qui sont sur la face de la terre pour que tu sois son peuple particulier. » Nous retrouvons cette idée de l'adoption dans le cantique de Moïse : « N'est-il pas ton Père, ton Créateur ? N'est-ce pas lui qui t'a formé et affermi ? » (De 32:6-15).

(b) L'alliance entre le Père et son peuple est toute morale et conditionnelle. Elle peut être rompue du fait de l'infidélité d'Israël : « ... J'ai nourri des enfants et je les ai vus grandir, mais ils se sont révoltés contre moi » (Esa 1:2, cf. Jer 3:19 et suivant). Os 1:9 précise que l'alliance entre Israël et son Père n'est pas inéluctable : « Et l'Éternel dit : Appelle-le Lo-Ammi (celui qui n'est pas mon peuple), car vous n'êtes plus mon peuple et je ne suis plus votre Dieu. » Qu'Israël prenne garde, car les païens eux-mêmes peuvent entrer dans l'alliance de l'Éternel (De 32:21, cf. Ro 8:12,13,19).

(c) Le Père s'irrite contre ses enfants et les châtie. Les livres des prophètes sont remplis des cris d'indignation de l'Éternel contre son peuple. Il y a là tout l'amour véhément du Père pour ses enfants rebelles. Il menace, il châtie, mais il atteint parfois aux faiblesses d'un père humain. Il se repent d'avoir menacé, et, après avoir menacé, il crie à ses enfants son amour dont son indignation même est comme imprégnée. (N'oublions d'ailleurs pas que c'est à travers l'âme des prophètes que Dieu se manifeste et que chaque prophète conserve dans ses messages, même les plus fidèles, la couleur de son propre tempérament.) « Malheur, dit l'Éternel, aux enfants rebelles qui forment des desseins en dehors de moi ! » (Esa 30:1). « L'Éternel l'a vu, et dans son indignation il a rejeté ses fils et ses filles. Il a dit : Je leur cacherai ma face... car ils sont des enfants auxquels on ne peut se fier » (De 32:19,20, cf. De 8:5, Ps 82:6,7).

(d) Le Père appelle ses enfants à revenir à lui. C'est là toute l'histoire d'Israël. Le Christ n'aura plus tard qu'à l'appliquer à l'âme individuelle pour en tirer la parabole de l'enfant prodigue : hérédité divine de l'enfant ; son infidélité, son repentir et son retour au Père, voilà déjà bien les divers éléments des relations entre le Père et son fils. Par la voix des prophètes le Père poursuit ses enfants de ses appels véhéments, tantôt terrible dans sa colère dramatique, dans ses reproches (Esa 1:1-17, Jer 7:1-16), tantôt tendre comme une mère et plein de miséricorde : (Esa 1:18) « Convertissez-vous, enfants rebelles, dit l'Éternel » (Jer 3:14).

(e) Ses enfants se repentent et reviennent à lui (Esa 59:9-15 64:1). Leurs plaintes s'exhalent parfois en gémissements. « Cependant, ô Éternel, tu es notre Père. Nous sommes l'argile, et toi, tu es Celui qui nous a formés ; nous sommes tous l'oeuvre de tes mains » (Esa 64:8).

(f) Le Père a pitié de ses enfants. Il les console et les sauve. Un des textes les plus émouvants est certainement Esa 49:15 : « La femme peut-elle oublier l'enfant qu'elle allaite, et n'avoir pas pitié du fils de ses entrailles ? Même si elle venait à l'oublier, moi, je ne t'oublierai pas ! ». (cf. Jer 31:20) Quel amour immense pour ses enfants dans Esa 45:1,13 et dans Esa 43:6 : « Je dirai au septentrion : « Donne-les », et au midi : « Ne les retiens pas ! » Ramène de loin mes fils, et de l'extrémité de la terre mes filles ! ». (cf. Os 1:10) L'amour paternel ne rayonne-t-il pas dans ce mot : « L'Éternel, ton Dieu, t'a porté comme un homme porte son fils, dans tout le chemin que vous avez fait » ? (De 1:31)

3. La paternité spirituelle dans l'A. T, appliquée à l'âme individuelle

Cette notion qui s'épanouira dans les pages du N.T. surgit parfois de la piété des prophètes ou des psalmistes, et les liens qui unissent le Père des cieux à ses enfants apparaissent comme indépendants des liens nationaux. « C'est toi qui es notre Père ; quand même Abraham ne saurait rien de nous, et quand Israël ne nous connaîtrait pas, toi, ô Éternel, tu es notre Père... tel fut ton nom de tout temps » (Esa 63:16). « C'est lui qui a formé le coeur de chacun d'eux », --il s'agit des hommes (Ps 33:15).

Les malheurs d'Israël, à l'heure de l'exil, en lui supprimant momentanément toute existence nationale, ont manifesté clairement à la piété juive que l'Éternel n'était pas lié complètement aux destinées de son peuple, et qu'en dehors de ce peuple, il restait le Père de tous ses fils spirituels (Esa 63:19). Dans Ps 89:27, David s'écrie : « Tu es mon Père, mon Dieu, mon rocher protecteur » ; et, à propos de son fils Salomon, l'Éternel dit à David : « Il sera pour moi un fils, et je serai pour lui un père » (1Ch 22:10). Avec le Ps 103:13, nous atteignons presque à la révélation évangélique, car ce passage s'applique bien, non plus à une nation politique privilégiée, mais à tous ceux qui font partie du peuple spirituel de Dieu : « Comme un père est ému de compassion envers ses enfants, l'Éternel est ému de compassion envers ceux qui le craignent. » Le livre des Psaumes est tout entier traversé par l'expérience d'un Dieu proche et personnel, et si le terme de « Père » n'est pas souvent mentionné, sous les mots touchants qu'emploie le psalmiste pour exprimer son amour et sa bonté (voir Hasidéens, 2) on découvre le sentiment de son intimité avec son Dieu : « J'impose à mon âme le calme et le silence, comme l'enfant gorgé de lait dort tranquille près de sa mère » (Ps 131:2).

II. DANS LE N.T.

Entre la révélation de l'A. T, et celle du N.T., sur ce point spécial de la notion d'enfant de Dieu, il s'est passé quelque chose. Entre les derniers petits prophètes et le message de Jésus il y a un hiatus. Les livres apocryphes ne le combleraient pas, n'apportant rien de nouveau dans ce domaine. Une expérience unique par son caractère comme par son intensité et sa profondeur peut seule expliquer la révélation nouvelle. Une personnalité infiniment riche et puissante, dont l'autorité ne se comprend que par sa nature divine, a passé par là. Entre les écrits de l'A. T, et du N.T., il y a la vie intime, la révélation surnaturelle de Jésus. Après lui, la figure de Dieu, à bien des égards, n'est plus la même. Certains traits ont presque disparu qui jalonnaient les pages de l'A.T., tandis que des traits nouveaux ressortent avec un puissant relief.

La « Parole », éparse dans le coeur des prophètes et des chantres d'Israël, s'est faite « chair » ; et la divinité a pris un nom presque nouveau, tant ce nom ressort enrichi de l'expérience de Jésus. Dieu n'est plus le « Tout-Puissant », le « Très-Haut », le « Dieu d'Israël » (quoique nous retrouvions certains de ces termes dans le N.T. : Lu 6:35, Ac 7:48, Apoc, 11:17 21:22). Le nom qui sans cesse revient et rayonne, en particulier dans les quatre évangiles, c'est le nom de « Père ». Sur aucun point le N.T. n'a innové autant que dans ce domaine (voir les art. sur Dieu).

Lorsque Jésus s'adresse à Dieu, le terme de Père est tout naturellement celui qui lui monte du coeur aux lèvres : « Je te loue, ô Père, Seigneur du ciel et de la terre » (Mt 11:25). « Combien plus votre Père céleste donnera-t-il le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent ! » (Lu 11:3). La prière laissée par Jésus à ses disciples comme le message le plus important de tous ne commence-t-elle pas par le terme familier : « Notre Père qui es aux cieux » (Mt 6:9) ; et lorsque les heures de la Passion sonneront, ne sera-ce pas toujours le mot de confiance filiale qui reviendra sur les lèvres de l'homme de douleur : « Mon Père, s'il est possible que cette coupe passe loin de moi » (Mt 26:39), « Père, je remets mon esprit entre tes mains » (Lu 23:46).

1. Les enfants de Dieu, dans les évangiles synoptiques

(a) La grande nouveauté, c'est avant tout que le terme d' « enfant de Dieu » ne s'applique plus que très rarement à une collectivité comme le peuple d'Israël, mais désigne la créature humaine prise dans son individualité. Tout ce qui s'appliquait dans l'A. T, au peuple élu s'applique dans le N.T. à l'âme individuelle de l'enfant de Dieu. C'est pourquoi nous-mêmes, par une sorte de transposition psychologique, nous nous appliquons en lisant l'A. T, les avertissements, les reproches et les paroles de pardon adressés par l'Éternel à son peuple (par ex. Esa 1:2,19).

(b) La paternité de Dieu devient uniquement un fait d'ordre spirituel. Jean-Baptiste l'avait déjà nettement marqué : « N'allez pas dire en vous-mêmes : Nous avons Abraham pour père ; car je vous dis que de ces pierres Dieu peut faire naître des enfants à Abraham » (Mt 3:9). Dans un sens, tous les hommes sont bien enfants de Dieu : « Il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons » (Mt 5:45) ; mais cette filialité qui relie l'homme à Dieu n'est en quelque sorte que potentielle, faite de possibilités et d'espérances. Il faut, pour la réaliser, qu'il y ait de la part de l'enfant de Dieu un choix fait, une « nouvelle naissance » (Jn 3:3), une vie conforme à la volonté du Père : « Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent, afin que vous soyez les fils de votre Père » (Mt 5:44 et suivant). Ces conditions se retrouvent partout, dans la lettre comme dans l'esprit de l'Évangile. Il faut être parfait, « comme votre Père céleste est parfait » (Mt 5:48). Pour être « fils de Dieu » il faut procurer la paix (Mt 5:9). Il faut pardonner à son prochain : « Si vous ne pardonnez pas aux hommes leurs fautes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus les vôtres » (Mt 6:15).

(c) Parmi toutes les pages des évangiles, celle qui représente peut-être l'effort le plus grand de Jésus pour nous dévoiler le secret du coeur de Dieu et définir ses relations avec sa créature pécheresse, c'est celle de l'histoire de l'enfant prodigue (Lu 15:11,32) ; tout naturellement, Jésus y résume la figure de Dieu en celle du « Père » qui aime encore son enfant malgré ses infidélités, et qui attend son cri de repentance angoissée et son retour à la maison paternelle pour lui ouvrir toutes grandes les portes de son coeur.

(d) Jésus accepte les suites logiques de sa notion du Père céleste. Le Père protège ses enfants. Il est leur Providence. Pas plus que les oiseaux du ciel ils ne doivent s'inquiéter : « Votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu'eux ? » (Mt 6:26). S'inquiéter des vêtements ? « Votre Père sait bien que vous avez besoin de tout cela » (Mt 6:32). Craindre la persécution ? « Les cheveux mêmes de votre tête sont tous comptés » (Mt 10:30).

2. La paternité divine, dans l'évangile de Jean

(a) Cet évangile ne fait que mettre en lumière ce que celui de Matthieu avait déjà marqué dans 11 27 : (parallèle Lu 10:22) « Nul ne connaît le Fils, si ce n'est le Père, et nul ne connaît le Père, si ce n'est le Fils, et celui auquel le Fils aura voulu le révéler. » On ne peut s'expliquer l'enrichissement illimité de la notion d'enfant de Dieu dans les synoptiques que par l'expérience intime, fondamentale de Jésus telle qu'elle ressort du quatrième évangile. Ici la filialité ne connaît plus aucune restriction, elle touche à l'absolu : « Comme le Père a la vie en lui-même, il a aussi donné au Fils d'avoir la vie en lui-même » (Jn 5:26). Et encore : « Ce n'est pas que personne ait vu le Père, si ce n'est celui qui vient de Dieu ; celui-là a vu le Père » (Jn 6:46). Et encore : « Celui qui m'a vu, a vu le Père » (Jn 14:9), et surtout le verset 10 : « Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ? » Il n'appartient pas à notre propos de parler des rapports métaphysiques que sous-entend cette expérience de la paternité de Dieu faite par Jésus. Nous nous contentons d'insister ici sur cette expérience elle-même, dont la puissance a rayonné à travers toutes les paroles et les actes du « Fils de Dieu ». « La Parole a été faite chair » (Jn 1:14). « A tous ceux qui l'ont reçue, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à tous ceux... qui sont nés de Dieu » (Jn 1:12).

(b) Le quatrième évangile n'envisage pas la paternité de Dieu comme jouant seulement dans l'âme de Jésus. « Les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité : ce sont là les adorateurs que le Père demande » (Jn 4:23). « Le Père » est bien, pour cet évangile comme pour les synoptiques, le vrai titre de Dieu.

(c) Le Christ ressuscité ne nous sépare pas de sa propre révélation : « Dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu » (Jn 20:17).

(d) Et pourtant, la filialité de l'homme envers Dieu n'agit qu'au travers de la personne de Jésus : « En ce jour-là vous reconnaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous » (Jn 14:20). Et plus explicitement encore : « Nul ne vient au Père que par moi » (Jn 14:6). Jésus est le lieu sacré de la rencontre entre Dieu et ses enfants, et c'est par une sorte de procréation spirituelle, par une nouvelle naissance, que s'opère cette adoption paternelle. « Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu » (Jn 3:3). Quelle joie dans ce message, qui fait de pauvres pécheurs des enfants de la Divinité : « Quel amour le Père nous a témoigné que nous soyons appelés « enfants de Dieu », et nous le sommes' ! » (1Jn 3:1).

3. Les enfants de Dieu, d'après saint Paul

(a) Chez lui aussi se retrouve l'idée de la paternité de Dieu dans son sens le plus large : « C'est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l'être, comme l'ont dit quelques-uns de vos poètes : Nous sommes aussi de sa race » (Ac 17:28). Et encore : « Pour nous, nous avons un seul Dieu, le Père, de qui procèdent toutes choses » (1Co 8:6, cf. 2Co 1:3). Mais, comme Jésus lui-même l'avait fait, Paul insiste sur les conditions à remplir pour être un véritable enfant de Dieu. Il le fait le plus souvent à travers la notion de l'adoption. Nous sommes les enfants de Dieu originairement ; mais tous, par la faute d'Adam, nous avons perdu notre lien de filialité que nous ne pouvons recouvrer que par l'adoption de Dieu en Jésus-Christ. La postérité de Dieu, ce n'est plus le peuple juif mais le peuple des rachetés de Jésus-Christ : « Ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu, mais ce sont les enfants de la promesse qui sont considérés comme la postérité d'Abraham » (Ro 9:8). « Vous êtes tous fils de Dieu, par la foi en Jésus-Christ » (Ga 3:26). Et aussi ce texte bien significatif : « Dieu a envoyé son Fils... afin de racheter ceux qui étaient sous la loi, et de nous faire obtenir l'adoption filiale ; et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans vos coeurs l'Esprit de son Fils, lequel crie : Abba, c'est-à-dire Père » (Ga 4:5,6, cf. Ro 8:15).

(b) Cette « adoption divine » n'est d'ailleurs encore, aux yeux du grand penseur, qui vit sous l'angle de l'éternité, qu'un début. D'après Ro 8:26-30, l'enfant de Dieu est comme saisi par un engrenage rédempteur, et ce que l'apôtre aperçoit au bout de cette évolution, comme couronnement éternel du salut, c'est que les enfants de Dieu seront manifestés dans la « glorieuse liberté des fils de Dieu » (Ro 8:21). C'est du haut de cette cime spirituelle que l'apôtre fait entendre son glorieux chant de victoire de Ro 8:31-39.

4. Dans les épîtres non pauliniennes, nous trouvons, quoique sous une forme moins complète, les mêmes affirmations de la paternité de Dieu vis-à-vis des hommes (1Pi 2:2, Jas 1:17 et suivant, Heb 12:4,13).

5. L'Apocalypse, sans désigner du terme d' « enfants de Dieu » les rachetés de Jésus-Christ, décrit la vision des temps à venir où les enfants de Dieu chantent ses louanges dans le ciel : « Celui qui vaincra, héritera ces choses ; et je serai son Dieu, et il sera mon fils » (Ap 21:7). Fk P.

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      Genèse 1

      26 Dieu dit enfin : « Faisons les êtres humains ; qu’ils soient comme une image de nous, une image vraiment ressemblante ! Qu’ils soient les maîtres des poissons dans la mer, des oiseaux dans le ciel et sur la terre, des gros animaux et des petites bêtes qui se meuvent au ras du sol ! »

      Genèse 2

      7 Le Seigneur Dieu prit de la poussière du sol et en façonna un être humain. Puis il lui insuffla dans les narines le souffle de vie, et cet être humain devint vivant.

      Exode 4

      22 Alors tu lui diras : Voici ce que déclare le Seigneur : “Le peuple d’Israël est mon fils, mon fils aîné.

      Lévitique 1

      10 « Si quelqu’un offre en sacrifice complet une tête de petit bétail, il doit prendre un bélier ou un bouc sans défaut :

      1 Chroniques 22

      10 C’est lui qui me construira un temple. Il sera un fils pour moi et je serai un père pour lui. Je rendrai inébranlable sa royauté sur Israël.”

      Psaumes 33

      15 Lui qui leur a créé à tous intelligence et volonté, il prend garde à ce qu’ils font.

      Psaumes 82

      6 Je le dis bien : Vous êtes des dieux, vous tous, vous êtes de la famille du Dieu très-haut.
      7 Pourtant, comme les humains, vous devrez mourir, comme un simple ministre, vous serez déchus. »

      Psaumes 89

      27 Et voici comment il s’adressera à moi : “Tu es mon Père, tu es mon Dieu, le rocher où je trouve le salut”.

      Psaumes 103

      13 Le Seigneur aime ses fidèles comme un père aime ses enfants.

      Psaumes 131

      2 Au contraire, je reste calme et tranquille, comme un jeune enfant près de sa mère. Comme cet enfant, je suis apaisé.

      Esaïe 1

      1 Révélation concernant le royaume de Juda et la ville de Jérusalem. Ésaïe, fils d’Amots, la reçut du Seigneur à l’époque des rois Ozias, Yotam, Ahaz et Ézékias de Juda.
      2 Ciel, écoute, terre, prête attention, c’est le Seigneur qui parle : « J’ai élevé des enfants pour en faire des adultes, mais ils se sont révoltés contre moi.
      3 Un bœuf connaît son propriétaire, et un âne le maître qui lui donne à manger. Mais Israël ne veut rien savoir, mon peuple ne comprend rien. »
      4 Quel malheur, nation coupable, peuple chargé de crimes, race de malfaiteurs, enfants vicieux que vous êtes ! Vous avez abandonné le Seigneur, vous avez dédaigné l’unique vrai Dieu, le Dieu d’Israël, vous lui avez tourné le dos.
      5 Où voulez-vous qu’il vous frappe encore, vous qui persistez dans la révolte ? La tête est couverte de blessures, le cœur tout entier est malade.
      6 Des pieds à la tête plus rien n’est intact. Tout n’est que blessures, traces de coups et plaies ouvertes, que personne n’a nettoyées, ni pansées, ni soignées à l’huile.
      7 Votre pays est comme un désert sinistre, vos villes sont incendiées. Sous vos yeux, des étrangers dévorent les produits de votre sol ; il n’en reste plus rien, comme si Dieu avait infligé ce bouleversement à des étrangers.
      8 Seule Sion subsiste comme une hutte dans une vigne, comme une cabane dans un champ de concombres, comme une ville assiégée.
      9 Si le Seigneur de l’univers ne nous avait pas laissé quelques rescapés, nous serions comme la ville de Sodome, dans le même état que Gomorrhe.
      10 Vous, dirigeants corrompus, dignes de Sodome, écoutez bien ce que dit le Seigneur. Et vous, peuple perverti, digne de Gomorrhe, soyez attentifs aux instructions de notre Dieu :
      11 « Je n’ai rien à faire de vos nombreux sacrifices, déclare le Seigneur. J’en ai assez des béliers consumés par le feu et de la graisse des veaux. Je n’éprouve aucun plaisir au sang des taureaux, des agneaux et des boucs.
      12 Vous venez vous présenter devant moi, mais vous ai-je demandé de piétiner les cours de mon temple ?
      13 Cessez de m’apporter des offrandes, c’est inutile ; cessez de m’offrir la fumée des sacrifices, j’en ai horreur ; cessez vos célébrations de nouvelles lunes, de sabbats ou de fêtes solennelles, je n’admets pas un culte mêlé au crime,
      14 je déteste vos fêtes de nouvelle lune, vos cérémonies sont un fardeau pour moi, je suis fatigué de les supporter.
      15 Quand vous étendez les mains pour prier, je me bouche les yeux pour ne pas voir. Vous avez beau faire prière sur prière, je refuse d’écouter, car vos mains sont couvertes de sang.
      16 Nettoyez-vous, purifiez-vous, écartez de ma vue vos mauvaises actions, cessez de mal faire.
      17 Apprenez à bien faire, préoccupez-vous du droit des gens, tirez d’affaire l’opprimé, rendez justice à l’orphelin, défendez la cause de la veuve. »
      18 « Venez donc, dit le Seigneur, nous allons nous expliquer. Si vos crimes ont la teinte du sang, peuvent-ils devenir blancs comme neige ? S’ils sont rouge vermillon, peuvent-ils prendre la blancheur de la laine ?
      19 Si vous êtes bien disposés, si vous m’écoutez, vous pourrez vous nourrir des bons produits du pays.

      Esaïe 30

      1 Quel malheur, enfants rebelles, déclare le Seigneur ! Vous élaborez des plans, ils ne viennent pas de moi ; vous concluez des alliances, je ne les ai pas inspirées. Vous accumulez ainsi une faute après l’autre.

      Esaïe 43

      6 Je dis au Nord : “Rends-les donc”, et au Sud : “Ne les retiens pas”. Ramenez mes fils de là-bas, et mes filles du bout du monde ;

      Esaïe 45

      1 Voici ce que le Seigneur déclare à Cyrus, l’homme qu’il a consacré : « Je te donne mon appui, pour te soumettre les nations, pour ôter aux rois leur pouvoir et ouvrir devant toi les portes verrouillées des villes.
      13 Par fidélité à moi-même c’est moi aussi qui ai mis en route cet homme que vous savez. Je faciliterai tout ce qu’il entreprendra. C’est lui qui rebâtira Jérusalem, ma ville, et laissera repartir les déportés qui m’appartiennent. Et cela sans exiger un sou, dit le Seigneur de l’univers ! »

      Esaïe 49

      15 Mais le Seigneur répond : Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite ? cesse-t-elle d’aimer l’enfant qu’elle a porté ? A supposer qu’elle l’oublie, moi, je ne t’oublie pas :

      Esaïe 59

      9 Voilà pourquoi Dieu met du temps à intervenir pour nous et repousse à plus tard le salut promis. Nous espérions voir la lumière, mais c’est partout l’obscurité. Nous attendions que le jour se lève, mais nous marchons dans la nuit noire.
      10 Nous avançons en tâtonnant comme un aveugle près d’un mur, nous hésitons comme un homme qui ne voit pas où il va. En plein midi, nous trébuchons comme dans la nuit la plus noire. Nous sommes en bonne santé, mais ne valons pas mieux que des morts.
      11 Nous laissons tous échapper des grognements d’ours ou des cris plaintifs de colombe. Nous espérions que Dieu interviendrait, mais rien. Nous attendions le salut, mais il reste loin de nous.
      12 En effet, bien souvent, Seigneur, nous t’avons désobéi. Nos fautes nous accusent, nos révoltes collent à nous, nous savons bien quels sont nos torts :
      13 nous t’avons désobéi, nous t’avons trahi, nous avons refusé de te suivre, toi notre Dieu. Nous ne parlons que d’opprimer ou de nous révolter. Ce que nous portons en nous, ce que nous avons à l’esprit n’est finalement que mensonge.
      14 Ainsi le droit est en recul, la justice reste inaccessible. Sur la place du marché la bonne foi trébuche, l’honnêteté n’a plus cours.
      15 Oui, la bonne foi a disparu, et celui qui veut rester honnête se fait dépouiller à tous les coups. Le Seigneur a bien vu tout ce qui se passait. Il n’a pas accepté que le droit soit foulé aux pieds.

      Esaïe 63

      16 Car c’est toi qui es notre père, Abraham, notre ancêtre, nous ignore, et Jacob ne nous connaît pas ; mais toi, Seigneur, tu es notre père, toi qu’on nomme depuis toujours “notre Libérateur”.
      19 Il y a si longtemps que nous ne sommes plus le peuple sur lequel tu règnes, le peuple qui porte ton nom ! Ah ! si tu déchirais le ciel, et si tu descendais ! Devant toi les montagnes seraient ébranlées !

      Esaïe 64

      1 Tu serais comme un feu embrasant des brindilles ou mettant l’eau en ébullition. Et tu ferais savoir ainsi à tous tes adversaires quel Dieu tu es. Devant toi, les nations seraient prises de panique,
      8 Seigneur, ne sois pas trop irrité, ne te rappelle pas sans cesse nos torts. Veuille considérer que nous sommes tous ton peuple.

      Jérémie 3

      14 « Revenez, enfants volages, déclare le Seigneur, car c’est moi qui suis votre maître ! Je prendrai l’un de vous ici, dans telle ville, deux autres là, dans tel village, et je vous ramènerai à Sion.
      19 « Je me disais : Ah, comme j’aimerais te considérer comme un de mes fils, et te donner un pays de rêve, la plus belle propriété du monde ! Je pensais : Tu m’appelleras “Mon père”, tu ne te détourneras plus de moi.

      Jérémie 7

      1 Jérémie reçut du Seigneur cette parole :
      2 Place-toi à l’entrée du temple et proclames-y le message que voici : « Vous tous, gens de Juda qui passez par cette entrée pour participer au culte, écoutez ce que dit le Seigneur.
      3 Voici donc ce que déclare le Seigneur de l’univers, le Dieu d’Israël : Conduisez-vous et agissez comme il convient ; alors je vous laisserai vivre dans ce pays.
      4 Ne croyez pas à ce slogan trompeur : “C’est ici le temple où demeure le Seigneur, le temple du Seigneur, oui, le temple du Seigneur.”
      5 Conduisez-vous et agissez plutôt comme il convient : rendez une vraie justice entre deux hommes en procès,
      6 renoncez à profiter de la faiblesse de l’émigré, de l’orphelin ou de la veuve, cessez de mettre à mort ici même des innocents, et de vous attacher, pour votre malheur, à des dieux étrangers.
      7 Alors je vous laisserai vivre ici dans ce pays que j’ai donné à vos ancêtres depuis toujours et pour toujours.
      8 « Mais vous vous fiez à des slogans trompeurs et sans valeur.
      9 Quoi ! Vous commettez des vols, des meurtres, des adultères, vous faites de faux serments, vous offrez des sacrifices à Baal, vous vous attachez à des dieux étrangers, avec lesquels vous n’avez rien de commun.
      10 Puis vous venez vous présenter devant moi, dans ce temple qui m’est consacré, et vous déclarez : “Nous voilà sauvés !” et cela pour continuer à commettre ces horreurs !
      11 Ce temple qui m’est consacré, le prenez-vous pour une caverne de voleurs ? C’est pourtant bien ce que je vois, déclare le Seigneur.
      12 « Allez donc au lieu saint que j’avais à Silo où se trouvait autrefois ma résidence, et regardez la ruine que j’en ai faite à cause des méfaits d’Israël, mon peuple.
      13 Eh bien, déclare le Seigneur, vous avez agi aussi mal. Je vous l’ai dit et n’ai cessé de vous le répéter sans que vous écoutiez ; je vous ai appelés sans que vous répondiez.
      14 C’est pourquoi ce temple qui m’est consacré, ce temple dans lequel vous mettez votre confiance, ce lieu que j’ai donné à vos ancêtres et à vous, je vais le traiter comme j’ai traité Silo.
      15 Et je vous rejetterai loin de moi, comme j’ai rejeté vos frères, les gens d’Éfraïm. »
      16 « Toi, Jérémie, ne m’adresse aucune demande en faveur de ce peuple, ne fais monter vers moi ni prière ni supplication pour eux. N’insiste pas auprès de moi, car je ne t’écouterai pas.

      Jérémie 31

      20 Éfraïm est mon fils le plus cher, dit le Seigneur, c’est mon enfant préféré. Chaque fois que je dois le condamner, je continue malgré tout à penser à lui, tellement j’éprouve de tendresse pour lui. Je ne peux pas m’empêcher d’avoir pitié de lui. »

      Osée 1

      9 Et le Seigneur dit à Osée : « Tu l’appelleras Étranger car vous, les gens d’Israël, vous n’êtes pas mon peuple, et moi je ne suis rien pour vous. »

      Osée 11

      1 « Quand Israël était jeune, je me suis mis à l’aimer, dit le Seigneur, et je l’ai appelé, lui mon fils, à sortir d’Égypte. »

      Malachie 2

      10 « N’avons-nous pas tous le même père ? N’est-ce pas le même Dieu qui nous a créés ? Alors pourquoi sommes-nous déloyaux les uns envers les autres en violant l’alliance conclue entre Dieu et nos ancêtres ?

      Matthieu 3

      9 et ne pensez pas qu’il suffit de dire en vous-mêmes : “Abraham est notre ancêtre.” Car je vous déclare que Dieu peut utiliser les pierres que voici pour en faire des descendants d’Abraham !

      Matthieu 5

      9 Heureux ceux qui créent la paix autour d’eux, car Dieu les appellera ses fils !
      44 Eh bien, moi je vous dis : aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent.
      45 Ainsi vous deviendrez les fils de votre Père qui est dans les cieux. Car il fait lever son soleil aussi bien sur les méchants que sur les bons, il fait pleuvoir sur ceux qui lui sont fidèles comme sur ceux qui ne le sont pas.
      48 Soyez donc parfaits, tout comme votre Père qui est au ciel est parfait. »

      Matthieu 6

      9 Voici comment vous devez prier : “Notre Père qui es dans les cieux, que chacun reconnaisse que tu es le Dieu saint,
      15 Mais si vous ne pardonnez pas aux autres, votre Père ne vous pardonnera pas non plus le mal que vous avez fait. »
      26 Regardez les oiseaux : ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n’amassent pas de récoltes dans des greniers, mais votre Père qui est au ciel les nourrit ! Ne valez-vous pas beaucoup plus que les oiseaux ?
      32 Ce sont les païens qui recherchent sans arrêt tout cela. Mais votre Père qui est au ciel sait que vous en avez besoin.

      Matthieu 10

      30 Quant à vous, même vos cheveux sont tous comptés.

      Matthieu 11

      25 En ce temps-là, Jésus s’écria : « O Père, Seigneur du ciel et de la terre, je te remercie d’avoir révélé aux petits ce que tu as caché aux sages et aux gens instruits.

      Matthieu 26

      39 Il alla un peu plus loin, se jeta le visage contre terre et pria en ces termes : « Mon Père, si c’est possible, éloigne de moi cette coupe de douleur. Toutefois, non pas comme je veux, mais comme tu veux. »

      Luc 6

      35 Au contraire, aimez vos ennemis, faites-leur du bien et prêtez sans rien espérer recevoir en retour. Vous obtiendrez une grande récompense et vous serez les fils du Dieu très-haut, car il est bon pour les ingrats et les méchants.

      Luc 10

      22 « Mon Père m’a remis toutes choses. Personne ne sait qui est le Fils si ce n’est le Père, et personne ne sait qui est le Père si ce n’est le Fils et ceux à qui le Fils veut bien le révéler. »

      Luc 11

      3 Donne-nous chaque jour le pain nécessaire.

      Luc 15

      11 Jésus dit encore : « Un homme avait deux fils.
      32 Mais nous devions faire une fête et nous réjouir, car ton frère que voici était mort et il est revenu à la vie, il était perdu et le voilà retrouvé !” »

      Luc 23

      46 Jésus s’écria d’une voix forte : « Père, je remets mon esprit entre tes mains. » Après avoir dit ces mots, il mourut.

      Jean 1

      12 Cependant, certains l’ont reçu et ont cru en lui ; il leur a donné le droit de devenir enfants de Dieu.
      14 Celui qui est la Parole est devenu un homme et il a vécu parmi nous, plein de grâce et de vérité. Nous avons vu sa gloire, la gloire que le Fils unique reçoit du Père.

      Jean 3

      1 Il y avait un homme appelé Nicodème, qui était du parti des Pharisiens et qui était l’un des chefs juifs.
      3 Jésus lui répondit : « Oui, je te le déclare, c’est la vérité : personne ne peut voir le Royaume de Dieu s’il ne naît pas de nouveau. »

      Jean 4

      23 Mais le moment vient, et il est même déjà là, où les vrais adorateurs adoreront le Père en étant guidés par son Esprit et selon sa vérité ; car tels sont les adorateurs que veut le Père.

      Jean 5

      26 Car, de même que le Père est la source de la vie, de même il a accordé au Fils d’être source de vie.

      Jean 6

      46 Cela ne signifie pas que quelqu’un ait vu le Père ; seul celui qui est venu de Dieu a vu le Père.

      Jean 14

      6 Jésus lui répondit : « Je suis le chemin, la vérité, la vie. Personne ne peut aller au Père autrement que par moi.
      9 Jésus lui répondit : « Il y a si longtemps que je suis avec vous et tu ne me connais pas encore, Philippe ? Celui qui m’a vu a vu le Père. Pourquoi donc dis-tu : “Montre-nous le Père” ?
      20 Ce jour-là, vous comprendrez que je vis uni à mon Père et que vous êtes unis à moi et moi à vous.

      Jean 20

      17 Jésus lui dit : « Ne me retiens pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va dire à mes frères que je monte vers mon Père qui est aussi votre Père, vers mon Dieu qui est aussi votre Dieu. »

      Actes 7

      48 Mais le Dieu très-haut n’habite pas dans des maisons construites par les hommes. Comme le déclare le prophète :

      Actes 17

      28 car : “C’est par lui que nous vivons, que nous bougeons et que nous sommes.” C’est bien ce que certains de vos poètes ont également affirmé : “Nous sommes aussi ses enfants.”

      Romains 8

      12 Ainsi donc, frères, nous avons des obligations, mais non envers notre propre nature pour vivre selon ses désirs.
      13 Car si vous vivez selon votre propre nature, vous allez mourir. Mais si, par l’Esprit Saint, vous faites mourir le comportement de votre être égoïste, vous vivrez.
      15 Car l’Esprit que vous avez reçu n’est pas un esprit qui vous rende esclaves et vous remplisse encore de peur ; mais c’est l’Esprit Saint qui fait de vous des enfants de Dieu et qui nous permet de crier à Dieu : « Abba, ô mon Père ! »
      19 La création entière attend avec impatience le moment où Dieu révélera ses enfants.
      21 c’est que la création elle-même sera libérée un jour du pouvoir destructeur qui la tient en esclavage et qu’elle aura part à la glorieuse liberté des enfants de Dieu.
      26 De même, l’Esprit Saint aussi nous vient en aide, parce que nous sommes faibles. En effet, nous ne savons pas prier comme il faut ; mais l’Esprit lui-même prie Dieu en notre faveur avec des supplications qu’aucune parole ne peut exprimer.
      27 Et Dieu qui voit dans les cœurs comprend ce que l’Esprit Saint veut demander, car l’Esprit prie en faveur des croyants, comme Dieu le désire.
      28 Nous savons que toutes choses contribuent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qu’il a appelés selon son plan.
      29 Car Dieu les a choisis d’avance ; il a aussi décidé d’avance de les rendre semblables à son Fils, afin que celui-ci soit l’aîné d’un grand nombre de frères.
      30 Ceux pour qui Dieu a pris d’avance cette décision, il les a aussi appelés ; ceux qu’il a appelés, il les a aussi rendus justes devant lui, ceux qu’il a rendus justes, il leur a aussi donné part à sa gloire.
      31 Que dirons-nous de plus ? Si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous ?
      32 Il n’a pas épargné son propre Fils, mais il l’a livré pour nous tous : comment ne nous donnerait-il pas tout avec son Fils ?
      33 Qui accusera ceux que Dieu a choisis ? Personne, car c’est Dieu qui les déclare non coupables.
      34 Qui peut alors les condamner ? Personne, car Jésus-Christ est celui qui est mort, bien plus il est ressuscité, il est à la droite de Dieu et il prie en notre faveur.
      35 Qui peut nous séparer de l’amour du Christ ? La détresse le peut-elle ou bien l’angoisse, ou encore la persécution, la faim, les privations, le danger, la mort ?
      36 Comme le déclare l’Écriture : « A cause de toi, nous sommes exposés à la mort tout le long du jour, on nous traite comme des moutons qu’on mène à la boucherie. »
      37 Mais en tout cela nous remportons la plus complète victoire par celui qui nous a aimés.
      38 Oui, j’ai la certitude que rien ne peut nous séparer de son amour : ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni d’autres autorités ou puissances célestes, ni le présent, ni l’avenir,
      39 ni les forces d’en haut, ni celles d’en bas, ni aucune autre chose créée, rien ne pourra jamais nous séparer de l’amour que Dieu nous a manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.

      Romains 9

      8 C’est-à-dire : ce ne sont pas les enfants nés conformément à l’ordre naturel qui sont les enfants de Dieu ; seuls les enfants nés conformément à la promesse de Dieu sont considérés comme les vrais descendants.

      1 Corinthiens 8

      6 il n’en est pas moins vrai que pour nous il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, qui a créé toutes choses et pour qui nous vivons ; il n’y a également qu’un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui toutes choses existent et par qui nous vivons.

      2 Corinthiens 1

      3 Louons Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père riche en bonté, le Dieu qui accorde le réconfort en toute occasion !

      Galates 3

      26 Car vous êtes tous enfants de Dieu par la foi qui vous lie à Jésus-Christ.

      Galates 4

      5 afin de délivrer ceux qui étaient soumis à la loi, et de nous permettre ainsi de devenir enfants de Dieu.
      6 Pour prouver que vous êtes bien ses enfants, Dieu a envoyé dans nos cœurs l’Esprit de son Fils, l’Esprit qui crie : « Abba, ô mon Père ! »

      Hébreux 12

      4 Car, dans votre combat contre le péché, vous n’avez pas encore dû lutter jusqu’à la mort.
      13 Engagez vos pas sur des sentiers bien droits, afin que le pied boiteux ne se démette pas, mais qu’il guérisse plutôt.

      Jacques 1

      17 tout don excellent et tout cadeau parfait descendent du ciel ; ils viennent de Dieu, le créateur des lumières célestes. Et Dieu ne change pas, il ne produit pas d’ombre par des variations de position.

      1 Pierre 2

      2 Comme des enfants nouveau-nés, désirez le lait spirituel et pur, afin qu’en le buvant vous grandissiez et parveniez au salut.

      1 Jean 3

      1 Voyez à quel point le Père nous a aimés ! Son amour est tel que nous sommes appelés enfants de Dieu, et c’est ce que nous sommes réellement. Voici pourquoi le monde ne nous connaît pas : il n’a pas connu Dieu.

      Apocalypse 11

      17 en disant : « Seigneur Dieu tout-puissant, toi qui es et qui étais, nous te louons de t’être servi de ta grande puissance pour établir ton règne.

      Apocalypse 21

      7 Quiconque aura remporté la victoire recevra de moi ce don ; je serai son Dieu, et il sera mon fils.
      22 Je ne vis pas de temple dans cette ville, car elle a pour temple le Seigneur, le Dieu tout-puissant, ainsi que l’Agneau.
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