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Dictionnaire Biblique de Top Bible

JÉSUS-CHRIST (noms et titres de)

Définition biblique de Jésus-Christ (noms et titres de) :

Une diversité de noms et titres sont utilisés dans la Bible pour faire référence à Jésus.

Sommaire

Le nom de Jésus, assez fréquent chez les Juifs, devait s'écrire en hébreu Yehôchoua ou Y échoua ; il se rattache à la racine yâcha'= sauver, et signifie probablement « JHVH sauve ». Suivant la coutume juive, qui faisait suivre le nom personnel de celui du père ou de celui du lieu d'origine ou d'habitation et quelquefois des deux, le nom complet était « Jésus de Nazareth » (Mr 1:24 10:47 14:67) ou même « Jésus de Nazareth, le fils de Joseph » (Jn 1:46). Christ, en grec Christos, équivaut à l'hébreu Mâchiakh--Omt, ou Messie. Après la mort de Jésus, cette appellation devint d'un usage courant dans l'Église pour le désigner, à tel point qu'elle fut bientôt employée comme un nom. A l'origine c'était un titre, qui signifiait « oint » : Saül, David sont appelés « oints de l'Éternel » (2Sa 1:14 19:21) ; la même expression est appliquée dans l'A. T, au grand-prêtre, à Israël et même au roi Cyrus (Ps 105:15, Esa 45:1). Dans les temps proches de l'ère chrétienne et au temps de Jésus, elle fut réservée par excellence à l'envoyé divin que, sur la promesse des prophètes, le peuple juif attendait. Déjà, lors des sombres jours de 735 av. J. -C, alors que les flots de l'armée ennemie battaient les portes, le prophète Ésaïe avait en effet proclamé la venue prochaine d'un Emmanuel, dont la naissance serait un signe de salut pour Israël (Esa 7:14 9:1-6 11:1-9, Mic 5:1-8). L'envoyé de Dieu, un descendant du roi David, était dépeint dans ces textes comme un chef de peuples, juste et fort, qui affermirait le trône d'Israël et étendrait sa domination ; prophétie reprise par Jérémie (Jer 23:5,8) et Ézéchiel (Eze 34:23 et suivant). Deux autres conceptions apparaissent encore dans l'A. T, concernant cet envoyé de Dieu :

la croyance au retour ou à la venue d'un grand prophète, sans doute Élie (De 18:15, Mal 3:1 4:5, cf. Mr 6:15 8:28) ;

l'idéal du « serviteur de l'Éternel », souffrant pour les péchés du peuple, tel qu'il est décrit dans le livre du second Ésaïe (Esa 40 à Esa 55) et tout particulièrement dans le Esa 53.

Toutefois cet idéal ne semble pas avoir tenu une grande place dans la piété juive du temps de Jésus : preuve en sont les difficultés que les disciples eurent à accepter les humiliations de leur Maître.

C'est au milieu de ces espérances que Jésus a vécu. Jusqu'à quel point ont-elles influé sur sa vocation, il est bien difficile de le savoir. Jésus eut avant tout conscience d'un appel de Dieu lui confiant une mission exceptionnelle, et c'est dans cette conviction intime qu'il faut aller chercher la source de son inspiration. Les évangiles nous le montrent, lors du baptême, recevant l'assurance qu'il est le « fils bien-aimé » (Mr 1:11). Dès lors, il parcourt villes et villages, prêchant la venue du Royaume et frappant les foules par son ton d'autorité. Mais il ne revendique pas le titre de Messie. Lorsque Jean-Baptiste lui fait demander s'il est bien « celui qui doit venir », il répond seulement en indiquant les guérisons qu'il opère (Mt 11:2-6), et lorsque Pierre affirme qu'il est « le Christ de Dieu », il interdit sévèrement aux disciples de le dire à qui que ce soit (Mr 8:29 et suivant). Une fois au moins cependant, devant le tribunal du grand-prêtre, Jésus s'est formellement déclaré le Christ, revendiquant la gloire de « siéger à la droite de Dieu et revenir sur les nuées du ciel » (Mr 14:62). Mais, sans doute, crut-il prématuré de réclamer plus tôt ce titre. Sa méthode était de susciter la conviction, non de l'imposer. Il devait d'ailleurs éprouver quelques craintes à l'égard de ce nom qui, chez le peuple, recouvrait tant d'espoirs matérialistes et politiques. Enfin il était avant tout rempli de la conviction que Dieu l'avait envoyé « chercher et sauver ce qui était perdu », certitude qui dépassait de beaucoup les conceptions messianiques de son temps, même celle de Esa 53.

I. RABBI, MAÎTRE, SEIGNEUR. 

Ces titres, divers dans nos traductions, comme dans le grec du N.T., correspondaient peut-être en araméen au même terme. Le titre de Seigneur, dans l'évangile de Marc, n'est en effet jamais adressé à Jésus par ses disciples. Par ailleurs, dans certains passages, il s'ajoute à celui de Christ, comme pour l'expliquer. Que l'on note aussi les différents parallèles de paroles rapportées par le 3 e évangile : comp. Mt 8:25 (Seigneur) à Mr 4:38 (Maître) et Lu 8:24 (Chef), ou encore Mt 17:4 (Seigneur) à Mr 9:5 (Rabbi) et Lu 9:33 (Maître). On peut ainsi supposer que, dans sa langue maternelle, on appelait Jésus « Rabbi », c'est-à-dire « mon maître », titre d'honneur ou de respect que l'on donnait en Israël à ceux qui enseignaient la loi. Maître aurait été dans les évangiles la traduction grecque du terme araméen primitif (Jn 1:38).

Quant au titre de Seigneur, il servait en hébreu (adonaï) à désigner Dieu lui-même, et en grec (kurios) s'appliquait aux rois et en particulier à l'Empereur romain. C'est bien dans ce sens de puissance souveraine et divine que le terme est appliqué par les épîtres à Jésus, et dès les plus anciennes (1Th 1:1,3,6,2Th 1:1-7), antérieures d'au moins douze ou quinze ans au plus ancien évangile ; c'est la plus haute expression de la personne de Jésus (1Co 12:3, Ro 10:9, Php 2:11, Ap 19:16), et c'est ce point de vue qui se manifeste par l'apparition dans Mathhieu, Luc et Jean du titre de Seigneur que le plus ancien évang, n'appliquait pas à Jésus (Mt 8:2, Lu 10:39, Jn 20:2 etc.).

II. FILS DE DAVID. 

était la désignation messianique la plus traditionnelle : elle vient du prophète Ésaïe. Du temps de Jésus, chacun s'attendait à voir le Messie sortir de la famille de David (Jn 7:42), et c'est certainement pour répondre à des objections faites à ce sujet que Matthieu et Luc donnent au début de leurs évangiles des généalogies (voir ce mot). Jésus n'a jamais répudié le titre quand il lui a été décerné (Mt 9:27, Mr 10:47, Mt 12:23), et il ne l'a pas revendiqué. Un passage (Mr 12:35-37) nous le montre toutefois essayant de faire saisir aux Juifs l'ambiguïté du terme et les objections qu'il soulevait. Dans l'ensemble, Jésus paraît bien n'avoir attaché aucune importance à cette naissance de sang royal.

III. ROI D'ISRAËL, ROI DES JUIFS, ROI.

se rattachent à l'expression précédente. Peuple si longtemps asservi et cherchant continuellement à relever la tête, les Juifs attendaient du Messie qu'il fût roi et chassât leurs oppresseurs. L'évangile de Jean nous apprend qu'au moins une fois la foule a voulu couronner Jésus (Jn 6:5). Cependant ce titre lui est surtout donné dans nos textes lors de son jugement par Pilate. Là, d'ailleurs, les chefs du peuple, en désignant Jésus comme « roi des Juifs », ne faisaient que lui appliquer un titre profane équivalent dans l'esprit de tous à celui de Messie, terme hébraïque peu propre sans doute à émouvoir le procurateur romain.

Jésus l'ayant alors accepté, la condamnation ne pouvait manquer de s'ensuivre. Mais Jésus l'a-t-il vraiment accepté ? D'après Mr 15:2, sa réponse semble affirmative, et d'après Lu 23:3 et suivant on la croirait plutôt négative, puisque Pilate n'y trouve rien de coupable. Dans Jn 18:33,37, Jésus hésite puis accepte le titre, mais avec la restriction que son royaume n'est pas de ce monde, réponse qui paraît la plus probable, puisqu'elle est en accord avec le reste des évangiles. Ce fut bien, cependant, pour avoir voulu se faire « roi des Juifs » que Jésus fut condamné à la croix, ainsi qu'en témoignait au-dessus de sa tête l'inscription (voir ce mot) indiquant le motif de sa mort.

IV. FILS DE DIEU.

Peut-être appliquait-on aussi ce titre au Messie du temps de Jésus. Dans l'A.T., à plusieurs reprises, il est donné aux anges (Ge 6:2, Job 16), au peuple d'Israël (Ps 82:6, Ex 4:22). Dans le N.T., nous le trouvons à propos d'Adam (Lu 3:38), ou dans la bouche même de Jésus pour désigner ceux « qui ont été jugés dignes de la résurrection » (Lu 20:36) ; dans les épîtres, il est appliqué aux croyants. Dans quel sens fut-il donné à Jésus ? Pour répondre, il est utile de distinguer entre les épîtres, l'évangile de Jean et les évangiles synoptiques :

1.

Dans les épîtres, ce titre désigne toujours Jésus. Certes, ceux « qui sont conduits par l'Esprit de Dieu » sont aussi dits « fils de Dieu » (Ro 8:14), mais le contexte du même chap, montre bien la situation unique du Christ : « son propre fils » (verset 3,32). Tel autre texte montre en lui « l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute création » (Col 1:15), par où sont affirmées sa ressemblance avec Dieu et sa préexistence. Nous pouvons nous aussi devenir des fils de Dieu, mais Jésus seul est de toute éternité le Fils de Dieu (comp. Ga 3:26 et Ga 4:4-7).

2.

Dans le 4 e évangile, Jésus lui-même proclame sa filialité divine, non seulement devant ses disciples, mais publiquement. Il est appelé « le fils unique » du Père (Jn 1:14 3:16). Il affirme sa préexistence (Jn 6:62 8:58 17:5), cette idée étant d'ailleurs la présupposition de tout cet évang (Jn 1:1,28),.

3.

Dans les év. synoptiques, ce titre est beaucoup moins fréquent et se trouve très rarement dans la bouche du Christ (surtout si l'on considère comme altérés Mr 13:32 et Mt 11:27). Cependant des scènes comme celles du baptême (Mr 1:11) ou de la transfiguration (Mr 9:7) prouvent bien, chez l'évangéliste, la foi en la situation unique de Jésus par rapport à Dieu. Quant à Jésus lui-même, la parabole des vignerons (Mr 12:1-12) et sa réponse au grand-prêtre, lors de son jugement (Mr 14:61 et suivant), suffisent à prouver que, même d'après les synoptiques, il s'est donné pour le Fils de Dieu.

Il faut certes reconnaître que l'atmosphère des trois premiers évang, n'est pas sur ce point celle du 4 e et des épîtres. Mais faut-il voir chez Jean l'influence de la foi ardente de l'Église primitive en Jésus-Christ, fils de Dieu, ou plutôt l'effort conscient de préciser un point important, négligé par les synoptiques, que Jean connaissait bien ? Pareille question dépasse les limites de cet article. Il suffira de dire ici que dans leur ensemble les évangiles n'indiquent à aucun moment chez Jésus la conscience d'avoir à se mettre sur le même plan que ses disciples. Cette âme si droite n'a jamais cru avoir quoi que ce soit à se reprocher. Par là, comme par le ton d'amour et de respect avec lequel il parlait à son « Père », par le sentiment de son intimité profonde avec lui en même temps que par sa dépendance à son égard, Jésus nous permet de mieux saisir encore qu'avec l'emploi d'un titre sa conviction qu'il est vis-à-vis de Dieu dans une situation qu'aucun homme n'a connue.

Parole (grec Logos) Jn 1:1,14.

La notion de Parole divine personnifiée était familière aux Juifs : leurs Targums sur le Pentateuque remplacent souvent le nom de Dieu par le titre de Memra : la Parole (voir Ange de l'Éternel). Le Logos (voir ce mot), intermédiaire entre Dieu et le monde, est surtout une conception de la philosophie grecque, que le penseur juif Philon avait adaptée à ses conceptions eschatologiques. Elle répondait au désir de sauvegarder la pureté de Dieu, en le séparant du monde, créé par un intermédiaire. La manière dont le terme est introduit dans l'évangile de Jean prouve que cette idée était devenue courante dans le milieu et à l'époque où il fut écrit. Ainsi la religion nouvelle prenait la langue du temps tout en rappelant certains pressentiments du judaïsme. Et c'était pour affirmer une fois de plus le caractère unique de Jésus, non seulement supérieur à Jean-Baptiste et à Moïse, au Messie attendu par le peuple juif, ou même au Sauveur du monde (Jn 4:42), mais bien intermédiaire unique entre Dieu et la création.

V. EMMANUEL.

se trouve dans la prophétie d'Ésaïe (Esa 7:14), que l'évangile de Matthieu, écrit pour les Juifs, applique à Jésus lors de l'annonce de sa naissance à Joseph (voir Emmanuel et Prophète).

VI. FILS DE L'HOMME.

Cette expression ne se trouve pas moins de trente fois dans Matthieu, quatorze dans Marc vingt-cinq dans Luc douze dans Jn. Par contre, elle n'est plus guère employée dans les autres écrits du N.T. (dans Ac 7:56, le mot d'Etienne n'est qu'une réminiscence des paroles de Jésus devant le tribunal du grand-prêtre, et Apo 1:13 14:14 calquent manifestement Da 7:13). Remarquons aussi que dans les évangile, sauf une exception, le terme est toujours placé dans la bouche de Jésus (et encore Jn 12:34 indique-t-il que les Juifs répètent une de ses paroles). Notons enfin qu'à plusieurs reprises, Jésus se donne ce nom au moment même où l'on vient de l'appeler Messie (Mt 26:64) ou fils de Dieu, roi d'Israël (Jn 1:51).

Ces diverses remarques permettent de conclure :

que l'expression a certainement été employée par Jésus, puisque l'Église, ne l'ayant pas conservée dans son propre vocabulaire, ne pouvait oublier l'emploi qu'il en avait fait ;

que Jésus préférait ce titre à tout autre. C'est d'un passage de Daniel qu'il a probablement été tiré. Le prophète, après l'apparition des quatre animaux qui représentent quatre empires puissants et cruels, voit venir « un personnage semblable à un fils d'homme » (Da 7:13), promesse après des temps de tyrannie d'une domination plus humaine, sans doute celle des saints du Très-Haut (Da 7:18,27). Mais cette expression « un fils d'homme », vague et générale chez Daniel, prit bientôt un sens individuel et déterminé. Dans le livre des Similitudes d'Hénoch (écrit environ cent ans av. J. -C.) et dans Pseud. Esdras (fin du I er siècle ap. J. -C.) ce terme est appliqué au Messie (représenté par Hénoch comme assis sur le trône de Dieu, possédant la domination universelle et le pouvoir de juger le monde). Le fait d'ailleurs que son emploi par Jésus ne provoque aucun étonnement prouve que l'expression était connue de son temps comme un titre messianique. On a d'autre part fait remarquer qu'en hébreu comme en aram, l'expression « fils de l'homme » (ben-adam, bar-nacha) n'a pas d'autre sens que « l'homme » ou « un homme » (sens qui ressort d'ailleurs nettement de Da 7:13 comme d'Ezéch., pass.) et que cette expression pouvait même s'employer comme simple pronom personnel.

Cette remarque, toutefois, n'explique pas pourquoi un terme aussi vague aurait été gardé sous sa forme exacte par ceux qui ont traduit en grec les paroles de Jésus, si lui-même il ne lui avait donné une signification plus riche.

En fait, les disciples ont constaté que Jésus s'en est servi couramment lorsqu'il parlait de sa mission, le mettant en corrélation avec :

son pouvoir actuel (pardon des péchés, Mr 2:10 ; maître du sabbat, Mr 2:28 ; semeur de bonne semence, Mt 13:37 ; venu chercher et sauver les perdus, Lu 19:10 ; maître de la vie éternelle, Jn 6:27) ;

son humiliation (n'a pas où reposer sa tête, Mt 8:20 ; venu donner sa vie en rançon, Mr 10:45 ; doit souffrir et être méprisé, Mr 9:12 ; condamné à mort et livré aux païens, Mr 8:31 10:33 14:21 14:41 ; élevé comme le serpent dans le désert, Jn 3:14) ;

son retour en gloire (viendra sur les nuées à l'heure que l'on ne pensera pas, Mr 13:26, Mt 24, pass. ; assis à la droite de Dieu, Mr 14:62 ; jugera les nations, Mt 25:31 et suivant, Jn 5:27, voy. aussi Jn 3:13).

Pourquoi Jésus a-t-il donc préféré ce titre à tout autre ? D'abord, semble-t-il, dans un souci de convenance : de tous les noms messianiques, c'était le moins contraire à l'idée d'un envoyé de Dieu humble, serviteur des hommes, incompris et souffrant, à laquelle Jésus arrivera bientôt, si même il ne l'eut dès le début. Se dire fils de David, roi et même fils de Dieu, prêtait à confusion et rendait sa tâche plus malaisée. Mais, par ailleurs, il est impossible, devant ce choix, de n'être pas touché par l'esprit qui le caractérise, esprit d'humilité et d'amour pour l'homme : Jésus veut être un homme au milieu des hommes, un « simple homme », mais l'homme normal, l'homme parfait. En retour, de même que le Fils de Dieu est ainsi devenu un « fils d'homme », l'homme, pour devenir normal, voudra être et deviendra par lui un fils de Dieu. J-P- B.

Voir l'art, précéd, et les art. aux différents titres : Agneau de Dieu, Angle (pierre de l'), Bien-aimé, etc.

VII. ABRÉVIATIONS COURANTES CHEZ LES PREMIERS CHRÉTIENS.

Diverses abréviations des noms de J. -C, se trouvent dans les inscriptions funéraires des Catacombes : IH (les deux premières lettres de IÊsous en grec), XP (les deux premières de CHRistos), ou IX (Initiales de lêsous-CHristos). Cette dernière abréviation en lettres entrelacées) | (constitue le plus ancien monogramme chrétien connu (fresque du III e siècle). Avec Constantin c'est l'abréviation XP qui devient) | (, monogramme du Christ, appelé pour cette raison le chrisme. Une forme moins commune et plus tardive est destinée à évoquer la croix : -|-.

On trouve aussi dans les inscriptions en grec des abréviations par contraction : IHC (les deux premières lettres et la dernière de IÊsouS) et XPC (les deux premières et la dernière de CHRistoS) ; c'est IHC, latinisé plus tard en IHS, qui eut la plus grande fortune dans l'Église et devint le monogramme sacré par excellence. A certaines époques on y a vu à tort les initiales des mots latins Iesus Hominum Salvator (=Jésus Sauveur des hommes), ou même de la fameuse devise de Constantin In Hoc Signo [vinces] (=[tu vaincras] par ce signe).

Pour l'abréviation A. Oméga voir Alpha et Oméga.

--Pour l'usage du symbole ICHTHUS, voir Alphabétique, III

--Pour INRI, voir Inscription de la croix.

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      Genèse 6

      2 les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu'ils choisirent.

      Exode 4

      22 Tu annonceras au pharaon : ‘Voici ce que dit l'Eternel : Israël est mon fils aîné.

      Lévitique 3

      1 » Lorsque quelqu'un offrira à l'Eternel un sacrifice de communion, s'il offre du gros bétail, mâle ou femelle, il l'offrira sans défaut devant l'Eternel.
      2 Il posera sa main sur la tête de la victime et l’égorgera à l'entrée de la tente de la rencontre. Les prêtres, les descendants d'Aaron, verseront le sang sur tout le pourtour de l'autel.
      3 De ce sacrifice de communion, il offrira en sacrifice passé par le feu pour l'Eternel la graisse qui couvre les entrailles et toute celle qui y est attachée,
      4 les deux rognons et la graisse qui les entoure, qui couvre les flancs, et le grand lobe du foie, qu'il détachera près des rognons.
      5 Les descendants d'Aaron brûleront cela sur l'autel, par-dessus l'holocauste qui sera sur le bois mis au feu. C'est un sacrifice passé par le feu, dont l’odeur est agréable à l'Eternel.
      6 » S'il offre du petit bétail, mâle ou femelle, en sacrifice de communion à l'Eternel, il l'offrira sans défaut.
      7 S'il offre en sacrifice un agneau, il le présentera devant l'Eternel.
      8 Il posera sa main sur la tête de la victime et l’égorgera devant la tente de la rencontre. Les descendants d'Aaron en verseront le sang sur tout le pourtour de l'autel.
      9 De ce sacrifice de communion, il offrira en sacrifice passé par le feu pour l'Eternel la graisse, la queue entière, qu'il séparera près de l'échine, la graisse qui couvre les entrailles et toute celle qui y est attachée,
      10 les deux rognons et la graisse qui les entoure, qui couvre les flancs, et le grand lobe du foie, qu'il détachera près des rognons.
      11 Le prêtre brûlera cela sur l'autel. C'est l'aliment d'un sacrifice passé par le feu pour l'Eternel.
      12 » Si son offrande est une chèvre, il la présentera devant l'Eternel.
      13 Il posera sa main sur la tête de sa victime et l’égorgera devant la tente de la rencontre. Les descendants d'Aaron en verseront le sang sur tout le pourtour de l'autel.
      14 De la victime, il offrira en sacrifice passé par le feu pour l'Eternel la graisse qui couvre les entrailles et toute celle qui y est attachée,
      15 les deux rognons et la graisse qui les entoure, qui couvre les flancs, et le grand lobe du foie, qu'il détachera près des rognons.
      16 Le prêtre brûlera cela sur l'autel. Toute la graisse est l'aliment d'un sacrifice passé par le feu, dont l’odeur est agréable à l'Eternel.
      17 » C'est une prescription perpétuelle pour vous au fil des générations, partout où vous habiterez : vous ne mangerez ni graisse ni sang. »

      Lévitique 4

      1 L'Eternel dit à Moïse :
      2 « Transmets ces instructions aux Israélites : Lorsque quelqu'un péchera involontairement contre l'un des commandements de l'Eternel en faisant des choses qui ne doivent pas se faire,
      3 si c'est le prêtre consacré par onction qui a péché et a rendu par là le peuple coupable, il offrira à l'Eternel, en sacrifice d'expiation pour le péché qu'il a commis, un jeune taureau sans défaut.
      4 Il amènera le taureau à l'entrée de la tente de la rencontre, devant l'Eternel. Il posera sa main sur la tête du taureau et l’égorgera devant l'Eternel.
      5 Le prêtre consacré par onction prendra du sang du taureau et l'apportera dans la tente de la rencontre.
      6 Il trempera son doigt dans le sang et il en fera 7 fois l'aspersion devant l'Eternel, en face du voile du sanctuaire.
      7 Le prêtre mettra du sang sur les cornes de l'autel des parfums odoriférants, qui est devant l'Eternel dans la tente de la rencontre. Il versera tout le sang du taureau au pied de l'autel des holocaustes, qui est à l'entrée de la tente de la rencontre.
      8 Il enlèvera toute la graisse du taureau expiatoire, la graisse qui couvre les entrailles et toute celle qui y est attachée,
      9 les deux rognons et la graisse qui les entoure, qui couvre les flancs, et le grand lobe du foie, qu'il détachera près des rognons.
      10 Le prêtre enlèvera ces parties comme on les enlève du taureau dans le sacrifice de communion et il les brûlera sur l'autel des holocaustes.
      11 Mais la peau du taureau, toute sa viande avec sa tête, ses pattes, ses entrailles et ses excréments,
      12 le taureau entier, il l'emportera à l’extérieur du camp, dans un endroit pur où l'on jette les cendres, et il le brûlera au feu sur du bois ; c'est sur le tas de cendres qu’on le brûlera.
      13 » Si c'est toute l'assemblée d'Israël qui a péché involontairement, si sans y prêter attention elle a fait contre l'un des commandements de l'Eternel des choses qui ne doivent pas se faire et s’est ainsi rendue coupable,
      14 et si le péché commis vient à être découvert, l'assemblée offrira un jeune taureau en sacrifice d'expiation et on l'amènera devant la tente de la rencontre.
      15 Les anciens d'Israël poseront leurs mains sur la tête du taureau devant l'Eternel et l’on égorgera le taureau devant l'Eternel.
      16 Le prêtre consacré par onction apportera du sang du taureau dans la tente de la rencontre.
      17 Il trempera son doigt dans le sang et il en fera 7 fois l'aspersion devant l'Eternel, en face du voile.
      18 Il mettra du sang sur les cornes de l'autel qui est devant l'Eternel dans la tente de la rencontre. Puis il versera tout le sang au pied de l'autel des holocaustes, qui est à l'entrée de la tente de la rencontre.
      19 Il enlèvera toute la graisse du taureau et la brûlera sur l'autel.
      20 Il procédera avec ce taureau exactement comme pour le taureau expiatoire. C'est ainsi que le prêtre fera l’expiation pour eux, et le pardon leur sera accordé.
      21 Il emportera le taureau à l’extérieur du camp et il le brûlera comme le premier taureau. C'est un sacrifice d'expiation pour l'assemblée.
      22 » Si c'est un chef qui a péché, s’il a fait involontairement contre l'un des commandements de l'Eternel, son Dieu, des choses qui ne doivent pas se faire et s’est ainsi rendu coupable,
      23 et s’il vient à découvrir le péché qu'il a commis, il offrira en sacrifice un bouc mâle sans défaut.
      24 Il posera sa main sur la tête du bouc et l’égorgera à l’endroit où l'on égorge les holocaustes devant l'Eternel. C'est un sacrifice d'expiation.
      25 Le prêtre prendra avec son doigt du sang de la victime expiatoire, il en mettra sur les cornes de l'autel des holocaustes et il versera le sang au pied de l'autel des holocaustes.
      26 Il brûlera toute la graisse sur l'autel, comme la graisse du sacrifice de communion. C'est ainsi que le prêtre fera pour ce chef l'expiation de son péché, et le pardon lui sera accordé.
      27 » Si c'est quelqu'un du peuple qui a péché involontairement en faisant contre l'un des commandements de l'Eternel des choses qui ne doivent pas se faire et en se rendant ainsi coupable,
      28 et s’il vient à découvrir le péché qu'il a commis, il offrira en sacrifice une chèvre, une femelle sans défaut, pour le péché qu'il a commis.
      29 Il posera sa main sur la tête de la victime expiatoire et l’égorgera à l’endroit où l'on égorge les holocaustes.
      30 Le prêtre prendra avec son doigt du sang de la victime, il en mettra sur les cornes de l'autel des holocaustes et il versera tout le sang au pied de l'autel.
      31 Le prêtre enlèvera toute la graisse, comme on enlève la graisse du sacrifice de communion, et il la brûlera sur l'autel ; son odeur sera agréable à l'Eternel. C'est ainsi que le prêtre fera l’expiation pour cet homme, et le pardon lui sera accordé.
      32 » Si c’est un agneau qu’il offre en sacrifice d'expiation, il offrira une femelle sans défaut.
      33 Il posera sa main sur la tête de la victime et l’égorgera en sacrifice d'expiation à l’endroit où l'on égorge les holocaustes.
      34 Le prêtre prendra avec son doigt du sang de la victime, il en mettra sur les cornes de l'autel des holocaustes et il versera tout le sang au pied de l'autel.
      35 Le prêtre enlèvera toute la graisse comme on enlève la graisse de l'agneau dans le sacrifice de communion, et il la brûlera sur l'autel comme un sacrifice passé par le feu pour l'Eternel. C'est ainsi que le prêtre fera pour cet homme l'expiation du péché qu'il a commis, et le pardon lui sera accordé.

      2 Samuel 1

      14 David lui dit : « Comment se fait-il que tu n’aies pas eu peur de porter la main contre celui que l'Eternel a désigné par onction et de lui donner la mort ? »

      Job 16

      1 Job prit la parole et dit :
      2 « J'ai entendu beaucoup de propos semblables. Vous êtes tous des consolateurs pénibles.
      3 Quand finiront ces discours qui ne sont que du vent ? Pourquoi cette irritation dans tes réponses ?
      4 Moi aussi, je pourrais parler comme vous, si vous étiez à ma place : j’alignerais les discours contre vous, je hocherais la tête sur vous,
      5 je vous fortifierais par mes paroles, le mouvement de mes lèvres vous apporterait du soulagement.
      6 » Si je parle, ma souffrance n’est pas soulagée, si je me tais, elle ne s’en ira pas loin de moi.
      7 Maintenant, hélas, il m'a épuisé. Tu as dévasté tous les miens.
      8 Tu m'as creusé des rides qui témoignent contre moi. Ma maigreur se dresse contre moi et m'accuse en face.
      9 » Sa colère me déchire et s’attaque à moi, il grince des dents contre moi. Mon adversaire me transperce de son regard.
      10 Ils ouvrent la bouche contre moi, ils m'insultent et me frappent les joues, ils s’attroupent contre moi.
      11 » Dieu m’a livré au pouvoir d’un gamin, il me jette entre les mains des méchants.
      12 J'étais tranquille et il m'a secoué. Il m'a attrapé par la nuque et m'a brisé, il m’a redressé et me prend pour cible.
      13 Ses flèches m'environnent. Il me transperce les reins sans aucune pitié, il verse ma bile par terre.
      14 Il fait en moi brèche sur brèche, il se précipite sur moi comme un guerrier.
      15 J'ai cousu un sac sur ma peau, j'ai traîné ma fierté dans la poussière.
      16 Mon visage est enflammé à force de pleurer, l'ombre de la mort est sur mes paupières.
      17 Pourtant, je n'ai commis aucune violence et ma prière a toujours été pure.
      18 » Terre, ne couvre pas mon sang, que mon cri ne reste pas cantonné à un endroit !
      19 Déjà maintenant, mon témoin est dans le ciel, mon défenseur est dans les lieux élevés.
      20 Mes amis se moquent de moi ? C'est Dieu que j'implore avec larmes.
      21 Puisse-t-il être l’arbitre entre l'homme et Dieu, entre l’être humain et son ami !
      22 En effet, encore quelques années seulement et je m'en irai par un sentier d'où je ne reviendrai pas.

      Psaumes 82

      6 *J’avais dit : ‘Vous êtes des dieux, vous êtes tous des fils du Très-Haut.’

      Psaumes 105

      15 « Ne touchez pas à ceux que j’ai désignés par onction et ne faites pas de mal à mes prophètes ! »

      Esaïe 7

      14 Voilà pourquoi c’est le Seigneur lui-même qui vous donnera un signe : *la vierge sera enceinte, elle mettra au monde un fils et l’appellera Emmanuel.

      Esaïe 9

      1 Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande lumière, sur ceux qui habitaient le pays de l'ombre de la mort une lumière a brillé.

      Esaïe 11

      1 Puis un rameau poussera de la souche d'Isaï, un rejeton de ses racines portera du fruit.

      Esaïe 40

      1 « Consolez, consolez mon peuple, dit votre Dieu.
      2 Parlez au cœur de Jérusalem, criez-lui que sa période de combat est terminée, que sa faute est expiée, qu'elle a reçu de l'Eternel le salaire de tous ses péchés. »
      3 *Une voix crie dans le désert : « Préparez le chemin de l'Eternel, faites une route bien droite pour notre Dieu dans les endroits arides !
      4 Toute vallée sera comblée, toute montagne et toute colline abaissées. Ce qui est tortueux sera redressé et les endroits rocailleux aplanis.
      5 Alors la gloire de l'Eternel sera révélée, et au même instant tout homme la verra. Oui, c’est l’Eternel qui l’affirme. »
      6 Une voix a dit : « Proclame un message ! » Et j’ai répondu : « Que dois-je proclamer ? » « *Toute créature est comme l'herbe, et toute sa beauté comme la fleur des champs.
      7 L'herbe sèche et la fleur tombe quand le vent de l'Eternel souffle dessus. Vraiment, le peuple est pareil à l'herbe :
      8 l'herbe sèche et la fleur tombe, mais la parole de notre Dieu subsiste éternellement. »
      9 Monte sur une haute montagne, Sion, pour annoncer la bonne nouvelle ! Elève avec force ta voix, Jérusalem, pour proclamer la bonne nouvelle ! Elève ta voix, n’aie pas peur ! Dis aux villes de Juda : « Voici votre Dieu ! »
      10 Le Seigneur, l'Eternel vient avec puissance, et son bras lui assure la souveraineté. Il a son salaire avec lui et sa récompense est devant lui.
      11 Pareil à un berger, il s’occupera de son troupeau, il prendra les agneaux dans ses bras et les portera contre sa poitrine ; il conduira les brebis qui allaitent.
      12 Qui a mesuré les océans dans le creux de sa main ? Qui a fixé les dimensions du ciel dans une mesure et fait tenir toute la poussière de la terre dans un tiers de mesure ? Qui a pesé les montagnes à la balance et les collines à la bascule ?
      13 *Qui a compris l'Esprit de l'Eternel et quel homme a été son conseiller pour l’instruire ?
      14 Avec qui a-t-il délibéré pour se laisser éclairer par lui ? Qui lui a appris le sentier du droit, lui a enseigné son savoir-faire et lui a fait connaître le chemin de l'intelligence ?
      15 Les nations sont pareilles à une goutte d’eau qui tombe d'un seau, elles sont comme de la poussière sur une balance, et les îles comme une fine poussière qui s'envole.
      16 Les forêts du Liban ne suffiraient pas à alimenter le feu de l’autel et ses animaux seraient en nombre insuffisant pour l'holocauste.
      17 Toutes les nations sont réduites à rien devant lui, elles comptent moins à ses yeux que le néant et le vide.
      18 A qui voulez-vous comparer Dieu ? A quelle représentation pourriez-vous le comparer ?
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