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Dictionnaire Biblique de Top Bible

MARIAGE

I Dans l'Ancien Testament.

L'A.T. a conservé une série d'indices qui prouvent que primitivement la famille hébraïque était fondée sur le principe de la filiation féminine, c'est-à-dire qu'elle se groupait exclusivement autour de la mère. C'est pourquoi on désigne cette organisation, qui existe encore aujourd'hui chez beaucoup de non-civilisés, par les termes de matriarcat ou de métrarchie. Dans ce type de famille, l'enfant appartient au clan de la mère. C'est elle qui lui donne son nom, usage qui a persisté en Israël jusqu'au VIII e siècle (Ge 4:1 19:36 29:32-35 30:6 14,18-24 Jug 13:24 1Sa 1:20 4:21, Esa 7:14). C'est elle qui possède la tente dans laquelle la famille habite, ce qui a donné lieu à l'euphémisme « entrer chez une femme » pour désigner des rapports avec elle. C'est dans son clan qu'entre le mari (Ge 24:5) en quittant son père et sa mère (Ge 2:24). Cette organisation maternelle explique que les frères utérins d'une jeune fille ou son oncle maternel, c'est-à-dire ses plus proches parents après la mère, se chargent de son mariage (Ge 34, Ca 8:8 et suivant), qu'Abraham peut épouser sa demi-soeur Sara (Ge 20:12), que Tamar aurait pu devenir la femme de son demi-frère Amnon (2Sa 13:13). On constate des survivances de la période matriarcale encore au temps d'Ézéchiel (Eze 22:10 et suivant), malgré les interdictions du Deutéronome (De 27:22) et de la Loi de Sainteté (Le 18:9 20:17). Mais à l'époque où cette institution était la seule forme connue de la famille, on peut difficilement parler de mariage, la coutume générale étant alors la polyandrie, ainsi que l'atteste Strabon (XVI, 4:783) pour les anciens Arabes.

La transition de l'organisation matriarcale au type patriarcal de la famille, qui est celui de toutes les sociétés sémitiques à l'époque historique, paraît être marquée par un genre de mariage dont nous trouvons également les vestiges dans l'A. T, et que Robertson Smith a nommé le mariage de tsadiqa (=amie, en arabe), car il se pratiquait surtout chez les Arabes et d'ailleurs aussi chez les Assyriens. La femme, après son mariage, restait chez ses parents et y élevait ses enfants ; le mari ne la visitait que passagèrement. Les exemples que nous offre l'A.T. sont le mariage de Samson avec la femme de Thimna (Jug 14:1 et suivants) et avec Dalila (Jug 16:4 et suivants), ainsi que ! e mariage de Gédéon avec la Sichémite (Jug 8:31) ; la femme de Moïse reste également dans son pays avec ses fils (Ex 18:2,6). L'exemple de Gédéon montre qu'il ne s'agit plus ici de matriarcat pur : son fils Abimélec se considère comme appartenant au groupe de son père, car il revendique son héritage, mais il invoque en même temps les liens qui l'unissent à la famille de sa mère (Jug 9:1 et suivant). De nombreuses raisons expliquent la disparition du type matriarcal de la famille. Dans bien des cas, l'homme considérait sa femme comme une propriété qu'il avait acquise, soit par la force, et ce sera le mariage par rapt (Jug 21:21, De 20:14,1Ro 20:3), soit en l'achetant pour une somme versée aux parents de la future épouse, et c'est le type normal du mariage chez les Israélites comme il l'est déjà dans le Code de Hammourabi, et encore aujourd'hui chez les fellahs en Egypte.

L'organisation patriarcale de la famille devait nécessairement conduire à la polygamie (Ge 36:2). Le mariage, pour l'Hébreu, n'a qu'un but : la procréation d'enfants et surtout d'enfants mâles (Ge 30:1, Ps 127:4 et suivant, Pr 17:6). Car la famille ne doit pas s'éteindre ; c'est le culte des ancêtres, ce culte familial des temps les plus anciens, qui l'exige. Or, une femme pouvait ne pas avoir d'enfants. Dans ce cas, elle avait le droit de donner, comme le fit Sara (Ge 16:1,3), sa servante personnelle à son mari en reconnaissant l'enfant que celle-ci mettrait au monde comme son enfant à elle (le mot michpâkhâ-- famille serait, d'après Schwally et Lods, dérivé de chiphkhâ-- servante, concubine). Le mari pouvait aussi épouser une seconde femme du vivant de sa première épouse. Dans les temps anciens, la règle paraît avoir été, en effet, d'avoir deux femmes légitimes (Ge 4:19 26:34 29,1Sa 1:2). La polygamie se réduisait donc généralement à la bigamie, et ceci pour des raisons purement matérielles, car l'entretien d'un harem est un luxe que seuls les grands de la terre, comme David (2Sa 3:2,5) ou Salomon (1Ro 11:3, Ca 6:8), pouvaient se permettre.

Mais la bigamie avait ses inconvénients. La femme qui avait donné des enfants à son mari méprisait souvent l'épouse stérile (Ge 16:4 et suivant, 1Sa 1:6) ; il est vrai que cette dernière traitait la femme préférée d'ennemie, hats-tsârâ . (1Sa 1:6) C'est surtout l'influence du prophétisme qui amena une appréciation plus juste du rôle de la femme, de sorte que la bigamie finit par céder la place à la monogamie. Le récit de la création la présuppose. Les Proverbes ne parlent partout que d'une seule épouse (Pr 12:4 18:22 19:14 31:10 et suivants). Osée et Ésaïe n'avaient qu'une femme (Os 1-3, Esa 8:3) ; et, après l'exil, la monogamie est la règle (Tob 1:9 8:4,7, Sir 26:1 et suivants, cf. Mt 18:25, Lu 1:5, Ac 5:1). Le mariage est devenu une institution sacrée, une « alliance de Dieu » (Pr 2:17), qui en est le témoin (Mal 2:14).

La base juridique du mariage est constituée par les fiançailles, qui consistent dans le versement, aux parents de la fiancée, d'une somme (môhar), fixée soit par l'usage (Ex 22:17), soit par le père de la future mariée (Ge 34:12 ; cf. 1Sa 18:25). La femme devient ainsi la propriété du mari : il est le baal, c'est-à-dire le propriétaire, elle est la beoulâ, c'est-à-dire la propriété. C'est pourquoi le Code de l'Alliance (Ex 22:16) considère la séduction d'une jeune fille non fiancée comme un vol à l'égard de son père et la punit par le paiement d'une somme égale au mohar. Le montant moyen du mohar nous est inconnu. Osée (Os 3:2) indique la somme de 15 sicles d'argent et une certaine quantité d'orge ; le Deutéronome fixe le mohar, comme l'avait fait déjà le Code de Hammourabi, à la somme de 50 sicles d'argent. L'argent pouvait d'ailleurs être remplacé par des prestations en nature : Jacob sert Laban pendant 14 ans pour obtenir ses deux femmes ; des jeunes filles sont données en mariage pour des faits de guerre (Jos 15:16, Jug 1:12,1Sa 17:25 18:20 et suivants). Comme le Code de Hammourabi, la loi israélite distingue du mohar les présents (mattanim) que le fiancé fait généralement à sa fiancée (Ge 24:53 34:12). L'usage voulait d'ailleurs que le père de la fiancée ne gardât pas entièrement le mohar : il le cédait à sa fille, en partie ou totalement , (berâkâ, Jos 15:19, Jug 1:15) en y ajoutant parfois une ou plusieurs esclaves (Ge 16:1 29:24,29). Cette coutume est certainement ancienne, car le rédacteur élohiste reproche assez vivement à Laban de ne pas l'avoir observée (Ge 31:14-16). Ces cadeaux, dons et présents, restaient la propriété exclusive de la femme. Le mari n'avait par conséquent aucun pouvoir sur les esclaves de son épouse, et celle-ci pouvait même reprendre sa servante quand elle l'avait donnée comme concubine à son mari (Ge 16:6). La coutume de doter ses filles en les mariant n'est attestée dans l'A. T, qu'après l'exil (Tob 8:21).

Étant la propriété du mari, la femme est mineure, et elle restera mineure pendant tout son mariage. Le père du futur marié ayant fixé son choix (Ge 24:2 28:2 38:6, Jug 14:2), la jeune fille doit se soumettre : elle ne peut pas refuser le prétendant. Il arrivait naturellement en Israël, où les jeunes filles jouissaient d'une assez grande liberté (Ge 24:11-15 29:9 et suivants, Ex 2:16,1Sa 9:11), que des unions fussent décidées par libre consentement entre les futurs conjoints ; Esaü épouse même plusieurs femmes contre la volonté de sa famille (Ge 26:34 27:46). D'autre part, les parents consultaient parfois leur fille avant de prendre une décision (Ge 24:58). Mais en général l'autorité du père qui est le chef de la famille, qui peut vendre ses enfants comme esclaves (Ex 21:7) et qui a droit de vie et de mort sur eux (Jug 11:39,2Ro 16:3 21:6, Mic 6:7, De 21:18,21), est trop grande pour qu'une jeune fille puisse s'y opposer. Une règle toutefois devait être observée : on devait éviter les unions matrimoniales avec les étrangers (Ge 29:19, cf. Jug 14:3). De là l'interdiction si fréquente du connubium avec les Cananéens (Ge 24:3-37 28:1, Ex 34:15, De 7:3), qui a été en effet un danger pour le yahvisme ; de là encore le rigorisme d'Esdras (Esd 9-10, Ne 13:23 et suivants), contre lequel le petit livre de Ruth semble protester.

Une fois mariée, la femme se soumettra à la volonté de son époux, sans toutefois être son esclave. Celui-ci peut dissoudre le mariage qu'il a contracté, sans que l'épouse puisse s'y opposer. Il n'a même pas besoin d'indiquer des raisons : il suffit qu'il prononce la formule consacrée qui, vu l'analogie babylonienne, est peut-être conservée dans Os 2:2: « Elle n'est pas ma femme et je ne suis pas son mari. » Généralement il doit lui remettre la « lettre de divorce », séphèr kerithouth (Esa 50:1, De 24:1,3, Jer 3:8, cf. Mt 5:31 19:7, Mr 10:4), pour lui permettre de se remarier, coutume qui a été adoptée par l'islamisme. Dans ce cas, le mari renonce au mohar qu'il a payé, et la femme retourne dans sa famille. La loi deutéronomique essaya, mais en termes très vagues, de protéger la femme contre un renvoi arbitraire : il faut que le mari ait remarqué chez son épouse « quelque chose de honteux » (ervath dâbhâr, De 24:1). Le Deutéronome interdit aussi à l'homme de réépouser la femme qu'il a répudiée, quand celle-ci, remariée, est devenue veuve ou a été répudiée par son second mari. Ce n'est pas là la coutume ancienne, ainsi que le prouve l'exemple d'Osée.

Sous l'influence prophétique, une tendance visant l'inviolabilité du mariage prit naissance (Mal 2:14,16), mais elle ne paraît pas avoir rencontré la faveur générale. A preuve la grande liberté sexuelle dont jouissait l'homme, même marié. La fidélité conjugale du mari n'est exigée par aucune loi ; l'adultère n'existe pas pour l'homme. Seule la femme peut en être coupable, et, dans ce pas, elle mérite la peine de mort (De 22:22, Eze 16:38 et suivants, cf. Jn 8:5) ; le Deutéronome ne se montre sévère que pour l'homme qui a porté le trouble dans un autre ménage (De 22:22). Une ancienne coutume permettait à la femme accusée d'adultère de prouver son innocence par le moyen de l'ordalie, en buvant devant le prêtre « les eaux amères qui apportent la malédiction » (No 5 : et suivants).

Le mariage étant un acte purement laïque, aucune cérémonie religieuse ne le caractérisait. Dans les temps les plus anciens, la circoncision, cette cérémonie d'initiation d'origine africaine datant d'avant l'âge du bronze, car on se servait pour l'accomplir de couteaux de pierre (Ex 4:25, Jos 5:2 et suivant), paraît avoir été un des rites du mariage. Le mot khâthân-- fiancé, signifie « circoncis », et le beau-père, khôthén, est « celui qui circoncit ».

Nous ne connaissons aucune formule officielle destinée à consacrer l'union des deux conjoints. D'après Eze 16:8, le fiancé paraît avoir juré fidélité à sa future femme. Le même passage (cf. aussi Ru 3:9) parle d'un rite curieux d'après lequel le fiancé étend sur la fiancée le pan de sa robe, acte dans lequel on a reconnu un rite de « nostrification ». Dans Mal 2:16 le mot « vêtement » signifie probablement « femme » (cf. le Coran 2:183).

Le mariage avait lieu devant des témoins (Ru 4:11), qui prononçaient une bénédiction sur le couple. L'A. T, nous en a conservé deux exemples. A la mariée on disait : « O notre soeur, puisses-tu devenir des milliers de myriades, et que ta postérité possède la porte de ses ennemis ! » (Ge 24:60), et au mari : « Que l'Eternel rende la femme qui entre dans ta maison semblable à Rachel et à Léa qui toutes les deux ont bâti la maison d'Israël ! » (Ru 4 : et suivant). L'existence d'un contrat de mariage n'est attestée qu'après l'exil (Tob 7:13), mais cette coutume est certainement plus ancienne, car le Code de Hammourabi l'exige déjà, et d'autre part une vente en Israël était généralement fixée par contrat (Jer 32:10).

La fête familiale du mariage se célébrait en grande pompe. Le soir du jour fixé, le fiancé, orné d'un diadème (Esa 61:10, Ca 3:11) et accompagné de ses parents et amis (Jug 14:11, cf. Jn 3:29), se rend dans la maison de la fiancée. Celle-ci, richement parée (Esa 49:18 61:10, Jer 2:32) et entourée de ses amies (Ps 45:15), est alors solennellement conduite dans la maison du fiancé (Jer 7:34), acte qui symbolise l'entrée de la jeune femme dans la famille de son mari. C'est alors qu'a lieu le grand festin nuptial qui dure, comme chez les anciens Arabes, généralement une semaine (Ge 29:27, Jug 14:12), parfois quinze jours (Tob 8:18 et suivant). Pendant cette semaine, mari et mariée sont considérés et fêtés comme roi et reine, coutume qui s'est maintenue jusqu'à nos jours en Syrie, et pendant ces réjouissances on chantait (Jer 7:34 33:11) et on mimait même des chants nuptiaux dont le Cantique des Cantiques nous a conservé des exemples. Dans le cas où le fiancé entrait dans la tribu de sa femme (Moïse, Jacob, Samson) ou quand il s'agissait d'une jeune fille héritière parce qu'elle n'avait pas de frère (No 27:8 36:6 et suivants), les solennités avaient lieu dans la maison de la mariée (Ge 29:22, Jug 14:10 et suivants).

Quelque dur qu'ait été en général, en Israël, le sort de la femme, car non seulement elle était astreinte aux travaux domestiques, mais c'était encore elle qui labourait les champs et gardait les troupeaux, l'épouse, quand elle était mère et surtout quand elle avait donné naissance à des garçons, était revêtue d'une autorité analogue à celle du père. Le Décalogue exige des enfants d'honorer père et mère (Ex 20:12, De 5:16), et la loi deutéronomique réclame du fils l'obéissance à sa mère comme à son père (De 21:18). D'ailleurs, la situation de la femme a évolué avec le temps. Déjà le Yahviste fait d'elle non pas la propriété, mais l'aide de l'homme ; et les prophètes, qui ont si souvent présenté le rapport entre Yahvé et son peuple sous l'image d'un mariage, lui ont certainement attribué une grande valeur morale. Rien d'étonnant que nous lisions, à la fin du livre des Proverbes, l'éloge éloquent de l'épouse vertueuse (Pr 31:10-31).

Le mari mort, la situation de la veuve (voir ce mot) était en général très triste. N'ayant pas le droit d'hériter elle-même, elle faisait, dans les temps anciens, comme chez les Arabes, simplement partie de la succession du défunt et dépendait ainsi entièrement du bon vouloir d'un des héritiers prêt à se charger d'elle. Les prophètes se plaignent amèrement des. 1njustices auxquelles elle et ses enfants sont exposés (Esa 1:17,23 10:2, Jer 7:6 22:3, Eze 22:7, Za 7:10, Ps 94:6). C'est sous l'influence du prophétisme que le Deutéronome, marchant sur les traces du Code de l'Alliance (Ex 22:22), défend vigoureusement ses intérêts : il réclame pour elle le droit et l'équité (De 10:18 24:17-19 27:19). Le même Deutéronome a codifié une ancienne coutume (cf. Ge 38:8) existant aussi chez les Arabes, celle du lévirat, d'après laquelle le frère d'un homme mort sans laisser de fils doit épouser la veuve pour continuer la famille de son frère, car le premier-né issu de ce mariage sera considéré comme fils du défunt (De 25:5). En cas de refus de la part du beau-frère, « sa belle-soeur s'approchera de lui en présence des anciens, lui ôtera son soulier du pied et lui crachera au visage... Et sa maison sera appelée en Israël la maison du déchaussé » (De 25:9, cf. aussi Ru 4:7 et suivant). C'est ce que le Talmud (b. Jeb. 101a) nomme le rite de la halîtsâ, du verbe hâlats =enlever (le soulier).

Voir Famille, Femme, etc. Ch. J.

II Dans le Nouveau Testament.

Une nouvelle ère dans l'histoire du mariage commence à l'apparition du christianisme. Celui-ci donne à la famille une cohésion qu'elle n'a jamais eue auparavant, surtout dans le monde païen.

Le système chrétien fait de la monogamie une condition essentielle de la famille. La bigamie, qui avait été pratiquée comme une chose toute naturelle dans l'ancien Israël (De 21:15 et suivants, 1Sa 1:2) et qui n'avait peut-être pas entièrement disparu chez les Juifs du premier siècle, et la polygamie, que les rois d'Israël avaient considérée comme un de leurs privilèges, furent condamnées indirectement sinon en termes exprès, par les paroles dé Jésus insistant sur l'union intime, exclusive, dans le mariage, d'un homme avec une femme. « Ils deviendront une seule chair », dit Jésus (Mt 19:5), citant Ge 2:24, passage qui pour lui établissait un principe dont on n'aurait jamais dû s'écarter.

La monogamie étant ainsi placée à la base de la famille, les devoirs du mariage deviennent très précis. Jésus ne les énumère pas tout au long, mais ils découlaient de la déclaration déjà citée : « Ils deviendront une seule chair ». Les apôtres l'ont bien compris. « Jamais personne n'a haï sa propre chair » (Eph 5:29), remarque saint Paul, qui proclame nettement le devoir essentiel de l' amour entre époux. « Que chacun de vous aime sa femme comme lui-même » (Eph 5:33), « comme sa propre chair » (Eph 5:28), ou encore, car saint Paul semble accumuler ses recommandations sur ce point et chercher les plus expressives, « comme Christ a aimé l'Église » (Eph 5:25). Il n'y a donc pas de limites à l'affection pratique et active qu'un époux doit à son épouse. St Pierre, à son tour, insiste délicatement sur les égards dus par les maris à leurs femmes : « Montrez de la sagesse dans vos rapports avec vos femmes comme avec un sexe plus faible » (1Pi 3:7). Cet avis introduit le devoir de la pureté dans le mariage, qui apparaît aussi dans le précepte de Heb 13:4 : « Que le lit conjugal soit exempt de souillure. » C'est évidemment à cette condition seulement que l'enseignement de Eph 5:33 peut être réalisé : « Que la femme respecte son mari ! »

La fidélité est un troisième devoir réclamé par le N.T., et intimement lié aux deux autres. L'A. T, l'exigeait de la femme, mais non pas du mari ; et tant qu'il y eut des esclaves en Palestine, une femme ou une jeune fille, achetée ou captive, n'était pas protégée contre son maître (De 21:11 et suivant). Les anciens païens entrés dans l'Église étaient tentés de conserver des habitudes de relâchement que personne ne leur avait jamais reprochées. Aussi l'Église dut-elle prendre une attitude très nette. Le concile de Jérusalem condamna sans rémission toute espèce d'impudicité (Ac 15:20,29), et saint Paul fut toujours ferme sur ce point : il place les écarts sexuels en tête de la liste des grands péchés (1Th 4:3, Ga 5:19,1Co 6:13).

Quant à la femme, que la plupart des écrits du N.T. considèrent comme subordonnée à l'homme (1Co 11:7,10), elle a pour premier devoir conjugal l'obéissance . (Eph 5:22, Col 3:18,1Pi 3:1) Son mari est son seigneur ! (1Co 11:3) La soumission sied à la femme, estime saint Paul, puisqu'elle a été tirée de l'homme. Cependant l'enseignement chrétien contient en germe l'idée de l'égalité des sexes (Ga 3:28), et dans le passage si curieux de 1Co 11:3-10 la subordination proclamée au début est atténuée par les remarques qui suivent (verset et suivant).

La femme acquiert, par sa foi, sa majorité morale ; elle est héritière des mêmes privilèges éternels (1Pi 3:7), mais les dernières conséquences de ce principe, en ce qui concerne les relations entre époux, ne sont point tirées. Cette infériorité où le sexe féminin est encore maintenu se manifeste dans les observations de saint Paul au sujet du mariage des jeunes filles. Un père a l'autorité la plus complète sur sa fille : il la mariera s'il le juge à propos et comme il lui semblera bon (1Co 7:36-38),

Les remarques de l'apôtre à propos du mariage des vierges ( « celui qui marie sa fille fait bien, celui qui ne la marie pas fait mieux ») nous amènent à toucher la question de la valeur relative du célibat et de l'union conjugale, dans les enseignements du N.T. Au début de l'Église chrétienne, deux opinions s'opposaient chez les Juifs au sujet de cette valeur comparative. Le point de vue israélite traditionnel, et dominant, était très favorable au mariage, tenu à la fois pour un devoir et pour un privilège.

Les mariages précoces ne soulevaient pas d'objection : un adolescent pouvait se marier dès l'âge de 14 ans ; sa fiancée pouvait n'avoir que 12 ans. Il n'était guère admis qu'on fût encore célibataire à 20 ans. Par contre, les Esséniens, avec leurs principes dualistes, considéraient le mariage comme dégradant. Jésus prit une position intermédiaire entre ces deux théories. Il admettait le célibat comme normal dans certaines circonstances : conditions physiques, ou tâche spéciale réclamant d'un homme une consécration entière et exclusive à sa vocation (Il aurait pu citer à cet égard son propre cas) ; mais il tenait ces cas pour des exceptions, qui n'élevaient point le célibat au-dessus du mariage. Il considérait celui-ci comme d'institution divine (Mt 19:4 et suivant) et comme ayant, par conséquent, une valeur morale particulière.

Quant à l'apôtre Paul, tout au moins dans la première partie de son apostolat, c'est-à-dire tant qu'il attendit de son vivant le retour du Seigneur, il manifestait peu de sympathie pour l'état de mariage. Il est bon de se marier, sans doute ; et parfois, principalement si l'on veut avoir une conduite pure (1Co 7:9), c'est un devoir impérieux ; mais en somme on fait mieux de ne point se marier, si l'on en est capable (1Co 7:1,8). Ascétisme. essénien de la part de Paul ? C'est très peu probable.

Il pensait surtout aux difficultés d'existence des chrétiens de son temps : les persécutions les menaçaient constamment et s'abattaient brutalement sur eux de temps à autre ; en des temps pareils, c'était trop d'assumer la responsabilité d'une famille. De leur côté les ministres de Dieu avaient besoin d'une grande liberté d'action : célibataires ou veufs--. comme l'était probablement saint Paul--pouvaient se consacrer plus complètement au Seigneur (1Co 7:32). Par-dessus tout, l'apparition glorieuse de Christ semblait imminente : ce n'était vraiment pas le moment de fonder une famille sur la terre.

Mais un changement dans les idées eschatologiques de l'apôtre semble avoir modifié sa manière de comprendre le mariage. Il cessa d'y voir une sorte de pis-aller, une concession faite à des besoins somme toute inférieurs. Il le sanctifia pour ainsi dire dans son esprit et en vint à le considérer comme une relation comparable à celle du Christ avec l'Église, comme un état qui, bien compris, développe en l'homme et en la femme ce qu'ils ont de plus noble. En s'exprimant comme il le fait dans Eph 5:25-32, l'apôtre élevait le mariage à un niveau inconnu aussi bien dans le judaïsme que chez les païens, et certainement bien supérieur à celui d'un célibat aisément égoïste et mesquin.

De fait, saint Paul influa sur l'Église tant par son enseignement de 1Co 7, que par celui de Eph 5. Le catholicisme romain lut surtout les passages qui semblaient conférer au célibat une valeur particulière, tandis que, dans la grande réaction du XV° s., on médita avec un sentiment de libération les mystérieuses déclarations de Eph 5, et le mariage reconquit la place d'honneur qui lui revenait dans les intentions du Créateur.

Sous l'ancienne alliance, depuis l'exil en particulier, les mariages avec des étrangères étaient considérés par les Juifs comme une infidélité à un devoir national et religieux. De telles unions étaient souillées, elles portaient atteinte à la pureté de la race et de la vie. On sait ce qu'en pensait Esdras (Esd 9:1 10:2 et suivant), et on est frappé de l'énergie presque sauvage déployée par Néhémie pour les dissoudre (Ne 13:23-25). Les Juifs devaient donc pratiquer l' endogamie. Le N.T. ne connaît plus aucune restriction de ce genre. L'auteur du premier évang, semble se plaire à citer, parmi les ancêtres du Sauveur, deux « étrangères », dont le mariage avait pu paraître anormal à certains rigoristes juifs, Rahab (Jos 6:25, Mt 1:5) et Ruth (Ru 1:4, Mt 1:5). L'évangéliste manifeste ainsi une pensée universaliste, qui correspond aux déclarations bien claires de Paul (Ga 3:28, Col 3:11).

Le N.T. ne renferme aucune interdiction de certains mariages pour cause de parenté, naturelle ou « spirituelle », suivant un terme du droit canon. Dans ce domaine, on peut tout au plus citer le cas mentionné dans 1Co 5:1, où il est question d'une union que même les païens considéraient comme incestueuse et par conséquent illicite. Toutes les théories si compliquées de l'Église catholique interdisant un grand nombre de mariages--à moins d'une dispense toujours coûteuse--pour cause de consanguinité ou d'affinité, sont fondées sur le Pentateuque ou bien ont été créées par l'imagination féconde des légistes ecclésiastiques du Moyen âge.

Il convient de dire ici quelques mots de la clause prohibitive de 1Ti 3:2,12 : « Il faut que l'évêque soit irréprochable, mari d'une seule femme... les diacres doivent être maris d'une seule femme. » S'agit-il d'une entrave à la bigamie qui pouvait encore être courante dans certains pays ? Ce n'est pas absolument impossible, mais c'est très improbable. D'après tous les textes déjà étudiés, il va de soi que la monogamie devait être la règle dans l'Église, et que toute espèce d'infidélité conjugale était interdite aux chrétiens (1Co 6:12,18), à plus forte raison à l'évêque et au diacre. L'Église d'Orient y voit l'interdiction pour ceux-ci d'un second mariage en cas de veuvage. Mais aurait-on jugé répréhensible chez un homme ce qui est expressément recommandé pour les veuves encore jeunes ? (1Ti 5:14) Plus encore que les femmes, l'évêque et le diacre devaient éviter, en restant non mariés, de donner prise à la médisance. En somme, le sens le plus probable est le suivant : évêque et diacre doivent à priori juger illicite un mariage conclu après divorce ; le divorce, facile et fréquent dans le monde grec et romain, ne doit pas être admis couramment dans l'Église.

En effet, la seule rupture admissible du mariage est celle qui résulte de la mort d'un des conjoints (Ro 7:2 et suivant, 1Co 7:39). Le N.T. condamne le divorce, qui rompt artificiellement un mariage pour lui en substituer un autre. En cela, la nouvelle alliance se distingue de l'ancienne. Aux origines du peuple israélite, la rupture des liens du mariage était aisée, du moins en ce qui concerne l'époux, car l'épouse n'avait pas les mêmes droits. Un mari pouvait renvoyer, c'est-à-dire répudier, sa femme, quand elle avait cessé de lui plaire. Peu à peu, les moeurs s'adoucirent. La loi du Deutéronome (De 24:1) exigea que le mari écrivît une « lettre de divorce ». La simple obligation de s'asseoir pour écrire cette lettre empêchait le mari d'agir avec trop de précipitation et le forçait à motiver sa décision et à expliquer ce qu'il avait « trouvé en elle de honteux », expression vague où certains rabbins voyaient la mention d'une faute morale grave, tandis que d'autres prétendaient qu'un potage brûlé justifiait une répudiation. L'enseignement prophétique ne corroborait certainement pas une conception aussi futile des liens du mariage. Le Jéhoviste, dans Ge 2:18,25, en énonçant le principe que Jésus devait reprendre plus tard, proclamait par là même l'indissolubilité du mariage. Un texte plus tardif (Mal 2:16) déclare nettement que « Dieu hait la répudiation ».

Il est assez naturel qu'on soit venu demander à Jésus, « pour l'éprouver », ce qu'il pensait de cette question controversée du divorce et des cas où il serait justifié (Mt 19:3). Le Maître ne mit aucune ambiguïté dans sa réponse. Il n'admettait pas le mariage autrement qu'indissoluble. L'autorisation de répudier une femme, accordée par Moïse--c'est-à-dire par la Loi--était pour lui une concession faite temporairement à la dureté des coeurs (Mt 19:8) ; c'était une conséquence du péché. La règle à suivre, il la trouvait clairement indiquée dans le récit jéhoviste de la création : (Ge 2:22-24) « L'homme quittera son père et sa mère et il s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair », c'est-à-dire un même être physique et moral. La répudiation est donc l'équivalent d'un meurtre, tout comme l'adultère est l'équivalent d'un meurtre. Une création divine se trouve détruite : « Que l'homme ne sépare pas ce que Dieu a joint ! » (Mt 19:6).

Jésus se prononce donc d'une façon tout à fait catégorique. Ses paroles, telles que nous les trouvons dans le chapitre déjà cité (Mt 19), dans le parallèle Mr 10:2,9 et dans Lu 16:18, n'ouvrent la porte à aucune exception. Jésus n'admet ni la répudiation, laquelle dépend de la seule volonté du mari, ni le divorce qui, dans le droit moderne, peut être prononcé par une cour de justice, à la requête de l'un ou de l'autre des époux. Le mot lui-même de divorce n'appartient pas à la langue du N.T. On ne le retrouve que dans l'expression « la lettre de divorce » employée dans la traduction de De 24:1.

Les verbes grecs exprimant dans le N.T. la dissolution du mariage sont : dans les Synoptiques (Mt 1:19 5:31 19:8, Mr 10:2,4, Lu 16:18), apolueïn =délier, détacher, congédier, renvoyer, répudier ; dans 1Co 7:11,13, aphiénaï-- laisser aller, rejeter, répudier ; et dans 1Co 7:10,15, khôrizesthaï =se détacher, se séparer ou être séparé.

C'est seulement dans le passage de Matthieu parallèle à Lu 16:18, qui fait partie du sermon sur la montagne, que se trouve la petite clause devenue le point de départ de discussions sans fin : « Moi, je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour cause d'infidélité, l'expose à devenir adultère » (Mt 5:32) Examinons ce qu'implique cette parole. Et tout d'abord comment devons-nous comprendre la présence, dans le texte, de cette clause qui, dans un cas tout au moins, semble légitimer la répudiation alors que les autres paroles du Maître ne lui font aucune place dans les lois du Royaume ? Est-ce l'écho d'une tradition évangélique moins rigoriste, ou faut-il l'attribuer à l'évangéliste qui, ici et là, a donné une teinte particulière à certaines paroles de Jésus ? (Comp., par ex., Mt 6:9 et Lu 11:2, Mt 5:3 et Lu 6:20). Le problème est difficile à trancher.

Si l'on admet l'authenticité de cette parole, une difficulté surgit. Qu'autorise-t-elle, en somme ? Certains exégètes estiment que Jésus ne donne pas l'adultère comme motif de divorce, mais veut seulement dire : celui qui répudie sa femme l'expose à devenir adultère à moins que, par son dérèglement, elle ne se soit déjà rendue telle. Nous revenons ainsi à peu près au sens du texte parallèle, Lu 16:18. D'autres y voient davantage et expliquent ainsi ce verset : un seul cas peut justifier une répudiation, c'est le dérèglement de la femme, qui détruit le lien conjugal ; on en infère aisément que l'infidélité du mari légitimerait de la part de la femme une demande en divorce. Dans ces deux cas, répudiation et divorce ne font que constater une faute et en tirer la conséquence logique : suppression légale d'une union devenue impossible. C'est bien le sens qui semble le plus naturel.

Mais une nouvelle question se pose, non moins grave. Si Jésus semble avoir admis que l'infidélité d'un époux rompt les liens d'un mariage et par conséquent en entraîne l'annulation, s'ensuit-il qu'il admette et autorise un nouveau mariage de l'un ou l'autre époux ou des deux ? La réponse semble assez claire : aucune parole de Jésus ne justifie un second mariage. Si le premier est rompu par la mauvaise conduite de l'un des conjoints, c'est un fait déplorable qu'il faut accepter. La réconciliation des époux est désirable (1Co 7:11) ; mais une nouvelle union, même de l'époux lésé, n'a pas de base biblique.

C'est ainsi que l'Église catholique a compris les intentions du Maître, et conséquemment elle admet, et dans certains cas ordonne, la séparation a mensa et toro d'époux désunis, mais elle ne reconnaît pas la validité d'un divorce prononcé par un tribunal qui rendrait possible un second mariage. Il est vrai qu'elle pratique l'annulation en cour de Rome, qu'on accorde parfois pour les raisons les plus futiles, et qui permet aux ex-époux, si une cour de justice déclare leur union dissoute, de se remarier quand et comme ils le voudront.

L'Église anglicane est aussi sévère sur ce point que l'Église catholique ; on peut même dire qu'elle l'est davantage, puisqu'elle n'annule pas de mariages.

Les protestants, d'autre part, ont été généralement disposés à admettre comme biblique le divorce pour cause d'adultère et le droit à un autre mariage du conjoint lésé. Mais ils ne s'en sont pas tenus là et ils ont assimilé à l'adultère d'autres fautes graves qui détruisent les relations normales entre époux, telles que la brutalité, l'ivrognerie, l'abandon prolongé du toit conjugal. De fait, peu à peu, tout a passé par la petite porte entr'ouverte dans Mt 5:32, et on s'est trouvé bien loin de l'indissolubilité du mariage proclamée par Jésus.

Comment sortir de cet imbroglio ? Il nous semble qu'il faut nettement distinguer la parole de Jésus de toutes les conséquences qu'on en a tirées pour répondre à toutes sortes de besoins pratiques :

a) Jésus a donné les lois du Royaume de Dieu. Il s'est occupé de l'état moral normal des membres de ce royaume. Pour ceux qui lui appartiennent, il n'y a qu'une formule légitime du mariage : c'est l'union pour la vie. Le chrétien véritable ne connaît pas le divorce. Il ne doit en aucun cas y chercher un moyen de sortir d'une union qui ne lui a pas apporté tout ce qu'il avait espéré.

b) La société civile est obligée de prendre en considération une quantité de faits qui sont sans relation avec le royaume de lumière et de sainteté que Jésus est venu fonder. Il lui faut tenir compte des situations irrégulières créées en dehors de l'Évangile et mettre un peu d'ordre dans beaucoup de désordre. Elle doit, par exemple, donner un état civil et constituer une légitimité à de pauvres enfants, qui, sans cela, seraient nés hors mariage et qui auraient à en subir les conséquences. Il lui importe de diminuer le nombre des faux ménages. Les préceptes du sermon sur la montagne ne sont pas tels quels applicables dans le domaine légal. Ils représentent un idéal auquel il faut tendre, une loi de perfection dont on ne peut imposer toute la rigueur à ceux qui ne se réclament pas de Jésus-Christ. L'Evangile est intransigeant, la société est opportuniste.

On remarquera que saint Paul, dans 1Co 7, parle de mariages rompus pour une autre raison que l'adultère. Il se garde de conseiller aux chrétiens le recours à une séparation pour cause de différends dans le domaine des convictions religieuses, mais il les invite à l'accepter avec résignation, si l'initiative vient de l'époux ou de l'épouse incrédule. Seulement il n'admet pas la légitimité d'un nouveau mariage du conjoint chrétien (1Co 7:11). Le serviteur de Jésus est donc appelé à se plier à une discipline plus sévère que l'homme du monde, s'il veut rester fidèle aux préceptes de l'Evangile.

En résumé, nous pouvons dire que tout ce qui tend à consolider le mariage et, par le mariage, la famille, est évangélique. Tout ce qui le discrédite et l'affaiblit est étranger à l'enseignement de Jésus et de ses apôtres. Le Maître a voulu que le mariage fût une union sainte.

Le N.T. ne donne aucune indication sur la façon dont il faut célébrer un mariage chrétien ; il s'y trouve seulement quelques allusions aux usages juifs (Mt 22:2 25:1 et suivants, Lu 14:8, Jn 2:1). Ch. B.

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    • Genèse 2

      18 L'Eternel Dieu dit : « Il n'est pas bon que l'homme soit seul. Je lui ferai une aide qui soit son vis-à-vis. »
      22 L'Eternel Dieu forma une femme à partir de la côte qu'il avait prise à l'homme et il l'amena vers l'homme.
      23 L'homme dit : « Voici cette fois celle qui est faite des mêmes os et de la même chair que moi. On l'appellera femme parce qu'elle a été tirée de l'homme. »
      24 *C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et ils ne feront qu’un.
      25 L'homme et sa femme étaient tous les deux nus, et ils n'en avaient pas honte.

      Genèse 4

      1 Adam eut des relations conjugales avec sa femme Eve. Elle tomba enceinte et mit au monde Caïn. Elle dit : « J'ai donné vie à un homme avec l'aide de l'Eternel. »
      19 Lémec prit deux femmes. L'une s’appelait Ada, l'autre Tsilla.

      Genèse 16

      1 Saraï, la femme d'Abram, ne lui avait pas donné d'enfants, mais elle avait une servante égyptienne du nom d'Agar.
      3 Alors Saraï, la femme d'Abram, prit l'Egyptienne Agar, qui était sa servante, et elle la donna pour femme à son mari Abram, 10 ans après l'installation d'Abram dans le pays de Canaan.
      4 Il eut des relations avec Agar et celle-ci tomba enceinte. Quand elle se vit enceinte, elle regarda sa maîtresse avec mépris.
      6 Abram répondit à Saraï : « Ta servante est en ton pouvoir. Traite-la comme tu le jugeras bon. » Alors Saraï maltraita Agar, de sorte que celle-ci s'enfuit loin d'elle.

      Genèse 19

      36 Les deux filles de Lot tombèrent enceintes de leur père.

      Genèse 20

      12 De plus, il est vrai qu'elle est ma sœur, puisqu'elle est la fille de mon père ; seulement, elle n'est pas la fille de ma mère et elle est devenue ma femme.

      Genèse 24

      2 Abraham dit à son plus ancien serviteur, qui était l'intendant de tous ses biens : « Mets ta main sous ma cuisse
      3 et je vais te faire jurer au nom de l'Eternel, le Dieu du ciel et le Dieu de la terre, de ne pas prendre pour mon fils une femme parmi les filles des Cananéens au milieu desquels j'habite,
      4 mais d'aller prendre une femme pour mon fils Isaac dans mon pays et dans ma patrie. »
      5 Le serviteur lui répondit : « Peut-être la femme ne voudra-t-elle pas me suivre dans ce pays-ci. Devrai-je conduire ton fils dans le pays d'où tu es sorti ? »
      6 Abraham lui dit : « Garde-toi bien d'y conduire mon fils !
      7 L'Eternel, le Dieu du ciel, qui m'a fait quitter ma famille et ma patrie, qui m'a parlé et qui m'a juré : ‘Je donnerai ce pays à ta descendance’, enverra lui-même son ange devant toi. C'est là que tu prendras une femme pour mon fils.
      8 Si la femme ne veut pas te suivre, tu seras dégagé du serment que je te fais faire. Seulement, tu n'y conduiras pas mon fils. »
      9 Le serviteur mit sa main sous la cuisse de son seigneur Abraham et lui jura de se conformer à ces paroles.
      10 Le serviteur prit dix chameaux parmi ceux de son seigneur et il partit avec tous les biens de son seigneur à sa disposition. Il se leva et se rendit en Mésopotamie, dans la ville de Nachor.
      11 Il fit reposer les chameaux sur leurs genoux près d'un puits à l'extérieur de la ville. C’était le soir, le moment où les femmes qui vont puiser de l'eau sortent.
      12 Il dit : « Eternel, Dieu de mon seigneur Abraham, donne-moi du succès aujourd'hui et fais preuve de bonté envers mon seigneur Abraham !
      13 Voici que je me tiens près de la source d'eau, et les filles des habitants de la ville vont sortir pour puiser de l'eau.
      14 Que la jeune fille à laquelle je dirai : ‘Penche ta cruche pour que je boive’et qui répondra : ‘Bois et je donnerai aussi à boire à tes chameaux’soit celle que tu as destinée à ton serviteur Isaac ! Par là je reconnaîtrai que tu fais preuve de bonté envers mon seigneur. »
      15 Il n'avait pas encore fini de parler que Rebecca sortit, sa cruche sur l'épaule. Elle était la fille de Bethuel, fils de Milca, femme de Nachor, le frère d'Abraham.
      16 C'était une jeune fille très belle. Elle était vierge, aucun homme n'avait eu de relations avec elle. Elle descendit à la source, remplit sa cruche et remonta.
      17 Le serviteur courut à sa rencontre et dit : « Laisse-moi boire un peu d'eau de ta cruche. »
      18 Elle répondit : « Bois, mon seigneur » et s'empressa de descendre sa cruche sur sa main et de lui donner à boire.
      19 Quand elle eut fini de lui donner à boire, elle dit : « Je puiserai aussi pour tes chameaux, jusqu'à ce qu'ils aient assez bu. »
      20 Elle s'empressa de vider sa cruche dans l'abreuvoir et courut encore au puits pour puiser. Elle puisa pour tous les chameaux.
      21 L'homme la regardait sans rien dire, pour voir si l'Eternel faisait réussir son voyage ou non.
      22 Quand les chameaux eurent fini de boire, l'homme prit un anneau en or qui pesait 6 grammes, ainsi que deux bracelets en or qui pesaient 120 grammes pour ses poignets,
      23 puis il dit : « De qui es-tu la fille ? Dis-le-moi, je t'en prie. Y a-t-il chez ton père de la place pour passer la nuit ? »
      24 Elle répondit : « Je suis la fille de Bethuel, le fils de Milca et de Nachor. »
      25 Elle lui dit encore : « Il y a de la paille et du fourrage en abondance chez nous, et aussi de la place pour passer la nuit. »
      26 Alors l'homme s'inclina et adora l'Eternel
      27 en disant : « Béni soit l'Eternel, le Dieu de mon seigneur Abraham, qui n'a pas renoncé à sa bonté et à sa fidélité envers mon seigneur ! Moi-même, l'Eternel m'a conduit chez la famille de mon seigneur. »
      28 La jeune fille courut raconter cela chez sa mère.
      29 Rebecca avait un frère du nom de Laban. Laban courut dehors vers l'homme, près de la source.
      30 Il avait vu l'anneau et les bracelets aux poignets de sa sœur, et il avait entendu sa sœur Rebecca dire : « Voici comment m'a parlé cet homme. » Il vint donc vers cet homme, toujours près des chameaux, vers la source.
      31 Il lui dit : « Viens, toi qui es béni de l'Eternel ! Pourquoi resterais-tu dehors ? J'ai préparé la maison et une place pour les chameaux. »
      32 L'homme arriva à la maison. Laban fit décharger les chameaux. Il donna de la paille et du fourrage aux chameaux, ainsi que de l'eau pour laver les pieds de l'homme et de ses compagnons.
      33 Puis il lui servit à manger, mais l'homme dit : « Je ne mangerai pas avant d'avoir dit ce que j'ai à dire. » « Parle ! » dit Laban.
      34 Alors il dit : « Je suis un serviteur d'Abraham.
      35 L'Eternel a comblé mon seigneur de bénédictions, si bien qu’il est devenu puissant. Il lui a donné des brebis et des bœufs, de l'argent et de l'or, des serviteurs et des servantes, des chameaux et des ânes.
      36 Sara, la femme de mon seigneur, a donné dans sa vieillesse un fils à mon seigneur et il lui a fait don de tout ce qu'il possède.
      37 Mon seigneur m'a fait prêter serment en disant : ‘Tu ne prendras pas pour mon fils une femme parmi les filles des Cananéens, dont j'habite le pays,
      53 Le serviteur sortit des objets d'argent, des objets d'or et des vêtements qu'il donna à Rebecca. Il fit aussi de généreux cadeaux à son frère et à sa mère.
      58 Ils appelèrent donc Rebecca et lui dirent : « Veux-tu partir avec cet homme ? » Elle répondit : « Oui. »
      60 Ils bénirent Rebecca et lui dirent : « Toi qui es notre sœur, deviens l’ancêtre de millions de personnes et que ta descendance possède les villes de ses ennemis ! »

      Genèse 26

      29 Jure que tu ne nous feras aucun mal, de même que nous ne t'avons pas maltraité, que nous t'avons fait seulement du bien et que nous t'avons laissé partir dans la paix. Maintenant, tu es béni de l'Eternel. »
      34 A l'âge de 40 ans, Esaü prit pour femmes Judith, fille de Beéri le Hittite, et Basmath, fille d'Elon le Hittite.

      Genèse 27

      46 Rebecca dit à Isaac : « Je suis dégoûtée de la vie à cause de nos belles-filles hittites. Si Jacob prend une femme comme celles-ci parmi les Hittites, parmi les filles du pays, à quoi me sert la vie ? »

      Genèse 28

      1 Isaac appela Jacob, le bénit et lui ordonna : « Tu ne prendras pas une femme cananéenne.
      2 Lève-toi, va à Paddan-Aram, chez Bethuel, le père de ta mère, et prends-y une femme parmi les filles de Laban, le frère de ta mère.

      Genèse 29

      9 Il leur parlait encore quand Rachel arriva avec le troupeau de son père. En effet, elle était bergère.
      19 Laban dit : « Je préfère te la donner à toi qu’à un autre homme. Reste chez moi ! »
      22 Laban réunit tous les habitants de l'endroit et donna un festin.
      24 Laban donna sa servante Zilpa pour servante à sa fille Léa.
      27 Termine la semaine avec celle-ci et nous te donnerons aussi l'autre pour le service que tu feras encore chez moi pendant sept nouvelles années. »
      29 Laban donna sa servante Bilha pour servante à sa fille Rachel.
      32 Léa tomba enceinte et mit au monde un fils qu’elle appela Ruben, car elle dit : « L'Eternel a vu mon humiliation et désormais mon mari m'aimera. »

      Genèse 30

      1 Lorsque Rachel vit qu'elle ne donnait pas d'enfants à Jacob, elle fut jalouse de sa sœur et dit à Jacob : « Donne-moi des enfants ou je meurs ! »
      6 Rachel dit : « Dieu m'a rendu justice, il m’a même écoutée et m'a accordé un fils. » C'est pourquoi elle l'appela Dan.
      14 Ruben sortit à l'époque de la moisson des blés et trouva des mandragores dans les champs. Il les apporta à sa mère Léa. Rachel dit alors à Léa : « Donne-moi, je t’en prie, des mandragores de ton fils. »
      18 Léa dit : « Dieu m'a donné mon salaire parce que j'ai donné ma servante à mon mari » et elle l'appela Issacar.

      Genèse 31

      14 Rachel et Léa lui répondirent : « Avons-nous encore une part et un héritage chez notre père ?
      15 Ne sommes-nous pas considérées par lui comme des étrangères, puisqu'il nous a vendues et a même mangé notre argent ?
      16 Toute la richesse que Dieu a enlevée à notre père nous appartient, à nous et à nos enfants. Fais maintenant tout ce que Dieu t'a dit. »

      Genèse 34

      1 Dina, la fille que Léa avait donnée à Jacob, sortit pour voir les filles du pays.
      2 Sichem, fils de Hamor, le prince du pays, la vit. Il l'enleva et coucha avec elle, il la viola.
      3 Il s'attacha à Dina, la fille de Jacob ; il aima cette jeune fille et parla à son cœur.
      4 Sichem dit alors à son père Hamor : « Donne-moi cette jeune fille pour femme. »
      5 Jacob apprit qu'il avait déshonoré sa fille Dina. Comme ses fils étaient aux champs avec son troupeau, il garda le silence jusqu'à leur retour.
      6 Hamor, le père de Sichem, alla trouver Jacob pour lui parler.
      7 Les fils de Jacob revenaient des champs lorsqu'ils apprirent la nouvelle. Ces hommes furent irrités et se mirent dans une grande colère parce que Sichem avait commis un acte odieux contre Israël : il avait couché avec la fille de Jacob, ce qui n'aurait pas dû se faire.
      8 Hamor leur tint ce discours : « Mon fils Sichem est tombé amoureux de votre fille. Donnez-la-lui pour femme, je vous en prie.
      9 Alliez-vous par mariage avec nous ! Vous nous donnerez vos filles et vous prendrez les nôtres pour vous.
      10 Vous habiterez avec nous et le pays sera à votre disposition. Restez pour y faire du commerce et y acquérir des propriétés. »
      11 Sichem dit au père et aux frères de Dina : « Si seulement je trouve grâce à vos yeux, je donnerai ce que vous me direz.
      12 Réclamez-moi une forte dot et beaucoup de cadeaux, et je donnerai ce que vous me direz, mais accordez-moi la jeune fille pour femme. »
      13 Les fils de Jacob répondirent en parlant avec ruse à Sichem et à son père Hamor, parce que Sichem avait déshonoré leur sœur Dina.
      14 Ils leur dirent : « Donner notre sœur à un homme incirconcis, c'est quelque chose que nous ne pouvons pas faire : ce serait une honte pour nous.
      15 Nous ne donnerons notre accord qu'à la condition que vous deveniez pareils à nous et que tout homme parmi vous soit circoncis.
      16 Alors nous vous donnerons nos filles et nous prendrons les vôtres pour nous, nous habiterons avec vous et nous formerons un seul peuple.
      17 En revanche, si vous ne voulez pas nous écouter et vous faire circoncire, nous prendrons notre fille et partirons. »
      18 Hamor et son fils Sichem approuvèrent ces paroles.
      19 Le jeune homme ne tarda pas à faire ce qui avait été dit, car il aimait la fille de Jacob. Il était estimé de tous chez son père.
      20 Hamor et son fils Sichem se rendirent à la porte de leur ville et dirent à leurs concitoyens :
      21 « Ces hommes ont des intentions paisibles envers nous. Qu'ils restent dans le pays et qu'ils y fassent du commerce ! Le pays est assez vaste pour eux. Nous prendrons leurs filles pour femmes et nous leur donnerons nos filles.
      22 Cependant, ces hommes ne seront d'accord d'habiter avec nous pour former un seul peuple qu'à la condition que tout homme parmi nous soit circoncis, tout comme ils sont eux-mêmes circoncis.
      23 Leurs troupeaux, leurs biens et tout leur bétail ne nous appartiendront-ils pas ? Acceptons seulement leur condition pour qu'ils restent avec nous ! »
      24 Tous ceux qui étaient venus à la porte de la ville écoutèrent Hamor et son fils Sichem. Tous les hommes se firent circoncire, tous ceux qui étaient venus à la porte de la ville.
      25 Trois jours plus tard, alors qu'ils étaient souffrants, Siméon et Lévi, deux fils de Jacob frères de Dina, prirent chacun leur épée, surprirent la ville qui se croyait en sécurité et tuèrent tous les hommes.
      26 Ils passèrent aussi au fil de l'épée Hamor et son fils Sichem. Ils enlevèrent Dina de la maison de Sichem et sortirent.
      27 Les fils de Jacob se jetèrent sur les morts et pillèrent la ville parce qu'on avait déshonoré leur sœur.
      28 Ils prirent leurs troupeaux, leurs bœufs et leurs ânes, ce qui était dans la ville et ce qui était dans les champs.
      29 Ils emmenèrent en guise de butin toutes leurs richesses, leurs enfants et leurs femmes, ainsi que tout ce qui se trouvait dans les maisons.
      30 Jacob dit alors à Siméon et à Lévi : « Vous me troublez en provoquant le dégoût des habitants du pays, des Cananéens et des Phéréziens, envers moi. Je n'ai qu'un petit nombre d'hommes. Ils se rassembleront contre moi, me frapperont et je serai détruit avec ma famille. »
      31 Ils répondirent : « Peut-on traiter notre sœur comme une prostituée ? »

      Genèse 36

      2 Esaü avait épousé des femmes cananéennes : Ada, fille d'Elon le Hittite, et Oholibama, fille d'Ana et petite-fille de Tsibeon le Hévien,

      Genèse 38

      6 Juda prit pour Er, son fils aîné, une femme du nom de Tamar.
      8 Alors Juda dit à Onan : « Unis-toi à la femme de ton frère, remplis tes devoirs de beau-frère envers elle et donne une descendance à ton frère. »

      Exode 2

      16 Le prêtre de Madian avait sept filles. Celles-ci vinrent puiser de l'eau et elles remplirent les abreuvoirs pour faire boire le troupeau de leur père.

      Exode 4

      25 Séphora prit une pierre tranchante, coupa le prépuce de son fils et le jeta aux pieds de Moïse en disant : « Tu es pour moi un mari de sang ! »

      Exode 18

      2 Jéthro, beau-père de Moïse, prit Séphora, la femme de Moïse. C’était après son renvoi.
      6 Il fit dire à Moïse : « Moi, ton beau-père Jéthro, je viens te trouver avec ta femme, et ses deux fils l’accompagnent. »

      Exode 20

      12 * » Honore ton père et ta mère afin de vivre longtemps dans le pays que l'Eternel, ton Dieu, te donne.

      Exode 21

      7 » Si un homme vend sa fille comme esclave, elle ne sortira pas libre comme le font les esclaves de sexe masculin.

      Exode 22

      16 Si le père refuse de la lui accorder en mariage, il paiera en argent la valeur de la dot des jeunes filles vierges.
      17 » Tu ne laisseras pas vivre la magicienne.
      22 Si tu leur fais du mal et qu'ils viennent à moi, j'entendrai leurs cris.

      Exode 34

      15 Prends bien garde de ne pas faire alliance avec les habitants du pays : ils risqueraient de t’inviter lorsqu’ils se prostituent à leurs dieux et leur offrent des sacrifices, et tu mangerais des victimes qu’ils ont sacrifiées ;

      Lévitique 18

      9 » Tu ne dévoileras pas la nudité de ta sœur, fille de ton père ou fille de ta mère, qu’elle soit née dans la maison ou en dehors de la maison.

      Lévitique 20

      17 » Si un homme épouse sa sœur, fille de son père ou de sa mère, s'il voit sa nudité et qu'elle voie la sienne, c'est une honte ; ils seront exclus sous les yeux des membres de leur peuple. Il a dévoilé la nudité de sa sœur, il supportera les conséquences de sa faute.

      Nombres 5

      1 L'Eternel dit à Moïse :
      2 « Ordonne aux Israélites de renvoyer du camp tout lépreux et toute personne qui a un écoulement ou est souillée par un mort.
      3 Hommes ou femmes, vous les renverrez à l’extérieur du camp, vous les renverrez afin qu'ils ne souillent pas le camp au milieu duquel je demeure. »
      4 C’est ce que firent les Israélites : ils renvoyèrent ces personnes à l’extérieur du camp ; les Israélites agirent comme l'Eternel l'avait ordonné à Moïse.
      5 L'Eternel dit à Moïse :
      6 « Transmets ces instructions aux Israélites : Lorsqu'un homme ou une femme péchera contre son prochain en commettant une infidélité envers l'Eternel et qu'il se rendra ainsi coupable,
      7 il confessera son péché et il restituera l'objet mal acquis dans son intégralité en y ajoutant un cinquième. Il le remettra à celui envers qui il s'est rendu coupable.
      8 S'il n'y a personne qui ait droit à la restitution de l'objet mal acquis, cet objet revient à l'Eternel, au prêtre, en plus du bélier expiatoire avec lequel on fera l'expiation pour le coupable.
      9 Toute part prélevée sur les offrandes consacrées par les Israélites appartiendra au prêtre à qui elles seront présentées.
      10 Ce qu'on aura consacré lui appartiendra, ce qu'on lui aura remis lui appartiendra. »
      11 L'Eternel dit à Moïse :
      12 « Transmets ces instructions aux Israélites : Supposons qu’une femme se détourne de son mari et lui devienne infidèle,
      13 qu’un autre couche avec elle à l’insu de son mari et qu’elle se rende impure en secret, sans qu'il y ait de témoin contre elle et sans qu'elle soit prise sur le fait ;
      14 supposons que le mari soit saisi d'un esprit de jalousie et soupçonne sa femme, qu’elle se soit effectivement rendue impure ou non.
      15 Le mari amènera sa femme au prêtre et apportera en offrande pour elle 2 litres de farine d'orge. Il n'y versera pas d'huile et n'y mettra pas d'encens, car c'est une offrande de jalousie, une offrande de souvenir qui rappelle une faute.
      16 Le prêtre fera approcher la femme et la fera se tenir debout devant l'Eternel.
      17 Il prendra de l'eau consacrée dans un récipient en terre, il prendra aussi de la poussière sur le sol du tabernacle et la mettra dans l'eau.
      18 Le prêtre fera tenir la femme debout devant l'Eternel. Il défera la chevelure de la femme et posera sur ses mains l'offrande de souvenir, l'offrande de jalousie, tandis que lui-même tiendra dans sa main l’eau amère qui apporte la malédiction.
      19 » Le prêtre fera jurer la femme et lui dira : ‘Si aucun homme n'a couché avec toi et si tu ne t’es pas tournée vers un autre que ton mari pour te rendre impure, sois reconnue innocente par cette eau amère porteuse de malédiction.
      20 Mais si tu t’es tournée vers un autre que ton mari et t’es rendue impure, si un autre homme que ton mari a couché avec toi…’
      21 Le prêtre fera jurer la femme avec un serment de malédiction et ajoutera : ‘Que l'Eternel te fasse servir d’exemple dans les malédictions et les serments au milieu de ton peuple en faisant dessécher ta cuisse et enfler ton ventre,
      22 et que cette eau porteuse de malédiction pénètre dans tes entrailles pour te faire enfler le ventre et dessécher la cuisse !’Et la femme dira : ‘Amen ! Amen !’
      23 » Le prêtre écrira ces malédictions dans un livre, puis les effacera avec l’eau amère.
      24 Il fera boire à la femme l’eau amère porteuse de malédiction et cette eau entrera en elle pour produire l'amertume.
      25 Le prêtre prendra l'offrande de jalousie des mains de la femme, fera le geste de présentation devant l'Eternel et l'offrira sur l'autel.
      26 Il prendra une poignée de cette offrande comme souvenir et la brûlera sur l'autel. C'est après cela qu'il fera boire l’eau à la femme.
      27 Quand il aura fait boire l’eau, si la femme s’est rendue impure et a été infidèle à son mari, l’eau porteuse de malédiction entrera en elle pour produire l'amertume ; son ventre enflera, sa cuisse se desséchera et cette femme servira d’exemple dans les malédictions au milieu de son peuple.
      28 Mais si la femme ne s'est pas rendue impure, si elle est pure, elle sera reconnue innocente et aura des enfants.
      29 » Telle est la loi sur la jalousie, pour le cas où une femme se tourne vers un autre que son mari et se rend impure,
      30 et pour le cas où un mari saisi d'un esprit de jalousie soupçonne sa femme. Le prêtre la fera se tenir debout devant l'Eternel et lui appliquera cette loi dans son intégralité.
      31 Le mari sera considéré comme innocent, mais la femme supportera les conséquences de sa faute. »

      Nombres 27

      8 Tu transmettras ces instructions aux Israélites : Lorsqu'un homme mourra sans laisser de fils, vous ferez passer son héritage à sa fille.

      Nombres 36

      6 Voici ce que l'Eternel ordonne au sujet des filles de Tselophchad : elles pourront se marier à qui elles voudront, pourvu que ce soit dans un clan de la tribu de leur père.

      Josué 5

      2 A cette époque-là, l'Eternel dit à Josué : « Fais-toi des couteaux de pierre et circoncis une nouvelle fois les Israélites. »

      Josué 6

      25 Josué laissa la vie à Rahab la prostituée, à sa famille et à tous les siens. Elle a habité au milieu d'Israël jusqu'à aujourd’hui, parce qu'elle avait caché les messagers que Josué avait envoyés pour explorer Jéricho.

      Josué 15

      16 Caleb dit : « Je donnerai ma fille Acsa en mariage à celui qui battra Kirjath-Sépher et s’en emparera. »
      19 Elle répondit : « Fais-moi un cadeau. Puisque tu m'as donné une terre située au sud, donne-moi aussi des sources d'eau. » Et Caleb lui donna les sources supérieures et les sources inférieures.

      Juges 1

      12 Caleb dit : « Je donnerai ma fille Acsa pour femme à celui qui battra Kirjath-Sépher et qui la prendra. »
      15 Elle lui répondit : « Fais-moi un cadeau. En effet, tu m'as donné une terre située au sud. Donne-moi aussi des sources d'eau. » Et Caleb lui donna les sources supérieures et les sources inférieures.

      Juges 8

      31 Sa concubine, qui résidait à Sichem, lui donna aussi un fils, qu’on appela Abimélec.

      Juges 9

      1 Abimélec, le fils de Jerubbaal, se rendit à Sichem vers les frères de sa mère, et voici comment il leur parla, ainsi qu'à tout le clan de son grand-père maternel :

      Juges 11

      2 La femme de Galaad lui donna des fils qui, devenus grands, chassèrent Jephthé et lui dirent : « Tu n’auras pas d’héritage dans la famille de notre père, car tu es le fils d'une autre femme. »
      39 Au bout des deux mois, elle revint vers son père et il accomplit sur elle le vœu qu'il avait fait. Elle n'avait pas eu de relations avec un homme. Il y eut depuis lors une prescription en Israël :

      Juges 13

      24 La femme mit au monde un fils et l’appela Samson. L'enfant grandit et l'Eternel le bénit.

      Juges 14

      1 Samson descendit à Thimna, et il y vit une jeune fille philistine.
      2 A son retour chez lui, il annonça à son père et à sa mère : « J'ai vu une jeune fille philistine à Thimna. Prenez-la maintenant pour ma femme. »
      3 Son père et sa mère lui dirent : « N'y a-t-il donc pas de femme dans notre tribu et dans notre peuple tout entier, pour que tu ailles prendre une femme chez les Philistins, ces incirconcis ? » Samson répéta à son père : « Prends-la pour moi, car elle me plaît. »
      10 Le père de Samson descendit chez la femme et là, Samson fit un festin, car c'était la coutume chez les jeunes hommes.
      11 Dès qu'on le vit, on invita 30 compagnons qui restèrent avec lui.
      12 Samson leur dit : « Je vais vous proposer une énigme. Si vous réussissez à m’en donner l’explication au cours des 7 jours du festin, si vous la découvrez, je vous donnerai 30 chemises et 30 vêtements de rechange.

      Juges 16

      4 Après cela, il aima une femme dans la vallée de Sorek. Elle s’appelait Delila.

      Juges 21

      21 Vous ferez le guet et, lorsque les filles de Silo sortiront pour danser, vous sortirez des vignes, vous enlèverez chacun une des filles de Silo pour faire d’elle votre femme, et vous repartirez dans le pays de Benjamin.

      Ruth 1

      4 Ils prirent des femmes moabites – l'une s’appelait Orpa et l'autre Ruth – et ils habitèrent là environ 10 ans.

      Ruth 3

      9 Il dit : « Qui es-tu ? » Elle répondit : « Je suis Ruth, ta servante. Etends le pan de ton manteau sur ta servante, car tu as droit de rachat. »

      Ruth 4

      1 Boaz monta à la porte de la ville et s'y arrêta. Or, celui qui avait droit de rachat et dont Boaz avait parlé vint à passer. Boaz lui dit : « Approche-toi, assieds-toi ici, toi un tel. » Il s'approcha et s’assit.
      2 Boaz prit alors dix hommes parmi les anciens de la ville et dit : « Asseyez-vous ici. » Ils s'assirent.
      3 Puis il dit à celui qui avait le droit de rachat : « Naomi est revenue du pays de Moab, et elle vend la parcelle de terre qui appartenait à notre frère Elimélec.
      4 J'ai cru devoir t'en informer et te dire : ‘Fais-en l’acquisition devant les habitants de la ville et les anciens de mon peuple.’Si tu veux la racheter, rachète-la, mais si tu ne veux pas, déclare-le-moi afin que je le sache. En effet, il n'y a personne avant toi qui ait le droit de rachat et je l'ai après toi. » Il répondit : « Je la rachèterai. »
      5 Boaz dit : « Le jour où tu achèteras le champ à Naomi, tu l’acquerras aussi de Ruth la Moabite, la femme du défunt, et tu devras maintenir le nom du défunt sur son héritage. »
      6 Celui qui avait le droit de rachat répondit : « Je ne peux pas exercer ce droit de rachat pour mon compte, sinon je détruirai mon héritage. Prends pour toi mon droit de rachat, car je ne peux pas l’exercer. »
      7 Autrefois en Israël, pour valider toute affaire relative à un rachat ou à un échange, on retirait sa sandale et on la donnait à l'autre : c’était ce geste qui servait d’attestation en Israël.
      8 Celui qui avait le droit de rachat dit donc à Boaz : « Fais-en l’acquisition pour ton compte » et retira sa sandale.
      9 Alors Boaz dit aux anciens et à tout le peuple : « Vous êtes témoins aujourd'hui que j'ai acquis de la main de Naomi tout ce qui appartenait à Elimélec, à Kiljon et à Machlon,
      10 et que j’ai également acquis pour femme Ruth la Moabite, femme de Machlon, pour maintenir le nom du défunt sur son héritage afin qu’il ne disparaisse pas parmi ses frères ni à la porte de sa ville. Vous en êtes témoins aujourd'hui ! »
      11 Tout le peuple qui était à la porte et les anciens dirent : « Nous en sommes témoins ! Que l'Eternel rende la femme qui entre dans ta famille semblable à Rachel et à Léa, qui ont toutes les deux donné naissance à la communauté d'Israël ! Montre ta force dans Ephrata et fais-toi un nom dans Bethléhem !
      12 Puisse la descendance que l'Eternel te donnera par cette jeune femme faire ressembler ta famille à celle de Pérets, que Tamar a donné à Juda ! »
      13 Boaz épousa Ruth ; elle devint sa femme et il s’unit à elle. L'Eternel permit à Ruth de devenir enceinte et elle mit au monde un fils.
      14 Les femmes dirent à Naomi : « Béni soit l'Eternel qui ne t'a pas laissée manquer aujourd'hui d’une personne ayant le droit de rachat ! Que son nom soit célébré en Israël !
      15 Cet enfant sera ton réconfort et le soutien de ta vieillesse, car ta belle-fille qui t'aime l'a mis au monde, elle qui vaut mieux pour toi que sept fils. »
      16 Naomi prit l'enfant, le serra sur sa poitrine et l’éleva.
      17 Les voisines lui donnèrent un nom en disant : « Un fils est né à Naomi », et elles l'appelèrent Obed. Ce fut le père d'Isaï, père de David.
      18 Voici la lignée de Pérets.
      19 Pérets eut pour fils Hetsron, Hetsron eut Ram, Ram eut Amminadab,
      20 Amminadab eut pour fils Nachshon, Nachshon eut Salmon,
      21 Salmon eut pour fils Boaz, Boaz eut Obed,
      22 Obed eut pour fils Isaï et Isaï eut David.

      1 Samuel 1

      2 Il avait deux femmes. L'une s'appelait Anne, l'autre Peninna ; Peninna avait des enfants, tandis qu’Anne n'en avait pas.
      6 Sa rivale la provoquait pour la pousser à s'irriter de ce que l'Eternel l'avait rendue stérile.
      20 Dans le cours de l'année, Anne devint enceinte et elle mit au monde un fils qu'elle appela Samuel, car, dit-elle, « je l'ai demandé à l'Eternel ».

      1 Samuel 9

      11 Alors qu’ils montaient à la ville, ils rencontrèrent des jeunes filles sorties pour puiser de l'eau et ils leur demandèrent : « Le voyant est-il ici ? »

      1 Samuel 17

      25 Chacun disait : « Avez-vous vu s'avancer cet homme ? C'est pour jeter un défi à Israël qu'il s'est avancé ! Si quelqu'un le tue, le roi le comblera de richesses, il lui donnera sa fille et libérera sa famille de tout impôt en Israël. »

      1 Samuel 18

      25 Saül dit : « Voici comment vous parlerez à David : ‘Le roi ne réclame aucune dot. Toutefois, il désire 100 prépuces de Philistins pour être vengé de ses ennemis.’ » Saül avait le projet de faire tomber David entre les mains des Philistins.

      2 Samuel 3

      2 David eut des fils à Hébron. Son aîné fut Amnon, qu’il eut d'Achinoam de Jizreel ;

      2 Samuel 13

      13 Où irais-je, moi, traîner ma honte ? Et toi, tu serais comme l'un des plus ignobles en Israël. Maintenant, parle donc au roi et il ne m’empêchera pas d’être à toi. »

      Esdras 9

      1 Cela fait, les chefs se sont approchés de moi en disant : « Le peuple d'Israël, les prêtres et les Lévites ne se sont pas séparés des populations installées dans la région ; ils imitent leurs pratiques abominables, oui, celles des Cananéens, des Hittites, des Phéréziens, des Jébusiens, des Ammonites, des Moabites, des Egyptiens et des Amoréens.
      2 En effet, ils ont pris certaines de leurs filles comme femmes pour eux et pour leurs fils, ils ont mêlé la sainte lignée aux populations installées dans la région. Les chefs et les magistrats ont été les premiers à commettre cet acte d’infidélité. »
      3 A cette nouvelle, j’ai déchiré mes vêtements et mon manteau, je me suis arraché les cheveux et la barbe et je me suis assis, accablé.
      4 A mes côtés se sont rassemblés tous ceux qui tremblaient devant les paroles prononcées par le Dieu d'Israël contre l’infidélité des exilés. Pour ma part, je suis resté assis, accablé, jusqu'à l'offrande du soir.
      5 Puis, au moment de l'offrande du soir, j’ai abandonné mon attitude d’humiliation, tout en gardant mes vêtements et mon manteau déchirés, suis tombé à genoux, ai tendu les mains vers l'Eternel, mon Dieu,
      6 et j’ai dit : « Mon Dieu, je suis dans la confusion. J’ai honte, mon Dieu, de lever le visage vers toi, car nos fautes sont nombreuses au point de nous submerger et notre culpabilité est si grande qu’elle atteint le ciel.
      7 Depuis l’époque de nos ancêtres et jusqu'à aujourd’hui, nous avons été grandement coupables, et c'est à cause de nos fautes que nous avons été livrés, nous, nos rois et nos prêtres, à la domination des rois étrangers, à l'épée, à la déportation, au pillage, à une honte pareille à celle qui couvre aujourd'hui notre visage.
      8 » Pourtant, l'Eternel, notre Dieu, vient de nous faire grâce en nous laissant quelques rescapés et en nous permettant de nous installer dans son saint lieu, en rendant la clarté à notre regard et en nous redonnant un peu de vie au milieu de notre esclavage.
      9 Oui, nous sommes des esclaves, mais notre Dieu ne nous a pas abandonnés dans notre esclavage : il a manifesté sa bonté en nous attirant la faveur des rois de Perse, en nous redonnant la vie afin que nous puissions reconstruire son temple et réparer ses ruines, et en nous fournissant un abri sûr en Juda et à Jérusalem.
      10 » Et maintenant, notre Dieu, que pouvons-nous dire après cela ? En effet, nous avons abandonné tes commandements,
      11 ceux que tu nous avais prescrits par l’intermédiaire de tes serviteurs les prophètes. Tu avais dit : ‘Le pays dans lequel vous entrez pour en prendre possession est un pays souillé par les impuretés des populations installées dans la région, par les pratiques abominables dont elles l'ont rempli, d'un bout à l'autre, avec leur impureté.
      12 Ne donnez donc pas vos filles en mariage à leurs fils et ne prenez pas leurs filles comme femmes pour vos fils. Ne recherchez jamais leur prospérité ni leur bien-être. Ainsi, vous deviendrez forts, vous mangerez les meilleurs produits du pays et vous le laisserez en héritage perpétuel à vos fils.’
      13 » Après tout ce qui nous est arrivé à cause de nos mauvaises actions et de notre grande culpabilité, et même si toi, notre Dieu, tu ne nous as pas punis avec toute la sévérité que méritaient nos fautes et nous as accordé ces rescapés,
      14 allons-nous recommencer à violer tes commandements et à nous allier par mariage avec des peuples capables de pratiques aussi abominables ? Ne t’irriterais-tu pas contre nous au point de nous exterminer, sans laisser ni reste ni rescapés ?
      15 Eternel, Dieu d'Israël, tu es juste, car nous ne sommes plus, aujourd’hui, qu’un reste de rescapés. Nous voici devant toi avec notre culpabilité, alors que nous ne devrions pas pouvoir nous tenir ainsi devant toi. »

      Esdras 10

      1 Pendant qu'Esdras faisait cette prière et cette confession, en pleurs, prosterné devant la maison de Dieu, une assemblée très nombreuse d'Israélites, hommes, femmes et enfants, s’était formée à ses côtés. En effet, le peuple pleurait abondamment.
      2 Alors Shecania, fils de Jehiel, qui était un descendant d'Elam, prit la parole. Il dit à Esdras : « Nous avons commis un acte d’infidélité envers notre Dieu, nous avons installé chez nous des femmes étrangères, issues des peuples qui habitent le pays. Pourtant, en dépit de cela, il y a un espoir pour Israël.
      3 Concluons maintenant une alliance avec notre Dieu en renvoyant toutes ces femmes et leurs enfants, suivant l’avis formulé par toi, seigneur, et par ceux qui tremblent devant les commandements de notre Dieu, et que l'on se conforme à la loi !
      4 Lève-toi, car cette affaire est de ton ressort. Quant à nous, nous sommes avec toi. Fortifie-toi et agis ! »
      5 Esdras se leva. Il fit jurer aux chefs des prêtres et des Lévites et à tout Israël qu’ils feraient ce qui venait d'être dit, et ils s’y engagèrent par serment.
      6 Puis Esdras quitta le devant de la maison de Dieu et se rendit dans la chambre de Jochanan, fils d'Eliashib. Il resta là sans manger ni boire, parce qu'il était en deuil à cause de l’infidélité des exilés.
      7 On fit passer dans Juda et à Jérusalem un message à l’intention de tous les Juifs issus de l’exil : ils devaient se réunir à Jérusalem ;
      8 tout homme qui ne s'y serait pas rendu dans un délai de trois jours se verrait, conformément à l’avis des chefs et des anciens, confisquer tous ses biens et serait lui-même exclu de l'assemblée des exilés.
      9 Tous les hommes de Juda et de Benjamin se rassemblèrent donc à Jérusalem dans les trois jours. C'était le vingtième jour du neuvième mois. Tout le peuple s’installa sur la place de la maison de Dieu, tremblant à la fois à cause de la situation et en raison de la pluie.
      10 Le prêtre Esdras se leva et leur dit : « Vous avez commis un acte d’infidélité, vous avez installé chez vous des femmes étrangères, augmentant ainsi la culpabilité d’Israël.
      11 Confessez maintenant votre faute à l'Eternel, le Dieu de vos ancêtres, et faites ce qui lui plaît ! Séparez-vous des populations du pays et des femmes étrangères ! »
      12 Toute l'assemblée répondit à voix haute : « Nous nous considérons comme tenus de faire ce que tu as dit,
      13 mais le peuple est nombreux, le temps est à la pluie et nous n’avons pas la force de rester dehors. D'ailleurs, ce n'est pas quelque chose qui peut se faire en un jour ou deux seulement, car il y en a beaucoup parmi nous qui se sont rendus coupables de cet acte de révolte.
      14 Que nos chefs restent donc à la place de toute l'assemblée ; tous ceux qui, dans chacune de nos villes, ont installé chez eux des femmes étrangères viendront à des moments fixés, accompagnés des anciens et des juges de leur ville, jusqu'à ce que l'ardente colère provoquée chez notre Dieu par cette affaire se soit détournée de nous. »
      15 Jonathan, fils d'Asaël, et Jachzia, fils de Thikva, furent les seuls à s’opposer à cette proposition, avec l’appui de Meshullam et du Lévite Shabthaï.
      16 Quant aux Juifs issus de l’exil, ils s’y conformèrent. On choisit le prêtre Esdras et des chefs de famille en les désignant tous nommément, et ils siégèrent le premier jour du dixième mois pour s'occuper de l’affaire.
      17 Le premier jour du premier mois, ils avaient fini de traiter le cas de tous les hommes qui avaient installé chez eux des femmes étrangères.
      18 Dans les familles des prêtres, on en trouva plusieurs qui avaient installé chez eux des femmes étrangères. Parmi les descendants de Josué, fils de Jotsadak, et ses frères, il y avait Maaséja, Eliézer, Jarib et Guedalia.
      19 Ils s'engagèrent à renvoyer leurs femmes et à offrir un bélier en sacrifice de culpabilité.
      20 Parmi les descendants d'Immer, il y avait Hanani et Zebadia ;
      21 parmi les descendants de Harim, Maaséja, Elie, Shemaeja, Jehiel et Ozias ;
      22 parmi les descendants de Pashhur, Eljoénaï, Maaséja, Ismaël, Nathanaël, Jozabad et Eleasa.
      23 Parmi les Lévites, il y avait Jozabad, Shimeï, Kélaja – c’est-à-dire Kelitha – Pethachja, Juda et Eliézer ;
      24 parmi les musiciens : Eliashib ; parmi les portiers : Shallum, Thélem et Uri.
      25 Dans le peuple d’Israël, il y avait, parmi les descendants de Pareosh, Ramia, Jizzija, Malkija, Mijamin, Eléazar, Malkija et Benaja ;
      26 parmi les descendants d'Elam, Matthania, Zacharie, Jehiel, Abdi, Jerémoth et Elie ;
      27 parmi les descendants de Zatthu, Eljoénaï, Eliashib, Matthania, Jerémoth, Zabad et Aziza ;
      28 parmi les descendants de Bébaï, Jochanan, Hanania, Zabbaï et Athlaï ;
      29 parmi les descendants de Bani, Meshullam, Malluc, Adaja, Jashub, Sheal et Ramoth ;
      30 parmi les descendants de Pachath-Moab, Adna, Kelal, Benaja, Maaséja, Matthania, Betsaleel, Binnuï et Manassé ;
      31 parmi les descendants de Harim, Eliézer, Jishija, Malkija, Shemaeja, Siméon,
      32 Benjamin, Malluc et Shemaria ;
      33 parmi les descendants de Hashum, Matthnaï, Matthattha, Zabad, Eliphéleth, Jerémaï, Manassé et Shimeï ;
      34 parmi les descendants de Bani, Maadaï, Amram, Uel,
      35 Benaja, Bédia, Keluhu,
      36 Vania, Merémoth, Eliashib,
      37 Matthania, Matthnaï, Jaasaï,
      38 Bani, Binnuï, Shimeï,
      39 Shélémia, Nathan, Adaja,
      40 Macnadbaï, Shashaï, Sharaï,
      41 Azareel, Shélémia, Shemaria,
      42 Shallum, Amaria et Joseph ;
      43 parmi les descendants de Nebo, Jeïel, Matthithia, Zabad, Zebina, Jaddaï, Joël et Benaja.
      44 Tous ces hommes avaient pris des femmes étrangères, et certains avaient eu des enfants d’elles.

      Néhémie 13

      23 A la même époque encore, j’ai vu des Juifs qui avaient installé chez eux des femmes asdodiennes, ammonites, moabites.
      24 La moitié de leurs fils parlaient l'asdodien mais ne savaient pas parler la langue des Juifs : c’était comme une langue étrangère pour eux.
      25 Je leur ai adressé des reproches et les ai menacés de malédictions. J’ai frappé quelques-uns de ces hommes, leur ai arraché des cheveux et leur ai fait prêter serment au nom de Dieu en disant : « Vous ne donnerez pas vos filles en mariage à leurs fils et vous ne prendrez leurs filles comme épouses ni pour vos fils ni pour vous.

      Psaumes 45

      15 Elle est présentée au roi, revêtue de ses habits brodés ; à sa suite, des jeunes filles, ses compagnes, sont amenées auprès de toi.

      Psaumes 94

      6 ils égorgent la veuve et l’étranger, ils assassinent les orphelins,

      Psaumes 127

      4 Les fils qu’un homme a dans sa jeunesse sont pareils à des flèches dans la main d’un guerrier :

      Proverbes 2

      17 qui abandonne l'ami de sa jeunesse et qui oublie l'alliance de son Dieu.

      Proverbes 12

      4 Une femme de valeur est une couronne pour son mari, mais celle qui fait honte est comme une carie dans ses os.

      Proverbes 17

      6 Les petits-enfants sont la couronne des vieillards, et les pères sont la gloire de leurs enfants.

      Proverbes 18

      22 Celui qui trouve une femme a trouvé le bonheur ; c'est une faveur qu'il a reçue de l'Eternel.

      Proverbes 19

      14 On peut hériter des parents une maison et des richesses, mais une femme prudente est un don de l'Eternel.

      Proverbes 31

      10 Qui trouvera une femme de valeur ? Elle vaut bien plus que des perles.
      11 Le cœur de son mari a confiance en elle, et c’est tout bénéfice pour lui.
      12 Elle lui fait du bien, et non du mal, tous les jours de sa vie.
      13 Elle se procure de la laine et du lin et travaille d'une main joyeuse.
      14 Pareille à un navire marchand, elle rapporte ses provisions de loin.
      15 Elle se lève alors qu'il fait encore nuit, et elle donne la nourriture à sa famille et ses ordres à ses servantes.
      16 Elle pense à un champ, et elle l'achète. Avec le fruit de son travail elle plante une vigne.
      17 Avec la force en guise de ceinture, elle affermit ses bras.
      18 Elle constate que ce qu'elle gagne est bon. Sa lampe ne s'éteint pas pendant la nuit :
      19 elle file elle-même la laine, elle tisse elle-même les habits.
      20 Elle ouvre ses bras au malheureux, elle tend la main au pauvre.
      21 Elle ne redoute pas la neige pour sa famille, car chacun y est habillé de cramoisi.
      22 Elle se fait des couvertures, elle a des habits en fin lin et en pourpre.
      23 Son mari est reconnu aux portes de la ville, lorsqu'il siège avec les anciens du pays.
      24 Elle fait des chemises et les vend, et elle livre des ceintures au marchand.
      25 La force et l'honneur, voilà ce qui l’habille. Elle rit en pensant à l'avenir.
      26 Elle ouvre la bouche avec sagesse et un enseignement plein de bonté est sur sa langue.
      27 Elle veille à la bonne marche de sa maison, elle ne mange pas le pain de la paresse.
      28 Ses fils se lèvent et la disent heureuse, son mari aussi, et il chante ses louanges :
      29 « Bien des femmes font preuve de valeur, mais toi, tu leur es à toutes supérieure. »
      30 La grâce est trompeuse et la beauté est illusoire ; c'est de la femme qui craint l'Eternel qu’on chantera les louanges.
      31 Donnez-lui du fruit de son travail et qu'aux portes de la ville ses œuvres fassent son éloge !

      Cantique 3

      11 Sortez, filles de Sion ! Regardez le roi Salomon avec sa couronne, celle dont sa mère l'a couronné le jour de son mariage, le jour où son cœur est rempli de joie !

      Cantique 6

      8 Il peut y avoir 60 reines, 80 concubines et des jeunes filles en quantité incalculable,

      Cantique 8

      8 Nous avons une petite sœur qui n'a pas encore de poitrine. Que ferons-nous de notre sœur, le jour où on la réclamera ?

      Esaïe 1

      17 Apprenez à faire le bien, recherchez la justice, protégez l'opprimé, faites droit à l'orphelin, défendez la veuve !
      23 Tes chefs sont des rebelles et sont complices des voleurs. Ils aiment tous les pots-de-vin et courent après les récompenses. Ils ne font pas droit à l'orphelin et la cause de la veuve ne les touche pas.

      Esaïe 7

      14 Voilà pourquoi c’est le Seigneur lui-même qui vous donnera un signe : *la vierge sera enceinte, elle mettra au monde un fils et l’appellera Emmanuel.

      Esaïe 8

      3 Je me suis uni à la prophétesse ; elle est tombée enceinte et a mis au monde un fils. L'Eternel m’a dit : « Appelle-le Maher-Shalal-Chash-Baz.

      Esaïe 10

      2 pour écarter les plus faibles des tribunaux et priver les plus humbles de mon peuple de leurs droits, pour faire des veuves leur proie et dépouiller les orphelins !

      Esaïe 49

      18 Lève les yeux et regarde tout autour : tous ils se rassemblent, ils viennent vers toi. Aussi vrai que je suis vivant, déclare l'Eternel, tu les enfileras tous comme des bijoux, tu t'en pareras à la manière d’une fiancée.

      Esaïe 50

      1 Voici ce que dit l'Eternel : Où est la lettre de divorce par laquelle j'ai renvoyé votre mère ? Ou bien auquel de mes créanciers vous ai-je vendus ? C'est à cause de vos fautes que vous avez été vendus et c'est à cause de vos transgressions que votre mère a été renvoyée.

      Esaïe 61

      10 Je me réjouirai en l'Eternel, tout mon être tressaillira d'allégresse à cause de mon Dieu, car il m'a habillé avec les vêtements du salut, il m'a couvert du manteau de la justice. Je suis pareil au jeune marié qui, tel un prêtre, se coiffe d'un turban splendide, à la jeune mariée qui se pare de ses bijoux.

      Jérémie 2

      32 La jeune fille oublie-t-elle ses bijoux, ou la fiancée sa parure ? Pourtant, mon peuple m'a oublié depuis un nombre de jours incalculable.

      Jérémie 3

      8 Alors même que j'ai renvoyé l'infidèle Israël à cause de tous ses adultères, que je lui ai donné sa lettre de divorce, j’ai constaté que sa sœur, Juda la traîtresse, n’en a éprouvé aucune peur et qu'elle est allée se prostituer de la même manière.

      Jérémie 7

      6 si vous n’exploitez pas l'étranger, l'orphelin et la veuve, si vous ne versez pas le sang innocent dans cet endroit et si vous ne vous tournez pas vers d'autres dieux pour votre malheur,
      34 Je ferai cesser dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem les cris de réjouissance et de joie, les chants du fiancé et de la fiancée, car le pays sera en ruine.

      Jérémie 22

      3 Voici ce que dit l’Eternel : Pratiquez le droit et la justice, délivrez celui qui est maltraité de son exploiteur, n’opprimez pas l'étranger, l'orphelin et la veuve, ne recourez pas à la violence et ne versez pas de sang innocent dans cet endroit !

      Jérémie 32

      10 J’ai écrit un contrat, l’ai cacheté devant des témoins, puis j’ai pesé l'argent dans une balance.

      Jérémie 33

      11 les cris de réjouissance et de joie, les chants du fiancé et de la fiancée. On entendra la voix de ceux qui disent : ‘Célébrez l'Eternel, le maître de l’univers, car il est bon. Oui, sa bonté dure éternellement’, la voix de ceux qui offrent des sacrifices de reconnaissance dans la maison de l'Eternel. En effet, je ramènerai les déportés du pays pour qu’ils retrouvent leur condition passée, dit l'Eternel.

      Ezéchiel 16

      8 Je suis passé près de toi et je t’ai regardée : tu étais en âge d’aimer. J’ai étendu sur toi le pan de mon habit, j’ai couvert ta nudité et je me suis engagé envers toi. Je suis entré dans une relation d’alliance avec toi, déclare le Seigneur, l'Eternel, et tu as été à moi.
      38 Je te jugerai comme on juge les femmes adultères et celles qui versent le sang, et je ferai de toi une victime ensanglantée par la fureur et la jalousie.

      Ezéchiel 22

      7 Chez toi, on méprise père et mère, on maltraite l'étranger, on opprime l'orphelin et la veuve.
      10 Chez toi, on dévoile la nudité d’un père. Chez toi, on humilie une femme impure à cause de ses règles.

      Osée 1

      1 Parole de l'Eternel adressée à Osée, fils de Beéri, durant les règnes d'Ozias, de Jotham, d'Achaz et d'Ezéchias sur Juda, et durant celui de Jéroboam, fils de Joas, sur Israël.
      2 Début des paroles de l’Eternel à Osée. L'Eternel dit à Osée : « Va prendre une femme prostituée et des enfants de prostitution ! En effet, le pays se prostitue, il abandonne l'Eternel. »
      3 Il alla prendre Gomer, fille de Diblaïm. Elle devint enceinte et lui donna un fils.
      4 L'Eternel lui dit : « Appelle-le Jizreel, car encore un peu de temps et j’interviendrai contre la famille de Jéhu à cause du sang versé à Jizreel, je mettrai fin au royaume de la communauté d'Israël.
      5 Ce jour-là, je briserai l'arc d'Israël dans la vallée de Jizreel. »
      6 Elle fut de nouveau enceinte et mit au monde une fille. L'Eternel dit à Osée : « Appelle-la Lo-Ruchama, car je ne continuerai plus à avoir compassion de la communauté d'Israël, je ne lui pardonnerai plus.
      7 En revanche, j'aurai compassion de la communauté de Juda. Je les sauverai par l'Eternel, leur Dieu, et je ne les sauverai ni par l'arc, ni par l'épée, ni par les combats, ni par les chevaux, ni par les cavaliers. »
      8 Elle sevra Lo-Ruchama, puis elle devint enceinte et mit au monde un fils.
      9 L'Eternel dit : « Appelle-le Lo-Ammi, car vous n'êtes pas mon peuple et moi, je ne suis pas votre Dieu.

      Osée 2

      1 » Cependant, les Israélites seront pareils, de par leur nombre, au sable de la mer : on ne peut pas le mesurer ni le compter. *Au lieu de leur dire : ‘Vous n'êtes pas mon peuple’, on leur dira : ‘Fils du Dieu vivant !’
      2 Les Judéens et les Israélites se rassembleront, ils se donneront un chef unique et sortiront du pays. En effet, elle sera grande, la journée de Jizreel.
      3 » Dites à vos frères : ‘Ammi !’et à vos sœurs : ‘Ruchama !’
      4 Plaidez, plaidez contre votre mère, car elle n'est pas ma femme et je ne suis pas son mari. Qu'elle retire de son visage ses prostitutions, et d'entre ses seins ses adultères !
      5 Sinon, je la déshabillerai pour qu’elle soit toute nue, je la rendrai pareille au jour de sa naissance ; je la transformerai en désert, je la changerai en une terre aride et je la ferai mourir de soif.
      6 » Je n'aurai pas compassion de ses enfants, car ce sont des enfants de prostitution.
      7 Leur mère s'est prostituée, celle qui les a conçus s'est déshonorée. En effet, elle a dit : ‘Je veux suivre mes amants, ceux qui me donnent mon pain et mon eau, ma laine et mon lin, mon huile et ma boisson.’
      8 Voilà pourquoi je vais fermer son chemin avec des ronces et y construire un mur afin qu'elle ne trouve plus ses sentiers :
      9 elle aura beau poursuivre ses amants, elle ne les rejoindra pas ; elle aura beau les chercher, elle ne les trouvera pas. Elle dira alors : ‘Je vais retourner vers mon premier mari, car j'étais plus heureuse à ce moment-là que maintenant.’
      10 » Elle n'a pas reconnu que c'était moi qui lui donnais le blé, le vin nouveau et l'huile, et l'on a consacré au service de Baal l'argent et l'or que je lui accordais en abondance.
      11 C'est pourquoi je reviendrai prendre mon blé à son époque et mon vin nouveau dans sa saison, et je retirerai ma laine et mon lin, eux qui devaient couvrir sa nudité.
      12 Maintenant je découvrirai sa honte aux yeux de ses amants et personne ne la délivrera de mon pouvoir.
      13 Je ferai cesser toute sa joie, ses fêtes, ses célébrations du début du mois, ses sabbats et toutes ses fêtes solennelles.
      14 Je dévasterai ses vignes et ses figuiers, eux dont elle disait : ‘Voilà le salaire que m'ont donné mes amants !’J'en ferai une forêt et les bêtes sauvages les dévoreront.
      15 » J’interviendrai contre elle à cause des jours où elle faisait brûler de l'encens en l’honneur des Baals, où elle se parait de ses anneaux et de ses colliers, où elle suivait ses amants, tandis que moi, elle m'oubliait, déclare l'Eternel.
      16 » C'est pourquoi, je veux la séduire et la conduire au désert, et je parlerai à son cœur.
      17 Là, je lui donnerai ses vignes et je ferai de la vallée d'Acor une porte d'espérance ; là, elle chantera comme à l’époque de sa jeunesse, comme le jour où elle est sortie d'Egypte.
      18 » Ce jour-là, déclare l'Eternel, tu m'appelleras : ‘Mon mari’et tu ne m'appelleras plus : ‘Mon maître !’
      19 » J’enlèverai de sa bouche les noms des Baals, si bien qu’on ne se souviendra même plus de leur nom.
      20 Ce jour-là, je conclurai pour eux une alliance avec les bêtes sauvages, les oiseaux du ciel et les reptiles de la terre ; je briserai dans le pays l'arc, l'épée et la guerre, et je les ferai reposer en sécurité.
      21 » Je te fiancerai à moi pour toujours. Je te fiancerai à moi par la justice, la droiture, la bonté et la compassion,
      22 je te fiancerai à moi par la fidélité, et tu connaîtras l'Eternel.
      23 » Ce jour-là, je répondrai, déclare l'Eternel, je répondrai au ciel et il répondra à la terre ;
      24 la terre répondra au blé, au vin nouveau et à l'huile, et ils répondront à Jizreel.
      25 *Je planterai Lo-Ruchama pour moi dans le pays et j’aurai compassion d’elle. Je dirai à Lo-Ammi : ‘Tu es mon peuple !’et il répondra : ‘Mon Dieu !’ »

      Osée 3

      1 L'Eternel m’a dit : « Va encore aimer une femme aimée d'un amant et adultère ! Aime-la comme l'Eternel aime les Israélites, alors qu’eux, ils se tournent vers d'autres dieux et aiment les gâteaux de raisins. »
      2 Je l'ai achetée pour 15 pièces d'argent et 330 litres d'orge.
      3 Je lui ai dit : « Tu resteras longtemps à moi, sans te livrer à la prostitution ni appartenir à aucun homme, et j'agirai de même envers toi. »
      4 En effet, les Israélites resteront longtemps sans roi, sans chef, sans sacrifice, sans statue, sans éphod et sans théraphim.
      5 Après cela, les Israélites reviendront. Ils rechercheront l'Eternel, leur Dieu, et David, leur roi, et ils retourneront en tremblant vers l'Eternel et vers sa bienveillance, dans l’avenir.

      Michée 6

      7 L'Eternel acceptera-t-il des milliers de béliers, des quantités de torrents d'huile ? Donnerai-je mon fils aîné pour ma révolte, mon enfant pour mon propre péché ? »

      Zacharie 7

      10 N'opprimez pas la veuve et l'orphelin, l'étranger et le pauvre, et ne méditez pas l'un contre l'autre le mal dans votre cœur.’

      Malachie 2

      14 et vous dites : « Pourquoi ? » Parce que l'Eternel a été témoin entre toi et la femme de ta jeunesse, que tu as trahie. Et pourtant, elle était ta compagne et la femme avec laquelle tu étais lié par une alliance.
      16 car je déteste le divorce, dit l'Eternel, le Dieu d'Israël, et celui qui couvre son habit de violence, dit l'Eternel, le maître de l’univers. Veillez sur votre esprit et ne commettez pas cette trahison !

      Matthieu 1

      5 Salmon eut Boaz de Rahab ; Boaz eut Obed de Ruth ;
      19 Joseph, son fiancé, qui était un homme juste et qui ne voulait pas l’exposer au déshonneur, se proposa de rompre secrètement avec elle.

      Matthieu 5

      3 « Heureux ceux qui reconnaissent leur pauvreté spirituelle, car le royaume des cieux leur appartient !
      31 » Il a été dit : Que celui qui renvoie sa femme lui donne une lettre de divorce.
      32 Mais moi, je vous dis : Celui qui renvoie sa femme, sauf pour cause d'infidélité, l'expose à devenir adultère, et celui qui épouse une femme divorcée commet un adultère.

      Matthieu 6

      9 » Voici donc comment vous devez prier : ‘Notre Père céleste ! Que la sainteté de ton nom soit respectée,

      Matthieu 18

      25 Comme il n'avait pas de quoi payer, son maître ordonna de le vendre, lui, sa femme, ses enfants et tout ce qu'il avait, afin d’être remboursé de cette dette.

      Matthieu 19

      1 Lorsque Jésus eut fini de prononcer ces paroles, il quitta la Galilée et alla dans le territoire de la Judée, de l'autre côté du Jourdain.
      2 De grandes foules le suivirent, et là il guérit les malades.
      3 Les pharisiens l'abordèrent et, pour lui tendre un piège, ils lui dirent : « Est-il permis à un homme de divorcer de sa femme pour n'importe quel motif ? »
      4 Il répondit : « N'avez-vous pas lu que le Créateur, au commencement, a fait l'homme et la femme
      5 et qu'il a dit : C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et les deux ne feront qu’un ?
      6 Ainsi, ils ne sont plus deux mais ne font qu’un. Que l'homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. »
      7 « Pourquoi donc, lui dirent-ils, Moïse a-t-il prescrit de donner une lettre de divorce à la femme lorsqu'on la renvoie ? »
      8 Il leur répondit : « C'est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de divorcer de vos femmes ; au commencement, ce n’était pas le cas.
      9 Mais je vous le dis, celui qui renvoie sa femme, sauf pour cause d’infidélité, et qui en épouse une autre commet un adultère, [et celui qui épouse une femme divorcée commet un adultère]. »
      10 Ses disciples lui dirent : « Si telle est la condition de l'homme vis-à-vis de la femme, il vaut mieux ne pas se marier. »
      11 Il leur répondit : « Tous ne comprennent pas cette parole, mais seulement ceux à qui cela est donné.
      12 En effet, il y a des eunuques qui le sont dès le ventre de leur mère, d'autres le sont devenus par les hommes, et il y en a qui se sont faits eux-mêmes eunuques à cause du royaume des cieux. Que celui qui peut comprendre comprenne. »
      13 Alors des gens lui amenèrent des petits enfants afin qu'il pose les mains sur eux et prie pour eux. Mais les disciples leur firent des reproches.
      14 Jésus dit : « Laissez les petits enfants, ne les empêchez pas de venir à moi, car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent. »
      15 Il posa les mains sur eux et partit de là.
      16 Un homme s'approcha et dit à Jésus : « [Bon] Maître, que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle ? »
      17 Il lui répondit : « Pourquoi m'appelles-tu bon ? Personne n'est bon, si ce n'est Dieu seul. Si tu veux entrer dans la vie, respecte les commandements. » « Lesquels ? » lui dit-il.
      18 Et Jésus répondit : « Tu ne commettras pas de meurtre ; tu ne commettras pas d'adultère ; tu ne commettras pas de vol ; tu ne porteras pas de faux témoignage ;
      19 honore ton père et ta mère et tu aimeras ton prochain comme toi-même. »
      20 Le jeune homme lui dit : « J'ai respecté tous ces commandements [dès ma jeunesse]. Que me manque-t-il encore ? »
      21 Jésus lui dit : « Si tu veux être parfait, va vendre ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi. »
      22 Lorsqu'il entendit cette parole, le jeune homme s'en alla tout triste, car il avait de grands biens.
      23 Jésus dit à ses disciples : « Je vous le dis en vérité, il est difficile à un riche d'entrer dans le royaume des cieux.
      24 Je vous le dis encore, il est plus facile à un chameau de passer par un trou d'aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu. »
      25 Quand les disciples entendirent cela, ils furent très étonnés et dirent : « Qui peut donc être sauvé ? »
      26 Jésus les regarda et leur dit : « Aux hommes cela est impossible, mais à Dieu tout est possible. »
      27 Pierre prit alors la parole et dit : « Voici, nous avons tout quitté et nous t'avons suivi. Que se passera-t-il pour nous ? »
      28 Jésus leur répondit : « Je vous le dis en vérité, quand le Fils de l'homme, au renouvellement de toutes choses, sera assis sur son trône de gloire, vous qui m'avez suivi, vous serez de même assis sur douze trônes et vous jugerez les douze tribus d'Israël.
      29 Et toute personne qui aura quitté à cause de moi ses maisons ou ses frères, ses sœurs, son père, sa mère, sa femme, ses enfants ou ses terres, recevra le centuple et héritera de la vie éternelle.
      30 Bien des premiers seront les derniers et bien des derniers seront les premiers.

      Matthieu 22

      2 « Le royaume des cieux ressemble à un roi qui fit des noces pour son fils.

      Matthieu 25

      1 » Alors le royaume des cieux ressemblera à dix jeunes filles qui ont pris leurs lampes pour aller à la rencontre du marié.

      Marc 10

      2 Les pharisiens l'abordèrent et, pour lui tendre un piège, ils lui demandèrent s'il est permis à un homme de divorcer de sa femme.
      4 « Moïse, dirent-ils, nous a permis d'écrire une lettre de divorce et de renvoyer notre femme. »
      9 Que l'homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. »

      Luc 1

      5 Durant le règne d'Hérode sur la Judée, il y avait un prêtre du nom de Zacharie, de la classe d'Abia ; sa femme était une descendante d'Aaron et s'appelait Elisabeth.

      Luc 6

      20 Alors Jésus leva les yeux sur ses disciples et dit : « Heureux vous qui êtes pauvres, car le royaume de Dieu est à vous !

      Luc 11

      2 Il leur dit : « Quand vous priez, dites : ‘[Notre] Père [céleste] ! Que la sainteté de ton nom soit respectée, que ton règne vienne, [que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. ]

      Luc 14

      8 « Lorsque tu es invité par quelqu'un à des noces, ne te mets pas à la meilleure place, de peur qu'il n'y ait parmi les invités une personne plus importante que toi

      Luc 16

      18 Tout homme qui renvoie sa femme et en épouse une autre commet un adultère, et tout homme qui épouse une femme divorcée de son mari commet un adultère.

      Jean 2

      1 Or, le troisième jour, il y eut des noces à Cana en Galilée. La mère de Jésus était là.

      Jean 3

      29 Celui qui a la mariée, c'est le marié, mais l'ami du marié, qui se tient là et qui l'entend, éprouve une grande joie à cause de la voix du marié. Ainsi donc, cette joie qui est la mienne est parfaite.

      Jean 8

      5 Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes. Et toi, que dis-tu ? »

      Actes 5

      1 Cependant, un homme appelé Ananias, avec Saphira sa femme, vendit une propriété

      Actes 15

      20 mais qu’il faut leur écrire d’éviter les souillures des idoles, l'immoralité sexuelle, les animaux étouffés et le sang.
      29 vous abstenir des viandes sacrifiées aux idoles, du sang, des animaux étouffés et de l'immoralité sexuelle. Vous agirez bien en évitant tout cela. Adieu. »

      Romains 7

      2 Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu'il est vivant, mais si son mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à lui.

      Romains 16

      3 Saluez Prisca et Aquilas, mes collaborateurs en Jésus-Christ.

      1 Corinthiens 5

      1 On entend généralement dire qu'il y a de l'immoralité sexuelle parmi vous, et une immoralité telle qu'on ne la mentionne même pas chez les non-croyants ; c'est au point que l'un de vous a pris la femme de son père.

      1 Corinthiens 6

      12 Tout m'est permis, mais tout n'est pas utile ; tout m'est permis, mais je ne me laisserai pas dominer par quoi que ce soit.
      13 Les aliments sont pour le ventre et le ventre pour les aliments, et Dieu détruira l'un comme les autres. Mais le corps n'est pas pour l'immoralité sexuelle : il est pour le Seigneur, et le Seigneur est pour le corps.

      1 Corinthiens 7

      1 Au sujet de ce que vous m'avez écrit, il est bon pour l'homme de ne pas prendre de femme.
      2 Toutefois, pour éviter toute immoralité sexuelle, que chaque homme ait sa femme et que chaque femme ait son mari.
      3 Que le mari rende à sa femme l’affection qu'il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari.
      4 Ce n’est pas la femme qui est maîtresse de son corps, mais son mari. De même, ce n’est pas le mari qui est maître de son corps, mais sa femme.
      5 Ne vous privez pas l'un de l'autre, si ce n'est d'un commun accord pour un temps, afin de vous consacrer [au jeûne et] à la prière ; puis retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente à cause de votre manque de maîtrise.
      6 Je dis cela comme une concession, et non comme un ordre.
      7 Je voudrais que tous soient comme moi ; mais chacun tient de Dieu un don particulier, l'un d'une manière, l'autre d'une autre.
      8 A ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, je dis qu'il est bien pour eux de rester comme moi.
      9 Mais s'ils ne peuvent pas se maîtriser, qu'ils se marient, car il vaut mieux se marier que de brûler de désir.
      10 A ceux qui sont mariés j’adresse, non pas moi, mais le Seigneur, cette instruction : que la femme ne se sépare pas de son mari
      11 – si elle est séparée de lui, qu'elle reste sans se remarier ou qu'elle se réconcilie avec son mari – et que le mari ne divorce pas de sa femme.
      12 Aux autres, ce n'est pas le Seigneur, c'est moi qui dis : si un frère a une femme non croyante et qu'elle soit d'accord d'habiter avec lui, qu'il ne divorce pas d’elle ;
      13 et si une femme a un mari non croyant et qu'il soit d'accord d'habiter avec elle, qu'elle ne divorce pas de son mari.
      14 En effet, le mari non croyant bénéficie de la sainteté de sa femme, et la femme non croyante bénéficie de la sainteté de son mari ; autrement, vos enfants ne seraient pas purs, alors qu'en réalité ils sont saints.
      15 Si le non-croyant veut se séparer, qu'il le fasse ; le frère ou la sœur n’est pas lié dans un tel cas. Dieu nous a appelés à vivre en paix.
      16 En effet, comment peux-tu savoir, femme, si tu sauveras ton mari ? Ou comment peux-tu savoir, mari, si tu sauveras ta femme ?
      17 Par ailleurs, que chacun vive selon la part que le Seigneur lui a attribuée, selon l'appel qu'il a reçu de Dieu. C'est ce que je prescris dans toutes les Eglises.
      18 Quelqu'un était-il circoncis quand il a été appelé ? Qu'il ne cherche pas à le cacher. Quelqu'un était-il incirconcis quand il a été appelé ? Qu'il ne se fasse pas circoncire.
      19 La circoncision n'est rien et l'incirconcision n'est rien non plus, mais ce qui compte, c'est le respect des commandements de Dieu.
      20 Que chacun reste dans la condition qui était la sienne lorsqu'il a été appelé.
      21 Etais-tu esclave quand tu as été appelé ? Ne t'en inquiète pas mais, si tu peux devenir libre, profites-en plutôt.
      22 En effet, l'esclave qui a été appelé par le Seigneur est un affranchi du Seigneur ; de même, l'homme libre qui a été appelé est un esclave de Christ.
      23 Vous avez été rachetés à un grand prix : ne devenez pas esclaves des hommes.
      24 Frères et sœurs, que chacun reste devant Dieu dans la condition qui était la sienne lorsqu'il a été appelé.
      25 Au sujet des personnes non mariées, je n'ai pas d'ordre du Seigneur, mais je donne un avis, en homme qui a reçu du Seigneur la grâce d'être digne de confiance.
      26 Voici donc ce que j'estime bon, à cause des temps actuels de détresse : il est bon pour chacun de rester comme il est.
      27 Es-tu lié à une femme ? Ne cherche pas à rompre ce lien. N'es-tu pas lié à une femme ? Ne cherche pas de femme.
      28 Si toutefois tu te maries, tu ne pèches pas, et si la jeune fille se marie, elle ne pèche pas. Cependant, les personnes mariées connaîtront des souffrances dans leur vie, et je voudrais vous les épargner.
      29 Ce que je veux dire, frères et sœurs, c’est que le temps est court. Désormais, que ceux qui ont une femme soient comme s'ils n'en avaient pas,
      30 ceux qui pleurent comme s'ils ne pleuraient pas, ceux qui se réjouissent comme s'ils ne se réjouissaient pas, ceux qui achètent comme s'ils ne possédaient pas,
      31 et ceux qui jouissent de ce monde comme s'ils n'en jouissaient pas, car le monde dans sa forme actuelle passe.
      32 Or, je voudrais que vous soyez sans inquiétude. Celui qui n'est pas marié se préoccupe des affaires du Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur,
      33 alors que celui qui est marié se préoccupe des affaires de ce monde, des moyens de plaire à sa femme.
      34 Il y a aussi une différence entre la femme non mariée et la jeune fille : celle qui n’est pas mariée se préoccupe des affaires du Seigneur, afin d'être sainte de corps et d'esprit, alors que celle qui est mariée se préoccupe des affaires de ce monde, des moyens de plaire à son mari.
      35 Je dis cela dans votre intérêt ; ce n'est pas pour vous imposer des contraintes, mais pour vous montrer ce qui est convenable et à même de vous attacher au Seigneur sans tiraillements.
      36 Si quelqu'un estime agir de façon inconvenante envers sa fiancée en la laissant dépasser la fleur de l’âge et si tel doit être le cas, qu'il fasse comme il le veut. Il ne pèche pas, qu'ils se marient.
      37 Quant à celui qui tient ferme dans son cœur, sans contrainte et avec l’exercice de sa propre volonté, et qui a décidé en lui-même de garder le célibat, il fait bien.
      38 Ainsi, celui qui se marie [avec sa fiancée] fait bien, et celui qui ne se marie pas fait mieux.
      39 Une femme est liée ? par la loi ? à son mari aussi longtemps qu'il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition que ce soit dans le Seigneur.
      40 Cependant, à mon avis, elle est plus heureuse si elle reste comme elle est. Et moi aussi, je crois avoir l'Esprit de Dieu.

      1 Corinthiens 11

      3 Je veux cependant que vous sachiez ceci : Christ est le chef de tout homme, l'homme est le chef de la femme, et Dieu est le chef de Christ.
      4 Tout homme qui prie ou qui prophétise la tête couverte déshonore son chef.
      5 Toute femme, en revanche, qui prie ou qui prophétise la tête non couverte déshonore son chef à elle. En effet, c'est exactement comme si elle était rasée.
      6 Si une femme n'a pas la tête couverte, qu'elle se tonde aussi les cheveux. Et s'il est honteux pour une femme d'avoir les cheveux tondus ou d'être rasée, qu'elle se couvre donc la tête.
      7 L'homme n’est pas tenu de se couvrir la tête, puisqu'il est l'image et la gloire de Dieu ; la femme, elle, est la gloire de l'homme.
      8 En effet, ce n’est pas l'homme qui a été tiré de la femme, mais la femme de l'homme ;
      9 et ce n’est pas l'homme qui a été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l'homme.
      10 Voilà pourquoi, à cause des anges, la femme doit porter sur la tête une marque d'autorité.

      Galates 3

      28 Il n'y a plus ni Juif ni non-Juif, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme, car vous êtes tous un en Jésus-Christ.

      Galates 5

      19 Les œuvres de la nature humaine sont évidentes : ce sont [l'adultère, ] l'immoralité sexuelle, l'impureté, la débauche,

      Ephésiens 5

      1 Soyez donc les imitateurs de Dieu, puisque vous êtes ses enfants bien-aimés,
      2 et vivez dans l'amour en suivant l'exemple de Christ, qui nous a aimés et qui s'est donné lui-même pour nous comme une offrande et un sacrifice dont l’odeur est agréable à Dieu.
      3 Que l’immoralité sexuelle, l’impureté sous toutes ses formes ou la soif de posséder ne soient même pas mentionnées parmi vous, comme il convient à des saints.
      4 Qu’on n’entende pas de paroles grossières, de propos stupides ou équivoques – c’est inconvenant – mais plutôt des paroles de reconnaissance.
      5 Vous le savez bien en effet, aucun être immoral, impur ou toujours désireux de posséder plus – c’est-à-dire idolâtre – n'a d'héritage dans le royaume de Christ et de Dieu.
      6 Que personne ne vous trompe par des paroles sans fondement, car c'est pour cela que la colère de Dieu vient sur les hommes rebelles.
      7 N'ayez donc aucune part avec eux,
      8 car si autrefois vous étiez ténèbres, maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Conduisez-vous comme des enfants de lumière !
      9 Le fruit de l’Esprit consiste en effet dans toute forme de bonté, de justice et de vérité.
      10 Discernez ce qui est agréable au Seigneur
      11 et ne participez pas aux œuvres stériles des ténèbres, mais démasquez-les plutôt.
      12 En effet, ce que ces hommes font en secret, il est même honteux d’en parler ;
      13 mais tout ce qui est démasqué par la lumière apparaît clairement, car tout ce qui apparaît ainsi est lumière.
      14 C'est pourquoi il est dit : « Réveille-toi, toi qui dors, relève-toi d'entre les morts, et Christ t'éclairera. »
      15 Faites donc bien attention à la façon dont vous vous conduisez : ne vous comportez pas comme des fous, mais comme des sages :
      16 rachetez le temps, car les jours sont mauvais.
      17 C'est pourquoi ne soyez pas stupides, mais comprenez quelle est la volonté du Seigneur.
      18 Ne vous enivrez pas de vin : cela mène à la débauche. Soyez au contraire remplis de l'Esprit :
      19 dites-vous des psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels ; chantez et célébrez de tout votre cœur les louanges du Seigneur ;
      20 remerciez constamment Dieu le Père pour tout, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ ;
      21 soumettez-vous les uns aux autres dans la crainte de Dieu.
      22 Femmes, [soumettez-vous] à votre mari comme au Seigneur,
      23 car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Eglise qui est son corps et dont il est le Sauveur.
      24 Mais tout comme l'Eglise se soumet à Christ, que les femmes aussi se soumettent en tout à leur mari.
      25 Maris, aimez votre femme comme Christ a aimé l'Eglise. Il s'est donné lui-même pour elle
      26 afin de la conduire à la sainteté après l'avoir purifiée et lavée par l'eau de la parole,
      27 pour faire paraître devant lui cette Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irréprochable.
      28 C'est ainsi que les maris doivent aimer leur femme comme leur propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même.
      29 En effet, jamais personne n'a détesté son propre corps. Au contraire, il le nourrit et en prend soin, tout comme le Seigneur le fait pour l'Eglise
      30 parce que nous sommes les membres de son corps, [formés de sa chair et de ses os].
      31 C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, s'attachera à sa femme, et les deux ne feront qu’un.
      32 Ce mystère est grand, et je dis cela par rapport à Christ et à l'Eglise.
      33 Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même et que la femme respecte son mari.

      Colossiens 3

      11 Il n'y a plus ni Juif ni non-Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni étranger, ni sauvage, ni esclave ni homme libre, mais Christ est tout et en tous.
      18 Femmes, soumettez-vous à votre mari comme il convient dans le Seigneur.

      1 Thessaloniciens 4

      3 Ce que Dieu veut, c'est votre progression dans la sainteté : c'est que vous vous absteniez de l'immoralité sexuelle,

      1 Timothée 3

      2 Il faut donc que le responsable soit irréprochable, fidèle à sa femme, sobre, réfléchi, réglé dans sa conduite, hospitalier, capable d'enseigner.

      1 Timothée 5

      14 Je veux donc que les jeunes veuves se marient, qu'elles aient des enfants, qu'elles dirigent leur maison, qu'elles ne donnent à l'adversaire aucune occasion de dire du mal de nous.

      Hébreux 13

      4 Que le mariage soit honoré de tous et le lit conjugal épargné par la souillure : ceux qui se livrent à l’immoralité sexuelle et à l’adultère, Dieu les jugera.

      1 Pierre 3

      1 Vous de même, femmes, soumettez-vous à votre mari. Ainsi, ceux qui refusent de croire à la parole pourront être gagnés sans parole par la conduite de leur femme,
      7 Maris, vivez de même en montrant de la compréhension à votre femme, en tenant compte de sa nature plus délicate ; montrez-lui de l’estime, car elle doit hériter avec vous de la grâce de la vie. Agissez ainsi afin que rien ne fasse obstacle à vos prières.
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