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NOM

I Valeur accordée au nom.

Chez les peuples bibliques comme dans toute l'antiquité et surtout en Orient, les noms étaient revêtus d'une importance considérable, noms d'endroits et parfois d'objets aussi bien que de personnes ou de divinités. A cet égard, la mentalité primitive ressemble à la mentalité enfantine : « Pour les enfants, le nom fait partie de l'essence des choses... ; il est dans l'objet, non à titre d'étiquette collée contre l'objet, mais à titre de caractère invisible » (J. Piaget). Ainsi, pour le non-civilisé, « il y a une relation intime entre le nom et la chose nommée : le nom révèle la chose, » au point que « posséder le nom d'un objet, c'est être, croient nombre d'hommes, en état d'agir sur lui et par lui » (R. Allier). Sur le problème de l'origine des noms, il y a un essai d'explication étiologique dans le récit jéhoviste de la création, à propos des animaux, nommés par l'homme à la vue de chacun d'eux (Ge 2:19 et suivant), comme dans les nombreuses interprétations étymologiques des noms propres (voir parag. III). Quelle que soit d'ailleurs son origine, le nom est tenu pour constitutif de la personnalité, et celle-ci tombe sous l'influence de qui le connaît ; d'où les précautions prises par les sauvages pour éviter de livrer leur vrai nom, jusqu'à se faire appeler d'un nom fictif.

Le terme hébreu lui-même (chèm, plur, chemôth) peut désigner, sous la forme « noms », des personnes connues par leurs noms (Vers. Syn., nominativement : No 1:2 18 20 3:40 etc.). Le N.T. emploie dans le même sens le grec onoma (Ac 1:15, Ap 3:4 11:13), usage qui se retrouve dans divers papyrus des premiers siècles. Les « noms inscrits dans les cieux » (Lu 10:20, Phi 4:3 ; voir Livre) représentent les élus eux-mêmes ; ceux qui procurent la paix seront appelés fils de Dieu (Mt 5:9), parce qu'ils seront fils de Dieu, leur nouveau nom exprimant leur nature profonde, conforme à celle de Dieu ; (cf. Mt 5:45, Lu 20:36) la persécution rejettera le nom des fidèles comme infâme (Lu 6:22), parce qu'elle tiendra leur fidélité même pour une infamie.

Le nom d'un individu évoque avec sa personne tous les attributs plus ou moins indéfinissables qui la constituent ; un exemple extrême se trouve dans les hyperboles poétiques du Cantique : (Ca 1:3) « Ton nom même exhale comme un parfum », déclaration amenée par jeu de mots grâce à la ressemblance de chemanèka (=tes parfums) avec chemèka (ton nom).

Le nom que l'on acquiert et qui devient célèbre (1Sa 18:30) est le renom (2Sa 8:13), la réputation (Ne 6:13), la gloire (Eze 39:13) ; il est souvent attribué à JVHH (Jer 32:20, Esa 63:12,14, Da 9:15 etc.) ; mais les gens de rien sont une « race sans nom » (Job 30:8). Le nom est un souvenir qu'on laisse après soi, un monument au sens étymologique de ce mot (Esa 55:13 56:5), ou bien au contraire qui périt oublié (Ps 41:6, Sag 2:4). Le nom d'un homme après sa mort est conservé par ses fils et sa famille (De 25:6 et suivant, Ru 4:5-10,2Sa 18:18), et détruire sa postérité c'est exterminer son nom (1Sa 24:22,2Sa 14:7, Job 18:17, Pr 10:7). Il en est de même pour les rois et les peuples (De 7:2 Esa 14:22 etc.), d'où le programme des constructeurs de Babel : « se faire un nom » (Ge 11:4) ; en effet, « des enfants et la fondation d'une ville perpétuent le nom » (Sir 40:19). Aussi, nombre de familles, tribus et nations se réclament-elles d'un héros éponyme, c'est-à-dire dont elles ont reçu le nom : enfants d'Israël, d'Édom, de Moab, etc. ; le nom de l'ancêtre est fréquemment employé pour désigner les collectivités : Israël =les Israélites, Édom =les Édomites, Moab = les Moabites (Esa 11:14-16 etc.). Dans la Table des Peuples (voir art.) de Ge 10, ceux-ci sont ainsi désignés par l'ancêtre patronymique, sauf aux verset 1318 où sont nommés au pluriel les membres eux-mêmes de certains peuples : les Ludim, les Amoréens, les Cananéens, etc. Ailleurs, les fils d'Ismaël apparaissent à la fois comme individus et comme tribus : princes et chefs de clans (Ge 25:16) ; et il arrive souvent que dans les listes généalogiques, notamment celles de 1Ch 1-9, les noms de personnes correspondent à des noms de lieux et inversement : Éphrata, père de Bethléhem ; Aschur, père de Thékoa (1Ch 4:4-5 etc.).

Vu l'importance ainsi attribuée aux noms en Orient, il n'est pas étonnant que les expressions courantes en Occident pour opposer le vide d'un nom à la réalité, ou pour dénoncer une vertu qui ne l'est « que de nom » n'apparaissent pour ainsi dire pas dans la Bible. (cf. Sir 37:1) C'est un juge romain qui méprise les « noms », comme les doctrines et la loi juives (Ac 18:15). Noter enfin le terrible verdict : « Tu as le nom [=la réputation] de vivre, mais tu es mort » (Ap 3:1).

II Noms divins.

1.

Les divers noms propres donnés à Dieu dans les Écritures, et les étapes qu'ils représentent au cours de Sa révélation, sont étudiés dans l'article Dieu [les noms de]. On y voit Sa personne souveraine et rédemptrice se dégager progressivement, à la vue de ses adorateurs, du nominalisme matérialiste des cultes primitifs jusqu'au spiritualisme le plus absolu. L'homme primitif, en effet, suivant le même raisonnement pour ses dieux que pour ses semblables, s'efforçait de connaître et de prononcer fort exactement les noms des divinités qu'il voulait se rendre favorables (notnina numina =les noms sont des dieux) : « l'énoncé de ce vocable (divin) avait, d'après la mentalité antique, le pouvoir de le faire venir » (Lods). Cette grossière conception magique s'épura dans la religion d'Israël, qui, même lorsque l'adorateur « crie à JVHH », n'admet pas que cet appel nominal puisse faire pression sur le Dieu tout-puissant ; le langage biblique a pu conserver quelques traces de l'antique notion d'une influence inhérente au nom (cf. Ge 32:29, Jug 13:17 et suivant, Mr 5:9), mais au lieu du pouvoir du nom sur le Dieu qu'on nomme, l'Ecriture proclame toujours le pouvoir personnel et libre, absolu, de Dieu lui-même : Son nom, c'est Sa nature ; et puisque Sa nature est Sa toute-puissance, Son nom c'est Sa puissance agissante, en train de s'exercer. Cette équivalence ressort d'innombrables parallélismes hébreux (Ps 54:3, Pr 18:10, No 6:27, Esa 30:27 etc.) et plus encore de révélations caractéristiques comme celle du nom de JVHH à Moïse (voir Dieu [les noms de], t. I, -p. 295), du troisième commandement du Décalogue (voir ce mot, t. I, p. 275), de la prière sacerdotale (voir art., parag. II). On sait que plus tard, par un excès inverse, les Juifs évitaient même de proférer, pour ne pas le profaner, le nom sacré ; d'où l'expression : « le Nom », remplaçant JVHH dans l'hébreu de Le 24:11 (où les rabbins ont même changé le verbe qâbab-- blasphémer, en nâqab =prononcer, afin de justifier l'abstention juive du nom sacré), et encore dans Sir 23:10 (cf. Sag 14:21 : « le nom qui n'appartient qu'à un seul »). La locution « le nom de sa sainteté » (en franc., « son saint nom ») est un hébraïsme pour désigner l'Éternel en mettant l'accent sur cet attribut de Sa sainteté (Eze 36:22, Ps 103:1, Le 20:3, Sir 17:10 etc.).

2.

La révélation progressive de Dieu à l'homme se complète dans celle de Jésus-Christ ; et les divers noms que lui donnent les livres saints suivent le développement de l'incarnation et de la rédemption (voir Jésus-Christ [noms et titres de], Emmanuel, etc). D'autre part, l'assimilation courante en Israël du nom et de la personne se retrouve fréquemment appliquée à Jésus ; elle était d'ailleurs passée aussi, en diverses formules, dans la langue commune de l'empire romain. Comme le nom d'un individu, avons-nous dit (parag. I), évoque sa personnalité totale, dans son rayonnement extérieur aussi bien que dans sa nature profonde, le nom de Jésus c'est, avec sa personne même, son autorité, sa cause, son oeuvre, sa dignité (Mt 10:22, Ac 5:41 8:12 15:26 3Jn 1:7, Ap 2:13 3:8 etc.). L'expression grecque eïs to onoma =en son nom (avec indication d'une tendance : vers son nom), se lit dans des inscriptions du I er siècle av. J. -C, par ex. la mention d'objets vendus à un acheteur « pour le nom du dieu Zeus » : l'acheteur n'est ici que « le fidéi-commissaire du domaine sacré » (Waddington, Inscr, grec et latin, Paris 1870) ; de même qu'acheter un article au nom de Zeus c'est l'acheter pour qu'il appartienne à Zeus, de même être « baptisé dans le nom du Père, etc. » (Mt 28:19), ou « croire dans le nom du Seigneur » (Jn 1:12 2:23 3:18), c'est affirmer par son baptême ou par sa foi que l'on se livre en la possession même du Père, du Seigneur (Deissmann, BS, pp. 143SS ; NBS, p. 25). « Croire au nom de son Fils Jésus-Christ » (1Jn 3:23), c'est se donner à la personne filiale et rédemptrice que nous révèle l'Évangile. Quant à l'expression èn tô onomati... --au nom de, si fréquente dans le N. T (Mr 9:38 Mt 7:22, Lu 10:17 Ac 4:18 10:48,1Co 5:4 6:11, Eph 5:20 etc.). et devenue courante dans toutes les langues modernes mais inconnue au grec classique, on en a trouvé une analogue dans le serment de loyalisme juré à Caligula par les habitants d'Assos près Troas et signé par cinq anciens qui, « après avoir prié pour le salut de l'empereur, célébrèrent un sacrifice au nom de la cité » (simple datif : tô tes poleôs onomati ; même construction que dans Jas 5:10).

D'où la valeur absolue pour l'Église chrétienne du « nom » de Jésus le Sauveur--toute-puissance pour le salut du monde--proclamée en des déclarations apostoliques concordantes et fondamentales. (lire Ac 4:12, Php 2:9, Heb 1:4,1Jn 5:13) A ce nom « éminent », « au-dessus de tout nom », s'opposèrent bientôt les autorités du monde, juives et romaines, les « noms blasphématoires » du paganisme oppresseur : (Ap 13:1 17:5) comme les Juifs du temps des Macchabées avaient subi les persécutions déchaînées contre le « nom » de JVHH (2Ma 8:4, etc.), de même mais sous une tout autre inspiration, celle du Christ en personne, les chrétiens souffrirent et moururent pour ce nom ; (cf. Ac 9:16 21:13,1Pi 4:14, Ap 2:3-13 3:8) et le « nom caché » réservé aux fidèles représente, comme celui qui sera gravé sur les fronts des rachetés, leur appartenance définitive, éternelle, au Dieu de Jésus-Christ (Ap 2:17 3:5 14:1 19:12 22:4).

III Noms de personnes.

1.

LEUR ATTRIBUTION.

Il semble qu'à l'origine le nom des enfants fût choisi par la mère (Ge 4:1-25 29:32 30:6 et suivants, etc.) plus souvent que par le père (Ge 4:26 35:18). Plus tard ce dernier cas devient plus fréquent (Ex 2:22,2Sa 12:24, Os 1:4 et suivant, etc.). On voit même intervenir les voisines (Ru 4:17). D'après divers savants, le nom de l'enfant était primitivement conçu comme devant écarter de lui les influences mauvaises. « Pour l'ancien Hébreu le nom est tout autre chose qu'une résonance. Le nom manifeste la nature même de celui qui le porte ; il n'est nullement indifférent qu'il en porte un quelconque... L'appel de ce nom, aussi bien que tout mot prononcé, agit aussitôt extérieurement comme une force absolument réelle, matérielle, qui met en oeuvre son potentiel... Il ne convient donc pas de recevoir un nom qui annonce le malheur. Si Rachel mourante appelle Benoni (=enfant de ma douleur) l'enfant dont la naissance lui coûte la vie, le père change ce nom en celui de Benjamin (=enfant de la droite, côté qui apporte le bonheur). Tout nom doit donc avoir, le plus possible, le son d'un euphémisme... Dans d'autres cas, le choix d'un nom aussi antipathique que possible, ou trompeur, peut avoir eu primitivement pour but d'écarter des êtres redoutés et malfaisants » (Bertholet, Hist. Civ. Isr., p. 182s).

Toujours à cause de cette importance accordée aux noms, leurs explications étymologiques (1nterprétations populaires, suivant les assonances plutôt que les règles linguistiques, et parfois différentes selon les sources) jouent dans l'A. T, un rôle surprenant pour de modernes Occidentaux. Leur grand nombre dénote une préoccupation habituelle, tantôt allusion aux circonstances, tantôt invocation religieuse ou programme de vie, image plus ou moins inspiratrice : Caïn =l'acquisition (Ge 4:1), Noé =repos (Ge 5:29), Isaac =[l'enfant du] rire (Ge 17 17 18:13), Jacob = [l'homme du] talon (âkeb) et Esaü =le velu (Ge 25:25 et suivant) ; Samuel =exaucement de Dieu (1Sa 1:20), etc. Plus d'une fois de telles étymologies ne furent que des tentatives pour expliquer par l'hébreu des noms venus de langues étrangères : le cas le plus typique est sans doute celui du nom de Moïse, certainement d'origine égyptienne malgré l'interprétation traditionnelle : (Ex 2:10) sauvé des eaux (voir Moïse, I, 2, et II).

A l'époque de Jésus il sera devenu assez coutumier de perpétuer les mêmes noms dans une famille ; (cf. Lu 1:59 et suivants) cette habitude, que devaient observer en particulier bien des générations de rabbins, semble remonter au IV e siècle environ. Chaque individu ne portait donc qu'un seul nom. Les exemples de surnoms s'expliquent par une occasion exceptionnelle, généralement un changement de vie, où le nouveau nom est décerné par une autorité supérieure ; ce nom nouveau peut être en rapport, mais aussi sans rapport, avec l'ancien : Dieu change Abram en Abraham (Ge 17:5), Saraï en Sara (Ge 17:15), Jacob en Israël (Ge 32:28), le Pharaon change Joseph en Tsaphnath-Panéach (Ge 41:45), le ministre babylonien change les noms de Daniel et de ses compagnons, qui tous contenaient celui de leur Dieu, en des noms religieux de Babylone (Da 1:6 et suivant) ; Jésus change Simon en Céphas (Mr 3:16). Certains personnages paraissent avoir deux noms interchangeables : Lévi et Matthieu, Nathanaël et Barthélemy, Jean et Marc. Ou bien, deux noms sont équivalents par traduction dans une autre langue : Josué se grécise en Jason et Jésus, Siméon en Simon, Céphas se traduit par Pierre. D'autres noms sont complémentaires, suivant les milieux où l'on s'en sert : l'hébreu Saul et le grec Paul, les formes Silas et Silvain, etc. Enfin certains surnoms sont destinés à distinguer un personnage des autres porteurs d'un même nom répandu : Judas. Macchabée, Judas l'Iscariote (cf. Jn 13:26 14:22), Thomas appelé Didyme c-à-d. Jumeau (Jn 20:24), etc. (voir art. à tous ces noms). De bonne heure on avait été amené à distinguer aussi les individus par l'addition du nom de leur père : Josué fils de Nun (No 26:65), Judas fils de Simon Iscariote (Jn 6:71), etc. ; parfois aussi par leur lieu d'origine (2Sa 23:24 et suivants), ce qui nous ramène à l'observation du parag. I sur l'équivalence de tels noms de lieux avec tels noms de personnages, ou tels patronymes, ou tels ancêtres éponymes de familles, clans ou nations.

2.

LEUR COMPOSITION.

Aux temps anciens, les noms propres hébreux sont des appellatifs courants : Adam =homme, Laban =blanc, Rachel =brebis, Tamar = palmier, Débora =abeille (pour les noms d'animaux devenus noms de personnes, voir Animal). Les formes agglutinantes de l'hébreu permettaient de concentrer en un mot bref les allusions les plus diverses : Ruben =voyez un fils, Jédida =bien-aimée, Réhum =pris en pitié, Baruc =béni, Naomi =mon délice ; Salomon, de la racine signifiant « paix », etc. Mais le plus grand nombre des noms propres de l'A. T, sont des mots composés, voire des phrases complètes, dont la plupart « théophores », c-à-d, renfermant une appellation de Dieu, surtout El =Dieu, ou Jah =JVHH, ou sa désignation par une proche parenté : frère, père, oncle, roi, maître, etc., ou une allusion claire dans le sujet sous-entendu d'un verbe à la 3° personne : Joseph =[II] a ôté, ou augmenté, Nathan =[II] a donné (abrév, de Jonathan =JVHH a donné, ou de Nathanaël =El a donné) ; Abiel =Dieu est père, Abija =JVHH est père, Abitub =[Dieu] le père est bon, Eliam =Dieu est oncle (nom retourné en Ammiel), Élimélec =mon Dieu est roi, Malchija =JVHH est mon roi, Adonija =JVHH est maître, Ézéchiel = Dieu est fort, etc. Tous les peuples sémites ont ainsi adopté des noms théophores avec ceux de leurs grands dieux : en assyr. Assour, Nébo ; en araméen Hadad ; en phénic. Astoreth ; en égypt. Amon, Thot, etc. En hébreu la variété des combinaisons possibles est très riche ; même sans connaître cette langue, il est facile de reconnaître les éléments composants El et JVHH, soit au commencement soit à la fin de nombreux noms propres (El..., Jéh..., Jo... ; el,... ja). Lors de la restauration juive au retour de l'exil, apparaissent des noms plus compliqués, véritables professions de foi que l'on a pu comparer aux prénoms bibliques recherchés qu'affectionnaient les Puritains ou, encore aujourd'hui, les néophytes de certains milieux pieux peu cultivés : Tob-Adonija =le Seigneur JVHH est bon (2Ch 17:8), Eljoénaï =à JVHH sont mes yeux (1Ch 3:23 etc.), Bésodia =dans le conseil de JVHH (Ne 3:6), Betsaléel =à l'ombre protectrice de Dieu (Ex 31:2), etc. Il n'est pas jusqu'à la nomenclature de 9 frères (1Ch 25:4) qui ne constitue toute une prière à JVHH (voir Héman).

N'y a-t-il pas quelque chose de significatif et d'émouvant dans ce besoin de la piété des pères et des mères, de consacrer leurs enfants au Seigneur en plaçant d'avance tout leur avenir sous le signe d'une devise de croyant ? Sans doute, cette coutume n'en présentait pas moins un risque de formalisme dans lequel le judaïsme est trop souvent tombé, revenant ainsi, par ses formules mêmes de piété savamment élaborées, à la même erreur que le primitif dans ses grossières incantations magiques relatives au nom de son dieu.

3.

LEUR EVOLUTION.

Un aperçu d'ensemble sur l'histoire des noms de personnes en Israël fait donc apparaître un progrès parallèle à celui de la foi en Dieu. D'abord simples noms d'animaux ou d'objets, ils ne revêtent que graduellement une portée religieuse ; et ce sont en premier lieu des noms théophores, principalement élohistes, c-à-d. composés avec le nom générique de la divinité, El ; après David, les noms jéhovistes (avec JVHH) deviennent plus nombreux, et plus encore les noms semi-divins où l'Éternel est désigné par les termes des relations domestiques et sociales ; ceux-ci disparaissent au temps dur de l'exil, mais après le retour la ferveur piétiste et l'imploration des fidèles repliés sur le temple remettent à la mode les noms élohistes et jéhovistes, en leur trouvant des développements nouveaux révélateurs des profonds besoins des âmes inassouvies (cf. Gray, Hébreu Prop. Marnes, pp. 243SS).

A la lumière de ces multiples constatations, le lecteur du présent ouvrage comprendra pourquoi l'on s'y est astreint à fournir entre parenthèses le sens de tant de noms propres, dont quelques-uns apparemment insignifiants. Ces termes n'étaient point usés pour leur peuple, comme le sont aujourd'hui la plupart de nos prénoms et noms de famille ; mais, à la façon d'une effigie de monnaie toute neuve, leur étymologie populaire disait aux croyants comme aux étrangers les préoccupations actuelles des âmes et les solennelles révélations de leur Dieu. Le nom de Josué leur parlait de sauveur (Sir 46:1), comme plus tard le même nom de Jésus (Mt 1:21). Le style familier jouait volontiers sur le sens des noms : Nabal, l'insensé (1Sa 25:25), Onésime, l'utile (Phm 1:10) ; et certains textes prophétiques comme ceux de Michée (voir ce mot) sont émaillés de tels jeux de mots par assonances et consonances.

Ainsi s'explique donc la grande importance attribuée par les prophètes aux noms symboliques (voir Symbolisme) : ceux qu'ils donnent à leurs enfants, comme Lo-Ammi, Lo-Ruhama, Emmanuel, Maher-Salal-Has-Baz, etc. (Os 1:4,6-9 2:1,23, Esa 7:14 8:3), sont pour leurs auditeurs d'inoubliables textes de prédications, une condensation vivante des plans divins de destruction rétributive et de grâce salvatrice. D'où la valeur, enfin, des noms nouveaux, prédiction, sanction et sceau des renouvellements de l'individu et de la société. (cf. Eze 48:35, Esa 62:1-5 65:15, Jn 1:42, Ap 2:17 3:12 etc.) Tel, le païen aujourd'hui converti et baptisé par le missionnaire adopte un nom biblique, chrétien, proclamation publique de sa nouvelle naissance et de sa vie nouvelle en Jésus-Christ.

IV Noms de lieux.

La toponomastique, science de l'étymologie des noms de localités, est souvent réduite à des hypothèses et sujette à de grandes incertitudes. Elle l'est particulièrement pour la topographie de l'A.T. Ces noms sont en général d'époque cananéenne ou pré-cananéenne, fort antérieurs à l'occupation israélite de la Palestine et d'une autre provenance que l'hébreu ; de plus, ils ont au cours des âges subi maintes altérations et déformations.

On peut toutefois reconnaître des appellations hébraïques dues :

A des particularités naturelles : source (En ; ex. En-Guédi), source jaillissante (Béer ; ex. Béer-Séba), eaux (Mé...), bois ou forêts (Jéarim), hauteurs (Guibéa, Gabaon, Rama), arbres (figuier : Bethphagé ; pommier : Beth-Tappuach ; chêne : Éla ; acacia : Abel-Sittim).

A des utilisations des sites : camp (Mahanaïm), tour de garde (Migdol, Méguiddo, Mitspa), village (Hatser), abri momentané de bergers (Succoth), refuge (Adullam).

A d'antiques traditions : Esek, Sitna, Réhoboth, Béer-Lachaï-Roï (=puits du Vivant-qui-me-voit).

A d'anciens clans : Samarie.

A des noms d'animaux : Ajalon (=cerf), Ir-Nahas (=ville du serpent), Beth-Nimra (=maison de la panthère), etc. On en a relevé deux douzaines, presque la moitié des noms d'animaux mentionnés dans la Bible ; Robertson Smith et d'autres savants y ont vu, d'ailleurs sans preuve, un indice de primitives croyances totémiques chez les Sémites. Mais « un groupe humain a pu prendre le nom d'un animal sans pour cela se croire apparenté à tous les représentants de l'espèce en question » (Lods, Isr., I, p. 129).

A d'anciens sanctuaires, israélites ou cananéens, dont la localité conserve le nom de la divinité locale, soit El (Dieu), soit Baal, Anath, Nébo, Samas (le dieu solaire), etc. ; ex., Béthel, Péniel, Migdalel, Bamoth-Baal, Baal-Hatsor, Beth-Sémès, Anatoth, etc. (voir art. à ces divers noms). L'inscription de Thoutmès, à Thèbes (environ 1500 av. J. -C), mentionne Jacobel et peut-être josephel (=Dieu de Jacob, de Joseph), qui pourraient avoir été des clans du S. de la Palestine.

Jn L.

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    • Genèse 2

      19 Avec de la terre, le Seigneur façonna quantité d’animaux sauvages et d’oiseaux, et les conduisit à l’être humain pour voir comment celui-ci les nommerait. Chacun de ces animaux devait porter le nom que l’être humain lui donnerait.

      Genèse 4

      1 De son union avec Adam, son mari, Ève devint enceinte. Elle mit au monde Caïn et dit alors : « J’ai fait un homme grâce au Seigneur. »
      2 Elle donna aussi le jour au frère de Caïn, Abel. Abel fut berger, et Caïn cultivateur.
      3 Au bout d’un certain temps, Caïn apporta des produits de la terre en offrande pour le Seigneur.
      4 Abel, de son côté, apporta en sacrifice des agneaux premiers-nés de son troupeau, dont il offrit au Seigneur les meilleurs morceaux. Le Seigneur accueillit favorablement Abel et son offrande,
      5 mais non pas Caïn et son offrande. Caïn en éprouva un profond dépit ; il faisait triste mine.
      6 Le Seigneur lui dit : « A quoi bon te fâcher et faire si triste mine ?
      7 Si tu réagis comme il faut, tu reprendras le dessus ; sinon, le péché est comme un monstre tapi à ta porte. Il désire te dominer, mais c’est à toi d’en être le maître. »
      8 Cependant Caïn dit à son frère : « Sortons. » Quand ils furent dehors, Caïn se jeta sur son frère Abel et le tua.
      9 Le Seigneur demanda à Caïn : « Où est ton frère Abel ? » Caïn répondit : « Je n’en sais rien. Est-ce à moi de surveiller mon frère ? »
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      11 Tu es désormais un maudit, chassé du sol qui s’est ouvert pour recueillir le sang de ton frère, ta victime.
      12 C’est pourquoi, tu auras beau le cultiver, il ne te donnera plus ses richesses. Tu seras un déraciné, toujours vagabond sur la terre. »
      13 Caïn dit au Seigneur : « Ma peine est trop lourde à porter.
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      15 Mais le Seigneur lui répondit : « Non, car si quelqu’un te tue, il faudra sept meurtres pour que tu sois vengé. » Le Seigneur mit alors sur Caïn un signe distinctif, pour empêcher qu’il soit tué par quiconque le rencontrerait.
      16 Alors Caïn partit habiter au pays de Nod, loin de la présence du Seigneur, à l’est d’Éden.
      17 De son union avec son mari, la femme de Caïn devint enceinte. Elle mit au monde Hénok. Caïn se mit à construire une ville, qu’il appela du nom de son fils, Hénok.
      18 Hénok fut le père d’Irad, Irad le père de Mehouyaël, Mehouyaël le père de Metouchaël, Metouchaël le père de Lémek.
      19 Lémek épousa deux femmes, la première nommée Ada et la seconde Silla.
      20 Ada mit au monde Yabal, l’ancêtre de ceux qui habitent sous des tentes et élèvent des troupeaux.
      21 Yabal eut un frère, Youbal, l’ancêtre de tous ceux qui jouent de la guitare et de la flûte.
      22 Silla, elle aussi, eut un fils, Toubal-Caïn, le forgeron qui fabriquait tous les outils tranchants de bronze ou de fer. La sœur de Toubal-Caïn était Naama.
      23 Lémek dit à ses femmes : « Ada et Silla, écoutez-moi, femmes de Lémek, soyez attentives : Si on me frappe, je tue un homme, si on me blesse, je tue un enfant.
      24 S’il faut tuer sept hommes pour venger Caïn, on en tuera soixante-dix-sept pour que je sois vengé. »
      25 Adam et sa femme eurent encore un fils. Ève l’appela Seth ; elle disait en effet : « Dieu m’a accordé un autre fils pour remplacer Abel, que Caïn a tué. »
      26 Seth à son tour eut un fils ; il l’appela Énos. C’est alors que les hommes commencèrent à prier Dieu en l’appelant Seigneur.

      Genèse 5

      29 Il l’appela Noé. Il disait en effet : « Celui-ci nous consolera de nos travaux, de la peine que nous devons prendre parce que le Seigneur a maudit le sol. »

      Genèse 10

      1 Après la grande inondation, les fils de Noé, Sem, Cham et Japhet, eurent des fils. Voici la liste de leurs descendants :
      2 Fils de Japhet : Gomer, Magog, Madaï, Yavan, Toubal, Méchek et Tiras.
      3 Fils de Gomer : Achekénaz, Rifath et Togarma.
      4 Fils de Yavan : Élicha, Tarsis, Kittim et Rodanim.
      5 D’eux sont issues les populations dispersées le long des côtes, réparties par pays selon la langue et par clans dans chaque nation.
      6 Fils de Cham : Kouch et Misraïm, Pouth et Canaan.
      7 Fils de Kouch : Séba, Havila, Sabta, Ragma et Sabteka. Fils de Ragma : Saba et Dédan.
      8 Kouch fut aussi le père de Nemrod qui a été le premier souverain sur la terre.
      9 Nemrod fut un fameux chasseur aux yeux du Seigneur ; c’est pourquoi on dit : « Fameux chasseur aux yeux du Seigneur, comme Nemrod. »
      10 Les premières villes de son royaume furent Babel, Érek, Accad et Kalné, au pays de Chinéar.
      11 Nemrod quitta ce pays pour l’Assyrie. Il construisit Ninive, Rehoboth-Ir, Kéla
      12 et Ressen entre Ninive et la grande ville de Kéla.
      13 Misraïm fut l’ancêtre des gens de Loud, Anem, Lehab, Naftou,
      14 Patros, Kaslou, d’où sont issus les Philistins, et Kaftor.
      15 Canaan fut le père de Sidon, son aîné, ainsi que de Heth,
      16 et l’ancêtre des Jébusites, Amorites, Guirgachites,
      17 Hivites, Arquites, Sinites,
      18 Arvadites, Semarites et Hamatites. Par la suite les clans cananéens se dispersèrent,
      19 et leur territoire s’étendit de Sidon en direction de Guérar jusqu’à Gaza, et en direction de Sodome, Gomorrhe, Adma et Seboïm jusqu’à Lécha.
      20 Tels sont les descendants de Cham, répartis d’après leurs clans et leurs langues, dans leurs pays et leurs nations.
      21 Sem, le frère aîné de Japhet, eut aussi des fils. Il est l’ancêtre d’Éber et de tous ses descendants.
      22 Fils de Sem : Élam, Assour, Arpaxad, Loud et Aram.
      23 Fils d’Aram : Ous, Houl, Guéter et Mach.
      24 Arpaxad fut le père de Chéla ; Chéla fut le père d’Éber.
      25 Éber eut deux fils : le premier s’appelait Péleg, “Division”, parce que, à l’époque où il vécut, la population de la terre se divisa ; son frère s’appelait Yoctan.
      26 Yoctan fut le père d’Almodad, Chélef, Hassarmaveth, Yéra,
      27 Hadoram, Ouzal, Dicla,
      28 Obal, Abimaël, Saba,
      29 Ofir, Havila, Yobab ; tous ceux-là furent les fils de Yoctan.
      30 Ils habitaient entre Mécha et la région montagneuse de Sefar à l’est.
      31 Tels sont les descendants de Sem, répartis d’après leurs clans et leurs langues, dans leurs pays et leurs nations.
      32 Tels furent les clans issus des fils de Noé selon leurs listes de descendance, nation par nation. C’est d’eux que descendent toutes les nations dispersées sur la terre après la grande inondation.

      Genèse 11

      4 Puis ils se dirent : « Allons ! Au travail pour bâtir une ville, avec une tour dont le sommet touche au ciel ! Ainsi nous deviendrons célèbres, et nous éviterons d’être dispersés sur toute la surface de la terre. »

      Genèse 17

      5 On ne t’appellera plus Abram, mais Abraham, car je ferai de toi l’ancêtre d’une foule de nations.
      15 Ensuite Dieu dit à Abraham : « Ne donne plus à ta femme le nom de Saraï, car désormais son nom est Sara.
      17 Abraham se jeta le visage contre terre et il rit, car il se disait : « Comment pourrais-je avoir un enfant, moi qui ai cent ans, et comment Sara qui en a quatre-vingt-dix pourrait-elle devenir mère ? »

      Genèse 18

      13 Le Seigneur demanda alors à Abraham : « Pourquoi Sara a-t-elle ri ? Pourquoi se dit-elle : “C’est impossible, je suis trop vieille pour avoir un enfant” ?

      Genèse 25

      16 Tels furent les douze fils d’Ismaël. Chacun était chef d’un clan ; ils donnèrent leurs noms à leurs villages et leurs lieux de campement.
      25 Le premier qui sortit était roux. Il était couvert de poils, comme d’un manteau, et on l’appela Ésaü.

      Genèse 29

      32 Léa devint enceinte, et mit au monde un fils qu’elle appela Ruben. Elle expliqua en effet : « Le Seigneur a vu mon humiliation ; maintenant mon mari m’aimera. »

      Genèse 30

      6 Rachel déclara : « Dieu a jugé en ma faveur. Il a entendu mon souhait et m’a accordé un fils, à moi aussi. » Et elle l’appela Dan.

      Genèse 32

      28 L’autre demanda : « Comment t’appelles-tu ? » – « Jacob », répondit-il.
      29 L’autre reprit : « On ne t’appellera plus Jacob mais Israël, car tu as lutté contre Dieu et contre des hommes, et tu as été le plus fort. »

      Genèse 35

      18 Rachel était mourante. Au moment de rendre le dernier soupir, elle appela l’enfant Ben-Oni – ce qui veut dire “Fils du malheur” – mais son père l’appela Benjamin – “Fils de la main droite” –.

      Genèse 41

      45 Enfin il donna à Joseph le nom égyptien de Safnath-Panéa, et lui accorda comme femme Asnath, fille du prêtre Potiféra, de la ville d’On. Dès lors Joseph put se déplacer dans toute l’Égypte.

      Exode 2

      10 Lorsque l’enfant fut assez grand, la mère l’amena à la princesse ; celle-ci l’adopta et déclara : « Puisque je l’ai tiré de l’eau, je lui donne le nom de Moïse. »
      22 Celle-ci mit au monde un fils ; alors Moïse déclara : « Puisque je suis devenu un réfugié dans un pays étranger, je lui donne le nom de Guerchom – “Réfugié-là” –. »

      Exode 31

      2 « Écoute, j’ai choisi Bessalel, fils d’Ouri et petit-fils de Hour, de la tribu de Juda,

      Lévitique 20

      3 car moi-même j’interviendrai contre cet homme ; je l’exclurai du peuple d’Israël, pour avoir offert un de ses enfants à Molek, ce qui rend impur mon sanctuaire et me déshonore, moi, le vrai Dieu.

      Lévitique 24

      Nombres 1

      2 « Effectuez, Aaron et toi, le recensement de la communauté d’Israël, en dressant la liste nominative de tous les hommes, d’après leur clan et leur famille.

      Nombres 3

      40 Le Seigneur dit à Moïse : « Effectue le recensement de tous les fils aînés des Israélites, âgés d’un mois et plus, en dressant leur liste nominative.

      Nombres 6

      27 Lorsque les prêtres prononceront ainsi mon nom pour bénir les Israélites, je leur accorderai moi-même ma bénédiction. »

      Nombres 18

      20 Et le Seigneur dit encore à Aaron : « Tu n’auras pas de territoire ou de possession dans le pays que je donnerai en partage aux Israélites. C’est moi qui serai ta part, ta richesse au milieu des autres Israélites. »

      Nombres 26

      65 car le Seigneur les avait avertis qu’ils mourraient dans le désert. Il n’en restait donc pas un seul, à part Caleb, fils de Yefounné, et Josué, fils de Noun.

      Juges 13

      17 Il lui demanda : « Dis-nous ton nom pour que nous puissions t’honorer lorsque tes paroles se réaliseront. »

      Ruth 4

      5 Booz reprit : « Si tu achètes le champ à Noémi, tu devras en même temps prendre pour femme Ruth, la Moabite, pour que la propriété du champ reste dans la famille de son mari décédé. »
      6 L’homme répondit : « Dans ces conditions, j’y renonce, pour ne pas porter atteinte à mes propres biens. Reprends à ton compte mon droit de rachat, car je ne peux vraiment pas l’exercer moi-même. »
      7 Autrefois en Israël, quand des gens achetaient des biens ou échangeaient un droit de propriété, l’une des personnes ôtait sa sandale et la donnait à l’autre pour conclure le marché. Ce geste prouvait que l’affaire était réglée.
      8 C’est pourquoi, au moment où l’homme disait à Booz d’acheter le champ, il ôta sa sandale et la lui donna.
      9 Booz déclara alors aux anciens et à tous ceux qui étaient là : « Vous êtes témoins aujourd’hui que j’achète à Noémi tout ce qui appartenait à Élimélek et à ses fils, Kilion et Malon.
      10 En même temps, je prends pour femme Ruth la Moabite, la veuve de Malon. De cette façon, la propriété restera dans la famille du mort et il aura des descendants pour perpétuer son nom parmi ses concitoyens et dans les affaires de sa localité. Vous en êtes également témoins. »
      17 Les femmes du voisinage proclamèrent : « Noémi a un fils ! » et elles appelèrent l’enfant Obed. Obed fut le père de Jessé, père de David.

      1 Samuel 1

      20 Anne devint enceinte, puis mit au monde un fils. Alors elle déclara : « Puisque je l’ai demandé au Seigneur, je lui donne le nom de Samuel. »

      1 Samuel 18

      30 A cette époque, les chefs philistins partirent en campagne contre les Israélites. Or dans chaque combat, David remportait plus de succès que tous les autres officiers de Saül, de sorte qu’il jouissait d’un très grand prestige.

      1 Samuel 24

      22 Alors jure-moi au nom du Seigneur qu’après ma mort, tu n’effaceras pas tout souvenir de moi et de ma famille en exterminant mes descendants. »

      1 Samuel 25

      25 Ne t’occupe pas de Nabal, c’est un vaurien qui mérite bien son nom : il s’appelle Nabal l’Abruti, et il est vraiment une brute. Quant à moi, je n’avais pas vu que tu nous avais envoyé quelques-uns de tes compagnons.

      2 Samuel 8

      13 C’est de cette manière que David acquit sa réputation. Après avoir battu les Syriens, David revint et battit encore les Édomites dans la vallée du Sel, tuant dix-huit mille d’entre eux.

      2 Samuel 12

      24 David alla consoler sa femme Batchéba et passa la nuit avec elle. Elle mit au monde un fils, qu’il appela Salomon. Le Seigneur l’aima

      2 Samuel 14

      7 Alors tous les membres du clan se sont dressés contre moi ; ils m’ont dit : “Livre-nous le meurtrier. Nous le ferons mourir pour venger le meurtre de son frère. – Et du même coup, nous supprimerons l’héritier. –” De cette manière, ils veulent anéantir le peu d’espérance qui me reste, et priver mon mari d’une descendance qui continue de porter son nom sur terre. »

      2 Samuel 18

      18 Quand il était encore en vie, Absalom avait fait ériger la grande pierre qui se trouve dans la vallée du Roi, car il s’était dit : « Je n’ai pas de fils pour perpétuer mon nom. » Il avait donc donné son nom à cette pierre, qu’aujourd’hui encore on appelle “monument d’Absalom”.

      2 Samuel 23

      24 Le “groupe des Trente” comprenait aussi : Assaël, frère de Joab, Élanan, fils de Dodo, de Bethléem,
    • Genèse 2

      19 Et l'Éternel Dieu forma de la terre tous les animaux des champs, et tous les oiseaux des cieux ; et il les fit venir vers Adam, pour voir comment il les nommerait, et que tout nom qu'Adam donnerait à chacun des êtres vivants, fût son nom.

      Genèse 4

      1 Or, Adam connut Eve sa femme, et elle conçut, et enfanta Caïn (acquisition), et elle dit : J'ai acquis un homme avec l'aide de l'Éternel.
      2 Elle enfanta encore son frère Abel ; et Abel fut berger, et Caïn fut laboureur.
      3 Or, au bout de quelque temps, Caïn offrit des fruits de la terre une oblation à l'Éternel ;
      4 Et Abel offrit, lui aussi, des premiers-nés de son troupeau, et de leurs graisses. Et l'Éternel eut égard à Abel, et à son oblation ;
      5 Mais il n'eut point égard à Caïn, ni à son oblation ; et Caïn fut fort irrité, et son visage fut abattu.
      6 Et l'Éternel dit à Caïn : Pourquoi es-tu irrité, et pourquoi ton visage est-il abattu ?
      7 Si tu fais bien, ne relèveras-tu pas ton visage ? Mais, si tu ne fais pas bien, le péché est couché à la porte, et son désir est tourné vers toi ; mais toi, tu dois dominer sur lui.
      8 Et Caïn parla à Abel, son frère. Et comme ils étaient aux champs, Caïn s'éleva contre Abel son frère, et le tua.
      9 Et l'Éternel dit à Caïn : Où est Abel ton frère ? Et il répondit : Je ne sais ; suis-je le gardien de mon frère, moi ?
      10 Et l'Éternel dit : Qu'as-tu fait ? La voix du sang de ton frère crie de la terre jusqu'à moi.
      11 Et maintenant tu seras maudit de la terre, qui a ouvert sa bouche pour recevoir de ta main le sang de ton frère.
      12 Quand tu cultiveras la terre, elle ne te rendra plus son fruit ; tu seras vagabond et fugitif sur la terre.
      13 Et Caïn dit à l'Éternel : Ma peine est trop grande pour être supportée.
      14 Voici, tu m'as chassé aujourd'hui de cette terre, et je serai caché de devant ta face, et je serai vagabond et fugitif sur la terre ; et il arrrivera que quiconque me trouvera, me tuera.
      15 Et l'Éternel lui dit : C'est pourquoi, si quelqu'un tue Caïn, Caïn sera vengé sept fois. Et l'Éternel mit à Caïn un signe, afin que quiconque le trouverait ne le tuât point.
      16 Alors Caïn sortit de devant l'Éternel, et habita au pays de Nod (exil), à l'orient d'Éden.
      17 Puis Caïn connut sa femme, qui conçut et enfanta Hénoc ; or il construisit une ville, qu'il appela Hénoc, du nom de son fils.
      18 Puis Irad naquit à Hénoc, et Irad engendra Mehujaël, et Mehujaël engendra Methushaël, et Methushaël engendra Lémec.
      19 Et Lémec prit deux femmes : le nom de l'une était Ada, le nom de l'autre Tsilla.
      20 Et Ada enfanta Jabal ; il fut père de ceux qui demeurent dans des tentes et près des troupeaux.
      21 Et le nom de son frère était Jubal ; il fut père de tous ceux qui jouent de la harpe et du chalumeau.
      22 Et Tsilla, elle aussi, enfanta Tubal-Caïn, qui forgeait toute sorte d'instruments tranchants d'airain et de fer ; et la soeur de Tubal-Caïn fut Naama.
      23 Et Lémec dit à ses femmes : Ada et Tsilla, écoutez ma voix ; femmes de Lémec, prêtez l'oreille à ma parole : Oui ! j'ai tué un homme pour ma blessure, et un jeune homme pour ma meurtrissure.
      24 Car si Caïn est vengé sept fois, Lémec le sera soixante-dix-sept fois.
      25 Et Adam connut encore sa femme ; et elle enfanta un fils et l'appela Seth (remplaçant) ; car Dieu, dit-elle, m'a donné un autre fils au lieu d'Abel, que Caïn a tué.
      26 Et un fils naquit aussi à Seth, et il l'appela Énosh. Alors on commença à invoquer le nom de l'Éternel.

      Genèse 5

      29 Et il l'appela Noé (repos), en disant : Celui-ci nous consolera de notre oeuvre, et de la peine qu'impose à nos mains la terre que l'Éternel a maudite.

      Genèse 10

      1 Voici les descendants des fils de Noé : Sem, Cham et Japhet, auxquels naquirent des enfants après le déluge.
      2 Les fils de Japhet sont Gomer, Magog, Madaï, Javan, Tubal, Méshec, et Tiras.
      3 Et les fils de Gomer, Ashkénas, Riphath, et Togarma.
      4 Et les fils de Javan, Elisha et Tarsis, Kittim et Dodanim.
      5 Par eux furent peuplées les îles des nations, dans leurs terres, chacun selon sa langue, selon leurs familles, selon leurs nations.
      6 Et les fils de Cham, sont Cush, Mitsraïm, Put et Canaan.
      7 Et les fils de Cush, Seba, Havila, Sabta, Raema et Sabteca. Et les fils de Raema, Sheba et Dedan.
      8 Et Cush engendra Nimrod, qui commença à être puissant sur la terre.
      9 Il fut un puissant chasseur devant l'Éternel. C'est pour cela qu'on dit : Comme Nimrod, puissant chasseur devant l'Éternel.
      10 Et le commencement de son royaume fut Babel, Érec, Accad et Calné, dans le pays de Shinear.
      11 De ce pays-là il sortit en Assyrie, et il bâtit Ninive, Rehoboth-Ir, Calach,
      12 Et Résen, entre Ninive et Calach ; c'est la grande ville.
      13 Et Mitsraïm engendra les Ludim, les Anamim, les Lehabim, les Naphtuhim,
      14 Les Pathrusim, les Casluhim (d'où sont sortis les Philistins) et les Caphtorim.
      15 Et Canaan engendra Sidon, son premier-né, et Heth ;
      16 Les Jébusiens, les Amoréens, les Guirgasiens ;
      17 Les Héviens, les Arkiens, les Siniens ;
      18 Les Arvadiens, les Tsemariens, les Hamathiens. Ensuite les familles des Cananéens se dispersèrent.
      19 Et la limite des Cananéens fut depuis Sidon, en venant vers Guérar, jusqu'à Gaza, en venant vers Sodome, Gomorrhe, Adma, et Tseboïm, jusqu'à Lésha.
      20 Ce sont là les fils de Cham, selon leurs familles, selon leurs langues, dans leurs terres, dans leurs nations.
      21 Il naquit aussi des fils à Sem, père de tous les fils d'Héber, et frère aîné de Japhet.
      22 Les fils de Sem sont Élam, Assur, Arpacshad, Lud et Aram.
      23 Et les fils d'Aram, Uts, Hul, Guéther et Mash.
      24 Et Arpacshad engendra Shélach, et Shélach engendra Héber.
      25 Et à Héber il naquit deux fils : le nom de l'un est Péleg (partage), car en son temps la terre fut partagée ; et le nom de son frère, Jockthan.
      26 Et Jockthan engendra Almodad, Sheleph, Hatsarmaveth, et Jérach ;
      27 Hadoram, Uzal, Dikla,
      28 Obal, Abimaël, Sheba,
      29 Ophir, Havila, et Jobab. Tous ceux-là sont fils de Jockthan.
      30 Et leur demeure était depuis Mésha, en venant vers Sephar, vers la montagne d'Orient.
      31 Ce sont là les fils de Sem, selon leurs familles, selon leurs langues, selon leurs terres, selon leurs nations.
      32 Telles sont les familles des fils de Noé, selon leurs générations, dans leurs nations ; et c'est d'eux que sont sorties les nations de la terre après le déluge.

      Genèse 11

      4 Et ils dirent : Allons, bâtissons-nous une ville et une tour, dont le sommet soit dans les cieux, et faisons-nous un nom, de peur que nous ne soyons dispersés sur la face de toute la terre.

      Genèse 17

      5 Et l'on ne t'appellera plus Abram (père élevé), mais ton nom sera Abraham (père d'une multitude) ; car je t'établis père d'une multitude de nations.
      15 Dieu dit à Abraham : Quant à Saraï ta femme, tu ne l'appelleras plus Saraï, mais Sara (princesse) est son nom.
      17 Alors Abraham tomba sur sa face ; et il rit, et dit en son coeur : Naîtrait-il un enfant à un homme âgé de cent ans ? et Sara, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ?

      Genèse 18

      13 Et l'Éternel dit à Abraham : Pour-quoi donc Sara a-t-elle ri, en disant : Est-ce que vraiment j'enfanterais, vieille comme je suis ?

      Genèse 25

      16 Ce sont là les fils d'Ismaël, et ce sont là leurs noms, selon leurs villages, et selon leurs bourgs : ce furent les douze princes de leurs peuples.
      25 Celui qui sortit le premier était roux, tout velu comme un manteau de poil ; et ils l'appelèrent Ésaü (velu).

      Genèse 29

      32 Et Léa conçut et enfanta un fils, qu'elle appela Ruben (voyez un fils !). Car elle dit : L'Éternel a regardé mon affliction ; maintenant mon mari m'aimera.

      Genèse 30

      6 Et Rachel dit : Dieu m'a rendu justice, et il a aussi exaucé ma voix, et m'a donné un fils ; c'est pourquoi elle l'appela Dan (juge).

      Genèse 32

      28 Alors il dit : Ton nom ne sera plus Jacob, mais Israël (qui lutte avec Dieu) ; car tu as lutté avec Dieu et avec les hommes, et tu as vaincu.
      29 Et Jacob l'interrogea, et dit : Apprends-moi ton nom, je te prie. Et il répondit : Pourquoi demandes-tu mon nom ? Et il le bénit là.

      Genèse 35

      18 Et comme elle rendait l'âme, car elle mourut, elle le nomma Bénoni (fils de ma douleur) ; mais son père l'appela Benjamin (fils de la droite).

      Genèse 41

      45 Et Pharaon appela Joseph du nom de Tsophnath-Panéach (soutien de la vie), et il lui donna pour femme Asnath, fille de Potiphéra, prêtre d'On (Héliopolis). Et Joseph alla visiter le pays d'Égypte.

      Exode 2

      10 Et quand l'enfant eut grandi, elle l'amena à la fille de Pharaon, qui l'adopta pour son fils ; et elle le nomma Moïse (sauvé des eaux), parce que, dit-elle, je l'ai retiré des eaux.
      22 Et elle enfanta un fils, et il le nomma Guershom (étranger là), car, dit-il, j'ai séjourné dans un pays étranger.

      Exode 31

      2 Vois, j'ai appelé par son nom Betsaléel, fils d'Uri, fils de Hur, de la tribu de Juda ;

      Lévitique 20

      3 Et moi, je tournerai ma face contre cet homme, et je le retrancherai du milieu de son peuple, parce qu'il aura livré ses enfants à Moloc, pour souiller mon sanctuaire et profaner le nom de ma sainteté.

      Lévitique 24

      11 Et le fils de la femme israélite blasphéma le nom de l'Éternel, et le maudit ; et on l'amena à Moïse. Or sa mère s'appelait Shelomith, fille de Dibri, de la tribu de Dan.

      Nombres 1

      2 Faites le compte de toute l'assemblée des enfants d'Israël, selon leurs familles, selon les maisons de leurs pères, en comptant par tête les noms de tous les mâles,

      Nombres 3

      40 Puis l'Éternel dit à Moïse : Fais le dénombrement de tous les premiers-nés mâles des enfants d'Israël, depuis l'âge d'un mois et au-dessus, et fais le compte de leurs noms.

      Nombres 6

      27 Ils mettront ainsi mon nom sur les enfants d'Israël, et moi, je les bénirai.

      Nombres 18

      20 Puis l'Éternel dit à Aaron : Tu n'auras point d'héritage en leur pays ; tu n'auras point de portion au milieu d'eux ; je suis ta portion et ton héritage au milieu des enfants d'Israël.

      Nombres 26

      65 Car l'Éternel avait dit d'eux : Ils mourront dans le désert ; et il n'en resta pas un, excepté Caleb, fils de Jephunné, et Josué, fils de Nun.

      Juges 13

      17 Manoah dit encore à l'ange de l'Éternel : Quel est ton nom, afin que nous t'honorions, quand ce que tu as dit sera arrivé ?

      Ruth 4

      5 Alors Booz dit : Au jour que tu acquerras le champ, de la main de Naomi et de Ruth, la Moabite, femme du défunt, tu acquerras aussi Ruth, pour conserver le nom du défunt dans son héritage.
      6 Et celui qui avait le droit de rachat dit : Je ne saurais racheter, de peur que je ne perde mon héritage ; toi, prends pour toi mon droit de rachat ; car je ne puis pas racheter.
      7 (Or, autrefois en Israël, en cas de rachat et de subrogation, pour confirmer la chose, l'homme ôtait son soulier et le donnait à son parent ; cela servait de témoignage en Israël.)
      8 Celui qui avait le droit de rachat dit donc à Booz : Acquiers-le pour toi ! et il ôta son soulier.
      9 Alors Booz dit aux anciens et à tout le peuple : Vous êtes aujourd'hui témoins que j'ai acquis de la main de Naomi tout ce qui appartenait à Élimélec, et tout ce qui était à Kiljon et à Machlon ;
      10 Et que je me suis aussi acquis pour femme Ruth, la Moabite, femme de Machlon, pour conserver le nom du défunt dans son héritage, afin que le nom du défunt ne soit point retranché d'entre ses frères, et de la porte de sa ville ; vous en êtes témoins aujourd'hui.
      17 Et les voisines lui donnèrent un nom, et dirent : Un fils est né à Naomi ; et elles l'appelèrent Obed ; ce fut le père d'Isaï, père de David.

      1 Samuel 1

      20 Et il arriva, dans le courant de l'année, qu'Anne conçut et enfanta un fils, et le nomma Samuel (Dieu a exaucé) ; car, dit-elle, je l'ai demandé à l'Éternel.

      1 Samuel 18

      30 Or, les capitaines des Philistins se mirent en campagne ; et chaque fois qu'ils sortaient, David avait plus de succès que tous les serviteurs de Saül, et son nom fut en fort grande estime.

      1 Samuel 24

      22 Et David le jura à Saül. Alors Saül s'en alla en sa maison, et David et ses gens montèrent au lieu fort.

      1 Samuel 25

      25 Que mon seigneur ne prenne pas garde, je te prie, à ce méchant homme, à Nabal ; car il est tel que son nom ; il s'appelle Nabal (fou), et il y a de la folie en lui. Mais moi, ta servante, je n'ai point vu les gens que mon seigneur a envoyés.

      2 Samuel 8

      13 David s'acquit encore du renom, à son retour de la défaite des Syriens, en battant, dans la vallée du Sel, dix-huit mille Iduméens,

      2 Samuel 12

      24 Et David consola sa femme Bath-Shéba ; et il vint vers elle, et coucha avec elle ; et elle enfanta un fils qu'il nomma Salomon.

      2 Samuel 14

      7 Et voici, toute la famille s'est élevée contre ta servante, en disant : Donne-nous celui qui a frappé son frère, et que nous le fassions mourir, pour l'âme de son frère qu'il a tué, et que nous exterminions même l'héritier. Et ils veulent éteindre le charbon vif qui m'est resté, pour ne laisser à mon mari ni nom ni survivant sur la face de la terre.

      2 Samuel 18

      18 Or Absalom s'était fait ériger, de son vivant, le monument qui est dans la vallée du roi ; car il disait : Je n'ai point de fils pour conserver la mémoire de mon nom. Et il appela le monument de son nom, et jusqu'à ce jour on l'appelle, la place d'Absalom.

      2 Samuel 23

      24 Asaël, frère de Joab, parmi les trente. Elchanan, fils de Dodo, de Bethléhem ;
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