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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
10.2-5 Les descendants de Japheth
A Japheth se rattachent quatorze noms, dont sept appartiennent à la premiÚre et sept à la seconde génération ; mais ces sept derniers ne descendent que de deux des fils de Japheth. Comparez le tableau.
Les sept fils de Japheth
Gomer. Ce nom revient dans EzĂ©chiel 38.6 oĂč il dĂ©signe un peuple du Nord alliĂ© de Gog dans sa grande expĂ©dition future contre le peuple de Dieu. Il se retrouve dans les inscriptions assyriennes, Ă partir du 7° siĂšcle avant JC, sous la forme de Gimirrai, nom de peuple, et de Gimir, nom de pays. La contrĂ©e dĂ©signĂ©e ainsi par les inscriptions est, selon toute probabilitĂ©, la Cappadoce, partie centrale de l'Asie-Mineure, que les ArmĂ©niens appelaient Gamir.
Le nom grec Kimmerioi (CimmĂ©riens) doit aussi ĂȘtre le mĂȘme mot ; il dĂ©signe un peuple qui habitait primitivement au nord de la mer Noire et qui a laissĂ© son nom au dĂ©troit reliant cette mer Ă la mer d'Azof (Bosphore CimmĂ©rien), mais qui, au 7° siĂšcle avant JC, fut refoulĂ© par les Scythes et passa en Asie-Mineure, oĂč il s'empara du royaume de Lydie. Cependant cette race paraĂźt s'ĂȘtre Ă©tendue bien au-delĂ de ces contrĂ©es. Ainsi, d'aprĂšs les historiens anciens, les Thraces, comme d'autres peuples d'Asie-Mineure descendus d'eux, Ă©taient CimmĂ©riens. Pour HomĂšre (OdyssĂ©e 11.14), les CimmĂ©riens sont un peuple plus ou moins fabuleux qui habite Ă l'extrĂȘme Occident
De mĂȘme, dans diverses contrĂ©es, on retrouve chez les anciens des noms qui rappellent Gomer et Kimmerioi : par exemple les GaramĂ©ens, avec Gomara comme capitale, en Assyrie ; les Comares, avec la ville de Comara sur les bords de l'Oxus ; les Cumri ou Cymry (Cambriens), peuple celtique habitant le pays de Galles, qui a gardĂ© dans ses traditions le souvenir d'un temps oĂč il habitait les bords de la mer Noire.
Strabon et Plutarque identifient mĂȘme toute la race celtique, qui habitait l'Europe occidentale, avec les CimmĂ©riens. Quelques savants vont plus loin encore et pensent que la tribu germaine des Cimbres Ă©tait aussi un rameau de cette race. Il n'est donc pas possible de fixer avec une entiĂšre certitude la position gĂ©ographique de Gomer. Il est probable que ce peuple, parti du berceau primitif de la race humaine, se dirigea vers le Nord, s'Ă©tablit sur la cĂŽte septentrionale de la mer Noire, et envoya de lĂ ses ramifications vers le Sud et vers l'Ouest.
Magog doit vraisemblablement ĂȘtre cherchĂ© entre Gomer et les MĂšdes. Dans EzĂ©chiel 38.2,6,15 ; 39.2, c'est le nom d'un pays du Nord habitĂ© par Gog ; Gog domine sur Tubal et MĂ©sec, et Ă lui se joignent Gomer et Thogarma pour envahir les contrĂ©es du Sud.
Comme il est probable que cette prophétie est en relation avec la grande invasion des Scythes qui venait d'avoir lieu et avait laissé une impression profonde dans l'Asie occidentale, on identifie Magog avec ce peuple, quoiqu'il n'y ait aucune relation entre les deux noms. Il est donc probable que nous devons chercher Magog dans les contrées qui s'étendent à l'ouest de la mer Caspienne, et de là vers le Nord jusque dans les steppes de l'Oural.
MadaĂŻ dĂ©signe, d'un accord unanime, les MĂšdes, peuple habitant le plateau de l'Iran au sud du lac Caspien et qui apparaĂźt pour la premiĂšre fois dans l'histoire biblique 2Rois 17.6, vers l'an 722, comme soumis an roi d'Assyrie. Ils portent exactement le mĂȘme nom dans les inscriptions assyriennes, oĂč ils sont souvent mentionnĂ©s.
D'aprĂšs cela, Gomer, Magog et MadaĂŻ formeraient une ligne continue allant du Nord-Ouest au Sud-Est.
Javan commence une nouvelle ligne de l'Ouest à l'Est. Ce nom est, dans toutes les langues orientales, celui des Grecs et correspond au mot grec IaÎnes, ou Ioniens, nom qui, avant de s'appliquer à une branche spéciale de la race hellénique, a servi, selon le témoignage d'anciens historiens grecs, à désigner la race tout entiÚre.
Les Grecs n'occupaient pas seulement la GrÚce et les ßles de l'Archipel, mais encore la cÎte occidentale et méridionale de l'Asie-Mineure. La Bible les mentionne souvent : comparez Joël 3.6 ; Esaïe 66.19 ; Ezéchiel 27.13 ; Daniel 8.21 ; Zacharie 9.13, etc.
Tubal et MĂ©sec sont presque toujours rĂ©unis dans l'Ancien Testament, de mĂȘme que chez les Grecs (Moskoi et TibarĂȘnoi), dans les inscriptions assyriennes (Tabal et Muski) et mĂȘme dans les hiĂ©roglyphes Ă©gyptiens (Tuirasch et Maskouasch). Ce sont les TibarĂ©niens et les Mosques qui, au temps de l'historien grec HĂ©rodote, habitaient au nord de l'ArmĂ©nie, entre la mer Noire, le Caucase et la mer Caspienne. Comparez EzĂ©chiel 27.13 ; 38.2
D'autre part, d'aprÚs des inscriptions assyriennes datant des 8° et 9° siÚcles avant JC, Tubal était un peuple considérable qui possédait une grande partie de l'Asie-Mineure, et dont les frontiÚres touchaient à la Cilicie. Il est donc probable que ce peuple, puissant d'abord, a été refoulé ensuite dans la partie septentrionale de son territoire par les descendants de Gomer. (Voir à ce nom)
Thiras. Ce nom ne se retrouvant nulle part ailleurs, nous sommes rĂ©duits Ă des conjectures sur le peuple qu'il dĂ©signe. Longtemps on a pensĂ© que c'Ă©taient les Thraces. tribu puissante de la presqu'Ăźle hellĂ©nique. Mais, comme nous l'avons vu, ce peuple appartenait Ă la race cimmĂ©rienne. Il est plus probable qu'il faut penser aux TyrrhĂ©niens, les ancĂȘtres des Etrusques, dans la Toscane actuelle. Ce peuple, dont les origines sont encore mystĂ©rieuses, prĂ©sentait quelque affinitĂ© avec les Grecs.
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