Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
5
Et maintenant, ne soyez pas attristés, et ne voyez pas d'un oeil chagrin que vous m'ayez vendu ici, car c'est pour la conservation de la vie que Dieu m'a envoyé devant vous.
6
Car voici deux ans que la famine est dans le pays, et il y a encore cinq ans, pendant lesquels il n'y aura ni labour, ni moisson.
7
Et Dieu m'a envoyé devant vous pour vous conserver de reste sur la terre, et pour vous conserver la vie par une grande délivrance.
8
Et maintenant, ce n'est pas vous qui m'avez envoyé ici, mais c'est Dieu ; et il m'a établi père du Pharaon, et seigneur de toute sa maison, et gouverneur sur tout le pays d'Égypte.
20
Vous, vous aviez pensé du mal contre moi : Dieu l'a pensé en bien, pour faire comme il en est aujourd'hui, afin de conserver la vie à un grand peuple.
10
Car la colère de l'homme te louera ; tu te ceindras du reste de la colère.
6
Et l'habitant de cette côte dira en ce jour-là : Voilà notre confiance, ceux vers qui nous avons couru pour avoir du secours, pour être délivrés de devant le roi d'Assyrie ! et nous, comment échapperons-nous ?
28
pour faire toutes les choses que ta main et ton conseil avaient à l'avance déterminé devoir être faites.
15
Car c'est peut-être pour cette raison qu'il a été séparé de toi pour un temps, afin que tu le possèdes pour toujours,
Ce mot, dans la pensée de l'apôtre, va bien au delà du temps présent. Quel argument pour Philémon !
Le fait d’être chrétien ne nous fait pas rejeter la pratique de nos devoirs envers les autres, nous devons les accomplir en toute droiture. Les repentants authentiques n’hésitent pas à reconnaître leurs fautes ; c’est ce que fit sans doute Onésime envers Paul, en lui déclarant celles qu’il avait causées auparavant à son maître.
La communion des saints ne détruit pas la hiérarchie entre un maître et son serviteur. Ce texte en est un bon exemple, révélant la faute incombée à Onésime, à l’encontre de son maître, Philémon : Paul demanda au premier de s’engager volontairement à reconnaître son péché, afin de pouvoir être acquitté de la punition que méritaient ses crimes ; c’est en quelque sorte une image du pécheur repentant qui s’approche de Christ, Celui qui « porte » les péchés, afin qu’il puisse recevoir sa « récompense », et sa justification.
Philémon était le « fils » de Paul dans la foi ; ce dernier le considéra malgré tout, comme un frère. Onésime n’était qu’un pauvre esclave, mais Paul le supplia pour le relever avec une certaine dignité.
Les chrétiens devraient tout mettre en œuvre pour apporter de la joie aux autres. Quand ces derniers sont en faute, ils n'attendent du monde que l'affliction, alors qu’ils pourraient trouver la consolation et la joie d’un frère dans le Seigneur.
Quand nous traversons l’épreuve, notre confiance et notre espérance doivent se baser sur Dieu. Nous devons fidèlement employer les moyens qu’Il a mis à notre disposition pour nous relever, et si personne ne nous aide, prions ardemment. Bien que la prière soit essentielle, tout le mérite du pardon obtenu revient à Dieu. Si les chrétiens sont dans l’impossibilité de se rencontrer ici-bas, il leur reste la Grâce du Seigneur Jésus, qui sera toujours avec eux, et l’espérance de pouvoir se retrouver bientôt devant le Trône céleste, pour se réunir pour goûter les richesses de l'Amour rédempteur.
L'exemple d'Onésime encourage le plus vil des pécheurs à se tourner vers Dieu ; mais quelle honte et quelle tristesse, si certains se montrent arrogants, en persistant à donner libre cours au mal. N'y en a t'il pas plusieurs qui ont été « foudroyés » dans leurs péchés, voire d'autres endurcis ? Ne résistez plus aujourd’hui aux résolutions de repentance, de peur qu'elles ne se représentent plus...