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29
sa crainte à l’égard de David augmenta encore et sa haine envers lui devint définitive.
19
Tu m’as révélé aujourd’hui ta bonté pour moi. Le Seigneur m’avait en effet livré en ton pouvoir, mais tu ne m’as pas tué.
2
Alors le roi m’interrogea : « Pourquoi cet air triste ? Tu n’es pourtant pas malade ? Quel est le chagrin qui te ronge ? » Je fus saisi d’une grande frayeur.
6
Esther répondit : « Notre adversaire, notre ennemi, c’est Haman, ce misérable ! » Haman fut saisi de terreur devant le roi et la reine.
12
Toi, pourquoi me fais-tu surveiller de si près : serais-je l’Océan ou le Monstre marin ?
13
Quand je me mets au lit en espérant trouver quelque soulagement ou quelque apaisement,
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tu viens me terroriser par des cauchemars ; ce que tu me fais voir me jette dans l’angoisse.
15
Ah, si tu m’étranglais, j’aimerais mieux cela ! Je préfère mourir, plutôt qu’être réduit à l’état de squelette.
19
Faut-il nous affronter ? Il est trop fort pour moi ! Faut-il aller en jugement ? Mais voudra-t-il me convoquer au tribunal ?
20
Même si j’ai raison, ce que je pourrais dire me donnerait tort, et me condamnerait malgré mon innocence.
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Suis-je innocent ? Je ne me connais pas moi-même. Je suis dégoûté de la vie.
27
Si je me dis : il faut oublier mes soucis, cesser d’être morose et me mettre à sourire,
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je reste tourmenté par toutes mes souffrances, et je sais que toi, Dieu, ne m’acquitteras pas.
15
Alors tant pis pour moi, si je me rends coupable ! Même innocent, je dois rester la tête basse, et je suis soûl de honte, ivre de ma misère.
8
Mais si je vais à l’est, il ne s’y trouve pas. Je me rends à l’ouest, et ne l’aperçois pas.
9
A-t-il à faire au nord ? Non, je ne l’y vois pas. Se cache-t-il au sud ? Je ne remarque rien.
10
Pourtant il connaît bien le chemin que je suis : il m’a mis à l’épreuve, mais j’en sortirai pur, comme l’or du creuset.
2
Seigneur mon Dieu, c’est à toi que j’ai recours. Sauve-moi, délivre-moi de tous ceux qui me persécutent.
4
Seigneur mon Dieu, si j’ai fait ce qu’on dit, si mes mains ont commis un crime,
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si j’ai rendu le mal pour le mal ou dépouillé celui qui m’en veut sans raison,
2
O Seigneur, notre Maître, que ta renommée est grande sur toute la terre ! Ta majesté surpasse la majesté du ciel.
6
Tu menaces ces païens, tu fais succomber ces infidèles, tu effaces leur nom pour toujours.
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pour faire droit à l’orphelin, à l’opprimé. Ainsi personne sur terre ne pourra plus être un tyran.
9
à l’abri des méchants qui me tyrannisent, des ennemis mortels qui m’encerclent.
7
Moi, on me traite comme une vermine ; je ne suis plus un homme. Les gens m’insultent, tout le monde me méprise.
8
Tous ceux qui me voient se moquent de moi, ils font la moue, ils secouent la tête.
18
Seigneur, ne me laisse pas déçu d’avoir fait appel à toi. Honte plutôt à ces gens sans foi ni loi ! Qu’ils soient réduits au silence de la mort !
17
Je te l’ai demandé, en effet : empêche-les de s’amuser à mes dépens et de prendre un air supérieur devant moi quand je fais un faux pas.
4
Jour et nuit, j’ai ma ration de larmes, car on me dit sans cesse : « Ton Dieu, que fait-il donc ? »
9
Que le Seigneur me montre sa bonté, le jour, et je passerai la nuit à chanter pour lui, à prier le Dieu qui me fait vivre.
10
Je veux dire à Dieu, à mon Rocher : « Pourquoi m’as-tu oublié, pourquoi dois-je vivre accablé, pourquoi laisses-tu mes ennemis m’écraser ? »
14
Tu nous laisses insulter par nos voisins et ridiculiser par ceux qui nous entourent.
15
Tu laisses les nations faire de nous le sujet de leurs chansons, et les peuples hocher la tête en se moquant.
16
Tous les jours, je suis face à mon humiliation, et la honte me monte au visage,
10
Oui, combien de temps encore, ô Dieu, l’adversaire te provoquera-t-il, l’ennemi se moquera-t-il de toi sans cesse ?
18
Rappelle-toi ceci, Seigneur : l’ennemi te provoque, ce peuple stupide se moque de toi.
2
Je m’adresse à Dieu pour crier ma plainte, je m’adresse à Dieu pour qu’il me prête attention.
3
Quand je suis dans la détresse, je me tourne vers le Seigneur. Sans relâche, la nuit, ma main se tend vers lui, je refuse qu’on me console.
4
Dès que je pense à Dieu, je pousse des soupirs ; dès que je réfléchis, je perds courage.
5
Tu m’empêches de fermer l’œil, Seigneur, je me trouble, je ne sais plus que dire.
6
J’évoque le lointain passé, je repense au temps jadis. Je passe la nuit à réfléchir, je médite et je cherche à comprendre :
8
le Seigneur nous rejettera-t-il toujours ? Ne voudra-t-il plus jamais de nous ?
9
A-t-il cessé pour toujours d’être bon pour nous ? N’a-t-il désormais plus rien à nous dire ?
10
Dieu a-t-il oublié d’avoir pitié de nous ? Dans sa colère, nous a-t-il fermé son cœur ? Pause
11
Et je me dis : « Ce qui me fait mal, c’est que le Dieu très-haut n’agit plus pour nous. »
12
Je me souviens de ce que tu as fait, Seigneur, oui, j’évoque tes merveilles d’autrefois.
18
Chaque fois que j’ai dit : « Je ne tiens plus debout », ta bonté, Seigneur, m’a soutenu.
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Et quand j’avais le cœur surchargé de soucis, tu m’as consolé, tu m’as rendu la joie.
3
La Mort me tenait déjà enchaîné, le monde des ombres resserrait sur moi son étreinte ; j’étais pris de détresse et d’angoisse.
3
Accorde-nous ton appui, Seigneur, oui, accorde-nous ton appui, car nous n’en pouvons plus d’être méprisés ;
4
nous en avons plus qu’assez de l’ironie des insolents et du mépris des arrogants.
4
Quand je perds courage, toi, tu sais où je vais. Sur la route où j’avance, on m’a tendu un piège.
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Regarde à mes côtés, et constate-le : personne ne prend garde à moi ; je n’ai plus aucun lieu où me réfugier, personne ne se soucie de moi.
6
Je fais appel à toi, Seigneur ; je te dis : C’est toi qui es mon abri, mon bien le plus personnel sur cette terre où nous vivons.
7
Sois attentif à ma plainte, car me voilà bien bas. Sauve-moi de mes persécuteurs, ils sont trop forts pour moi.
3
J’ai un ennemi qui me persécute ; il m’a jeté à terre pour me piétiner, il m’enfonce dans l’obscurité de la mort avec les défunts du passé.
4
J’en perds tout courage, je n’ai plus la force de réagir.
13
La joie au cœur égaie le visage, la peine provoque la mauvaise humeur.
17
Voici la conclusion que j’en tire : le mieux pour l’être humain est de manger, de boire et de profiter des résultats de son travail ici-bas pendant la durée de vie que Dieu lui donne. C’est la part qui lui revient.
18
J’ai le cœur serré. Il n’y a pas de remède pour guérir mon chagrin.
18
Pourquoi ma souffrance est-elle sans fin ? Pourquoi ma blessure est-elle inguérissable et refuse-t-elle de se cicatriser ? Vraiment tu m’as trompé, comme un ruisseau irrégulier où l’on n’est pas sûr de trouver de l’eau !
3
Tu dis : “Ah ! que tout va mal pour moi ! J’avais déjà bien des soucis, et le Seigneur y ajoute de nouveaux ennuis. Je suis fatigué de soupirer, et je ne trouve aucun répit !”
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Ses ennemis ont eu le dessus, ses adversaires sont tranquilles. C’est le Seigneur qui l’afflige pour ses nombreuses désobéissances. Ses jeunes enfants, poussés par les vainqueurs, partent vers la captivité.
9
Sa robe porte les traces de sa souillure. Elle n’avait pas prévu ce qui arriverait, et la voilà surprise d’être ainsi déchue, sans personne pour la réconforter. « Seigneur, dit-elle, vois ma misère, vois comme mon ennemi est triomphant. »
8
O vous, nos ennemis, ne riez pas de notre sort ! Même si nous sommes tombés, nous nous relèverons ! Même si nous sommes dans l’obscurité, le Seigneur est notre lumière !
9
Nous devons supporter la colère du Seigneur, car nous avons péché contre lui. Mais le moment viendra où il défendra notre cause et rétablira nos droits. Il nous ramènera à la lumière, et nous comblera de ses bienfaits.
10
En voyant cela, nos ennemis seront couverts de honte, eux qui nous demandaient : « Que fait donc le Seigneur, votre Dieu ? » Ils seront foulés aux pieds comme de la boue dans les rues, et nous verrons ce spectacle !
38
Il leur dit alors : « Mon cœur est plein d’une tristesse mortelle ; restez ici et veillez avec moi. »
53
Tous les jours j’étais avec vous dans le temple et vous n’avez pas cherché à m’arrêter. Mais cette heure est à vous et à la puissance de la nuit. »
6
Mais la tristesse a rempli votre cœur parce que je vous ai parlé ainsi.
2
mon cœur est plein d’une grande tristesse et d’une douleur continuelle.
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Il a été malade, en effet, et bien près de mourir ; mais Dieu a eu pitié de lui, et non seulement de lui, mais aussi de moi, pour que je n’éprouve pas une tristesse encore plus grande.
2 et 3 La plainte a la forme d'un reproche (comparez Marc 4.38). La conscience du psalmiste ne l'accuse pas, et pourtant Dieu cache sa face.
Jusques à quand ?... Ce cri, quatre fois répété, semble en contradiction avec le mot à toujours, qui représente l'abandon comme définitif. La contradiction est dans l'âme même du suppliant. Il est des moments où, comme le dit, Luther à propos de cette parole, l'espérance commence à désespérer, et où pourtant le désespoir espère encore.