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1 Corinthiens 2.3

Moi-même j'étais auprès de vous dans un état de faiblesse, de crainte, et de grand tremblement ;
C’est pourquoi, je me suis présenté à vous faible et tout tremblant de crainte ;
De plus, quand je suis arrivé chez vous, je me sentais bien faible et je tremblais de crainte.
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    • Actes 17

      1

      Paul à Thessalonique. (Actes 17:1-9)
      L’excellent exemple des Juifs de Bérée. (Actes 17:10-15)
      Paul à Athènes. (Actes 17:16-21)
      Sa prédication sur place. (Actes 17:22-31)
      L’attitude méprisante des Athéniens. (Actes 17:32-34)

      Toute la prédication de Paul et tous ses propos avaient pour but de prouver que Jésus est réellement le Christ. Jésus devait souffrir pour nous, puis ressusciter car, sinon, Il ne pouvait pas acquérir notre rédemption.

      Nous devons annoncer que Jésus est réellement le Christ ; nous savons par la foi qu’Il nous a sauvés et que nous sommes destinés à Lui obéir. Les Juifs de Thessalonique restaient incrédules et furieux car les apôtres prêchaient aux païens qu'ils pouvaient bénéficier aussi du salut en Jésus-Christ.

      Qu’il est étrange de voir certaines personnes donner à contre cœur aux autres les privilèges qu'elles n'acceptent pas pour elles-mêmes ! Ni les dirigeants, ni le peuple ne doivent être troublés par l'augmentation du nombre de chrétiens véritables, même si des contestataires prétextent que la piété conçoive le mal. Méfions-nous de ce genre de situations, évitons-les ; puissions-nous manifester notre désir d'agir avec droiture ici-bas, tandis que nous adorons Dieu de tout notre cœur.

      10 Les Juifs de Bérée s'appliquaient avec sérieux à l'étude de la Parole qui leur était prodiguée. Non seulement ils écoutaient Paul prêcher durant le sabbat, mais ils sondaient quotidiennement les Écritures et comparaient ce qu'ils lisaient avec les prédications reçues.

      La doctrine de Christ n'a pas à craindre qu’on la « dissèque » ; ceux qui défendent Son enseignement ne désirent rien d’autre qu'une méditation minutieuse et impartiale de cette dernière par ceux qui le reçoivent, afin qu’ils se rendent réellement compte de la véracité de la Parole. Ceux qui veulent progresser dans la piété et la sainteté, font des Écritures leur règle de conduite, ils les consultent en conséquence.

      Que tous ceux qui entendent l'Évangile puissent faire comme ces Juifs de Bérée : recevoir la Parole avec empressement et sonder chaque jour les Écritures, pour vérifier si ce qu’on leur enseigne est conforme !

      Actes 18

      1

      Paul à Corinthe, avec Aquilas et Priscille. (Actes 18:1-6)
      Il continue à prêcher à Corinthe. (Actes 18:7-11)
      Paul devant Gallion. (Actes 18:12-17)
      Il se rend à Jérusalem. (Actes 18:18-23)
      Apollos enseigne à Éphèse et en Achaïe. (Actes 18:24-28)

      Bien que Paul puisse légitimement être aidé par les églises qu'il avait implantées et par ceux auxquels il prêchait la Parole, il a cependant assumé une profession, durant son ministère. Un honnête commerce, grâce auquel un homme peut gagner son pain, ne doit pas être méprisé.

      Les Juifs avaient pour coutume d’enseigner à leurs enfants un métier, tout en leur donnant de l'instruction et des biens. Paul veillait à n’être à la charge de personne, en quoi que ce soit.

      L'amour de Christ est le meilleur lien qui puisse unir les saints ; la communion fraternelle adoucit les peines du labeur, elle contrecarre le mépris mutuel et de nombreux problèmes. La plupart des Juifs persistait à contredire l'Évangile et à le blasphémer. Ils ne voulaient pas y croire et faisaient tout leur possible pour faire partager leur opinion aux autres.

      Paul parti donc d’Athènes. Il n'abandonna pas son travail ; bien qu'Israël ne soit pas encore reconstitué*, Christ et l’Évangile manifestaient leur puissance ! Les Juifs ne doivent pas se plaindre : ils furent les premiers à recevoir l'offre du salut.

      Quand certaines personnes s'opposent à l'Évangile qui leur est annoncé, nous devons nous tourner alors vers d'autres. La tristesse de voir beaucoup de gens persister dans l'incrédulité, ne doit pas nous empêcher de remercier le Seigneur pour ceux qui se tournent vers Lui !

      * Note du traducteur : ce texte a été rédigé au dix-neuvième siècle ; l’auteur ne pouvait donc pas savoir que l’état d’Israël allait être reconstitué plus tard.

      12 Paul était sur le point de montrer aux autorités qu'il n'avait pas enseigné aux hommes d’adorer Dieu de façon contraire à la loi ; mais Gallion, le proconsul, rejeta la plainte des Juifs, sous prétexte que cette affaire n’entrait pas dans le cadre de sa fonction. Gallion avait raison de laisser les Juifs livrés à eux-mêmes, quant aux problèmes relatifs à leur religion, mais il ne devait cependant pas leur permettre pour autant, de persécuter qui que ce soit à ce sujet. Ce proconsul avait tort de parler avec légèreté d'une loi et d'une religion qu'il aurait pu reconnaître comme étant de Dieu, et qui l'auraient certainement concerné.

      La manière dont Dieu doit être adoré, le fait de savoir si Jésus est véritablement le Messie et la véracité de l'Évangile, la révélation divine, ne doivent pas être l’objet de vaines polémiques ; cet ensemble de pensées est de la plus haute importance.

      Gallion a semblé être fier de son ignorance des Écritures, comme si la loi de Dieu n'était pas digne de son intérêt. Ce proconsul ne s'est préoccupé d'aucun de ces sujets. S'il ne s'est pas soucié des affronts des Juifs religieux, prodigués à l’égard de Paul, il était louable ; mais en se désintéressant des abus subis injustement par l’apôtre, son indifférence était alors coupable.

      Ceux qui constatent les souffrances du peuple de Dieu, sans en ressentir ni pitié, ni de préoccupation, et qui ne prient pas pour ce sujet, ont le même esprit que Gallion : il a négligé tous ces points...

      Actes 20

      1 Corinthiens 2

      1 Corinthiens 4

      2 Corinthiens 4

      1

      Les apôtres agissaient avec beaucoup de diligence, de sincérité, et de fidélité. (2 Corinthiens 4:1-7)
      Leurs souffrances pour l'Évangile étaient grandes, malgré le soutien efficace de ce Dernier. (2 Corinthiens 4:8-12)
      Les perspectives de gloire éternelle permettent aux croyants d'éviter de chuter, face à leurs problèmes. (2 Corinthiens 4:13-18)

      Le meilleur des hommes succomberait, s'il ne bénéficiait pas de la Miséricorde divine. Nous pouvons vraiment compter sur cette Dernière, qui nous a aidés jusqu’à présent dans tout notre cheminement ici-bas, qui nous aide encore, et qui nous aidera jusqu'à la fin !

      Les apôtres n'avaient ni mauvais penchants, ni mauvais desseins, leurs prétentions étaient pures. Ils n'essayèrent pas de dévier du ministère qui leur était confié, respectant ainsi le droit chemin. La sincérité et la droiture des hommes pieux témoignent en leur faveur, aux yeux du monde.

      Christ, a fait découvrir à l'esprit humain Son merveilleux Évangile. Mais le diable a pour but de garder les hommes dans leur ignorance spirituelle ; quand il ne peut empêcher la Lumière de l'Évangile de Christ de s’approcher du monde, il n'éprouve aucun scrupule à éloigner les hommes de ce Dernier, ou à les dresser contre. Le refus de l'Évangile est alors soumis à la méchanceté et à l'aveuglement du cœur humain.

      L’égocentrisme n'était pas le propos ni le but de prédication des apôtres ; ils ont prêché Jésus-Christ, le Sauveur, Celui qui délivre, Celui qui sauve de la perdition tous ceux qui viennent à Dieu, par Son intermédiaire.

      Les serviteurs de Dieu « paissent » les âmes ; ils doivent les garder de toute servitude envers les convoitises humaines de ce monde.

      Il est agréable de contempler le soleil dans le firmament ; il est par contre, bien plus agréable et avantageux pour nous que l'Évangile brille dans notre cœur ! Alors que la lumière était le commencement de la création originelle, elle est aussi, par l'Esprit, lors de la nouvelle naissance, le première opération effectuée sur l'âme !

      Le trésor de la lumière et de la grâce de l'Évangile est placé dans des vases de terre (verset sept*). Les serviteurs de Dieu sont soumis aux mêmes passions et faiblesses que les autres hommes. Dieu aurait pu envoyer des anges pour imposer la doctrine glorieuse de l'Évangile ; Il aurait pu tout aussi bien utiliser les plus grands hommes, les plus influents, pour enseigner les nations... Il a en fait choisi les plus humbles, les « vases » les plus simples, afin qu’Il puisse être davantage glorifié, quant à leur soutien, à la puissance et à la bénédiction de leur ministère.

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      8 Les apôtres étaient grandement éprouvés, bien que bénéficiant d’un soutien spirituel merveilleux !

      Les croyants peuvent être abandonnés par leurs amis, tout en étant persécutés par leurs ennemis ; mais Dieu ne les quittera pas, ni ne les abandonnera !

      Nous pouvons éprouver ici-bas, certaines craintes, même des perspectives de combats spirituels ; nous ne sommes pas vaincus pour autant ! L'apôtre mentionne les souffrances des chrétiens de Corinthe, semblables à celles de Christ, afin que d'autres personnes puissent reconnaître le pouvoir de la résurrection de Jésus, et découvrir Sa Grâce. Comparativement aux apôtres, ces dernières étaient en ce temps-là, dans des situations florissantes.

      2 Corinthiens 6

      2 Corinthiens 7

      5 Il y avait à l’époque, des rivalités, de l'opposition et des luttes continuelles entre Juifs et païens ; on pouvait trouver également des craintes et de grandes inquiétudes chez ceux qui avaient embrassé la foi chrétienne, mais Dieu console ceux qui sont tombés.

      Nous devrions sans cesse tenter, par tous les moyens de nous rapprocher de Dieu, l'Auteur de toute consolation et de bonté. La souffrance tolérée par Dieu, tendant à Sa Gloire, et forgée par Son Esprit, rend le cœur humble, contrit, soumis, disposé à éliminer chaque péché, et à marcher en nouveauté de vie. Ce repentir est associé au salut, par la foi en Christ, et par Son expiation du péché.

      Il y a une grande différence entre la souffrance que peuvent éprouver les hommes pieux, et celle de ce monde. Les fruits du véritable repentir sont mentionnés dans ce texte. Le changement d’un cœur transformé spirituellement se traduit par une nouveauté de vie : les perspectives ici-bas seront alors totalement différentes !

      Toutes ces pensées forgent notre indignation vis à vis du péché, du tentateur et de ses serviteurs. Cela attise notre vigilance contre toute tolérance à l’iniquité, et nous incite à la prudence vis à vis de cette dernière. Cela forge le désir d'être réconcilié avec Dieu, ainsi que notre zèle pour accomplir notre devoir. Cela nous incite à combattre le péché et sa folie, étant réellement convaincu des graves blessures qu'il peut occasionner.

      L'humilité profonde devant Dieu, la haine de tout péché, la foi en Christ, un cœur nouveau et une nouvelle vie, provoquent le repentir à salut. Puisse le Seigneur l'accorder à chacun de nous !

      2 Corinthiens 10

      1

      L'apôtre affirme son autorité avec douceur et humilité. (2 Corinthiens 10:1-6)
      Il converse avec les Corinthiens. (2 Corinthiens 10:7-11)
      Il cherche la gloire de Dieu, et Son approbation. (2 Corinthiens 10:12-18)

      Pendant que plusieurs personnes avaient de mauvaises pensées, parlant avec dédain de l'apôtre Paul, ce dernier gardait une certaine humilité.

      Nous devrions être conscients de nos propres infirmités, et garder une humble opinion de nous-mêmes, précisément quand les autres nous adressent des reproches.

      Le ministère au service du Seigneur est souvent l’objet d’une guerre spirituelle, il comporte des opposants qui poursuivent des buts bien précis. La force matérielle n'est pas la méthode employée par l'Évangile, qui utilise plutôt la persuasion, par le biais de la Vérité et la douceur de caractère de ceux qui L’annoncent.

      Notre conscience n’est responsable que devant Dieu, devant Lui seul ; nous devons tous éprouver de la crainte envers Dieu et accomplir notre devoir, sans y être forcés. Les armes spirituelles dont nous disposons sont très puissantes ; elles contribuent à mettre en évidence la Vérité.

      Que d'opposition rencontre-t-on contre l’Évangile, par les pouvoirs du péché et de Satan, agissant dans le cœur de l’homme ! Observez par contre, la puissance de la Parole de Dieu ! Les moyens conventionnels, utilisés pour lutter contre le mal paraissent parfois bien faibles, aux yeux de certains ; en fait, ils peuvent être relativement puissants, grâce à la force divine !

      La prédication de la croix, par des hommes de foi et de prière, a toujours été fatale à l'idolâtrie, à l'impiété, et à la méchanceté.

      2 Corinthiens 11

      2 Corinthiens 12

      7 Dans ce texte, l'apôtre, compte tenu des visions et des révélations qu'il avait reçues précédemment, fait état de la méthode entreprise par Dieu, pour le garder en toute humilité, et le prévenir de toute tentation de s’enorgueillir.

      Il ne nous est pas dit en quoi consistait cette « épine dans la chair » ; il s’agissait peut-être d’un grave problème, ou d’une grande tentation... Mais Dieu accorde souvent le bien par le biais de la souffrance : les reproches que peuvent nous adresser nos adversaires nous aident à nous garder de toute fierté. Si Dieu nous aime, Il nous évitera d'être exalté au-delà de toute mesure ; les fardeaux de toute nature sont ordonnés pour combattre la fierté spirituelle.

      Le texte nous déclare que cette « épine dans la chair » a été envoyée, à titre maléfique, par un ange de Satan ; mais Dieu, Celui qui a permis d’éprouver l’apôtre, l'a « remaniée », pour devenir finalement le bien de Paul.

      La prière est un « onguent » pour chaque plaie, un remède pour chaque maladie ; quand nous sommes affligés par des « épines » dans la chair, nous devons nous consacrer à la prière. Si une réponse n'est pas accordée dans l’immédiat, ou peu après, continuons à prier !

      Les épreuves nous sont envoyées par la Providence pour nous apprendre à prier ; si elles persistent, c’est dans le but de nous apprendre à poursuivre cette prière. Quoique Dieu accepte la prière de la foi, Il n'accorde pas toujours ce qui est demandé : alors qu'Il exauce parfois dans le courroux, Il refuse aussi dans Son Amour. Quand le Seigneur n’éloigne pas de nous les problèmes, ni les tentations, Il nous accorde cependant Sa grâce toute suffisante, de sorte que nous n'avons aucune raison de nous plaindre ! La Grâce manifeste la clémence de Dieu à notre égard ; c'est suffisant pour nous éclairer, nous animer, nous fortifier et nous réconforter dans les détresses et les afflictions.

      La force du Seigneur est parfaitement adaptée à notre faiblesse. Sa Grâce est ainsi manifestée et magnifiée ! Quand nous nous sentons faibles, c'est alors que nous sommes forts, dans la Grâce de notre Seigneur Jésus-Christ ; quand nous ressentons vraiment cette faiblesse, allons à Christ, pour recevoir Sa force et découvrir cette abondance divine, de Puissance et de Grâce !

      2 Corinthiens 13

      Galates 4

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