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1 Corinthiens 4.10

Nous sommes fous à cause de Christ, mais vous, vous êtes sages en Christ ; nous sommes faibles, mais vous êtes forts. Vous êtes glorieux, et nous sommes déshonorés !
Nous 2249 sommes fous 3474 à cause de 1223 Christ 5547 ; mais 1161 vous 5210, vous êtes sages 5429 en 1722 Christ 5547 ; nous 2249 sommes faibles 772, mais 1161 vous 5210 êtes forts 2478. Vous 5210 êtes honorés 1741, et 1161 nous 2249 sommes méprisés 820 !
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    • 2 Rois 9

      11 Ceux qui annoncent avec fidélité le message de l'Éternel aux pécheurs, ont été de tous temps, traités de fous. Leurs jugements, leurs discours, et leur conduite sont souvent contraires à ceux de leur entourage ; les serviteurs de Dieu doivent fréquemment supporter l'antipathie générale ; leur conduite est influencée par des motifs qui échappent complètement aux autres. Mais par-dessus tout, leur peine provient de leur rejet par les hommes ici-bas et par les impies, tous les considérant comme de véritables fous. En fait, les principes et les activités de ces serviteurs de Dieu, s'avèrent être pleins de sagesse et tout à fait censés !

      La foi en la Parole de Dieu, semble bien avoir animé Jéhu dans cette entreprise.

      Proverbes 11

      Esaïe 53

      Jérémie 8

      Osée 9

      7 Le temps est révolu, où le Seigneur était le bon gardien d'Israël ; désormais le peuple est comme un gibier pris au piège, chacun s'entraînant mutuellement dans sa ruine. Israël avait atteint le même niveau de corruption que celui mentionné à Guibéa, dans Juges 19 ; les crimes étaient identiques.

      Au début, Dieu trouvait Son plaisir en Israël, le même plaisir qu'éprouve un voyageur égaré devant une vigne fructueuse. Israël offrait à Dieu le même ravissement que celui donné par une figue bien mûre. Cela révèle le plaisir que Dieu éprouvait envers Son peuple, malgré l'idolâtrie vers laquelle celui-ci se tournait constamment.

      Matthieu 5

      Matthieu 10

      Matthieu 24

      Luc 6

      Luc 10

      Luc 18

      9 Cette parabole est destinée à ceux qui sont convaincus d’être vertueux, et qui, de ce fait, méprisent les autres. Dieu regarde avec quelle disposition de cœur et dans quel dessein, nous nous approchons de Lui, quand nous venons Le célébrer à l’église.

      Les propos de ce pharisien montrent qu'il n’avait confiance qu’en lui-même et qu'il pensait être un modèle de droiture. Nous pouvons supposer qu'il était dénué de tout péché gravissime ou scandaleux : c’était un homme de bien, un personnage vraiment recommandable...

      En fait, on pourrait penser que ceux qui ne possèdent pas les « qualités » de ce pharisien soient misérables, étant bien loin d’être accepté par Dieu : ne serait-ce pas logique ? Ce personnage s’est rendu au temple pour prier ; cependant, il était imbu de lui-même, convaincu de sa bonté : il ne pensait pas avoir besoin de demander à Dieu Sa faveur ni Sa Grâce pour lui-même. Prenons garde de ne pas présenter de dévotions orgueilleuses au Seigneur, en ayant tendance à dédaigner notre prochain.

      Le publicain, quant à lui, s'adressait à Dieu en toute humilité, il se repentait de son péché et désirait entrer en communion avec le Seigneur. Sa prière était courte, mais orientée en ce sens : « Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur ».

      Béni soit Dieu ! Nous disposons en effet dans ce texte de cette courte prière, très certainement exaucée ; nous pouvons être certains que celui qui a prié ainsi est retourné dans sa maison, justifié par Dieu ; il en sera de même pour nous, si nous prions, comme cet homme, au Nom de Jésus-Christ.

      Ce publicain se considérait comme pécheur par nature, coupable devant Dieu. Il ne pouvait compter sur rien, si ce n'est sur la Miséricorde divine : il s’est appuyé uniquement sur cette vérité. La Gloire de Dieu résiste à l'orgueilleux, tout en faisant grâce à celui de condition humble. La justification vient de Dieu, en Christ : c'est donc le « condamné », et non le « soi-disant candide » qui est justifié devant Dieu !

      Actes 9

      Actes 17

      32 À Athènes, l'apôtre Paul fut mieux reçu qu’ailleurs, avec davantage de politesse ; mais nulle part ailleurs, sa doctrine n'a été autant méprisée, traitée avec autant d'indifférence. Certains sujets, qui méritent le plus d'attention, sont hélas les moins perçus. Ceux qui se moquent du message de l’Évangile devront tôt ou tard supporter les conséquences de leur mauvaise attitude : la Parole de Dieu ne sera jamais inefficace. Certains s'attacheront au Seigneur et écouteront Ses fidèles serviteurs.

      En prévoyant le Jugement céleste à venir, Christ étant notre Juge, nous devrions être poussés à nous repentir du péché, et nous tourner vers le Seigneur. Quelles que soient les paroles utilisées, toutes les prédications de la Parole doivent nous conduire à Jésus et exposer Son autorité ; notre salut et notre résurrection viennent de Lui, par Lui !

      Actes 26

      24 Il nous appartient, en toutes occasions difficiles, de nous exprimer sobrement, avec vérité ; nous serons alors sereins, face à l’injustice des hommes.

      Les fervents partisans de l'Évangile ont souvent été méprisés ; ils ont été traités de rêveurs ou de fous, pour leurs croyances à des doctrines et des faits si merveilleux ! Ils furent aussi méprisés pour leur témoignage sur leur foi et leur persévérance, annonçant qu’une telle expérience spirituelle était nécessaire pour le salut de tous les hommes, quel que soit leur rang. Les apôtres, les prophètes et le Fils de Dieu Lui-même, ont été exposés à un tel mépris ; nul ne doit s’inquiéter de ce genre de situation, la Grâce divine rendant sage à salut !

      Par le discours de Paul, Agrippa entendit de nombreux arguments en faveur du christianisme. Sur le moment, sa compréhension et son opinion étaient favorables au message de l’Évangile, mais son cœur n'a pas été changé pour autant. Sa conduite et son tempérament étaient bien distants de l'humilité et de la spiritualité prêchées par l'Évangile.

      Beaucoup de personnes sont persuadées d'avoir une certaine piété, mais en fait, elles sont loin de Dieu ; elles sont fortement convaincues du bien qu’elles doivent faire dans l’exercice de leur piété, et de l'excellence des voies divines, mais elles ne se soumettent pas à leurs convictions.

      Paul estimait que chacun devait chercher à devenir un véritable chrétien et qu'il y a suffisamment de disponibilité de la Grâce, en Christ, pour tous. Il exprimait sa totale conviction de la Vérité de l'Évangile et la nécessité absolue de la foi en Christ pour le salut. L'Évangile de Christ offre aux « Gentils » une réelle délivrance, les libérant de l’esclavage du péché. C'est cependant avec certaines difficultés que les âmes croient qu’elles ont besoin de l'œuvre de la Grâce : tel était le cas des « Gentils », au temps de l’apôtre.

      Méfions-nous de certaines de nos hésitations : elles peuvent nous être fatales ; rappelons-nous du danger qu’il y a d'être persuadé d'être « presque » chrétien ! Il y a dans ce genre d’attitude, une réelle différence avec le fait de l'être entièrement, comme l'est chaque véritable croyant !

      1 Corinthiens 1

      1

      L'église de Corinthe ne comportait que quelques Juifs, les païens (les gentils) étaient plus nombreux ; l'apôtre Paul devait lutter contre la superstition des uns et la conduite coupable des autres.

      La paix de cette église était compromise par de faux docteurs, qui sapaient l'influence de l'apôtre. Deux groupes se sont ainsi formés : l’un, qui s'opposait fermement aux cérémonies juives, et l'autre qui se plaisait dans les excès, contraires à l'Évangile, en particulier, le luxe, avec tous les déviations qui l’entouraient.

      Cette épître a été écrite pour réprimander toute conduite désordonnée, dont on avait informé l'apôtre, et pour que ce dernier donne, à la demande des Corinthiens, des conseils relatifs à quelques points particuliers.

      Ainsi le but était double : 1 - Appliquer les remèdes relatifs aux désordres et abus qui prédominaient dans cette église. 2 - Donner des réponses satisfaisantes à tous les points pour lesquels son avis avait été demandé.

      L'adresse et la douceur chrétienne des écrits de l'apôtre, accompagnées en même temps de fermeté, pour s'opposer directement aux erreurs et à la mauvaise conduite des Corinthiens, sont ici vraiment remarquables. Il affirme la Vérité et la volonté de Dieu sur divers points, avec une grande éloquence, et un style varié.

      * Salutations et actions de grâces. (1 Corinthiens 1:1-9) Exhortation à l'amour fraternel ; reproches au sujet des divisions dans l’église. (1 Corinthiens 1:10-16) La doctrine du Sauveur crucifié met en avant la Gloire de Dieu, (1 Corinthiens 1:17-25) et la faiblesse de la créature, devant Lui. (1 Corinthiens 1:26-31)

      1 Corinthiens 1:1-9 Tous les chrétiens, par leur baptême, témoignent de leur consécration et de leur dévouement à Christ ; ils reçoivent tous l’obligation impérative de rechercher leur sanctification.

      Dans l’église, nous trouvons tous ceux qui sont sanctifiés en Jésus-Christ, et qui sont appelés à être des « saints » ; ils se réfèrent à Christ, Celui que Dieu a manifesté dans la chair, pour l’obtention du salut de tous ! Ils Le reconnaissent et Lui obéissent, en tant que Sauveur et Seigneur. Ces rachetés forment un groupe qui exclut toute âme incrédule au message du salut.

      Les chrétiens se distinguent des profanes et des athées, parce qu'ils ne peuvent vivre sans la prière ; ils se distinguent des Juifs et des païens (des gentils), en ce qu'ils invoquent le Nom de Christ.

      Observez dans ce texte, la répétition de ces termes : « notre Seigneur Jésus-Christ ». L’apôtre semble ne pas craindre de les redire, ni d’exagérer tout honneur dû à son Seigneur. À tous ceux qui invoquent Jésus-Christ, l'apôtre présente ses salutations habituelles, demandant à leur égard, la Miséricorde, la Grâce et la paix réconfortantes de Dieu, en Jésus-Christ.

      Les pécheurs ne peuvent pas obtenir la paix de Dieu, si ce n'est par l’intermédiaire de Christ. Paul rend grâces pour la conversion des chrétiens de Corinthe, et leur foi dans le Seigneur ; cette grâce leur a été accordée par Jésus-Christ. Ils ont été enrichis par Lui et ont reçu tous les dons spirituels.

      L’apôtre mentionne le témoignage et la connaissance spirituelle des Corinthiens. Là où Dieu a accordé ces dons, Il a en même temps donné une grande capacité pour les mettre en pratique. Ces dons venaient du Saint-Esprit, pour montrer leur puissance aux apôtres.

      Ceux qui attendent la venue de notre Seigneur Jésus-Christ, seront gardés par ce Dernier, jusqu'à l’enlèvement de l’église ; ils seront alors trouvés innocents, transformés par la Grâce, riche et gratuite.

      Quelle gloire peut-on trouver dans une telle espérance, dans un tel privilège ? Être gardé du pouvoir de corruption et des tentations de Satan, par la Puissance de Christ !

      26 Dieu n'a pas choisi de philosophes, ni d’orateurs, ni d’hommes politiques, ni de riches et puissants personnages ici-bas, pour publier l'Évangile de Grâce et de Paix. Le Seigneur juge au mieux quels sont les hommes et les moyens qui servent de façon optimum Sa gloire.

      Bien que les nobles, appelés habituellement par la Grâce divine, soient peu nombreux, il y en a eu quelques-uns, de tous temps, qui n'ont pas eu honte de l'Évangile de Christ ; en fait, des personnes de tous rangs ont besoin de la Grâce miséricordieuse !

      Souvent, un chrétien modeste, bien que pauvre aux yeux du monde, possède une meilleure connaissance de l'Évangile, que ceux qui ont étudié « intellectuellement » les Écritures, la Parole de Dieu, sans en garder le témoignage spirituel. Même de jeunes enfants ayant acquis une réelle connaissance de la vérité divine, sont parfois capables de faire taire certains incroyants ! En fait, ils sont enseignés spirituellement par Dieu ; nulle chair ne doit se glorifier devant le Seigneur...

      La distinction entre les frères, mentionnée aux versets 1 Corinthiens 1:30,31, ne venait pas d'eux-mêmes : elle était le sujet par lequel ils pouvaient se glorifier dans le Seigneur. Elle provenait du choix souverain de la Grâce régénératrice divine, étant eux-mêmes « en » Jésus-Christ, par la foi.

      C'est de Dieu que nous viennent la sagesse, la justice, la sanctification et la rédemption ; Il nous accorde tout ce dont nous avons besoin. Christ est la Sagesse, pour notre bien, par Sa Parole et Son Esprit ; de cette plénitude, nous pouvons recevoir tout ce qui nous rendra sages à salut, et aptes aux services auxquels nous serons appelés.

      Par nature, nous sommes coupables et exposés à un juste châtiment ; Christ, par Son sacrifice, nous a justifiés, Il a expié nos fautes. Alors que nous étions dépravés et corrompus par nature, Il nous a sanctifiés, Il est la source de notre vie spirituelle : tout vient de Lui, la Tête du corps, par le Saint-Esprit. Alors que nous étions dans les liens du péché, Il nous a sauvés et libérés.

      Quand Christ justifie une âme, Il la place ensuite sur le chemin de la sanctification. Il ne supprime jamais sa culpabilité du péché sans la délivrer du pouvoir du mal ; Il nous a justifiés et sanctifiés, Il est notre Rédempteur ! Il est le seul qui puisse libérer notre âme de tout péché, et nous détacher des liens de la mort.

      De ce fait, toute chair, d'après la prophétie de Jérémie, Jer 9:23-24, pourra se glorifier de connaître le Seigneur : Sa Grâce est suffisante, et le salut qu’Il offre est précieux !

      1 Corinthiens 2

      1 Corinthiens 3

      18 Avoir une haute opinion de notre propre sagesse ne peut que nous flatter, ce qui revient pratiquement à « nous duper ».

      La sagesse, selon les critères de ce monde, n’est que folie pour Dieu. Avec quelle Justice Il la méprise, et avec quelle facilité déconcertante Il est capable de la confondre! Les pensées des plus sages ici-bas ne sont que vanité, faiblesse, et folie. Ce texte devrait nous apprendre à rester humbles, toujours disposés à être enseignés par les préceptes divins, de façon à ne pas être influencés par les différentes prétentions de sagesse et d’hypocrisie humaines, hors des sentiers de la Vérité révélée par Christ.

      Les hommes sont souvent prêts à s'opposer aux desseins de la Miséricorde divine. Observons la richesse spirituelle d'un véritable croyant : « Tout est à vous » (verset 1 Corinthiens 3:21) ; Dieu lui offre Ses dons les plus précieux, Ses ordonnances, comme les prestations réservées à Ses serviteurs. Le monde lui-même appartient à Ses enfants. Les saints bénéficient, par la Sagesse Infinie du Seigneur, de Sa bénédiction et de Son Amour ! Il appartient aux croyants de bien gérer leur temps ici-bas, afin qu’ils puissent se préparer pour la vie céleste et qu’à l’heure de la mort, ils soient prêts à entrer au ciel.

      La Sagesse Divine est le « tendre message » qui vous fera sortir du péché et qui effacera tous les chagrins, Elle vous guidera vers la demeure de votre Père.

      Les choses présentes sont à vous, pour vous soutenir tout au long de votre cheminement ici-bas ; les choses à venir vous appartiennent également, afin que vous puissiez jouir de toute espérance spirituelle, jusqu’à la fin de votre « voyage » en ce monde.

      Si nous appartenons véritablement à Christ, tout bien nous appartient, nous en avons la garantie. Les croyants sont les sujets de Son Royaume. Il est notre Seigneur, nous devons nous soumettre à Son autorité et à Ses directives. Dieu, par l’intermédiaire de Christ, réconcilie le monde coupable avec Lui-même, en répandant la richesse de Sa Grâce ici-bas : tel est le message de l'Évangile !

      1 Corinthiens 4

      1 Corinthiens 10

      15 Le fait de participer au « repas du Seigneur », la Sainte Cène, ne montre-t-il pas notre profession de foi, Christ crucifié, associée à notre gratitude et à notre adoration pour le salut qu'Il nous a accordé ? Les chrétiens, par cette ordonnance de la Cène et par la foi qui y est professée, sont unis, tels des grains de blé constituant du pain ; ils forment les membres du corps spirituel, sachant qu'ils sont tous unis à Christ, en communion avec Lui et avec les frères.

      Cela se confirme dans la similitude de l'adoration et des coutumes juives, lors du sacrifice (Le 7:15-18*). L'apôtre Paul fait ici un parallèle entre la Cène et les festins idolâtres : manger de la nourriture destinée à un sacrifice païen, revenait pratiquement à adorer l'idole à qui ce sacrifice était dédié, en étant pour ainsi dire, en « communion » avec elle ; celui qui participe à la Sainte Cène, partage de ce fait, le « sacrifice chrétien », alors que ceux qui mangeaient les sacrifices juifs, étaient participants de ce qui était offert sur l’autel.

      Tous ces actes idolâtres niaient le christianisme : la communion avec Christ, et celle pratiquée avec les démons ne peuvent avoir lieu en même temps. Si les chrétiens s'aventurent dans certains lieux, se joignant aux sacrifices, à la luxure de la chair, aux convoitises et à tout l’orgueil qui dirige ce monde, ils provoquent Dieu...

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      2 Corinthiens 10

      2 Corinthiens 11

      2 Corinthiens 12

      2 Corinthiens 13

      1 Thessaloniciens 4

      1 Pierre 4

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