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1 Jean 4.14

Et nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde.
Et nous avons vu, et nous rendons témoignage que le Père a envoyé le Fils, le Sauveur du monde.
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      Jean 1

      29 Jean-Baptiste vit Jésus venir à lui, déclarant qu’Il était l'Agneau de Dieu. L'agneau pascal, dans l'effusion et l'aspersion de son sang, la cuisson et la consommation de sa chair, et toutes les autres étapes de l'ordonnance juive, représentait le salut des pécheurs, par la foi en Christ. Les agneaux sacrifiés quotidiennement, matin et soir, ne peuvent se référer qu'à Christ, Celui qui a été sacrifié pour nous racheter devant Dieu, par Son sang.

      Jean vint pour prêcher la repentance, c'est pourquoi il dit à ses disciples, qu'ils devaient regarder seulement à Jésus et à Sa mort, pour le pardon de leurs péchés. Il convient à la Gloire de Dieu, de pardonner tous ceux qui dépendent du sacrifice expiatoire de Christ. Ce sacrifice ôte le péché du monde ; il acquiert le pardon pour tous ceux qui se repentent et croient à l'évangile. Ceci ne peut qu’affermir notre foi ; chacun pense : si Christ ôte le péché du monde, alors pourquoi pas le mien ?

      Notre Sauveur a porté notre péché, nous en déchargeant par ce fait. Dieu pouvait ôter le péché en supprimant le pécheur, comme il l'a fait auparavant ; mais maintenant, Il a un moyen d’effacer l’iniquité, tout en épargnant le fautif, en faisant Son Fils « péché », en tant que sacrifice d'expiation, pour nous. Portez votre regard vers Jésus, Celui qui efface le péché ; que cela vous fasse haïr vos fautes, et être ensuite résolus à résister fermement au mal. Ne nous attachons pas à ce péché, que l'Agneau de Dieu est venu effacer par Son sang !

      Pour confirmer son témoignage à propos de Christ, Jean énonce ce qu’il entendra plus tard, lors de Son baptême, par une déclaration divine. Jean-Baptiste porta ainsi témoignage que Jésus est véritablement le Fils de Dieu. Ces propos terminent le paroles de Jean : Jésus était le Messie promis !

      Jean profitait de chaque opportunité pour conduire le peuple à Christ.

      Jean 3

      Jean 4

      Jean 5

      39 Les Juifs considéraient que la vie éternelle leur était révélée par les Écritures, et qu'ils la possédaient, parce qu'ils avaient la Parole de Dieu entre leurs mains.

      Jésus les invite à fouiller les Écritures avec plus d'assiduité et d'attention : « vous sondez les Écritures parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle ». Le Juifs sondaient en effet les Écritures, mais uniquement pour se glorifier personnellement...

      Il est possible de constater que certaines personnes ont une grande connaissance des Écritures, tout en étant cependant étrangères à la puissance de ces Dernières. On peut interpréter le message du Seigneur, « sondez les Écritures » sous la forme d'un appel : « vous déclarez recevoir et croire l'Écriture, qu'Elle en soit juge » ! Il est également commandé aux chrétiens, de sonder les Écritures : ils doivent non seulement les lire ou les entendre, mais ils doivent en plus les sonder, ce qui doit dénoter une certaine assiduité dans leur examen et leur étude.

      Nous devons sonder les Écritures avec une certaine « perspective céleste », un but final : « parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle ». Nous devons sonder les Écritures pour Christ : Il est en effet le Chemin nouveau et vivant qui conduit à cette fin.

      Au témoignage de Christ envers les Juifs, s’ajoutent des reproches pour leur incrédulité et leur méchanceté, ainsi que leur négligence, quant à la doctrine céleste. Il leur reproche également leur manque d'amour pour Dieu.

      Seules les âmes contrites peuvent avoir la vie en Jésus-Christ. Nombreux sont ceux qui professent hautement leur piété et qui, cependant, manquent d'amour pour Dieu, et négligent la Personne de Christ, en méprisant Ses commandements. L'amour que nous éprouvons pour Dieu doit être vivant, actif en notre cœur : il sera alors accepté.

      Les Juifs sous-estimèrent Christ, ils le tournèrent en dérision, s’admirant et se surestimant eux-mêmes. Comment de telles personnes peuvent-elles croire, quand elles acclament les hommes et en font leurs idoles ?

      Alors que Christ et Ses disciples sont seuls dignes d’être suivis, comment les orgueilleux peuvent-ils croire, quand ils n’ont de plus grande ambition que d’étaler leur apparente bonne conduite ?

      Jean 10

      Jean 12

      Jean 15

      26 Le Saint-Esprit maintient la cause de Christ ici-bas, en dépit de l'opposition qu'Il rencontre. Les croyants enseignés et encouragés par Son influence, porteront toujours témoignage à Christ et au salut qu’Il offre !

      Actes 18

      1 Pierre 5

      1 Jean 1

      1

      Les épîtres de Jean sont un exposé sur les principes du Christianisme, tant en termes de doctrine, comme de pratique. Le but est de réfuter et de mettre en garde les croyants contre les pratiques et les principes erronés et profanes, en particulier : vouloir nier la Divinité de Christ, ainsi que Ses souffrances et Sa mort, en tant que sacrifice d'expiation ; l’apôtre met en garde le lecteur contre ce prétexte que les croyants, étant sauvés par grâce, ne sont plus obligés d'obéir aux commandements de la Parole.

      Cette épître invite aussi tous ceux qui professent connaître Dieu, à entretenir une communion spirituelle avec ce Dernier, à croire en Lui, à marcher dans la sainteté, à s’écarter du péché, en montrant qu'une profession de foi « extérieure » n'est rien, sans les évidences d'une vie et d'une conduite pieuses. Elle aide également à cheminer plus loin : elle incite les véritables chrétiens à entretenir une communion avec Dieu et avec le Seigneur Jésus-Christ, en ayant de la constance dans une foi véritable, en toute pureté de vie.

      * L'apôtre adresse son épître aux croyants, avec des témoignages se référant à Christ, pour promouvoir leur bonheur et leur joie. (1 Jean 1:1-4) Il montre la nécessité de garder une vie de sainteté, pour avoir la communion avec Dieu. (1 Jean 1:5-10)

      1 Jean 1:1-4 « Ce qui était dès le commencement », cette Excellence non créée, éternelle, étant l’égale du Père, et qui parut un jour sous une nature humaine, pour le salut de pécheurs, est Christ, le grand sujet développé par l'apôtre, à l’intention de ses frères.

      Les apôtres ont connu Jésus et ont été témoins de Sa sagesse et de Sa sainteté ; ils ont constaté Ses miracles, Son amour et Sa miséricorde, pendant Ses quelques années passées ici-bas, jusqu'à ce qu'Il soit crucifié, pour les pécheurs, puis ressuscité des morts. Les disciples ont ensuite « touché » leur Maître, pour avoir la preuve totale de Sa résurrection.

      Christ, cette Personne divine, la Parole de vie, la Parole de Dieu, a paru sous une forme humaine, pour pouvoir devenir l'Auteur de la vie éternelle de toute l'humanité, par la rédemption de Son sang, et l'influence de son Esprit, capable de créer une nouvelle créature.

      Les apôtres ont témoigné de ce qu'ils avaient vu et entendu, afin que les croyants puissent partager leurs consolations et leurs avantages spirituels éternels. Ces derniers avaient ainsi un libre accès à Dieu le Père. Ils avaient une expérience heureuse de la Vérité dans leur âme, montrant ainsi l’excellence de leur vie spirituelle. Cette communion des croyants, avec le Père et le Fils, est initialisée et entretenue par l’influence du Saint-Esprit.

      Les bienfaits que Christ accorde ne sont pas comme les vaines possessions de ce monde, n’occasionnant que jalousies ; la joie et le bonheur d’être en communion avec Dieu sont suffisants pour que tous puissent en bénéficier. Tous ceux qui peuvent annoncer leur réelle communion avec le Père, désireront amener les autres à participer à la même bénédiction !

      1 Jean 2

      1

      L'apôtre exhorte le croyant à évoquer l'expiation de Christ, pour être aidé, après avoir péché. (1 Jean 2:1,2)
      Les effets de la connaissance « à salut » qui produit l'obéissance et l'amour pour les frères. (1 Jean 2:3-11)
      Les chrétiens sont considérés comme des petits enfants, de jeunes hommes, puis des pères. (1 Jean 2:12-14)
      Tous sont mis en garde contre l'amour de ce monde et contre les erreurs doctrinales. (1 Jean 2:15-23)
      Tous sont encouragés à tenir fermes dans la foi et la sainteté. (1 Jean 2:24-29)

      Nous avons en Jésus-Christ, un Avocat auprès du Père ; Christ est en effet entièrement capable de plaider en faveur de ceux qui implorent le pardon et le salut, en Son Nom, et de plaider en faveur de ceux de qui dépend Son intercession.

      Jésus est le Sauveur, le Christ, le Messie, l'Oint. Il est « le Juste », Celui qui a préservé de tout péché, Sa nature pure ; Il est notre Garant, Celui qui a parfaitement obéi à la loi de Dieu, donc accompli toute justice.

      Les hommes de tous les pays et de toutes générations, sont invités à s’approcher de Dieu, grâce à cette expiation, « chemin » nouveau et vivant entièrement suffisant.

      Quand l'Évangile est correctement compris et accepté, Il dispose le cœur à l’encontre de tout péché, et à arrêter toute pratique de ce dernier ; Il accorde en même temps un soulagement béni aux consciences blessées de ceux qui ont chuté dans l’iniquité.

      1 Jean 4

      14 Le Père a envoyé le Fils, Il désirait Sa venue en ce monde : c’est ce qu’atteste l’apôtre Jean dans ce texte.

      « Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. » Cette confession inclut une foi qui sert de fondement au cœur ; elle permet à une âme d'exprimer sa reconnaissance à la Gloire de Dieu et Celle de Christ, elle pousse à mener une conduite opposée aux flatteries et à tout ce qui est vain en ce monde.

      Un jour de jugement divin universel doit avoir lieu : heureux ceux qui exprimeront une sainte assurance devant le Juge, en cette occasion, sachant que Christ est leur Ami et leur Avocat ! Heureux ceux qui auront une telle attitude, dans la perspective de ce jour, qui veillent, qui l'attendent, aspirant ainsi à l'apparition du grand Juge !

      Le véritable amour du croyant envers Dieu l’assure d’une réciprocité en ce qui concerne ce sentiment. L'amour nous apprend à souffrir pour Lui et avec Lui, de sorte que nous pouvons être assurés d’être aussi glorifiés avec lui, 2Ti 2:12.

      Nous devons faire une distinction entre la crainte et la peur de Dieu : la crainte de Dieu implique une haute estime et de la vénération pour Sa Personne. L'obéissance et la pratique de bonnes œuvres, sous le principe de l'amour, ne sont pas un joug difficile à supporter, à l’inverse d’un travail servile, accompli sans motivation, sous la menace de la colère d'un maître. La crainte va de pair avec l’obéissance de l’enfant de Dieu, elle pousse cette âme à accomplir volontairement, pour le bien de ses frères, le service de son Père bien-aimé.

      Quand nos doutes, nos craintes et nos appréhensions sont nombreux, cela révèle que notre amour est loin d'être parfait. Que le ciel et la terre soient toujours étonnés de l’Amour du Père : Il a envoyé Sa Parole pour inviter les pécheurs à bénéficier du grand salut en Jésus-Christ. Que ces âmes puissent saisir la consolation d’un tel changement merveilleux opéré en eux, et qu'elles rendent gloire au Père !

      L'amour de Dieu en Christ, qui réside dans le cœur des chrétiens, par l'Esprit d'adoption, est la grande preuve de leur conversion. Ceci doit se manifester par leur conduite, particulièrement envers leurs frères.

      Si un homme déclare aimer Dieu, et que, malgré cela, il se laisse aller à la colère, à la vengeance, ou à l’égoïsme, il renie en fait sa déclaration. Mais s'il est manifeste, en tant qu’enfant de Dieu, que notre inimitié « naturelle » est transformée en affection et en gratitude, bénissons le Nom de notre Dieu pour cette spiritualité qui révèle un bonheur éternel.

      Nous serons alors différents des faux docteurs, qui font semblant d'aimer Dieu, Celui qu'ils n'ont pas vu, alors qu'ils détestent leurs frères, qui eux, sont bien visibles...

      1 Jean 5

      9 Aucune attitude n’est plus absurde que celle de douter de la véracité du Christianisme, poussant certains, pour leur devenir ici-bas, à se fonder prioritairement sur le raisonnement humain, ne cherchant aucunement à dissuader tous ceux qui voudraient s’écarter de cette voie d’erreur.

      Le véritable chrétien reconnaît sa culpabilité, sa misère et son besoin de recourir à un Sauveur. Il discerne l'intérêt de se fier à ce Dernier pour tout ce qui concerne ses besoins spirituels, en toutes circonstances. L’enfant de Dieu trouve et ressent la puissance de la Parole et de la doctrine de Christ, humiliant, guérissant, ranimant, et réconfortant son âme. Il acquiert une nouvelle disposition d’esprit, de nouvelles joies, il n'est plus l'homme qu'il était auparavant.

      Le croyant reste cependant encore en conflit avec lui-même, avec le péché, la chair, le monde, et les pouvoirs maléfiques, mais il trouve en Christ, une telle force de foi, qu'il peut vaincre le monde, et se diriger spirituellement vers le ciel. Telle est la promesse pour celui qui croit en l'Évangile : il a cette force spirituelle en lui-même, qui éloigne de son âme toute trace de doute, même s’il traverse parfois des heures de ténèbres ou de conflit ; on ne peut pas le déstabiliser sur l’authenticité de sa foi, ni sur les principales vérités de l'Évangile.

      Le péché d’incrédulité est vraiment terrible : il désigne Dieu menteur, car il pousse à ne pas croire à ce qu'Il annonce, au sujet de Son Fils. Il est vain pour un homme de faire croire qu'il fait confiance au témoignage du Seigneur, alors qu’en fait, il Le repousse... Celui qui refuse de se fier à Christ et de l'honorer, en tant que Fils de Dieu, méprise la souveraineté de notre Sauveur : il refuse alors de se soumettre à Son enseignement, de compter sur Son expiation et Son intercession, en tant que Souverain sacrificateur, il ne veut pas se soumettre au Roi des rois ; une telle âme est alors « morte au péché », elle demeure sous la condamnation ; toute moralité, érudition, ou autres formes de doctrine, ne lui seront alors d'aucune utilité...

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