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16
ἀποκριθεὶς δὲ Σίμων Πέτρος εἶπεν· Σὺ εἶ ὁ χριστὸς ὁ υἱὸς τοῦ θεοῦ τοῦ ζῶντος.
12
ὅσοι δὲ ἔλαβον αὐτόν, ἔδωκεν αὐτοῖς ἐξουσίαν τέκνα θεοῦ γενέσθαι, τοῖς πιστεύουσιν εἰς τὸ ὄνομα αὐτοῦ,
13
οἳ οὐκ ἐξ αἱμάτων οὐδὲ ἐκ θελήματος σαρκὸς οὐδὲ ἐκ θελήματος ἀνδρὸς ἀλλ’ ἐκ θεοῦ ἐγεννήθησαν.
3
ἀπεκρίθη Ἰησοῦς καὶ εἶπεν αὐτῷ· Ἀμὴν ἀμὴν λέγω σοι, ἐὰν μή τις γεννηθῇ ἄνωθεν, οὐ δύναται ἰδεῖν τὴν βασιλείαν τοῦ θεοῦ.
69
καὶ ἡμεῖς πεπιστεύκαμεν καὶ ἐγνώκαμεν ὅτι σὺ εἶ ὁ ἅγιος τοῦ θεοῦ.
42
εἶπεν αὐτοῖς ὁ Ἰησοῦς· Εἰ ὁ θεὸς πατὴρ ὑμῶν ἦν ἠγαπᾶτε ἂν ἐμέ, ἐγὼ γὰρ ἐκ τοῦ θεοῦ ἐξῆλθον καὶ ἥκω· οὐδὲ γὰρ ἀπ’ ἐμαυτοῦ ἐλήλυθα, ἀλλ’ ἐκεῖνός με ἀπέστειλεν.
23
ὁ ἐμὲ μισῶν καὶ τὸν πατέρα μου μισεῖ.
36
ὡς δὲ ἐπορεύοντο κατὰ τὴν ὁδόν, ἦλθον ἐπί τι ὕδωρ, καί φησιν ὁ εὐνοῦχος· Ἰδοὺ ὕδωρ, τί κωλύει με βαπτισθῆναι;
9
ὅτι ἐὰν ὁμολογήσῃς ἐν τῷ στόματί σου κύριον Ἰησοῦν, καὶ πιστεύσῃς ἐν τῇ καρδίᾳ σου ὅτι ὁ θεὸς αὐτὸν ἤγειρεν ἐκ νεκρῶν, σωθήσῃ·
10
καρδίᾳ γὰρ πιστεύεται εἰς δικαιοσύνην, στόματι δὲ ὁμολογεῖται εἰς σωτηρίαν·
18
βουληθεὶς ἀπεκύησεν ἡμᾶς λόγῳ ἀληθείας, εἰς τὸ εἶναι ἡμᾶς ἀπαρχήν τινα τῶν αὐτοῦ κτισμάτων.
3
Εὐλογητὸς ὁ θεὸς καὶ πατὴρ τοῦ κυρίου ἡμῶν Ἰησοῦ Χριστοῦ, ὁ κατὰ τὸ πολὺ αὐτοῦ ἔλεος ἀναγεννήσας ἡμᾶς εἰς ἐλπίδα ζῶσαν δι’ ἀναστάσεως Ἰησοῦ Χριστοῦ ἐκ νεκρῶν,
22
Τὰς ψυχὰς ὑμῶν ἡγνικότες ἐν τῇ ὑπακοῇ τῆς ἀληθείας εἰς φιλαδελφίαν ἀνυπόκριτον ἐκ καρδίας ἀλλήλους ἀγαπήσατε ἐκτενῶς,
23
ἀναγεγεννημένοι οὐκ ἐκ σπορᾶς φθαρτῆς ἀλλὰ ἀφθάρτου, διὰ λόγου ζῶντος θεοῦ καὶ μένοντος·
10
ὁ ἀγαπῶν τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ ἐν τῷ φωτὶ μένει, καὶ σκάνδαλον ἐν αὐτῷ οὐκ ἔστιν·
22
τίς ἐστιν ὁ ψεύστης εἰ μὴ ὁ ἀρνούμενος ὅτι Ἰησοῦς οὐκ ἔστιν ὁ χριστός; οὗτός ἐστιν ὁ ἀντίχριστος, ὁ ἀρνούμενος τὸν πατέρα καὶ τὸν υἱόν.
23
πᾶς ὁ ἀρνούμενος τὸν υἱὸν οὐδὲ τὸν πατέρα ἔχει· ὁ ὁμολογῶν τὸν υἱὸν καὶ τὸν πατέρα ἔχει.
29
ἐὰν εἰδῆτε ὅτι δίκαιός ἐστιν, γινώσκετε ὅτι πᾶς ὁ ποιῶν τὴν δικαιοσύνην ἐξ αὐτοῦ γεγέννηται.
9
πᾶς ὁ γεγεννημένος ἐκ τοῦ θεοῦ ἁμαρτίαν οὐ ποιεῖ, ὅτι σπέρμα αὐτοῦ ἐν αὐτῷ μένει, καὶ οὐ δύναται ἁμαρτάνειν, ὅτι ἐκ τοῦ θεοῦ γεγέννηται.
14
ἡμεῖς οἴδαμεν ὅτι μεταβεβήκαμεν ἐκ τοῦ θανάτου εἰς τὴν ζωήν, ὅτι ἀγαπῶμεν τοὺς ἀδελφούς· ὁ μὴ ἀγαπῶν μένει ἐν τῷ θανάτῳ.
17
ὃς δ’ ἂν ἔχῃ τὸν βίον τοῦ κόσμου καὶ θεωρῇ τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ χρείαν ἔχοντα καὶ κλείσῃ τὰ σπλάγχνα αὐτοῦ ἀπ’ αὐτοῦ, πῶς ἡ ἀγάπη τοῦ θεοῦ μένει ἐν αὐτῷ;
2
ἐν τούτῳ γινώσκετε τὸ πνεῦμα τοῦ θεοῦ· πᾶν πνεῦμα ὃ ὁμολογεῖ Ἰησοῦν Χριστὸν ἐν σαρκὶ ἐληλυθότα ἐκ τοῦ θεοῦ ἐστιν,
7
Ἀγαπητοί, ἀγαπῶμεν ἀλλήλους, ὅτι ἡ ἀγάπη ἐκ τοῦ θεοῦ ἐστιν, καὶ πᾶς ὁ ἀγαπῶν ἐκ τοῦ θεοῦ γεγέννηται καὶ γινώσκει τὸν θεόν.
14
καὶ ἡμεῖς τεθεάμεθα καὶ μαρτυροῦμεν ὅτι ὁ πατὴρ ἀπέσταλκεν τὸν υἱὸν σωτῆρα τοῦ κόσμου.
15
ὃς ἐὰν ὁμολογήσῃ ὅτι Ἰησοῦς ἐστιν ὁ υἱὸς τοῦ θεοῦ, ὁ θεὸς ἐν αὐτῷ μένει καὶ αὐτὸς ἐν τῷ θεῷ.
20
ἐάν τις εἴπῃ ὅτι Ἀγαπῶ τὸν θεόν, καὶ τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ μισῇ, ψεύστης ἐστίν· ὁ γὰρ μὴ ἀγαπῶν τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ ὃν ἑώρακεν, τὸν θεὸν ὃν οὐχ ἑώρακεν οὐ δύναται ἀγαπᾶν.
1
Πᾶς ὁ πιστεύων ὅτι Ἰησοῦς ἐστιν ὁ χριστὸς ἐκ τοῦ θεοῦ γεγέννηται, καὶ πᾶς ὁ ἀγαπῶν τὸν γεννήσαντα ἀγαπᾷ καὶ τὸν γεγεννημένον ἐξ αὐτοῦ.
4
ὅτι πᾶν τὸ γεγεννημένον ἐκ τοῦ θεοῦ νικᾷ τὸν κόσμον. καὶ αὕτη ἐστὶν ἡ νίκη ἡ νικήσασα τὸν κόσμον, ἡ πίστις ἡμῶν·
1 à 13 La foi en Jésus-Christ, victorieuse du monde, fondée sur le témoignage de Dieu qui nous donne la vie éternelle.
Croire que Jésus est le Christ n'est pas simplement, dans la pensée de l'apôtre, croire en Jésus-Christ ; par ces mots, il reprend sa polémique contre ceux qui séparaient l'homme Jésus du Christ divin. (Comparer 1Jean 2.22 ; 4.2,3, note, 1Jean 4.15, note.)
Mais ici comme partout, il revient immédiatement aux présuppositions et aux conséquences pratiques de cette foi. Ainsi la foi en Jésus comme Christ prouve la régénération. Celui qui la possède est né de Dieu ; et comme celui qui est né de Dieu aime, cela va sans dire, Celui qui l'a engendré, il aime aussi celui qui est né de lui. Sa foi est la source de son amour pour ceux qui sont les enfants du même Père. (1Jean 4.20,21)
Dans toute cette exhortation à l'amour fraternel (1Jean 3.11 et suivants ; 1Jean 4.7 et suivants), Jean suppose constamment que cet amour est le fruit de la foi. (1Jean 4.7, 2e note.) Mais ici il affirme de manière à écarter toute erreur, qu'il entend un amour spécial et d'une nature toute divine, qu'éprouvent ceux qui sont nés de Dieu, pour leurs frères également nés de lui, pour ceux qu'il appelle, au verset suivant : les enfants de Dieu.
L'amour fraternel est le résultat de la nouvelle naissance, il rend agréable, l'obéissance à tous les commandements de Dieu. (1 Jean 5:1-5)
L’amour véritable envers les enfants de Dieu se distingue de l’affection naturelle ou de certaines estimes, car il est uni à l'amour de Dieu et associé à l'obéissance à Ses commandements.Référence aux témoins, unis pour attester que Jésus, le Fils de Dieu, est le véritable Messie. (1 Jean 5:6-8)
La satisfaction que le croyant éprouve au sujet de Christ, à la vie éternelle dont il bénéficie en Lui. (1 Jean 5:9-12)
L'assurance que Dieu écoute et répond à la prière. (1 Jean 5:13-17)
La condition heureuse des véritables croyants, et une exhortation à renoncer à toute idolâtrie. (1 Jean 5:18-21)
Le Saint-Esprit qui professe l'amour fraternel, enseigne également l'obéissance ; celui qui, par habitude, commet le péché ou néglige la pratique de ses devoirs, ne peut pas aimer véritablement les enfants de Dieu.
Du fait que les commandements de Dieu sont justes et saints, étant également de bonnes « règles à observer » pour la liberté et la joie spirituelle, ceux qui sont « nés de nouveau » et qui les aiment, ne les trouvent pas pénibles, regrettant toutefois de ne pas pouvoir mieux servir le Seigneur. Être au service de Dieu exige le désintéressement de soi ; les véritables chrétiens appliquent des principes qui leur font surmonter l’épreuve. Bien que cette dernière soit parfois à l’origine d’un conflit intérieur acerbe, et que l’enfant de Dieu régénéré puisse chuter, il se relèvera et renouvellera son combat avec résolution.
Tous, exceptés les croyants, sont asservis, d'une manière ou d'une autre, aux diverses coutumes, opinions, ou intérêts de ce monde. La foi est à l’origine de la victoire contre le monde, elle constitue le moyen, l'instrument, l'armure spirituelle par laquelle nous sommes vainqueurs. Dans la foi et par la foi, nous sommes unis à Christ, dans le mépris des vains attraits de ce monde. La foi sanctifie le cœur, et le purifie des convoitises sensuelles par lesquelles le monde attire les âmes et domine sur elles.
L’homme dans lequel demeure l'Esprit de Grâce est plus grand que celui qui n’est attiré que par le monde. Le véritable chrétien est vainqueur du monde, par la foi ; il voit, par les différents exemples de la conduite du Seigneur Jésus ici-bas, qu'il faut renoncer à ce monde et qu'il faut chercher à le vaincre. Un enfant de Dieu ne peut pas se satisfaire du monde, mais il regarde au-delà, ne cherchant qu’à accéder au ciel. Nous devons tous, selon l'exemple de Christ, vaincre le monde, ou bien c'est ce dernier qui nous mènera à la ruine...