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1 Thessaloniciens 4.14

εἰ γὰρ πιστεύομεν ὅτι Ἰησοῦς ἀπέθανεν καὶ ἀνέστη, οὕτως καὶ ὁ θεὸς τοὺς κοιμηθέντας διὰ τοῦ Ἰησοῦ ἄξει σὺν αὐτῷ.
En effet, si nous croyons que Jésus est mort et qu'il est ressuscité, nous croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts.
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    • Genèse 49

      19 En ce qui concerne Gad, Jacob fait référence à son nom, qui signifie « une troupe », ce qui préfigure le caractère de cette tribu. La cause de Dieu et de Son peuple, qui semble pendant un certain temps décliner, sera finalement victorieuse.

      Cela représente le conflit du chrétien. La grâce divine, présente dans l'âme, est souvent contrecarrée à cause des conflits ; les armes de la corruption sont souvent accablantes, mais la cause de Dieu et la grâce finiront par avoir le dessus, quel que puisse être l'adversaire, Romains 8:37.

      Aser devrait être une tribu riche : elle a hérité de la contrée qui longe le Carmel, de renommée proverbialement fructueuse.

      Nephtali, est une biche en liberté. Nous pouvons considérer cette situation comme une véritable description de cette tribu : elle est vraiment différente du bœuf et de l'âne, laborieux, désirant eux-mêmes jouir d'une certaine liberté ; mais Nephtali est une tribu active, qui se fait remarquer davantage par la rapidité d'exécution de ses tâches, que par la persévérance dans son travail. Elle implore la pitié, avec des mots persuasifs.

      Que les différents caractères ou dons acquis, ne nous empêchent pas d'aspirer à d'autres, meilleurs !

      Esaïe 26

      Zacharie 14

      Matthieu 24

      Romains 8

      1 Corinthiens 15

      12 Ayant montré que Christ est ressuscité, l'apôtre répond maintenant à ceux qui prétendaient qu'il n'y aurait pas de résurrection.

      Il n'y aurait pas eu de justification, ni de salut, si Christ n'était pas ressuscité. La foi en Christ ne serait-elle pas vaine et sans utilité, s'Il était encore parmi les morts ? La résurrection de notre Seigneur se prouve par celle de Son corps. Même ceux qui sont morts dans la foi, auraient péri dans leurs péchés, si Christ n'était pas ressuscité. Tous ceux qui croient en Christ placent leur espérance en Lui, Le Rédempteur, espérance basée sur Sa rédemption et le salut qu’Il offre ; s'il n'y avait pas eu de résurrection, ni de certitude de la vie éternelle, leur confiance en Lui n’aurait été limitée que pour la vie ici-bas. Un tel état d’âme devrait être la pire des conditions en ce monde, pire que les fléaux de l'humanité, en particulier au temps des apôtres, avec tout le contexte philosophique qui les entourait : les chrétiens étaient alors détestés et persécutés.

      Mais tel n’est pas le cas : les chrétiens, ici-bas, reçoivent un solide réconfort spirituel, même lors de leurs difficultés et de leurs épreuves, même au temps de la persécution la plus virulente...

      20 Tous ceux, qui par la foi, sont unis à Christ, sont assurés par Sa résurrection, de l’authenticité de la leur. Comme par le péché du « premier Adam », tous les hommes devinrent « mortels », ayant tous reçu de lui la même nature coupable, au travers de la résurrection de Christ, tous ceux qui sont rendus « participants de l'Esprit », et de la nature spirituelle, ressusciteront, et vivront éternellement !

      Il y a un ordre dans le déroulement des différentes résurrections : Christ Lui-même en a été « les prémices » ; lors de Sa venue, Son peuple racheté sera élevé avant les autres ; à la fin, les méchants seront aussi enlevés. Puis viendra la fin de la présente dispensation.

      Si nous voulons triompher lors de ce moment solennel et si important, nous devons maintenant nous soumettre à l’ordonnance de Christ : accepter Son salut, et vivre à Sa gloire. Nous nous réjouirons alors, dans l'achèvement de Son œuvre, pour que Dieu puisse recevoir la gloire entière de notre salut, afin que nous puissions le servir à jamais et jouir de Sa faveur.

      Que feront ceux qui sont « baptisés pour les morts », si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Le baptême est peut-être utilisé ici à titre d’allégorie, pour les afflictions, les souffrances, et le martyr, comme dans Matthieu 20:22,23 ?

      Qu'en est-il, ou qu'adviendra-t-il de ceux qui ont subi de grandes et nombreuses blessures, et qui ont même perdu leur vie pour cette doctrine de la résurrection, si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Quelle qu’en soit la signification, il ne fait aucun doute que le raisonnement de l'apôtre a été compris par les Corinthiens.

      Il est aussi clair pour nous, que le christianisme serait une folie, s'il ne nous proposait aucune espérance pour l’au-delà, particulièrement au temps des persécutions et des épreuves des premiers chrétiens, et souvent plus tard.

      Il est évident que la chrétienté serait une folie, si les chrétiens pouvaient tirer des avantages qui soient proportionnels à leur fidélité à Dieu, ou comme fruit de la sainteté, la vie éternelle...

      Nous ne devons pas vivre comme les animaux : nous connaîtrons une autre existence, dans l’au delà. Le fait d'être conduit à refuser de croire à la résurrection et à la vie future, ne peut être qu'une ignorance de l’enseignement de la Parole de Dieu.

      Ceux qui « cheminent » avec Dieu et Sa Providence, observant toutes les inégalités de la vie présente, et la dépravation des hommes, même ceux qui, parfois, sont les mieux considérés, ne peuvent douter d'une vie future, où chaque élément sera remis à sa juste place.

      Ne nous joignons pas aux impies ; mettons en garde ceux qui nous entourent, en particulier les jeunes, conseillons leurs fermement de les fuir comme la peste. Aspirons à la justice et non au péché...

      2 Corinthiens 4

      13 La foi est le remède efficace contre les problèmes, au temps de l’épreuve.

      Les Corinthiens savaient que Christ était ressuscité, et que Sa résurrection ne pouvait que leur procurer une réelle assurance. L'espérance qui découle de cette résurrection nous encourage, aux jours difficiles, elle nous délivre de la crainte de la mort.

      Les souffrances des chrétiens de cette époque témoignaient avantageusement en faveur de l'église et de la Gloire de Dieu. Les souffrances des serviteurs de Dieu, comme leurs prédications et leurs propos, concourent au bien de l'église.

      La perspective de la vie et de la félicité éternelles assurait le soutien et le réconfort des chrétiens de cette époque. Ceux-ci bénéficiaient d’un excellent équilibre spirituel, durant ce long temps d’épreuve, douloureux et fatigant, éprouvant leur faible foi. Le fardeau de toutes ces détresses passagères était finalement assez supportable, alors que la gloire qui les attendait était une entité conséquente et durable ! Si l'apôtre Paul estimait que ses lourdes et longues épreuves n'étaient que légères et temporaires, que devrait être le poids des difficultés insignifiantes que nous traversons ?

      La foi permet de faire la part équitable des choses. Certaines sont invisibles, d’autres sont manifestes : quelle différence y-a-t-il entre elles ? Les choses invisibles sont éternelles, alors que les visibles ne sont que passagères. Cessons de porter notre regard uniquement vers ce qui est apparent, terrestre, cessons de craindre les détresses présentes. Orientons-nous plutôt vers la recherche de notre bonheur futur, céleste, qui lui, est garanti !

      Philippiens 3

      1 Thessaloniciens 3

      1 Thessaloniciens 4

      13 Nous trouvons dans ce texte un réconfort, adressé aux parents et aux amis de ceux qui sont morts « dans le Seigneur ». Le chagrin causé par la mort de nos amis est légitime ; nous pouvons pleurer pour la perte que nous éprouvons, bien que leur décès puisse être, en quelque sorte, un gain pour eux.

      Ni le christianisme, ni la Grâce, n'interdisent nos affections naturelles. Nous ne devons pas cependant être « excessifs » dans l’expression de notre peine ; un tel sentiment est réservé à ceux qui n'ont aucune espérance dans l’au delà. La mort est un domaine inconnu, nous n’avons guère d’informations sur l’état de ceux qui sont décédés ; cependant les doctrines de la résurrection et la deuxième venue de Christ nous aident à combattre la peur de la mort, elles minimisent toute peine causée par la mort de nos amis chrétiens car en ces doctrines (la résurrection et la deuxième venues de Christ), nous avons une pleine assurance spirituelle.

      Nous vivrons un réel bonheur quand tous les saints se rencontreront ; nous resteront ensembles, à jamais ; mais la félicité céleste sera basée sur la présence du Seigneur parmi les rachetés : Le voir, vivre avec Lui, et L'aimer pour toujours !

      Nous devons nous réconforter mutuellement lorsque nous traversons une grande peine, sans ébranler spirituellement, ni déstabiliser notre prochain. Ce genre de réconfort peut être tiré des nombreux enseignements reçus lors de la résurrection des morts, et de la seconde venue de Christ. Pouvons-nous réconforter un homme en lui disant qu'il va paraître devant le trône de Dieu, lors du jugement dernier ? Qui peut ressentir du réconfort avec de tels propos ? Uniquement la personne qui a reçu le témoignage de l'Esprit de Dieu, lui signifiant que ses péchés sont effacés, par le sacrifice de Christ, personne dont les pensées sont purifiées par le Saint-Esprit, pour qu'elle puisse aimer Dieu et magnifier dignement Son Nom.

      Nous ne sommes pas en sécurité tant qu’il n’en est pas ainsi dans notre cœur : aspirons au bonheur d’être sauvés par Christ !

      2 Thessaloniciens 2

      1

      Mises en garde contre les fausses affirmations de la venue imminente de Christ. Il y aura en premier lieu une apostasie générale de la foi, et une révélation de « l'homme du péché ». (2 Thessaloniciens 2:1-4)
      La destruction de ce dernier, et celle de ceux qui lui obéissent. (2 Thessaloniciens 2:5-12)
      La protection des Thessaloniciens envers l'apostasie ; Paul les exhorte à rester fermes, il prie pour eux. (2 Thessaloniciens 2:13-17)

      Si des erreurs d’interprétation surgissent parmi certains chrétiens, nous devons les mettre en garde ; les hommes pieux veilleront à supprimer toutes les erreurs qui pourraient découler d'une mauvaise mise en pratique de la Parole.

      Nous avons un « adversaire » ingénieux, qui s’applique à engendrer de nombreux dégâts et à promouvoir des erreurs, même dans la mise en pratique de l'Écriture. Quelles que soient notre incertitude et les méprises qui pourraient survenir au sujet de l’heure de la venue de Christ, cette dernière est inéluctable. Cette pensée a été à la base de la foi et de l'espérance de tous les chrétiens, en tous temps de l'église, et même pour les saints de l'Ancien Testament.

      Tous les croyants seront rassemblés avec Christ, pour être avec Lui, dans la félicité de Sa présence, pour toujours. Nous devons croire fermement à la seconde venue de Christ ; Paul avait toutefois décelé une certaine erreur chez les Thessaloniciens, qui se méprenaient quant au temps et à la véracité de cette venue du Seigneur.

      Les fausses doctrines sont comme des risées qui agitent l'eau en tout sens ; elles troublent les esprits, qui deviennent aussi instables que l'eau. En ce qui nous concerne, il est tout à fait suffisant de savoir que notre Seigneur viendra, et rassemblera tous Ses saints avec Lui. Les raisons qui devaient empêcher les Thessaloniciens de considérer la venue de Christ comme imminente, nous sont données dans ce texte : il devra d'abord y avoir une chute spirituelle générale, favorisant le règne de l'antéchrist, cet « homme du péché ». Il y a eu de nombreuses polémiques au sujet de cet « homme de péché », ce fils de perdition. L'homme de péché pratique non seulement la méchanceté, mais il en fait également la promotion : il incite les autres à commettre l’iniquité, comme le mal ; il est le « fils de perdition », parce qu'il est consacré à la destruction, et qu'il est l'instrument prévu pour détruire de nombreuses personnes, dans leur âme comme dans leur corps.

      Alors que Dieu était dans le temple de nos pères, qu'Il y était adoré, et qu'Il demeure maintenant dans Son église, de la même façon, l'antéchrist, mentionné dans ce texte, sera un usurpateur de l'autorité divine, ici, dans l'église : il réclamera les mêmes honneurs divins...

      Jude 1

      Apocalypse 1

      Apocalypse 14

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