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2 Corinthiens 11.22

Sont-ils Hébreux ? je le suis aussi. Sont-ils Israélites ? je le suis aussi. Sont-ils de la semence d'Abraham ? je le suis aussi.
Ils sont Hébreux ? Moi aussi ! Israélites ? Moi aussi ! De la famille d’Abraham ? Moi aussi !

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    • Genèse 17

      Exode 3

      Exode 5

      Exode 7

      Exode 9

      1

      La peste attaque le bétail. (Exode 9:1-7)
      La plaie de la poussière et des ulcères. (Exode 9:8-12)
      La menace de la grêle. (Exode 9:13-21)
      La plaie de la grêle est infligée. (Exode 9:22-35)

      Dieu veut qu'Israël soit délivré, Pharaon s'y oppose : Tel est l'objet de ce conflit qui n'en finit pas. La main du Seigneur attaque alors les troupeaux : beaucoup de bêtes succombent, victimes de cette plaie particulière. Ce dut être une grande perte pour les propriétaires égyptiens ; ils voulaient réduire Israël à la pauvreté, mais maintenant Dieu se charge de les anéantir personnellement !

      La main de Dieu doit être discernée en toutes circonstances, même dans l'affliction de voir du bétail mourir par la maladie ; car pas un passereau ne tombe à terre sans le consentement de notre Père.

      Aucune bête des enfants d'Israël ne périt ; le Seigneur a fait la sélection. Le bétail des Égyptiens, quant à lui, mourut ; c'était pour ce peuple un objet d'adoration. Il est normal que Dieu nous retire nos idoles. Ce tyran orgueilleux, ce cruel oppresseur méritait un châtiment infligé par le grand Juge de l'univers. Quiconque subissant une punition méritée, n'a aucun prétexte de pouvoir se plaindre. La dureté du cœur dénote un état d'esprit qu'aucune menace, ni jugement, ni miséricorde ne peuvent ébranler sérieusement. Nantis d'une conscience étouffée, d'un cœur rempli d'orgueil et de préjugés, ces personnes persistent dans l'incrédulité et la désobéissance. On dit souvent qu'elles ont un cœur de pierre ! Par contre, un cœur meurtri et contrit, est bien différent. Les pécheurs ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes car leur orgueil et leur impiété ne font qu'abuser de la bonté et de la patience divines. Quand parfois, le Seigneur endurcit le cœur des hommes, c'est toujours à cause de leurs péchés, commis préalablement.

      13 Moïse reçoit l'ordre d'aller porter à Pharaon un terrible message. La Providence divine a bien dicté au patriarche ce que doit être son attitude : rester ferme et résolu dans sa demande à Pharaon ; tous les éléments de ce texte révèlent la Puissance de Dieu, destinée à humilier et à terrasser le plus arrogant de Ses ennemis.

      Quand la Justice divine menace d'envoyer un homme à la ruine, Sa Grâce, en même temps, montre le chemin du salut ! Dieu n'a pas fait seulement la différence entre les Égyptiens et les Israélites, mais aussi au sein des Égyptiens. Pharaon, en ne voulant pas se soumettre, attira en fait la jugement divin sur lui-même ; cependant, certains de ses sujets, prirent peur et se mirent à l'abri : ils crurent aux paroles annoncées par le patriarche. Ils mirent à l'abri leurs serviteurs et leur bétail et firent ainsi preuve d'une grande sagesse. Même dans l'entourage de Pharaon, on craignit la Parole de Dieu. Est-ce que tous les enfants d'Israël eurent la même attitude ? Le texte nous rapporte que ceux qui furent incrédules, laissèrent leurs troupeaux dans les champs. Ils s'obstinèrent et restèrent sourds aux avertissements les plus pressants et aux conseils les plus sages, étant ainsi redevables du sang de ceux qui périrent par leur faute.

      Exode 10

      2 Chroniques 20

      Matthieu 3

      Jean 8

      37 Notre Seigneur s'opposa à l'orgueil de ces Juifs et à leur vaine confiance en leur soi-disant appartenance à la descendance d'Abraham : cela ne pouvait être bénéfique à ceux dont l'esprit était contraire à celui du patriarche.

      Quand la Parole de Dieu est absente, on ne doit s'attendre à recevoir aucun bienfait : dans le cœur, toute la place est libre pour la méchanceté. Une personne malade, revenant de chez son médecin et ne voulant prendre ni remèdes, ni nourriture, ne peut espérer la guérison. La Vérité guérit et nourrit le cœur de ceux qui la reçoivent. La « pseudo vérité », enseignée par les philosophes, n'a pas ce pouvoir ni cet effet ; la seule qui soit efficace est Celle qui provient de Dieu !

      Ceux qui se réclament de la descendance d'Abraham, doivent pratiquer les œuvres de ce dernier ; ils ne doivent être que des « étrangers » séjournant ici-bas ; ils doivent sans cesse adorer Dieu au sein de leur famille, et marcher continuellement avec le Seigneur !

      Actes 22

      Romains 4

      13 La promesse que Dieu fit à Abraham, au sujet de sa postérité, fut faite au patriarche longtemps avant l’établissement de la loi. Cette promesse « pointe » sur Christ, de manière prophétique, elle se réfère au texte de Ge 12:3 : « Toutes les familles de la terre seront bénies en toi ».

      La colère divine est corollaire à la loi, puisque cette dernière montre que chaque transgresseur est exposé au mécontentement divin. Dieu ayant voulu donner aux hommes l'accès aux bénédictions promises, a déterminé que ce serait seulement pour les croyants, par pure Grâce, afin que cette promesse soit certaine pour tous ceux qui avaient la même foi qu'Abraham, qu'ils soient Juifs ou Gentils, en tous temps.

      La justification et le salut des pécheurs, accordés aux Gentils, qui ne formaient pas en fait un « peuple élu », sont des manifestations pleines de Grâce, « qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles l’étaient », Genèse 4:17*. En constatant une existence aux choses qui n'étaient pas, nous avons là une preuve du Pouvoir tout-puissant de Dieu.

      Ce texte nous rappelle la nature et la puissance de la foi d'Abraham. Il a cru au témoignage de Dieu, et a cherché la réalisation de Sa promesse, espérant fermement alors que tout paraissait impossible. La faiblesse de la foi fait trébucher l’homme devant les difficultés d’accomplissement d'une promesse. Abraham prit l’engagement divin à la lettre, engagement qui n'admettait ni discussion, ni débat.

      L'incrédulité est à la base de tous nos doutes, face aux promesses divines. La force de la foi se manifeste dans sa victoire sur les craintes. Dieu honore la foi, cette dernière L’honorant !

      La foi a été imputée à justice à Abraham. C’est une grâce qui rend plus que tout, gloire à Dieu. Elle est clairement le moyen par lequel nous recevons la Justice divine et la rédemption en Jésus-Christ ; elle est « l'instrument » par lequel nous prenons ou nous recevons spirituellement, elle n’est pas un don.

      La foi d'Abraham ne l'a pas justifié devant Dieu suivant son propre mérite ou sa valeur, mais en lui donnant une « part » en Jésus-Christ.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Romains 9

      Romains 11

      1

      Le rejet des Juifs n'est pas universel. (Romains 11:1-10)
      Dieu a répondu à leur incrédulité en faisant des païens des « participants » aux privilèges de l'évangile. (Romains 11:11-21)
      Les païens sont mis en garde contre l’orgueil et l'incrédulité. Les Juifs seront appelés en tant que nation ; ils seront à nouveau participants de « l'alliance divine ». (Romains 11:22-32)
      Adoration solennelle de la sagesse, de la bonté, et de la justice de Dieu. (Romains 11:33-36)

      Il demeurait un « reste », choisi parmi les Juifs croyants : ces âmes disposaient de la Justice et de la vie par la foi, en Jésus-Christ.

      Ces Juifs ont été gardés par l’Éternel, conformément à leur « élection », par la Grâce : en conséquence, ils ne pouvaient donc être élus par les œuvres, quelles qu’elles soient !

      Toute bonne disposition qui peut émaner d’une créature déchue ne lui est pas propre, elle n’est que la manifestation de la Grâce de Dieu. Le salut du premier jusqu'au dernier élu, ne provient, que de cette Grâce : la dette « payée » par Christ.

      Les éléments mentionnés dans ce texte, (la Grâce et les œuvres) sont si contradictoires, qu'ils ne peuvent pas être « amalgamés ». Dieu se glorifie en octroyant Sa Grâce : Elle change les cœurs et les esprits rebelles. Combien les âmes réceptrices doivent-elles alors s'en émerveiller, et apporter leurs louanges au Seigneur !

      La nation juive était dans un « profond  sommeil », sans perception réelle du danger qu’elle encourait, imprudemment ; les Juifs n’éprouvaient pas le besoin d’avoir un Sauveur, ils ne se doutaient même pas qu’ils étaient à la limite d'une ruine éternelle.

      David, ayant par l'Esprit, dans le Psaume 69, annoncé les souffrances de Christ, crucifié par Son propre peuple, les Juifs, prédit ensuite les terribles jugements divins à l’égard de cette nation.

      Ceci nous apprend à comprendre plus facilement les autres prières que David exprima à l’encontre de ses ennemis ; il s’agit de prophéties inhérentes aux jugements de Dieu, sans être toutefois l’expression manifeste de Sa propre colère. Les malédictions divines dureront un certain temps : nous aurons les yeux obscurcis (verset \\#11:10\\*), tant que nous resterons tentés par ce que nous propose le monde...

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      2 Corinthiens 11

      22 L'apôtre rend compte de son ministère et de ses souffrances ; il les rapporte sans fierté, ni vaine gloire, mais pour honorer Dieu, Celui qui lui a permis de tant souffrir pour la cause de Christ ; Paul dénonce la pertinence des faux apôtres, qui essayèrent de l'amoindrir et de clamer l’inutilité de son travail.

      L’apôtre nous émeut, en soulignant les dangers qu’il a encourus, ses épreuves, et ses souffrances ; il nous invite à observer sa patience, sa persévérance, son assiduité, sa bonne humeur, et son utilité, au milieu de toutes ces querelles.

      Nous ne pouvons que nous humilier, nous qui recherchons le faste et la suffisance de ce monde, quand nous voyons les épreuves supportées par l’apôtre Paul. Notre assiduité et notre extrême diligence paraissent indignes, comparées aux siennes ; nos difficultés et différents problèmes peuvent être à peine soulignés, quand nous voyons ce qu’il a supporté !

      Il est profitable de nous enquérir si oui ou non nous sommes vraiment partisans de Christ. Étudions dans ce texte la patience, de Paul, son courage, et sa réelle confiance en Dieu. Tendons également à « délaisser » notre égocentrisme...

      Nous devrions davantage nous attacher à la Vérité, à chercher la présence de Dieu, porter tout à la gloire du Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui est béni à jamais !

      Philippiens 3

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