Franck Alexandre : Dieu veut la croissance de l'Eglise
Par Franck Alexandre - Publié le Dimanche 16 janvier 2011
Le terme « incrédule » s'applique à tout être dépourvu de la véritable foi. Les pasteurs vraiment engagés dans leur ministère doivent avertir leur bien-aimé « troupeau », de ne pas se placer sous un joug étranger. La négligence des préceptes des saintes Écritures, relative à ce type d'asservissement, apparaît ici clairement : elle est fatale ; au lieu d'apporter une aide, toute association sous le joug des incrédules cache un piège. Les enfants de Dieu qui sont asservis à des dominations étrangères, injustement, contre leur gré, peuvent s’attendre à recevoir un certain réconfort spirituel ; mais quand ils s'engagent délibérément dans de telles voies, malgré les avertissements explicites de la Parole de Dieu, ils doivent s'attendre à subir maintes afflictions.
Nos conversations courantes doivent être menées avec prudence. Nous ne devrions pas nous engager dans de vaines amitiés, avec des connaissances douteuses, ni avec les incrédules. Quoique qu’il nous soit presque impossible d’éviter totalement ce genre de fréquentations, nous ne devons pas cependant vraiment nous engager avec elles.
En fait, nous ne devons pas fréquenter avec ceux qui pratiquent le péché. Quittons ces « ouvriers d'iniquité », et séparons-nous de leurs vaines poursuites, de leurs plaisirs coupables, de toute leur affinité avec les corruptions de ce monde.
Si le fait d'être le fils ou la fille d'un prince ici-bas, reste
un privilège envié, quels peuvent être la dignité et le bonheur
d'être « fils et filles » du Tout-Puissant ?
Notre bouche s'est ouverte pour vous, Corinthiens, notre coeur s'est élargi.
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Le terme « incrédule » s'applique à tout être dépourvu de la véritable foi. Les pasteurs vraiment engagés dans leur ministère doivent avertir leur bien-aimé « troupeau », de ne pas se placer sous un joug étranger. La négligence des préceptes des saintes Écritures, relative à ce type d'asservissement, apparaît ici clairement : elle est fatale ; au lieu d'apporter une aide, toute association sous le joug des incrédules cache un piège. Les enfants de Dieu qui sont asservis à des dominations étrangères, injustement, contre leur gré, peuvent s’attendre à recevoir un certain réconfort spirituel ; mais quand ils s'engagent délibérément dans de telles voies, malgré les avertissements explicites de la Parole de Dieu, ils doivent s'attendre à subir maintes afflictions.
Nos conversations courantes doivent être menées avec prudence. Nous ne devrions pas nous engager dans de vaines amitiés, avec des connaissances douteuses, ni avec les incrédules. Quoique qu’il nous soit presque impossible d’éviter totalement ce genre de fréquentations, nous ne devons pas cependant vraiment nous engager avec elles.
En fait, nous ne devons pas fréquenter avec ceux qui pratiquent le péché. Quittons ces « ouvriers d'iniquité », et séparons-nous de leurs vaines poursuites, de leurs plaisirs coupables, de toute leur affinité avec les corruptions de ce monde.
Si le fait d'être le fils ou la fille d'un prince ici-bas, reste un privilège envié, quels peuvent être la dignité et le bonheur d'être « fils et filles » du Tout-Puissant ?