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2
Voici le Dieu qui m’a sauvé ; je me sens en sécurité, je n’ai plus peur. Ma grande force, c’est le Seigneur ; il est mon sauveur. »
16
Alors le royaume de Juda sera libéré, et les gens de Jérusalem vivront enfin tranquilles. Et voici comment on appellera Jérusalem : “Le Seigneur est notre salut.” »
18
Jésus marchait le long du lac de Galilée, lorsqu’il vit deux frères qui étaient pêcheurs, Simon, surnommé Pierre, et son frère André ; ils pêchaient en jetant un filet dans le lac.
2
Voici les noms de ces douze apôtres : d’abord Simon, surnommé Pierre, et son frère André ; Jacques et son frère Jean, tous deux fils de Zébédée ;
47
mon cœur est plein de joie à cause de Dieu, mon Sauveur ;
49
C’est pourquoi Dieu, dans sa sagesse, a déclaré : “Je leur enverrai des prophètes et des apôtres ; ils tueront certains d’entre eux et en persécuteront d’autres.”
31
« Simon, Simon ! Écoute : Satan a demandé de pouvoir vous passer tous au crible comme on le fait pour purifier le grain.
32
Mais j’ai prié pour toi, afin que la foi ne vienne pas à te manquer. Et quand tu seras revenu à moi, fortifie tes frères. »
33
Pierre lui dit : « Seigneur, je suis prêt à aller en prison avec toi et à mourir avec toi. »
34
Jésus lui répondit : « Je te le déclare, Pierre, le coq n’aura pas encore chanté aujourd’hui que tu auras déjà prétendu trois fois ne pas me connaître. »
42
Et il conduisit Simon auprès de Jésus. Jésus le regarda et dit : « Tu es Simon, le fils de Jean ; on t’appellera Céphas. » – Ce nom signifie « Pierre ». –
26
Si quelqu’un veut me servir, il doit me suivre ; ainsi, mon serviteur sera aussi là où je suis. Mon Père honorera celui qui me sert. »
21
Jésus leur dit de nouveau : « La paix soit avec vous ! Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie. »
15
Après le repas, Jésus demanda à Simon Pierre : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu plus que ceux-ci ? » – « Oui, Seigneur, répondit-il, tu sais que je t’aime. » Jésus lui dit : « Prends soin de mes agneaux. »
16
Puis il lui demanda une deuxième fois : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? » – « Oui, Seigneur, répondit-il, tu sais que je t’aime. » Jésus lui dit : « Prends soin de mes brebis. »
17
Puis il lui demanda une troisième fois : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? » Pierre fut attristé de ce que Jésus lui avait demandé pour la troisième fois : « M’aimes-tu ? » et il lui répondit : « Seigneur, tu sais tout ; tu sais que je t’aime ! » Jésus lui dit : « Prends soin de mes brebis.
8
Et Dieu, qui connaît le cœur des humains, a attesté qu’il les accueillait en leur donnant le Saint-Esprit aussi bien qu’à nous.
9
Il n’a fait aucune différence entre eux et nous : il a purifié leur cœur parce qu’ils ont cru.
14
Simon a raconté comment Dieu a pris soin dès le début de ceux qui ne sont pas juifs pour choisir parmi eux un peuple qui lui appartienne.
1
De la part de Paul, serviteur de Jésus-Christ, appelé à être apôtre et choisi par Dieu pour annoncer sa Bonne Nouvelle.
12
Plus encore, je désire être parmi vous pour que nous recevions ensemble un encouragement, moi par votre foi et vous par la mienne.
17
En effet, la Bonne Nouvelle révèle comment Dieu rend les humains justes devant lui : c’est par la foi seule, du commencement à la fin, comme l’affirme l’Écriture : « Celui qui est juste par la foi, vivra. »
21
Mais maintenant, Dieu nous a montré comment il nous rend justes devant lui, et cela sans l’intervention de la loi. Les livres de la Loi et des Prophètes l’avaient déjà attesté :
22
Dieu rend les hommes justes à ses yeux par leur foi en Jésus-Christ. Il le fait pour tous ceux qui croient au Christ, car il n’y a pas de différence entre eux :
23
tous ont péché et sont privés de la présence glorieuse de Dieu.
24
Mais Dieu, dans sa bonté, les rend justes à ses yeux, gratuitement, par Jésus-Christ qui les délivre du péché.
25
Dieu l’a offert comme un sacrifice afin que, par sa mort, le Christ obtienne le pardon des péchés en faveur de ceux qui croient en lui. Dieu a montré ainsi qu’il est toujours juste : il l’était autrefois quand il a patienté et laissé impunis les péchés des hommes ; il l’est dans le temps présent, puisqu’il veut à la fois être juste et rendre justes tous ceux qui croient en Jésus.
30
Mais Dieu vous a unis à Jésus-Christ et il a fait du Christ notre sagesse : c’est le Christ qui nous rend justes devant Dieu, qui nous permet de vivre pour Dieu et qui nous délivre du péché.
1
Ne suis-je pas libre ? Ne suis-je pas apôtre ? N’ai-je pas vu Jésus notre Seigneur ? N’êtes-vous pas le résultat de mon activité au service du Seigneur ?
9
Je suis en effet le moindre des apôtres – à vrai dire, je ne mérite même pas d’être appelé apôtre –, car j’ai persécuté l’Église de Dieu.
13
L’Écriture déclare : « J’ai cru, c’est pourquoi j’ai parlé. » Nous aussi, dans le même esprit de foi, nous croyons et c’est pourquoi nous parlons.
21
Le Christ était sans péché, mais Dieu l’a chargé de notre péché, afin que, par lui, nous ayons part à l’œuvre salutaire de Dieu.
8
Car Dieu a fait de moi l’apôtre destiné aux autres nations, tout comme il a fait de Pierre l’apôtre destiné aux Juifs.
5
Dans les temps passés, ce secret n’a pas été communiqué aux humains, mais Dieu l’a révélé maintenant par son Esprit à ses saints apôtres et prophètes.
5
Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême ;
11
C’est lui qui a fait des dons particuliers aux hommes : des uns il a fait des apôtres, d’autres des prophètes, d’autres encore des évangélistes, des pasteurs ou des enseignants.
29
Car Dieu vous a accordé la faveur de servir le Christ, non seulement en croyant en lui, mais encore en souffrant pour lui.
9
et d’être parfaitement uni à lui. Je n’ai plus la prétention d’être juste grâce à ma pratique de la loi. C’est par la foi au Christ que je le suis, grâce à cette possibilité d’être juste créée par Dieu et qu’il accorde en réponse à la foi.
5
Je garde le souvenir de la foi sincère qui est la tienne, cette foi qui anima ta grand-mère Loïs et ta mère Eunice avant toi. Je suis persuadé qu’elle est présente en toi aussi.
1
De la part de Paul, serviteur de Dieu et apôtre de Jésus-Christ. J’ai été chargé d’amener à la foi ceux que Dieu a choisis et de leur faire connaître la vérité conforme à la foi chrétienne
4
Je t’adresse cette lettre, Tite, mon vrai fils dans la foi qui nous est commune : Que Dieu le Père et Jésus-Christ notre Sauveur t’accordent la grâce et la paix.
13
C’est ainsi que nous devons attendre le bonheur que nous espérons et le jour où apparaîtra la gloire de notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ.
1
De la part de Pierre, apôtre de Jésus-Christ. A ceux que Dieu a choisis et qui vivent en exilés, dispersés dans les provinces du Pont, de la Galatie, de la Cappadoce, de l’Asie et de la Bithynie.
7
L’or lui-même, qui est périssable, est pourtant éprouvé par le feu ; de même votre foi, beaucoup plus précieuse que l’or, est mise à l’épreuve afin de prouver sa valeur. C’est ainsi que vous pourrez recevoir louange, gloire et honneur quand Jésus-Christ apparaîtra.
7
Cette pierre est d’une grande valeur pour vous les croyants ; mais pour les incroyants « La pierre que les bâtisseurs avaient rejetée est devenue la pierre principale. »
1
Je m’adresse maintenant à ceux qui, parmi vous, sont anciens d’Église. Je suis ancien moi aussi ; je suis témoin des souffrances du Christ et j’aurai part à la gloire qui va être révélée. Voici ce que je leur demande :
1
De la part de Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ. A ceux qui, par l’œuvre salutaire de notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ, ont reçu une foi aussi précieuse que la nôtre :
4
C’est ainsi qu’il nous a accordé les biens si précieux et si importants qu’il avait promis, afin qu’en les recevant vous puissiez échapper aux désirs destructeurs qui règnent dans le monde et participer à la nature divine.
Voir sur ces titres 1Pierre 1.1 ; Romains 1.1 ; Jacques 1.1 et comparer l'introduction à notre épître.
Syméon (Sin., A, majuscules), le nom de l'apôtre ne se trouve que dans Actes 15.14 sous cette forme qui se rapproche le plus de la consonnance hébraïque.
Simon (B) est la forme ordinaire, qui reproduit la prononciation grecque.
Les noms de Simon Pierre sont associés Luc 5.8 ; Matthieu 16.16, et dans l'évangile de Jean.
Grec : A ceux à qui est échue (par le sort, Luc 1.9 ; Jean 19.24) une foi de même prix qu'à nous. Ce verbe exprime fortement la souveraineté de la grâce qui seule produit une foi vivante. Celle-ci est un don de Dieu, d'un prix infini, puisqu'elle a pour fruit la vie éternelle. Elle est du même prix, parce qu'elle a les mêmes effets, pour les lecteurs de l'épître et pour ceux que l'auteur désigne par nous.
On a appliqué ce nous aux apôtres, qui seraient distingués des simples fidèles, comme formant une classe à part ; on l'a entendu des chrétiens d'origine juive, auxquels appartenait l'auteur, tandis que les destinataires de l'épître seraient des chrétiens d'origine païenne. (Comparer Actes 11.17) Mais il est plus naturel de penser que dans ce nous l'auteur comprend tous ceux qui possèdent la foi commune à tous les chrétiens, ou qui partagent déjà ses convictions à l'égard des faits et des vérités qu'il va rappeler à ses lecteurs. (Reuss.)
Le complément : en la justice de notre Dieu,...est rattaché par quelques-uns au qualificatif du même prix : ce qui donne à leur foi un prix égal, c'est la justice de notre Dieu. Mais les termes qu'on réunit ainsi sont séparés dans la phrase grecque.
D'autres le relient au verbe : "Ceux qui, en ou par la justice de notre Dieu,...ont reçu en partage une foi..." Mais ce n'est pas la justice qui donne la foi, c'est plutôt la foi qui saisit la justice à moins qu'on entende par la justice de Dieu l'attribut en vertu duquel il donne à tous, aux païens comme aux Juifs, une foi de même prix.
Il vaut mieux construire : une foi en la justice, ou fondée sur la justice de Dieu. Le mot justice peut alors se prendre dans le sens qu'il a dans les épîtres de Paul ; (comparez Romains 1.17 ; 3.21-31) c'est la justice parfaite, dont le Sauveur revêt ses rachetés devant Dieu, et qui, d'une part, est imputée à leur foi, les rend justes aux yeux de Dieu et, d'autre part, les renouvelle et les sanctifie intérieurement ; double effet provenant de la même cause.
Avec la majorité des interprètes, nous traduisons : de notre Dieu et du Sauveur Jésus-Christ. Il serait plus conforme à la grammaire grecque de traduire : de notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ, car l'article n'est pas répété devant Sauveur.
Une formule semblable se trouve dans : 1Pierre 1.11 ; 2.20 ; 3.18, où l'auteur dit : "Notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ."
D'après l'analogie de ces passages s'est produite, dans notre verset, la variante du Sin. qui remplace Dieu par Seigneur. Mais ce qui semble indiquer que le mot Dieu n'est pas un simple attribut de Jésus-Christ, (comparez 2.13, note) et que l'auteur a bien dans la pensée le Père et le Fils, c'est qu'au verset suivant, il nomme d'abord Dieu, puis Jésus notre Seigneur.
Cette deuxième épître de Pierre est manifestement la suite de la précédente. L'apôtre, ayant auparavant annoncé aux chrétiens les bénédictions que Dieu leur a réservées, exhorte ceux qui ont reçu ces dons précieux, à s'efforcer de croître dans la Grâce et la sanctification.
L’apôtre met les chrétiens en garde contre la méchanceté des faux docteurs, des imposteurs et des moqueurs, en réfutant leurs fausses assertions, 2 Pierre 3:1-7 ; il expose pourquoi le grand jour du retour de Christ semble tarder pour certains, en décrivant la gravité de cet événement et ses terribles conséquences ; diverses exhortations sont ensuite données, relatives l'assiduité et la sainteté.* Exhortations à bénéficier librement des diverses grâces spirituelles, en plus de celle de la foi. (2 Pierre 1:1-11). L'apôtre pressent son décès. (2 Pierre 1:12-15) Pierre confirme la Vérité de l'Évangile, en ce qui concerne la présence de Christ lors du Jugement. (2 Pierre 1:16-21)
2 Pierre 1:1-11 La foi unit le croyant à Christ ; elle en fait un être revivifié, elle purifie et transforme son cœur ; chaque croyant sincère est justifié par sa foi, au regard de Dieu. La foi amène la piété, et produit des effets que nulle autre grâce ne peut produire dans l’âme.
En Christ demeure toute plénitude, le pardon, la Paix, la Grâce, la connaissance, et de nombreux principes spirituels ; tous ces éléments sont accordés par l’intermédiaire du Saint-Esprit. Ces promesses sont faites à ceux qui sont « participants de la nature divine » ; elles nous pousseront à découvrir si nous sommes vraiment « renouvelés » spirituellement en profondeur ; convertissons toutes ces promesses en prières, par la grâce du Saint-Esprit, cette grâce qui transforme et qui purifie l’âme !
Le croyant doit ajouter de la connaissance à sa vertu, pour croître dans toute la Vérité et la Volonté de Dieu. Nous devons ajouter à cette connaissance la modération, en ce qui concerne les vains attraits de ce monde ; ayons aussi de la patience, et une soumission joyeuse à la Volonté divine. La tribulation affermit la patience, grâce à laquelle nous portons toutes nos calamités et épreuves, en silence et en toute soumission.
À la patience nous devons ajouter la piété : cette pensée inclut les saintes affections et dispositions que l'on trouve dans la véritable adoration de Dieu ; ayons une tendre affection pour tous nos frères chrétiens ; ils sont en fait enfants du même Père, serviteurs du même Maître, membres de la même famille, voyageurs vers le même pays, héritiers du même héritage.
En conséquence, les chrétiens doivent œuvrer, afin d’atteindre le but de leur vocation et de leur élection, en croyant et en pratiquant le bien : ils pourront ainsi joindre tous leurs efforts et bénéficier pleinement de la Grâce et de la Miséricorde divines, de Celui qui les soutient et les empêche de chuter.
Ceux qui se sont appliqués ici-bas dans l'exercice de la piété, connaîtront une entrée triomphante dans le Royaume éternel de Christ ; ils régneront avec Lui pour toujours ; le fait de pratiquer toute bonne œuvre ici-bas nous montre que nous sommes sur le chemin qui mène à l'entrée au ciel !