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Deutéronome 10.4

He wrote on the tables, according to the first writing, the ten commandments, which Yahweh spoke to you on the mountain out of the midst of the fire in the day of the assembly: and Yahweh gave them to me.
Le SEIGNEUR a écrit sur les nouvelles tablettes, comme sur les premières, les dix commandements qu’il vous avait communiqués du milieu du feu. C’était le jour où vous étiez rassemblés au pied de la montagne. Puis il m’a donné ces tablettes.
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      Exode 19

      Exode 20

      1

      Le préambule des dix commandements. (Exode 20:1,2)
      Les commandements écrits sur les premières tables. (Exode 20:3-11)
      Leur rédaction sur les deuxièmes tables. (Exode 20:12-17)
      La crainte du peuple. (Exode 20:18-21)
      Rappel d'interdiction contre l'idolâtrie. (Exode 20:22-26)

      Dieu parle aux hommes de plusieurs manières : par leur propre conscience, par la Providence, par Sa voix ; nous devons être soigneusement attentifs à tous ces messages. Mais Dieu ne s'est jamais exprimé comme Il l'a fait, lors de Sa déclaration des dix commandements. Au tout début, la Loi a été inculquée à l'homme ; cette loi aurait dû rester inscrite dans son cœur, mais le péché l'a corrompue et de ce fait, il fallait en redéfinir la connaissance. La loi est spirituelle, elle connaît les pensées secrètes du cœur, ses désirs, et ses dispositions.

      Le commandement qu'elle souligne le premier, est l'amour ; sans lui, toute vie spirituelle n'est qu'hypocrisie ; ce commandement doit être parfaitement observé, avec une obéissance constante ; aucune loi au monde ne tolère la désobéissance. Celui qui voudra observer toute la loi mais qui pèchera contre un seul commandement, sera coupable envers tous les autres, Jacques 2:10. Le fait de la modifier, soit dans notre cœur, dans nos pensées, dans nos propos ou dans nos actes, n'est que péché et la mort est le salaire du péché.

      3 Les quatre premiers des dix commandements, communément appelés « le décalogue », nous décrivent notre devoir envers Dieu. Ces quatre commandements sont cités en premier car l'homme doit aimer son Créateur avant son prochain. Il ne sera pas possible d'aimer son prochain sincèrement si les sentiments que l'on éprouve pour Dieu ne sont qu'hypocrisie.

      Le premier commandement mentionne qui doit être l'objet de notre adoration : l’Éternel et Lui seulement. Cela signifie qu'il est interdit d'adorer les créatures. Quel que soit le fait qui puisse entraver notre amour, notre gratitude, notre révérence ou notre adoration envers Dieu, nous ne devons pas céder à un sentiment de déception qui ne peut conduire qu'à une transgression de ce commandement. Tout ce que nous faisons doit être fait à la gloire de Dieu.

      Le second commandement se rapporte à l'adoration que nous devons ressentir envers le Seigneur, notre Dieu. Il est interdit de fabriquer une image ou une représentation quelconque de la Déité, sous quelque forme ou intention que ce soit. Mais la signification spirituelle de ce commandement est plus étendue : tous les types de superstition sont défendus, ainsi que toutes les « inventions » humaines qui déforment la véritable adoration de Dieu.

      Le troisième commandement concerne la façon d'adorer : elle doit être faite avec toute la révérence et le sérieux possibles. Tout serment inconsidéré est prohibé. Toutes les injures au nom de l'Éternel et tous les jurons ne sont que d'affreuses offenses à Ses commandements. Cela ne concerne pas uniquement les injures contre la Parole de Dieu ou les choses saintes, mais aussi toutes celles qui sont vaines, malsaines ou relatives aux plaisirs douteux. Le Seigneur ne laissera pas impuni celui qui invoquera Son Nom en vain.

      Le quatrième commandement est particulier : c'est un « rappel », c'est-à-dire que ce n'était pas la première fois qu'il était ordonné, mais que les hommes le connaissaient déjà. Un jour sur sept doit être sanctifié. Six jours sont consacrés au travail, mais il ne faut pas négliger ensuite le service de Dieu et le soin à apporter à notre âme. Aujourd'hui, nous devons accomplir tout notre travail dans le temps imparti, sans en prévoir pour le sabbat, le jour du repos. Christ a permis d'accomplir en ce jour particulier les travaux de nécessité, de charité et de piété ; car le sabbat a été fait pour l'homme et non l'inverse, Marc 2:27 ; tout ce qui concerne le luxe, la vanité ou l'autosatisfaction est à éviter. Tout acte commercial, tout paiement de transaction, toute lettre d'affaires, toute étude industrielle, déplacement, voyage mondain ou conversations légères, ne font que gâter la sainteté de ce jour, que Dieu a mis à part.

      La paresse et l'indolence font partie des attitudes « du monde », mais ne concernent pas le saint repos. Le sabbat doit être un jour où l'on se repose du travail journalier, pour se consacrer au service de Dieu. Les avantages du respect de ce jour sanctifié, sont la bonne santé et la joie des hommes, ce temps mis à part étant consacré au soin de l'âme et au rappel de l'excellence de la Parole de Dieu. Ce jour est béni ; les hommes qui le respectent sont bénis, en lui et par lui. Cette bénédiction et ce respect de la sainteté ne sont pas consacrés à un septième jour ordinaire, mais au jour du sabbat.

      12 Les commandements de la deuxième table, les six derniers des dix commandements, décrivent quel doit être notre devoir, pour nous même et vis-à-vis des autres ; ils mentionnent le fameux commandement : « tu aimeras ton prochain comme toi-même », Luc 10:27. La piété et l'honnêteté doivent aller de pair.

      Le cinquième commandement concerne les devoirs que nous avons vis-à-vis de nos parents. Le fait d'honorer père mère, doit démontrer par notre conduite, notre estime et notre obéissance à leur égard ; quand vos parents vous appellent, répondez leur ; quand ils vous envoient accomplir une tâche, faites ce qu'ils vous demandent, abstenez-vous de ce qu'ils vous interdisent ; faites tout cela en tant qu'enfant, dans la joie et dans l'amour. Soyez également soumis à leurs conseils et à leurs recommandations. Efforcez-vous de réconforter en tous points vos parents, donnez-leur une vieillesse paisible ; soutenez-les quand ils sont dans le besoin, ce que le Seigneur recommande particulièrement, Matthieu 15:4-6. Beaucoup de personnes ont remarqué que l'on était particulièrement béni en obéissant à ses parents, et que la malédiction accompagnait les enfants indisciplinés.

      Le sixième commandement indique que l'on doit se préoccuper de la vie et du bien-être des autres comme nous le faisons pour nous-mêmes. Les magistrats et les fonctionnaires sont institués pour faire valoir la vérité : ne cherchez pas à les contrecarrer. L'autodéfense est légitime ; mais beaucoup de meurtriers innocentés par la loi des hommes, ne le sont pas devant Dieu. Les passions démesurées, provoquées par la colère ou l'alcool, n'ont aucune excuse ; elles conduisent au meurtre et lors des duels, elles ne font que révéler l'arrogance des hommes et leur esprit de vengeance. Tous les combats, même ceux accomplis par les mercenaires, ne sont que le résultat de la colère et de la malice : ils rompent le sixième commandement ; tous les carnages sont en fait des meurtres. Il en est ainsi pour tout ce qui pousse les hommes au vice et au crime. La mauvaise conduite corrompt le cœur, elle pousse rapidement les parents vers le trépas, comme d'ailleurs les épouses et autres membres d'une famille : toutes ces choses rompent ce sixième commandement. Ce dernier interdit les mauvaises envies, la haine ou la colère, toute insulte. Il condamne le suicide. Il réclame un esprit bienveillant et patient, qui sait aussi pardonner.

      Le septième commandement concerne la chasteté. Nous devrions être effrayés par toutes les « vilenies » qui s'attaquent au corps humain : elles ne font que le détruire. Quels que puissent être les errements de notre imagination polluée, animée par nos passions, ils ne font que rompre ce commandement : il en est ainsi pour toutes les images impures, les livres, les conversations douteuses et toute autre forme de déviations.

      Le huitième commandement est celui de l'amour, celui du respect de la propriété des autres. Ce que nous possédons ici-bas, même acquis dans l'honnêteté, représente le « pain » que Dieu nous a donné ; nous devrions nous en contenter et être reconnaissants : sachons ainsi faire preuve de confiance en la Providence divine. Quand nous détournons notre regard de nos voisins, lorsqu'ils sont dans la nécessité, nous enfreignons la loi divine ; c'est un fait courant dans notre société d'aujourd'hui. Les « pillages » en tous genres, même ceux qui sont effectués sous le couvert de la justice humaine, vont également contre ce commandement. La fraude, les emprunts effectués sans perspective de remboursement, les non-paiements de dettes, l'extravagance, les abus, les extorsions d'argent aux pauvres, toutes ces choses s'opposent au huitième commandement. Offrons notre savoir-faire, dans un esprit de simplicité et dans le contentement, au service des autres, comme nous voudrions qu'ils le fassent à notre égard.

      Le neuvième commandement est relatif à notre attitude vis-à-vis de nos voisins. Ce commandement interdit toute médisance, sous quelque forme que ce soit, toute parole équivoque qui pourrait « salir » notre prochain. Dénigrer notre voisin ne peut que nuire à sa réputation. Porter un faux témoignage contre lui, le calomnier, ou l'attaquer par notre médisance, tous ces actes rompent le neuvième commandement ; il en est de même pour celui qui déforme la vérité, qui s'efforce de salir la réputation de son prochain, ne cherchant que sa ruine. Combien de fois ce commandement est bafoué chaque jour, par des personnes de tout rang, de toute nature !

      Le dixième commandement s'attaque à la racine du mal : « tu ne convoiteras pas ». Les commandements précédents prohibaient tous les mauvais désirs envers notre prochain ; celui-ci interdit toute convoitise malsaine.

      Exode 34

      28 Une bonne communion spirituelle avec Dieu, intensifie la grâce en nous-mêmes, elle revivifie et sanctifie notre âme. Une réelle piété purifie la conduite de l'homme, en augmentant par exemple, l'estime et l'affection mutuelle. Le voile que Moïse mettait sur son visage, était une image de la limitation de la dispensation de l'époque, comparée au rayonnement de la lumière de l'évangile du Nouveau Testament.

      Ce voile était aussi l'emblème de la « retenue » de ceux qui respectent les choses spirituelles. Il était également une image du masque qui était et qui se trouve encore, sur la nation d'Israël ; seul l'Esprit de l'Éternel peut l'ôter, afin de révéler Christ, Celui qui met fin à la dispensation de la loi, pour le bénéfice de chaque croyant. La crainte et l'incrédulité placent un voile devant nos yeux, elles nous éloignent du trône de Miséricorde. Nous devrions pleinement exprimer nos désirs à notre Père céleste, aussi bien matériels que spirituels ; nous devrions Lui confier toutes nos peines et tous nos problèmes de tentation ; nous devrions enfin reconnaître devant Lui, toutes nos offenses.

      Deutéronome 4

      Deutéronome 5

      6 Il y a quelques différences, entre le texte d'Exode 20 et celui de la prière du Seigneur, en Matthieu 6 et Luc 11. Il est préférable que nous nous attachions au fondement et aux principes et divins, plutôt qu'aux mots spécifiques et immuables de la Loi. La raison originale de la sanctification du sabbat, en mémoire du repos divin du septième jour de la création, n'est pas mentionnée. Le texte insiste quand même particulièrement sur ce respect du sabbat : il doit servir pour Israël, de rappel de sa délivrance et de sa sortie d'Égypte ; et en ce qui nous concerne, nous devons nous remémorer, lors de notre « sabbat chrétien » hebdomadaire, la rédemption que nous avons en Jésus-Christ. Par la résurrection de Jésus, et par l'intermédiaire de Sa main et de Son bras, puissants, nous avons bénéficié d'une liberté glorieuse, accordée aux enfants de Dieu.

      Qu'il est doux, pour une âme qui souffre et qui est en détresse, de constater que si elle ne peut obéir complètement à la loi, elle peut entendre le message vivifiant de l'évangile !

      23 Moïse mentionne dans ce texte, la consternation et la terreur du peuple, lorsque ce dernier reçut la loi. Depuis « la chute », décrite au début de la Genèse, l'apparence de Dieu a toujours été terrible pour l'homme ; mais Christ, Celui qui a ôté le péché du monde, nous invite à nous approcher du Trône de la Grâce.

      Les enfants d'Israël, fermement convaincus par les paroles de Moïse, étaient tout à fait disposés à se soumettre aux ordonnances divines.

      Beaucoup de personnes sont interpellées en entendant les paroles de la loi : elles se sentent impures et sont alors prêtes à prendre de bonnes résolutions, mais en fait, elles sont relativement désarmées pour sortir de leur état. L'Éternel a salué la bonne volonté du peuple, qui annonçait vouloir suivre la loi.

      Dieu ne désire que le bien et le salut des pauvres pécheurs que nous sommes ! Il a donné à ce sujet, maintes preuves de cette volonté ; Il nous accorde toujours le temps et les dispositions nécessaires à notre repentance. Il a envoyé Son Fils pour nous racheter, Il a promis d'envoyer le Saint-Esprit à ceux qui prient en Son Nom et Il a toujours déclaré ne pas prendre plaisir à la ruine des pécheurs. Il serait vraiment merveilleux de voir, comme l'ont fait les enfants d'Israël dans ce chapitre, de nombreuses âmes, convaincues de péché ou face à la mort, disposer d'un cœur résolu à écouter la Parole de Dieu. La seule manière d'être vraiment joyeux, c'est de vivre dans la sainteté.

      Que les croyants puissent étudier de plus en plus la Parole, afin qu'elle soit pour eux un véritable « délice », et qu'ils accomplissent, ensuite, la Volonté du Seigneur !

      Deutéronome 9

      Deutéronome 10

      Deutéronome 18

      Hébreux 12

      18 La montagne du Sinaï, sur laquelle les tables de la loi furent élaborées, était un lieu que l'on aurait pu toucher ; il était pourtant interdit de le faire. La dispensation mosaïque, par rapport à la Nouvelle Alliance, se trouvait davantage axée sur des éléments physiques, extérieurs et terrestres.

      L'Évangile est synonyme de douceur et de condescendance, il convient parfaitement à notre faible nature. Sous l'Évangile, tous peuvent s’approcher de Dieu avec hardiesse et bénéficier de Sa présence. Mais l’homme le plus parfait serait désespéré s'il était jugé selon la sainte loi donnée sur le mont Sinaï, sans un réel Sauveur, Christ !

      Au temps de l'Évangile, l'église est appelée « la montagne de Sion » ; de cet endroit, les croyants discernent plus clairement le ciel, et la paix règne en leur âme. Tous les enfants de Dieu sont des « héritiers » ; chacun dispose des privilèges d’un fils « premier-né ». Supposons qu'une âme rejoigne l’assemblée, cette église si glorieuse, en restant cependant étrangère à Dieu, possédant encore un esprit charnel, aimant prioritairement ce présent monde, dans ce qu’il représente, avec toute sa vanité, ses mensonges et ses convoitises ; une telle âme semblerait s'être trompée de chemin, de lieu, d'état, et de compagnie. En réalité, elle devrait se sentir mal à l’aise dans une telle compagnie spirituelle...

      Christ est le Médiateur de la Nouvelle Alliance : Il est placé entre Dieu et les hommes, pour amener ces derniers à bénéficier de cette Alliance ; Christ plaide en notre faveur, auprès de Dieu, pour que, finalement, tout Son peuple soit réuni dans le ciel. Cette Nouvelle Alliance est fermement établie par le sang de Christ, répandu pour nous ; le sang de ce sacrifice a été répandu sur « l’autel », à la croix ; Christ a été la victime, au bénéfice des pécheurs ; Il ne plaide pas pour la vengeance, mais pour la Miséricorde !

      Veillons donc à ne pas refuser Son appel, plein de Grâce, avec le salut qui est offert. Veillons à ne pas repousser Celui qui parle du haut des cieux, avec une tendresse et un amour infinis ; comment pourront s'échapper ceux qui se détournent de Dieu, en toute incrédulité ou apostasie, alors qu'Il les conjure, dans Sa Grâce, afin qu’ils soient réconciliés, en recevant Son éternelle faveur ?

      La relation entre de Dieu et les hommes, aujourd’hui, en cette période de Grâce, nous assure qu'Il jugera sévèrement ceux qui méprisent l'Évangile. Nous ne pouvons pas adorer Dieu d'une manière acceptable sans l'adorer avec vénération, dans une pieuse crainte. Seule la Grâce de Dieu nous permet de L'adorer d'une manière correcte. Dieu reste immuable, un Dieu juste et trois fois saint, sous la Loi comme sous l'Évangile. Un héritage spirituel est assuré à tous les croyants ; tout ce qui concerne le salut est donné gratuitement, en réponse à la prière.

      Recherchons la Grâce, pour que nous puissions servir Dieu avec crainte et vénération !

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