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2
Juda fut puissant parmi ses frères, et de lui est issu le prince d’Israël, mais le droit d’aînesse appartenait à Joseph.
10
Hosa, des descendants de Merari, eut des fils.
Chimri en était le chef car, bien qu’il ne fût pas l’aîné, son père l’avait établi chef.
19
Elle lui donna des fils : Yeouch, Chemaria et Zaham.
20
Plus tard, il épousa encore Maaka, fille d’Absalom, dont il eut des enfants : Abiya, Attaï, Ziza et Chelomith.
21
Roboam préférait Maaka, fille d’Absalom, à toutes ses autres épouses de premier ou de second rang. Il eut en tout dix-huit épouses de premier rang et soixante de second rang qui lui donnèrent vingt-huit fils et soixante filles.
22
Roboam donna la prééminence à Abiya, fils de Maaka, et l’établit chef de ses frères, car il avait l’intention d’en faire son successeur au trône.
3
Leur père leur avait fait de nombreux cadeaux, de l’argent, de l’or et des objets précieux ; de plus, il leur avait confié le gouvernement de plusieurs villes fortifiées en Juda ; mais c’est à Yoram qu’il avait conféré la royauté parce qu’il était l’aîné.
29
En effet, ceux que Dieu a connus d’avance, il les a aussi destinés d’avance à devenir conformes à l’image de son Fils, afin que celui-ci soit l’aîné de nombreux frères.
8
Enfin, frères, nourrissez vos pensées de tout ce qui est vrai, noble, juste, *pur, digne d’amour ou d’approbation, de tout ce qui mérite respect et louange.
16
Qu’il n’y ait personne qui vive dans l’immoralité ou qui méprise les choses saintes, comme Esaü qui, pour un simple repas, a vendu son droit d’aînesse.
17
Vous savez que plus tard, lorsqu’il a voulu recevoir la bénédiction de son père, il a été rejeté, car il n’a trouvé aucun moyen d’amener son père à revenir sur ce qu’il avait fait, bien qu’il l’ait cherché en pleurant.
Elever au rang de premier-né, en lui donnant une portion double. Voir Genèse 25.31, note. Par exemple : si un homme avait cinq fils, son bien était partagé en six parts et il en revenait deux à l'aîné comme chef et protecteur naturel des autres membres de la famille. Le législateur suppose ici une coutume ancienne, qu'il sauvegarde en face des velléités arbitraires d'un père partial.