Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
32
Léa devint enceinte. Elle accoucha d’un fils, à qui elle donna le nom de Ruben ; car, dit-elle, l’Éternel a vu mon humiliation, et maintenant mon mari m’aimera.
25
Moïse vit que le peuple était dans le désordre et qu’Aaron l’avait abandonné au désordre, en sorte qu’il était presque réduit à rien devant ses adversaires.
26
Moïse se tint à la porte du camp et dit : A moi ceux qui sont pour l’Éternel ! Et tous les fils de Lévi s’assemblèrent autour de lui.
27
Il leur dit : Ainsi parle l’Éternel, le Dieu d’Israël : Que chacun de vous mette son épée au côté ; traversez et parcourez le camp d’une porte à l’autre, et que chacun tue son frère, son ami, son parent.
28
Les fils de Lévi agirent selon l’ordre de Moïse ; et il tomba parmi le peuple environ trois mille hommes ce jour-là.
29
Moïse dit : Consacrez-vous aujourd’hui à l’Éternel, chacun même au prix de son fils ou de son frère, afin qu’il vous accorde aujourd’hui une bénédiction.
6
Moïse dit à Aaron, à Éléazar et à Itamar, fils d’Aaron : Ne vous décoiffez pas la tête ; vous ne déchirerez pas vos vêtements ; ainsi vous ne mourrez pas en attirant la colère (divine) sur toute la communauté. Vos frères, toute la maison d’Israël, pleureront sur l’embrasement que l’Éternel a provoqué.
11
Il n’ira vers aucun mort ; il ne se rendra pas impur, ni pour son père, ni pour sa mère.
9
Lui qui dit de son père et de sa mère : Je ne les regarde pas ! Lui qui ne distingue pas ses frères, Qui ne connaît pas ses fils. Car (les Lévites) observent ta parole Et gardent ton alliance ;
17
C’est peu de chose à tes yeux, ô Dieu ! Tu parles de la maison de ton serviteur pour des temps lointains. Tu portes les regards sur moi à la manière des hommes, toi qui es élevé, Éternel Dieu !
24
C’est pourquoi les hommes doivent le craindre ; Il ne porte les regards sur aucun des sages.
18
Ils ont dit : Venez, méditons un projet contre Jérémie ! Car la loi ne périra pas faute de sacrificateurs, Ni le conseil faute de sages, Ni la parole faute de prophètes. Venez, frappons-le avec la langue, Ne prêtons pas attention à toutes ses paroles !
5
Mon alliance demeurait avec lui, C’était la vie et la paix. Je les lui ai données pour qu’il me craigne, Et il a eu pour moi de la crainte. Il a tremblé devant mon nom.
6
Une loi véridique était dans sa bouche, Et la fraude ne s’est pas trouvée sur ses lèvres ; Il a marché avec moi dans la paix et dans la droiture, Et il a détourné du mal beaucoup d’hommes.
7
Car les lèvres du sacrificateur Gardent la connaissance, Et c’est à sa bouche qu’on demande la loi, Parce qu’il est un messager De l’Éternel des armées.
37
Celui qui aime père ou mère plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime fils ou fille plus que moi n’est pas digne de moi,
48
Mais Jésus répondit à celui qui le lui disait : Qui est ma mère, et qui sont mes frères ?
16
Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les Hérodiens : Maître, lui dirent-ils, nous savons que tu es véridique, et que tu enseignes la voie de Dieu en toute vérité, sans redouter personne, car tu ne regardes pas à l’apparence des hommes.
26
Si quelqu’un vient à moi, et s’il ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple.
16
Ainsi, dès maintenant, nous ne connaissons personne selon la chair ; même si nous avons connu Christ selon la chair, maintenant nous ne le connaissons plus de cette manière.
10
Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu ? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes ? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ.
4
mais comme Dieu nous a mis à l’épreuve pour nous confier l’Évangile, ainsi nous parlons non comme pour plaire aux hommes mais à Dieu qui éprouve les cœurs.
21
Je te conjure devant Dieu, devant le Christ-Jésus et devant les anges élus, d’observer ces règles sans préjugé et de ne rien faire par favoritisme.
Ce fut cette tribu enfin qui, à l'occasion du veau d'or, fournit les instruments de la sentence divine qu'ils exécutèrent sur leurs compatriotes sans aucun égard pour les liens de la chair.