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CRUCIFIEMENT

Les récits évangéliques au sujet de ce supplice enduré par Jésus sont en accord avec les renseignements de l'histoire profane relatifs au crucifiement. Aussitôt après la sentence, le condamné était battu de verges jusqu'au sang. Pilate fit infliger ce flagellum à Jésus avant la condamnation (Jn 19:1) pour tenter de donner, par un compromis, satisfaction à la haine des Juifs (Lu 23:22). Le supplicié était alors chargé de la poutre transversale (patibulum) de la croix (voir ce mot) et, sous ce fardeau, il marchait, encadré de soldats, généralement au nombre de quatre, jusqu'au lieu du supplice, qui était toujours hors de la cité (Heb 13:13). Le poids du patibulum n'était excessif que pour un homme épuisé par le supplice de la flagellation ou d'autres souffrances ; sans doute Jésus était-il trop affaibli, puisque Simon de Cyrène fut réquisitionné (Mt 27:32, Lu 23:26) ; toutefois Jean précise qu'en arrivant au Calvaire c'était Jésus qui portait sa croix (Jn 19:17).

Sur le lieu d'exécution, le condamné était dépouillé de ses vêtements, qui devenaient le butin des soldats (Mt 27:3 Jean 19:23 et suivants). Il était alors étendu à terre, sur le dos, les épaules et les bras allongés sur le patibulum ; on lui fixait les mains sur cette poutre avec des cordes ou plus souvent avec des clous et on hissait le supplicié au haut du poteau vertical qui restait fiché en permanence en cet endroit maudit. La partie centrale du patibulum était engagée dans l'encoche taillée à cet effet au haut de la poutre verticale. Celle-ci portait à mi-hauteur une cheville de bois (sedile) qu'on faisait enfourcher au supplicié pour le soutenir et pour empêcher que le poids du corps lui déchirât les mains et provoquât sa chute. Les pieds étaient fixés en bas, à une faible distance du sol, par des cordes ou des clous. Il semble bien que l'on cloua les pieds comme les mains de Jésus (Lu 24:39) ; Jean ne parle que des mains (Jn 20:25-27).

Les tableaux classiques de la crucifixion de Jésus trompent sur la hauteur de la croix qui, en réalité, n'élevait guère le condamné que de 50 cm. à peu près au-dessus des spectateurs. On fixait au-dessus de sa tête l'écriteau où étaient inscrits le nom du supplicié et le motif de sa condamnation (voir Inscription de la croix). Le malheureux était ainsi exposé et souvent insulté durant sa longue agonie qui durait des heures et parfois des jours. On offrait généralement à celui que torturaient des souffrances intolérables, lorsqu'il gardait toute sa sensibilité, un breuvage assoupissant ou enivrant. On sait que Jésus le refusa (Mt 27:34), voulant affronter la mort en pleine lucidité d'esprit. Sans ce refus nous n'aurions pas l'héritage sacré de ses paroles sur la croix.

On abrégeait souvent les souffrances du supplicié en lui donnant le coup de grâce, en l'espèce le crurifragium  : on lui brisait les jambes. Les deux brigands du Calvaire subirent ce traitement, peu d'heures après leur mise en croix, avant le coucher du soleil ; car il importait pour les Juifs qu'aucun supplice ne fût en cours au moment où commençait le grand sabbat pascal. On eût aussi brisé les jambes de Jésus, s'il n'eût été déjà mort. Un soldat--par brutalité ou pour consommer une mort incertaine--perça le flanc de Jésus (Jn 19:34). De l'eau et du sang sortirent de la blessure ; était-ce, comme on l'a dit, le symptôme d'une rupture de l'aorte ?

Entre tous les supplices, celui de la croix était, par excellence, le supplice infamant : « Maudit celui qui est pendu au bois », déclarait la Loi juive à propos de la pendaison (De 21:23) ; à plus forte raison cette malédiction s'appliquait-elle à la croix : (Ga 3:13)

Christ crucifié était un scandale pour les Juifs (1Co 1:23), Saul de Tarse l'avait bien éprouvé, et l'on sait quelle importance a prise cette malédiction du crucifiement dans la pensée de saint Paul et dans la doctrine chrétienne. Les Grecs légers y voyaient une folie, ne pouvant prendre au sérieux les derniers des misérables, le plus souvent esclaves criminels, auxquels Rome réservait ce supplice barbare. Un citoyen romain n'était jamais condamné au crucifiement, du moins légalement ; une des plus terribles accusations portées par Cicéron contre Verrès c'est d'avoir, sous sa magistrature, fait crucifier des citoyens romains : « Enchaîner un citoyen romain est un forfait ; le flageller est un crime ; le mettre à mort est presque un parricide ; que dirais-je de la mise en croix ? Il est impossible de désigner par un terme qui en soit digne, une telle abomination. » Voir Jésus-Christ. H. H.

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Versets relatifs

    • Matthieu 27

      1 Puis quand le matin fut venu, tous les principaux Sacrificateurs et les Anciens du peuple tinrent conseil contre Jésus pour le faire mourir.
      2 Et l'ayant lié, ils l'amenèrent et le livrèrent à Ponce Pilate, qui était le Gouverneur.
      3 Alors Judas qui l'avait trahi, voyant qu'il était condamné, se repentit, et reporta les trente pièces d'argent aux principaux Sacrificateurs et aux Anciens,
      4 En leur disant : j'ai péché en trahissant le sang innocent ; mais ils lui dirent : que nous importe ? tu y aviseras.
      5 Et après avoir jeté les pièces d'argent dans le Temple, il se retira, et s'en étant allé il s'étrangla.
      6 Mais les principaux Sacrificateurs ayant pris les pièces d'argent, dirent : il n'est pas permis de les mettre dans le trésor ; car c'est un prix de sang.
      7 Et après qu'ils eurent consulté entre eux, ils en achetèrent le champ d'un potier, pour la sépulture des étrangers.
      8 C'est pourquoi ce champ-là a été appelé jusqu'à aujourd'hui, le champ du sang.
      9 Alors fut accompli ce dont il avait été parlé par Jérémie le Prophète, disant : et ils ont pris trente pièces d'argent, le prix de celui qui a été apprécié, lequel ceux d'entre les enfants d'Israël ont apprécié ;
      10 Et ils les ont données pour en acheter le champ d'un potier, selon ce que le Seigneur m'avait ordonné.
      11 Or Jésus fut présenté devant le Gouverneur, et le Gouverneur l'interrogea, disant : es-tu le Roi des Juifs ? Jésus lui répondit : tu le dis.
      12 Et étant accusé par les principaux Sacrificateurs et les Anciens, il ne répondait rien.
      13 Alors Pilate lui dit : n'entends-tu pas combien ils portent de témoignages contre toi ?
      14 Mais il ne lui répondit pas un mot sur quoi que ce fût ; de sorte que le Gouverneur s'en étonnait extrêmement.
      15 Or le Gouverneur avait accoutumé de relâcher au peuple [le jour de] la Fête un prisonnier, quel que ce fût qu'on demandât.
      16 Et il y avait alors un prisonnier fameux, nommé Barabbas.
      17 Quand donc ils furent assemblés, Pilate leur dit : lequel voulez-vous que je vous relâche ? Barabbas, ou Jésus qu'on appelle Christ ?
      18 Car il savait bien qu'ils l'avaient livré par envie.
      19 Et comme il était assis au siége judicial, sa femme envoya lui dire : n'entre point dans l'affaire de ce juste, car j'ai aujourd'hui beaucoup souffert à son sujet en songeant.
      20 Et les principaux Sacrificateurs et les Anciens persuadèrent à la multitude du peuple de demander Barabbas, et de faire périr Jésus.
      21 Et le Gouverneur prenant la parole leur dit : Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ? Ils dirent : Barabbas.
      22 Pilate leur dit : que ferai-je donc de Jésus qu'on appelle Christ ? Ils lui dirent tous : qu'il soit crucifié !
      23 Et le Gouverneur leur dit : mais quel mal a-t-il fait ? et ils crièrent encore plus fort, en disant : qu'il soit crucifié !
      24 Alors Pilate voyant qu'il ne gagnait rien, mais que le tumulte s'augmentait, prit de l'eau, et lava ses mains devant le peuple, en disant : je suis innocent du sang de ce juste, vous y penserez.
      25 Et tout le peuple répondant, dit : Que son sang soit sur nous, et sur nos enfants !
      26 Alors il leur relâcha Barabbas ; et après avoir fait fouetter Jésus, il le leur livra pour être crucifié.
      27 Et les soldats du Gouverneur amenèrent Jésus au Prétoire, et assemblèrent devant lui toute la cohorte.
      28 Et après l'avoir dépouillé, ils mirent sur lui un manteau d'écarlate.
      29 Et ayant fait une couronne d'épines entrelacées, ils la mirent sur sa tête, avec un roseau dans sa main droite ; puis s'agenouillant devant lui, ils se moquaient de lui, en disant : nous te saluons, Roi des Juifs !
      30 Et après avoir craché contre lui, ils prirent le roseau, et ils en frappaient sa tête.
      31 Et après s'être moqués de lui, ils lui ôtèrent le manteau, et le vêtirent de ses vêtements, et l'amenèrent pour le crucifier.
      32 Et comme ils sortaient, ils rencontrèrent un Cyrénéen, nommé Simon, lequel ils contraignirent de porter la croix de Jésus.
      33 Et étant arrivés au lieu appelé Golgotha, c'est-à-dire, le lieu du Crâne,
      34 Ils lui donnèrent à boire du vinaigre mêlé avec du fiel ; mais quand il en eut goûté, il n'en voulut point boire.
      35 Et après l'avoir crucifié, ils partagèrent ses vêtements, en les jetant au sort, afin que ce qui avait été dit par un Prophète, fût accompli : ils ont partagé entre eux mes vêtements, et ont jeté ma robe au sort.
      36 Puis s'étant assis, ils le gardaient là.
      37 Ils mirent aussi au-dessus de sa tête un écriteau, où la cause [de sa condamnation] était marquée en ces mots : CELUI-CI EST JÉSUS LE ROI DES JUIFS.
      38 Et deux brigands furent crucifiés avec lui, l'un à sa droite, et l'autre à sa gauche.
      39 Et ceux qui passaient par là, lui disaient des outrages, en branlant la tête,
      40 Et disant : toi qui détruis le Temple, et qui le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même ; si tu es le Fils de Dieu, descends de la croix.
      41 Pareillement aussi les principaux Sacrificateurs avec les Scribes et les Anciens, se moquant, disaient :
      42 Il a sauvé les autres, il ne se peut sauver lui-même : s'il est le Roi d'Israël, qu'il descende maintenant de la croix, et nous croirons en lui.
      43 Il se confie en Dieu ; [mais] si [Dieu] l'aime, qu'il le délivre maintenant, car il a dit : je suis le Fils de Dieu.
      44 Les brigands aussi qui étaient crucifiés avec lui, lui reprochaient la même chose.
      45 Or depuis six heures il y eut des ténèbres sur tout le pays, jusqu'à neuf heures.
      46 Et environ les neuf heures Jésus s'écria à haute voix, en disant : Eli, Eli, lamma sabachthani ? c'est-à-dire, Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m'as-tu abandonné ?
      47 Et quelques-uns de ceux qui étaient là présents, ayant entendu cela, disaient : il appelle Elie.
      48 Et aussitôt un d'entre eux courut, et prit une éponge, et l'ayant remplie de vinaigre, la mit au bout d'un roseau, et lui en donna à boire.
      49 Mais les autres disaient : laisse, voyons si Elie viendra le sauver.
      50 Alors Jésus ayant crié encore à haute voix, rendit l'esprit.
      51 Et voici, le voile du Temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu'en bas ; et la terre trembla, et les pierres se fendirent.
      52 Et les sépulcres s'ouvrirent, et plusieurs corps des Saints, qui étaient morts ressuscitèrent.
      53 Et étant sortis des sépulcres après sa résurrection, ils entrèrent dans la sainte Citée, et se montrèrent à plusieurs.
      54 Or le Centenier, et ceux qui avec lui gardaient Jésus, ayant vu le tremblement de terre, et tout ce qui venait d'arriver, eurent une fort grande peur, et dirent : certainement celui-ci était le Fils de Dieu.
      55 Il y avait là aussi plusieurs femmes qui regardaient de loin, et qui avaient suivi Jésus depuis la Galilée, en le servant.
      56 Entre lesquelles étaient Marie-Magdeleine ; et Marie mère de Jacques et de Joses ; et la mère des fils de Zébédée.
      57 Et le soir étant venu, un homme riche d'Arimathée, nommé Joseph, qui même avait été Disciple de Jésus,
      58 Vint à Pilate, et demanda le corps de Jésus ; et en même temps Pilate commanda que le corps fût rendu.
      59 Ainsi Joseph prit le corps, et l'enveloppa d'un linceul net ;
      60 Et le mit dans son sépulcre neuf, qu'il avait taillé dans le roc ; et après avoir roulé une grande pierre à l'entrée du sépulcre, il s'en alla.
      61 Et là étaient Marie-Magdeleine et l'autre Marie, assises vis-à-vis du sépulcre.
      62 Or le lendemain, qui est après la préparation [du Sabbat], les principaux Sacrificateurs et les Pharisiens s'assemblèrent vers Pilate,
      63 Et lui dirent : Seigneur ! il nous souvient que ce séducteur disait, quand il était encore en vie : dans trois jours je ressusciterai.
      64 Commande donc que le sépulcre soit gardé sûrement jusques au troisième jour ; de peur que ses Disciples ne viennent de nuit, et ne le dérobent, et qu'ils ne disent au peuple : il est ressuscité des morts ; car cette dernière imposture serait pire que la première.
      65 Mais Pilate leur dit : vous avez la garde ; allez, et assurez-le comme vous l'entendrez.
      66 Ils s'en allèrent donc, et assurèrent le sépulcre, scellant la pierre, et y mettant des gardes.

      Luc 23

      22 Et il leur dit pour la troisième fois, mais quel mal a fait cet homme ? je ne trouve rien en lui qui soit digne de mort ; l'ayant donc fait fouetter, je le relâcherai.
      26 Et comme ils l'emmenaient, ils prirent un certain Simon, Cyrénien, qui venait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter après Jésus.

      Luc 24

      39 Voyez mes mains et mes pieds ; car c'est moi-même : touchez-moi, et me considérez bien ; car un esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que j'ai.

      Jean 19

      1 Pilate fit donc alors prendre Jésus, et le fit fouetter.
      17 Et [Jésus] portant sa croix, vint au lieu appelé le Calvaire, et en Hébreu Golgotha ;
      34 Mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et d'abord il en sortit du sang et de l'eau.

      Jean 20

      25 Et les autres Disciples lui dirent : nous avons vu le Seigneur. Mais il leur dit : si je ne vois les marques des clous en ses mains, et si je ne mets mon doigt où étaient les clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne le croirai point.
      26 Et huit jours après ses Disciples étant encore dans [la maison], et Thomas avec eux, Jésus vint, les portes étant fermées, et fut là au milieu d'eux, et il leur dit : Que la paix soit avec vous !
      27 Puis il dit à Thomas : mets ton doigt ici, et regarde mes mains, avance aussi ta main, et la mets dans mon côté ; et ne sois point incrédule, mais fidèle.

      1 Corinthiens 1

      23 Mais pour nous, nous prêchons Christ crucifié, qui est un scandale pour les Juifs, et une folie pour les Grecs.

      Galates 3

      13 Christ nous a rachetés de la malédiction de la Loi, quand il a été fait malédiction pour nous ; (car il est écrit : maudit est quiconque pend au bois.)

      Hébreux 13

      13 Sortons donc vers lui hors du camp, en portant son opprobre.
    • Matthieu 27

      1 Le matin venu, tous les chefs des prêtres et les anciens du peuple tinrent conseil contre Jésus pour le faire mourir.
      2 Après l'avoir attaché, ils l'emmenèrent et le livrèrent à [Ponce] Pilate, le gouverneur.
      3 Alors Judas, celui qui l'avait trahi, voyant qu'il était condamné, fut pris de remords et rapporta les 30 pièces d'argent aux chefs des prêtres et aux anciens
      4 en disant : « J'ai péché en faisant arrêter un innocent. » Ils répondirent : « En quoi cela nous concerne-t-il ? C’est toi que cela regarde. »
      5 Judas jeta les pièces d'argent dans le temple, se retira et alla se pendre.
      6 Les chefs des prêtres les ramassèrent en disant : « Il n'est pas permis de les mettre dans le trésor sacré puisque c'est le prix du sang. »
      7 Après en avoir délibéré, ils achetèrent avec cet argent le champ du potier, pour y ensevelir les étrangers.
      8 C'est pourquoi ce champ a été appelé « champ du sang » jusqu'à aujourd’hui.
      9 Alors s'accomplit ce que le prophète Jérémie avait annoncé : Ils ont pris les 30 pièces d'argent, la valeur à laquelle il a été estimé par les Israélites,
      10 et ils les ont données pour le champ du potier, comme le Seigneur me l'avait ordonné.
      11 Jésus comparut devant le gouverneur. Celui-ci l'interrogea : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus lui répondit : « Tu le dis. »
      12 Mais il ne répondit rien aux accusations des chefs des prêtres et des anciens.
      13 Alors Pilate lui dit : « N'entends-tu pas tous ces témoignages qu'ils portent contre toi ? »
      14 Mais Jésus ne répondit sur aucun point, ce qui étonna beaucoup le gouverneur.
      15 A chaque fête, le gouverneur avait pour habitude de relâcher un prisonnier, celui que la foule voulait.
      16 Ils avaient alors un prisonnier célèbre, un dénommé Barabbas.
      17 Comme ils étaient rassemblés, Pilate leur dit : « Lequel voulez-vous que je vous relâche : Barabbas ou Jésus qu'on appelle le Christ ? »
      18 En effet, il savait que c'était par jalousie qu'ils avaient fait arrêter Jésus.
      19 Pendant qu'il siégeait au tribunal, sa femme lui fit dire : « N’aie rien à faire avec ce juste, car aujourd'hui j'ai beaucoup souffert dans un rêve à cause de lui. »
      20 Les chefs des prêtres et les anciens persuadèrent la foule de demander Barabbas et de faire mourir Jésus.
      21 Le gouverneur prit la parole et leur dit : « Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ? » Ils répondirent : « Barabbas. »
      22 Pilate répliqua : « Que ferai-je donc de Jésus qu'on appelle le Christ ? » Tous répondirent : « Qu'il soit crucifié ! »
      23 « Mais quel mal a-t-il fait ? » dit le gouverneur. Ils crièrent encore plus fort : « Qu'il soit crucifié ! »
      24 Voyant qu'il ne gagnait rien mais que le tumulte augmentait, Pilate prit de l'eau, se lava les mains en présence de la foule et dit : « Je suis innocent du sang de ce juste. C’est vous que cela regarde. »
      25 Et tout le peuple répondit : « Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! »
      26 Alors Pilate leur relâcha Barabbas ; et, après avoir fait fouetter Jésus, il le livra à la crucifixion.
      27 Les soldats du gouverneur conduisirent Jésus dans le prétoire et rassemblèrent toute la troupe autour de lui.
      28 Ils lui enlevèrent ses vêtements et lui mirent un manteau écarlate.
      29 Ils tressèrent une couronne d'épines qu'ils posèrent sur sa tête, et ils lui mirent un roseau dans la main droite ; puis, s'agenouillant devant lui, ils se moquaient de lui en disant : « Salut, roi des Juifs ! »
      30 Ils crachaient sur lui, prenaient le roseau et le frappaient sur la tête.
      31 Après s'être ainsi moqués de lui, ils lui enlevèrent le manteau, lui remirent ses vêtements et l'emmenèrent pour le crucifier.
      32 Lorsqu'ils sortirent, ils rencontrèrent un homme de Cyrène appelé Simon et le forcèrent à porter la croix de Jésus.
      33 Arrivés à un endroit appelé Golgotha – ce qui signifie « lieu du crâne » –,
      34 ils lui donnèrent à boire du vinaigre mêlé de fiel ; mais quand il l'eut goûté, il ne voulut pas boire.
      35 Ils le crucifièrent, puis ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort [afin que s'accomplisse ce que le prophète avait annoncé : Ils se sont partagé mes vêtements et ils ont tiré au sort mon habit].
      36 Puis ils s'assirent et le gardèrent.
      37 Pour indiquer le motif de sa condamnation, on écrivit au-dessus de sa tête : « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs. »
      38 Avec lui furent crucifiés deux brigands, l'un à sa droite et l'autre à sa gauche.
      39 Les passants l'insultaient et secouaient la tête
      40 en disant : « Toi qui détruis le temple et qui le reconstruis en trois jours, sauve-toi toi-même ! Si tu es le Fils de Dieu, descends de la croix ! »
      41 Les chefs des prêtres, avec les spécialistes de la loi et les anciens, se moquaient aussi de lui et disaient :
      42 « Il en a sauvé d'autres et il ne peut pas se sauver lui-même ! S'il est roi d'Israël, qu'il descende maintenant de la croix et nous croirons en lui.
      43 Il s'est confié en Dieu ; que Dieu le délivre maintenant, s'il l'aime ! En effet, il a dit : ‘Je suis le Fils de Dieu.’ »
      44 Les brigands crucifiés avec lui l'insultaient eux aussi de la même manière.
      45 De midi jusqu'à trois heures de l'après-midi, il y eut des ténèbres sur tout le pays.
      46 Vers trois heures de l'après-midi, Jésus s'écria d'une voix forte : « Eli, Eli, lama sabachthani ? » – c'est-à-dire : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?
      47 Quelques-uns de ceux qui étaient là, après l'avoir entendu, disaient : « Il appelle Elie. »
      48 Aussitôt l'un d'eux courut prendre une éponge qu'il imbiba de vinaigre ; il la fixa à un roseau et lui donna à boire.
      49 Mais les autres disaient : « Laisse donc, voyons si Elie viendra le sauver. »
      50 Jésus poussa de nouveau un grand cri et rendit l'esprit.
      51 Et voici que le voile du temple se déchira en deux depuis le haut jusqu'en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent,
      52 les tombeaux s'ouvrirent et les corps de plusieurs saints qui étaient morts ressuscitèrent.
      53 Etant sortis des tombes, ils entrèrent dans la ville sainte après la résurrection de Jésus et apparurent à un grand nombre de personnes.
      54 A la vue du tremblement de terre et de ce qui venait d'arriver, l’officier romain et ceux qui étaient avec lui pour garder Jésus furent saisis d'une grande frayeur et dirent : « Cet homme était vraiment le Fils de Dieu. »
      55 Il y avait là bien des femmes qui regardaient de loin ; elles avaient accompagné Jésus depuis la Galilée pour le servir.
      56 Parmi elles figuraient Marie de Magdala, Marie la mère de Jacques et de Joseph, et la mère des fils de Zébédée.
      57 Le soir venu arriva un homme riche d'Arimathée, du nom de Joseph, qui lui aussi était un disciple de Jésus.
      58 Il alla trouver Pilate et demanda le corps de Jésus. Alors Pilate ordonna de le lui remettre.
      59 Joseph prit le corps, l'enveloppa dans un drap de lin pur
      60 et le déposa dans un tombeau neuf qu'il s'était fait creuser dans la roche. Puis il roula une grande pierre à l'entrée du tombeau et s'en alla.
      61 Marie de Magdala et l'autre Marie étaient là, assises vis-à-vis du tombeau.
      62 Le lendemain, qui était le jour après la préparation du sabbat, les chefs des prêtres et les pharisiens allèrent ensemble chez Pilate
      63 et dirent : « Seigneur, nous nous souvenons que cet imposteur a dit, quand il vivait encore : ‘Après trois jours je ressusciterai.’
      64 Ordonne donc que le tombeau soit gardé jusqu'au troisième jour, afin que ses disciples ne viennent pas voler le corps et dire au peuple : ‘Il est ressuscité.’Cette dernière imposture serait pire que la première. »
      65 Pilate leur dit : « Vous avez une garde. Allez-y, gardez-le comme vous le souhaitez ! »
      66 Ils s'en allèrent et firent surveiller le tombeau par la garde après avoir scellé la pierre.

      Luc 23

      22 Pour la troisième fois, Pilate leur dit : « Quel mal a-t-il fait ? Je n'ai rien trouvé en lui qui mérite la mort. Je vais donc le relâcher après l'avoir fait fouetter. »
      26 Comme ils l'emmenaient, ils s’emparèrent d'un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix pour qu'il la porte derrière Jésus.

      Luc 24

      39 Regardez mes mains et mes pieds : c'est bien moi. Touchez-moi et regardez : un esprit n'a ni chair ni os comme, vous le voyez bien, j'en ai. »

      Jean 19

      1 Alors Pilate ordonna de prendre Jésus et de le fouetter.
      17 Jésus, portant sa croix, sortit de la ville pour aller vers l’endroit appelé « le Crâne », qui se dit en hébreu Golgotha.
      34 mais un des soldats lui transperça le côté avec une lance et aussitôt il en sortit du sang et de l'eau.

      Jean 20

      25 Les autres disciples lui dirent donc : « Nous avons vu le Seigneur. » Mais il leur dit : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je n’y mets pas mon doigt et si je ne mets pas ma main dans son côté, je ne croirai pas. »
      26 Huit jours après, les disciples de Jésus étaient de nouveau dans la maison et Thomas se trouvait avec eux. Jésus vint alors que les portes étaient fermées, se tint au milieu d'eux et dit : « Que la paix soit avec vous ! »
      27 Puis il dit à Thomas : « Avance ton doigt ici et regarde mes mains. Avance aussi ta main et mets-la dans mon côté. Ne sois pas incrédule, mais crois ! »

      1 Corinthiens 1

      23 Or nous, nous prêchons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les non-Juifs,

      Galates 3

      13 Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi en devenant malédiction pour nous, puisqu’il est écrit : Tout homme pendu au bois est maudit.

      Hébreux 13

      13 Sortons donc pour aller à lui à l’extérieur du camp, en supportant d’être humiliés comme lui.
    • Matthieu 27

      1 L’aube s’était levée. L’ensemble des chefs des *prêtres et des responsables du peuple tinrent conseil contre Jésus pour le faire condamner à mort.
      2 Ils le firent lier et le conduisirent chez *Pilate, le gouverneur, pour le remettre entre ses mains.
      3 En voyant que Jésus était condamné, Judas, qui l’avait trahi, fut pris de remords : il alla rapporter aux chefs des prêtres et aux responsables du peuple les trente pièces d’argent
      4 et leur dit : —J’ai péché en livrant un innocent à la mort ! Mais ils lui répliquèrent : —Que nous importe ? Cela te regarde !
      5 Judas jeta les pièces d’argent dans le *Temple, partit, et alla se pendre.
      6 Les chefs des prêtres ramassèrent l’argent et déclarèrent : —On n’a pas le droit de verser cette somme dans le trésor du Temple, car c’est le prix du sang.
      7 Ils tinrent donc conseil et décidèrent d’acquérir, avec cet argent, le « Champ-du-Potier » et d’en faire un cimetière pour les étrangers.
      8 Voilà pourquoi ce terrain s’appelle encore de nos jours « le champ du sang ».
      9 Ainsi se réalisa la parole du *prophète Jérémie : Ils ont pris les trente pièces d’argent, le prix auquel les descendants d’*Israël l’ont estimé,
      10 et ils les ont données pour acheter le champ du potier, comme le Seigneur me l’avait ordonné.
      11 Jésus comparut devant le gouverneur qui l’interrogea. —Es-tu le roi des *Juifs ? lui demanda-t-il. —Tu le dis toi-même, répondit Jésus.
      12 Mais ensuite, quand les chefs des prêtres et les responsables du peuple vinrent l’accuser, il ne répondit rien.
      13 Alors Pilate lui dit : —Tu n’entends pas tout ce qu’ils disent contre toi ?
      14 Mais, au grand étonnement du gouverneur, Jésus ne répondit pas même sur un seul point.
      15 A chaque fête de *Pâque, le gouverneur avait l’habitude de relâcher un prisonnier, celui que la foule désignait.
      16 Or, à ce moment-là, il y avait sous les verrous, un prisonnier célèbre nommé Barabbas.
      17 En voyant la foule rassemblée, Pilate lui demanda donc : —Lequel de ces deux hommes voulez-vous que je vous relâche, Barabbas ou Jésus, qu’on appelle le Christ ?
      18 En effet, il s’était bien rendu compte que c’était par jalousie qu’on lui avait livré Jésus.
      19 Pendant qu’il siégeait au tribunal, sa femme lui fit parvenir un message disant : —Ne te mêle pas de l’affaire de ce juste, car cette nuit, j’ai été fort tourmentée par des rêves à cause de lui.
      20 Cependant, les chefs des prêtres et les responsables du peuple persuadèrent la foule de réclamer la libération de Barabbas et l’exécution de Jésus.
      21 Le gouverneur prit la parole et redemanda à la foule : —Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ? —Barabbas ! crièrent-ils.
      22 —Mais alors, insista Pilate, que dois-je faire de Jésus, qu’on appelle le Messie ? Et tous répondirent : —Crucifie-le !
      23 —Mais enfin, reprit Pilate, qu’a-t-il fait de mal ? Eux, cependant, criaient de plus en plus fort : —Crucifie-le !
      24 Quand Pilate vit qu’il n’aboutissait à rien, mais qu’au contraire, l’agitation de la foule augmentait, il prit de l’eau et, devant la foule, se lava les mains en disant : —Je ne suis pas responsable de la mort de cet homme. Cela vous regarde.
      25 Et tout le peuple répondit : —Que la responsabilité de sa mort retombe sur nous et sur nos enfants !
      26 Alors Pilate leur relâcha Barabbas. Quant à Jésus, après l’avoir fait battre à coups de fouet, il le livra pour qu’on le crucifie.
      27 Les soldats du gouverneur traînèrent Jésus vers l’intérieur du palais et rassemblèrent toute la cohorte autour de lui.
      28 Ils lui arrachèrent ses vêtements et le revêtirent d’un manteau écarlate.
      29 Ils lui posèrent sur la tête une couronne tressée de rameaux épineux ; dans sa main droite, ils placèrent un roseau en guise de sceptre. Ils s’agenouillèrent devant lui en disant sur un ton sarcastique : —Salut, roi des Juifs !
      30 Ils crachaient sur lui et, prenant le roseau, ils le frappaient à la tête.
      31 Quand ils eurent fini de se moquer de lui, ils lui ôtèrent le manteau, lui remirent ses vêtements et l’emmenèrent pour le crucifier.
      32 A la sortie de la ville, ils rencontrèrent un nommé Simon, originaire de Cyrène. Ils lui firent porter la croix de Jésus.
      33 Ils arrivèrent à un endroit nommé Golgotha (c’est-à-dire : « le lieu du Crâne »).
      34 Là, ils donnèrent à boire à Jésus du vin mélangé avec du fiel ; mais quand il l’eut goûté, il refusa de le boire.
      35 Après l’avoir cloué sur la croix, les soldats se partagèrent ses vêtements en les tirant au sort.
      36 Puis ils s’assirent pour monter la garde.
      37 Ils avaient fixé au-dessus de la tête de Jésus un écriteau sur lequel était inscrit, comme motif de sa condamnation : « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs ».
      38 Deux brigands furent crucifiés en même temps que lui, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche.
      39 Ceux qui passaient par là lui lançaient des insultes en secouant la tête,
      40 et criaient : —Hé, toi qui démolis le *Temple et qui le reconstruis en trois jours, sauve-toi toi-même. Si tu es le Fils de Dieu, descends de la croix !
      41 De même, les chefs des *prêtres se moquaient de lui, avec les *spécialistes de la Loi et les responsables du peuple, en disant :
      42 —Dire qu’il a sauvé les autres, et qu’il est incapable de se sauver lui-même ! C’est ça le roi d’*Israël ? Qu’il descende donc de la croix, alors nous croirons en lui !
      43 Il a mis sa confiance en Dieu. Eh bien, si Dieu trouve son plaisir en lui, qu’il le délivre ! N’a-t-il pas dit : « Je suis le Fils de Dieu » ?
      44 Les brigands crucifiés avec lui l’insultaient, eux aussi, de la même manière.
      45 A partir de midi, et jusqu’à trois heures de l’après-midi, le pays entier fut plongé dans l’obscurité.
      46 Vers trois heures, Jésus cria d’une voix forte : —Eli, Eli, lama sabachthani ? ce qui veut dire : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?
      47 En entendant ces paroles, certains de ceux qui étaient là s’exclamèrent : —Il appelle Elie !
      48 L’un d’entre eux courut aussitôt prendre une éponge, qu’il imbiba de vinaigre et piqua au bout d’un roseau. Il la présenta à Jésus pour qu’il boive,
      49 quand les autres lui dirent : —Attends ! On va bien voir si Elie vient le délivrer.
      50 A ce moment, Jésus poussa de nouveau un grand cri et rendit l’esprit.
      51 Et voici qu’au même instant, le rideau du Temple se déchira en deux, de haut en bas ; la terre trembla, les rochers se fendirent.
      52 Des tombes s’ouvrirent et les corps de beaucoup d’hommes fidèles à Dieu qui étaient morts ressuscitèrent.
      53 Ils quittèrent leurs tombeaux et, après la résurrection de Jésus, ils entrèrent dans la ville sainte où beaucoup de personnes les virent.
      54 En voyant le tremblement de terre et tout ce qui se passait, l’officier romain et les soldats qui gardaient Jésus furent saisis d’épouvante et dirent : —Cet homme était vraiment le Fils de Dieu.
      55 Il y avait aussi là plusieurs femmes qui regardaient de loin ; c’étaient celles qui avaient suivi Jésus depuis la *Galilée, pour être à son service.
      56 Parmi elles, Marie de Magdala, Marie, la mère de *Jacques et de Joseph et la mère des fils de Zébédée.
      57 Le soir venu, arriva un homme riche appelé Joseph, originaire de la ville d’Arimathée. Lui aussi était un *disciple de Jésus.
      58 Il alla demander à *Pilate le corps de Jésus. Alors Pilate donna l’ordre de le lui remettre.
      59 Joseph prit donc le corps, l’enroula dans un drap de lin pur
      60 et le déposa dans le tombeau tout neuf qu’il s’était fait tailler pour lui-même dans le roc. Puis il roula un grand bloc de pierre devant l’entrée du tombeau et s’en alla.
      61 Il y avait là Marie de Magdala et l’autre Marie, assises en face de la tombe.
      62 Le lendemain, le jour qui suivait la préparation du *sabbat, les chefs des *prêtres et des *pharisiens se rendirent ensemble chez Pilate
      63 pour lui dire : —Excellence, nous nous souvenons que cet imposteur a dit, pendant qu’il était encore en vie : « Après trois jours, je ressusciterai. »
      64 Fais donc surveiller étroitement la tombe jusqu’à ce troisième jour : il faut à tout prix éviter que ses *disciples ne viennent dérober le corps pour dire ensuite au peuple qu’il est ressuscité d’entre les morts. Cette dernière supercherie serait encore pire que la première.
      65 Pilate leur déclara : —D’accord ! Prenez un corps de garde et assurez la protection de ce tombeau à votre guise.
      66 Ils se rendirent donc au tombeau et le firent surveiller après avoir apposé les scellés sur la pierre en présence de la garde.

      Luc 23

      22 —Mais enfin, leur demanda-t-il pour la troisième fois, qu’a-t-il fait de mal ? Je n’ai trouvé en lui aucune raison de le condamner à mort. Je vais donc lui faire donner le fouet puis le remettre en liberté.
      26 Pendant qu’ils l’emmenaient, ils se saisirent d’un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et l’obligèrent à porter la croix derrière Jésus.

      Luc 24

      39 Regardez mes mains et mes pieds, et reconnaissez que c’est bien moi. Touchez-moi et regardez ! Car un esprit n’a ni chair ni os. Or, vous voyez bien que j’en ai.

      Jean 19

      1 Alors *Pilate donna l’ordre d’emmener Jésus et de le faire fouetter.
      17 Celui-ci, portant lui-même sa croix, sortit de la ville pour se rendre à l’endroit appelé « Lieu du Crâne » (en hébreu : « Golgotha »).
      34 L’un des soldats lui enfonça sa lance dans le côté, et aussitôt il en sortit du sang et de l’eau.

      Jean 20

      25 Les autres disciples lui dirent : —Nous avons vu le Seigneur ! Mais il leur répondit : —Si je ne vois pas la marque des clous dans ses mains, si je ne mets pas mon doigt à la place des clous, et si je ne mets pas la main dans son côté, je ne croirai pas.
      26 Huit jours plus tard, les disciples étaient de nouveau réunis dans la maison. Cette fois-ci, Thomas était avec eux. Jésus vint, alors que les portes étaient verrouillées. Il se tint au milieu d’eux et leur dit : —Que la paix soit avec vous !
      27 Puis il dit à Thomas : —Place ton doigt ici, vois mes mains ; avance ta main et mets-la dans mon côté. Ne sois donc pas incrédule, mais crois.

      1 Corinthiens 1

      23 nous, nous prêchons un Christ mis en croix. Les Juifs crient au scandale. Les Grecs, à l’absurdité.

      Galates 3

      13 Le Christ nous a libérés de la malédiction que la Loi faisait peser sur nous en prenant la malédiction sur lui, à notre place. Il est, en effet, écrit : Maudit est quiconque est pendu au gibet.

      Hébreux 13

      13 Allons donc à lui en sortant en dehors du camp, et acceptons d’être méprisés comme lui
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