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Dictionnaire Biblique de Top Bible

EXTASE

Grec ekstasis : déplacement, changement d'état, action d'être hors de soi (de stasis : fondement et ek : hors ; comp, avec Délire : du latin de lira : hors du sillon, et Exaltation, du latin ex altus : haussé au delà de ses moyens ordinaires).

Désigne le ravissement de l'esprit humain qui se trouve soudainement détaché du monde visible, séparé de ses sens, enlevé à la conscience de ses actes et transporté, comme spasmodiquement, dans un monde étranger à sa personnalité. Ce monde peut être celui de l'art (Intuitions de génie), de la science (découvertes, solutions de problèmes), mais il appartient le plus généralement à la sphère religieuse où il donne naissance à la forme la plus caractérisée du mysticisme.

Vue du côté physiologique, on peut définir l'extase : une polarisation du système nerveux, qui, dans son exaltation, perd ses commandements sur les divers éléments de notre personnalité et nous livre, passifs, soit aux révélations du monde spirituel, soit aux visions et hallucinations nées du jeu de son propre fonctionnement ou provoquées par l'usage d'excitants, de stupéfiants. (A. Westphal, Les dieux et l'alcool, 1903.) L'extase, véritable dépersonnalisation, peut être ainsi à l'origine de nos plus hautes inspirations, comme de nos plus lamentables illusions.

Vue du côté religieux, nous la retrouvons peu ou prou dans tous les cultes, comme but suprême de la mystique contemplative ou comme phénomène accidentel à la suite de la méditation continue, du jeûne prolongé, de la prière poussée à son paroxysme (voir Durand-Pallot, Rév. Montp., 1930, I, p. 36). Elle aura le plus d'emprise et se développera comme sur son terrain naturel chez les peuples panthéistes et chez ceux dont la philosophie dualiste fait du corps la prison de l'âme ; ainsi dans l'Inde, en Grèce, chez les anciens Égyptiens. Partout où l'âme est envisagée comme partie essentielle du divin, partout où elle est tyrannisée par le corps, le devoir du croyant est l'ascétisme, « il doit mourir à la chair pour que l'âme, d'essence divine, puisse retrouver le chemin vers son pays d'origine » (voir d. Leeuw). Mais une fois que la mystique est entrée dans cette voie, elle ne peut s'arrêter à la frontière du corps ; elle découvre des éléments matériels, corrupteurs, dans l'âme elle-même ; et, de purification en purification, elle finit par vider l'âme elle-même. « L'ascèse de l'âme conduit dans un néant bienheureux qui--et c'est là le paradoxe de toute mystique--est senti comme la puissance par excellence » (voir d. L.). Nulle part ce paradoxe n'apparaît mieux que chez les mystiques hindous. Notre littérature contemporaine a entrepris d'initier les Occidentaux aux doctrines védantiques et à la méthode du Yoga ; elle nous renseigne sur les procédés employés par les exaltants de l'Inde pour atteindre au « néant bienheureux » par des exercices progressifs de concentration du système nerveux dont le dernier aboutit à la grande extase finale, crise volontaire et libératrice.

Le danger des livres qui nous apportent les « nourritures orientales », c'est qu'en général ils nous exposent une religion antique dans sa phase moderne, sans avoir analysé les éléments divers, souvent contradictoires, qui se sont agrégés à elle et qui contribuent puissamment à lui donner aujourd'hui son caractère séducteur. Or, ne vaut pour une religion que ce qui remonte à ses sources. Dans « l'évangile universel », prêché actuellement par la mystique hindoue, toute l'affirmation proprement altruiste vient de l'enseignement du Christ, et il suffit d'y regarder de près pour se rendre compte que cette affirmation, qui pousse à l'action, contredit le principe fondamental de la délivrance de l'âme par le détachement de tout ce qui peut l'émouvoir, de tout ce qui peut l'empêcher de s'absorber dans le divin par l'extase ultime et rédemptrice. Dans le mysticisme extatique, que ce soit celui des disciples de Râma Krichna ou celui de sainte Thérèse dans son tardif « château intérieur », les bonnes oeuvres sont du « surajouté ». La logique du système n'est pas la vie sociale, mais le monastère. Aussi bien, ce qui rendra toujours illusoire le rapprochement de la mystique hindoue et de la mystique chrétienne la plus apparentée aux systèmes Yoga (Yoga : même racine que latin jungo, unir, fondre ; le but du yogi est de se fondre dans le Tout divin) c'est que, pour l'Hindou, la religion parfaite est dans l'impersonnalité de Dieu tandis que, pour le chrétien, la piété est essentiellement alimentée par la présence du Christ.

Prise en elle-même, dans la mystique hindoue comme dans la mystique chrétienne, la transe extatique, glorifiée comme le sommet de la jouissance divine et pratiquée comme moyen de délivrance de toute activité terrestre, n'est qu'une volupté individuelle, qui participe à l'égoïsme essentiel à toute volupté et porte en elle, malgré ses élans sublimes, le ferment corrupteur commun à toutes les voluptés.

La Bible, ennemie de la volupté parce qu'elle est le livre de l'action sainte, a tracé à la rédemption humaine une voie que peut, à l'occasion, croiser l'extase à titre de phénomène psychique occasionnel, mais l'extase n'est pas dans sa ligne, encore moins en est-elle l'aboutissement. C'est en vain qu'on en chercherait la moindre parcelle dans l'enseignement de Jésus-Christ. L'extase est une dépersonnalisation, l'Évangile est une affirmation, une résurrection de la personnalité. L'extase détache de l'action, tout l'Évangile y pousse et ne fait en cela qu' « accomplir Moïse et les prophètes ».

Pour trouver l'extase dans la vocation de Moïse (Ex 3:2) ou d'Ésaïe (Esa 6:1), il faut mettre dans les textes ce qu'ils ne renferment pas et confondre délibérément extase avec vision ou théophanie. Les rêves ou visions nocturnes de Daniel (Da 7 à Da 12) ne doivent pas non plus être confondus avec l'extase. Seules, dans l'A.T., quelques-unes des révélations d'Ézéchiel (Eze 1-4, Eze 8-11) présentent des caractères extatiques. Les modalités de son inspiration semblent prouver qu'Ézéchiel avait, auprès des heures de ministère actif, une vie contemplative de grande intensité. N'oublions pas qu'avec lui, c'est la littérature apocalyptique qui commence. Si nous connaissions mieux la vie des auteurs d'apocalypses, il est probable que nous y trouverions bien des éléments qui touchent à la technique de l'extase. Le N.T. n'abolit pas cette forme de la vie spirituelle, mais il n'en fournit que de rares exemples et il ne la recommande pas comme exercice religieux. Les expressions employées dans (Apo 1:10 4:2 17:3) rappellent la situation d'Ézéchiel et semblent bien prouver que le visionnaire exilé à Patmos eut part aux transports extatiques qu'avait connus le visionnaire de l'exil à Babylone. Ici encore il s'agit de littérature d'ordre apocalyptique. Pierre, en prière à midi sur la terrasse d'une maison de Joppé, après avoir jeûné, est tombé en extase (Ac 10) ; mais dans cette extase, bien loin de se perdre en Dieu, il reçoit de Dieu l'enseignement qui va faire de lui le premier missionnaire du monde païen. Paul décrit lui-même aux Corinthiens (2Co 12) un ravissement dont il avait été l'objet, il y avait déjà bien des années, mais il s'excuse aussitôt d'avoir raconté ce souvenir tant il a souci de recommander son apostolat non par un phénomène psychique qui l'a conduit à entendre la parole révélatrice : « ma grâce te suffit », mais par son activité quotidienne, faite de patience et de puissance : démonstration qu'effectivement la grâce de Christ suffit au chrétien pour surmonter tous les obstacles et poursuivre sur la terre l'oeuvre régénératrice de Jésus-Christ.

Paul, sans doute, use d'abstinence, mate son corps (1Co 9:25-27), recommande à ses lecteurs la sobriété et la discipline personnelle, mais ce ne sont là chez lui que procédés éducateurs et précautions protectrices ; point d'ascétisme dans tout cela, car nul n'a plus énergiquement proclamé que l'apôtre des Gentils le néant des observances extérieures (Col 2:20-23), le droit pour tout chrétien d'user de toutes choses avec actions de grâces (Ro 14:1,20,1Co 10:33-33,1Ti 4:4 etc.), la dignité du corps temple de l'Esprit, membre de Christ, candidat à la résurrection (2Co 5:15-19,1Co 15). La seule chose nécessaire pour Paul est de développer l'homme intérieur par le Saint-Esprit, qui n'est pas un esprit de contemplation, de servitude et de nostalgie, mais un esprit d'action, de liberté et de joie (Eph 3:16-17, Ro 8:16,2Co 3:17, Php 3:1 4:4). Paul veut qu'on aspire aux dons spirituels, mais en vue de l'édification (1Co 14). Il met en garde ses fidèles contre l'abus des phénomènes extatiques, contre toute transe d'adoration qui laisse l'intelligence inactive et n'a point de profit pour l'exhortation : « Quant à moi, dit-il, je préfère prononcer dans l'Église cinq paroles avec mon intelligence, afin d'instruire les autres, plutôt que dix mille paroles en langues » (en glose extatique, v. 19). Si l'on veut se rendre compte de la distance qui sépare l'enseignement de Paul et l'enseignement des mystiques extatiques, qu'on relise ses lettres à son fils dans la foi, Timothée, et qu'on les compare avec ce qu'écrit, dans sa Théologie mystique, le pseudo-Denys l'Aréopagite à son disciple du même nom : « O Timothée, dit Paul, combats le bon combat, sois le modèle des fidèles, donne-toi tout entier à la lecture, à l'exhortation, à l'enseignement, prêche en temps et hors de temps (1 Tim.), souffre avec moi comme un bon soldat de Jésus-Christ, et le Seigneur lui-même te donnera de l'intelligence en toutes choses. » (2 Tim.). « Cher Timothée, dit le pseudo-Denys, dans ta pratique ardente de la contemplation mystique, laisse derrière toi également tes sens et tes fonctions intellectuelles, et toutes les choses que l'on connaît... et applique-toi dans la mesure où tu le peux à t'unir dans l'inconscience avec Celui qui est au-dessus de tout être et de toute connaissance. »

Que s'est-il donc passé pour que la recherche de l'union avec Dieu soit retombée ainsi du domaine de l'action évangélique dans les errements de l'extatisme ? Tout simplement que l'anthropologie hébraïque a été dénaturée par l'apport de la philosophie grecque. Pour l'Hébreu, comme aussi pour Jésus et ses apôtres, l'âme n'est pas une partie divine distincte du corps et opposée à lui ; elle est le fond même de la personnalité humaine et ce qui en fait proprement l'unité. C'est pourquoi la Bible ne parle pas de l'immortalité de l'âme mais de la résurrection des corps, le corps étant envisagé comme l'expression de la personnalité. Dès lors, l'évasion de l'âme par le mysticisme extatique n'a plus de sens. L'opposition n'est pas entre corps et âme, c'est-à-dire entre matière et esprit, impuissance et puissance, souillure et divinité ; l'opposition, autrement tragique et toute morale, est entre deux volontés : la volonté humaine, corrompue par le péché, et la volonté divine, qui est sainte et commande la sainteté. Pour rejoindre Dieu, pour avoir l'intelligence de Dieu et pour vivre en lui, il ne s'agit pas ici de libérer l'âme du corps par l'ascèse et l'extase, mais de discipliner son être corps et âme, de rechercher le centre de son activité volontaire, de retrouver le chemin qui permet à ce centre de la personnalité humaine de communier avec la volonté divine. Ce chemin, ce n'est pas l'extase, c'est l'effort moral, la sanctification agissante, le témoignage héroïque, c'est-à-dire une attitude tout opposée à l'extase, puisqu'elle exige la plus haute maîtrise de soi. Si donc le mysticisme extatique du style néoplatonicien a pu entrer dans le christianisme et apporter en lui le trouble, c'est parce que la philosophie grecque est entrée dans la théologie chrétienne dès le II e siècle et l'a scindée en deux courants : l'ancien, l'israélite, le judéo-chrétien, pour qui l'antithèse reste toujours : créature et créateur, et le nouveau courant, le courant hellénique, qui n'est jamais arrivé à triompher de l'autre, mais qui en a contrarié le cours et pour qui l'opposition est : corps matériel et âme divine. D'où le malaise et en un sens l'impuissance pratique de la théologie chrétienne qui, encore de nos jours, souffre et se débat dans la contradiction qu'elle porte en elle : l'Hébreu et le Grec.

Le livre de la Théologie mystique, écrit vers 460 sous l'influence du néoplatonisme et surtout de Plotin, passait pour avoir été écrit par Denys l'Aréopagite, disciple de Paul. L'Église d'Orient reçut donc sa doctrine du mysticisme scolastique comme une science apostolique et quasi divine. L'Occident en subit l'influence dès le IX e siècle ; elle inspira Hugues de Saint-Victor (Mort en 1141), qui le premier systématisa l'éducation mystique de l'âme, avec ses trois étapes : cogitatio, meditatio, contemplatio, et aboutit à la lignée latine du Grand Mysticisme : Catherine de Sienne (Mort en 1380), saint Jean de la Croix (Mort en 1591), sainte Thérèse (Mort en 1582), Molinos (Mort en 1697), Mme Guyon (Mort en 1717).

Nous n'avons pas à raconter ici l'histoire de ce mysticisme extatique, des désordres qu'il a produits et de l'insuffisance morale qu'il manifeste. Nous ne discuterons pas non plus la thèse de W. James, que « l'expérience religieuse personnelle a sa racine et son centre dans la conscience mystique », ni sa croyance trop confiante dans la portée métaphysique des expériences faites au cours de la transe mystique. On trouvera des lumières sur ces sujets dans l'étude très pénétrante présentée par le professeur américain James H. Leuba sous le titre trop général de : Psychologie du mysticisme religieux. Cet ouvrage répondrait mieux à son intention scientifique s'il ne solidarisait pas, comme il le fait, tout le mysticisme chrétien avec le mysticisme extatique, lequel, nous venons de le rappeler, n'est qu'une déviation, qu'une forme particularisée du mysticisme lui-même. Mais il aurait fallu pour cela y faire la part qui convient à la personne de Jésus-Christ.

L'étude psychologique du Christ montre en effet que le fondateur du christianisme, de qui sont dérivées toutes les formes du phénomène chrétien, y compris le mysticisme, ne doit rien à l'extase et se maintient constamment, de par sa communion parfaite avec le Dieu personnel, son Père, sur le terrain de la conscience personnelle et de l'action personnelle. Même aux heures où son ministère semble le conduire le plus près de la méditation ou de la contemplation extatiques--la Transfiguration avec ses phénomènes lumineux et Gethsémané avec sa sueur de sang--il suffit de le considérer attentivement pour constater que, bien loin de s'absorber, de se perdre en Dieu, Jésus, à ces moments-là, se trouve aux lieux les plus pathétiques de sa décision personnelle et consciente : le débat relatif à son sacrifice volontaire. Ce sont les veillées de la croix. Jésus pousse son souci de conscience jusqu'à refuser dans ses tortures de crucifié le breuvage stupéfiant qui aurait pu adoucir son martyre en endormant son esprit. « Veillez ! » dit-il à ses disciples. Partout il fait appel à la volonté, à la possession de soi, à la conscience du devoir, a la puissance de l'action, à la sublimation de la personnalité par la sainteté dans sa ressemblance avec Dieu. Le chrétien, c'est la créature qui, à l'exemple du Maître, continue sur la terre l'oeuvre du Créateur.

Quand Jésus parle à ceux qui veulent le suivre de renoncement absolu, de dépouillement total et de mort (Mt 16:24 13:44-46, Mr 10:21,29 et suivant, Mt 10:38 et suivant), ce n'est pas pour les pousser à se libérer de la vie personnelle, mais au contraire pour leur enseigner à l'acquérir véritablement (Mt 16:25). Le but qu'il leur propose, ce n'est pas l'abdication mais la victoire, pas le néant mais la vie éternelle.

Le seul mysticisme que Jésus autorise, voire qu'il inspire, c'est celui qui, en nous attachant à lui par le coeur, nous pousse à son imitation : le mysticisme qui, au lieu de nous porter à jouir de lui et à nous perdre orgueilleusement en lui, nous contraint de lui obéir humblement et de le continuer personnellement par notre activité. Ce mysticisme-là rétablit les droits du sentiment à côté de la raison, il satisfait en nous à cette grande réalité que la vérité n'est pas tout entière accessible à la science historique ou rationnelle, et que, lorsqu'il s'agit d'approcher une personne vivante, divine, et de s'identifier à elle dans l'action, la communion la plus haute s'établit par un contact immédiat, une intuition créatrice, une pénétration réciproque qui n'est pas du domaine de la froide raison. Volonté et amour, deux sources de connaissance et de puissance que Jésus a mises en tête de toutes les autres lorsqu'il a dit : « Si quelqu'un veut faire la volonté de mon Père, il connaîtra... » (Jn 7:17), « si quelqu'un m'aime, mon Père l'aimera, nous viendrons à lui, nous ferons notre demeure chez lui » (Jn 14:23). Par la dépersonnalisation dans l'extase ? Non, mais pour lui enseigner l'oubli de soi, première condition de toute action régénératrice dans le monde. C'est là ce qu'ont compris Bernard de Clairvaux (Mort en 1153), François d'Assise (Mort en 1226), Gerson (Mort en 1428), Spener (Mort en 1705), les premiers Quakers, et tous les mystiques pratiques qui ont combattu les excès du mysticisme extatique et se sont montrés, au sein de la corruption humaine, « le sel de la terre ».

Quiconque fait équitablement sa part de ce mysticisme-là, n'écrira pas avec le prof. Leuba dans sa conclusion : « Si une religion qui existe depuis deux mille ans, et qui a été officiellement soutenue pendant quinze cents ans par les nations les plus puissantes du monde, n'a pas encore donné sa mesure, c'est qu'elle a failli à sa tâche. » Cette conclusion fausse est le châtiment de tout observateur qui ne sait voir dans le christianisme que le dogmatisme, le rationalisme, le sacerdoce et le mysticisme extatique, négligeant la portion de l'humanité chrétienne où s'accomplit le mysticisme pratique et où se réalise depuis bientôt vingt siècles, par des individualités spirituelles, l'oeuvre vive de la régénération morale, sociale, spirituelle dans le monde. Nous renvoyons ici, comme preuve, aux origines de toutes les grandes oeuvres philanthropiques et aux effets de la mission évangélique dans tous les temps. C'est à ce mysticisme-là, vécu d'abord par le Christ dans ses rapports avec Dieu pendant son humanité, inspiré par le Christ à ceux qui se sont de coeur convertis à lui, et inspirateur de toute science chrétienne comme de toute action ecclésiastique digne de ce nom, que convient l'appréciation du prof. J. Royce : « Le mysticisme a été le ferment des croyances, l'annonciateur de la liberté spirituelle, l'inaccessible refuge des hérétiques à l'âme un peu noble, l'inspirateur, par la voie de la poésie, d'une jeunesse innombrable ignorante de la métaphysique, le consolateur de ceux auxquels pèsent les bornes du fini, » disons mieux : auxquels pèsent l'esclavage du péché et la misère insondable de l'humanité déchue. L'extase mystique ne peut ni libérer du premier, ni porter secours à la seconde. En ce sens on peut dire que, recherchée pour elle-même, elle a contribué à faire croire à la faillite du Christianisme. Alex. W. BIBLIOGRAPHIE --William James, L'Expérience religieuse, 1908. --H. Delacroix, Etudes d'histoire et de psychologie du mysticisme, 1908. --James H. Leuba, Psychologie du mysticisme religieux, 1930 (trad. Lucien Herr). --Van der Leeuw, Phénoménologie de l'âme, Rév. Strasb. 1930, 1.

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    • Exode 3

      2 Là, l’ange du SEIGNEUR lui apparaît dans une flamme, au milieu d’un buisson. Moïse regarde : le buisson est en feu, mais le feu ne détruit pas le buisson.

      Esaïe 6

      1 C’était l’année où le roi Ozias est mort. Un jour, j’ai eu une vision. Le Seigneur était assis sur un siège royal très élevé. Son vêtement remplissait le temple.

      Ezéchiel 1

      1 L’année de mes trente ans, moi, Ézékiel, fils du prêtre Bouzi, j’étais parmi les exilés juifs, au bord du fleuve Kébar. C’était le quatrième mois, le cinquième jour. J’ai vu le ciel s’ouvrir, et Dieu s’est montré à moi. C’était la cinquième année après la déportation du roi Yoakin. Là, dans le pays des Babyloniens, au bord du Kébar, le SEIGNEUR m’a parlé et sa puissance m’a saisi.
      4 Voici ce que j’ai vu : un vent violent vient du nord. Il amène un gros nuage entouré de lumière. Des éclairs en sortent de tous côtés. Son centre est en flammes, il brille comme de l’or rougi au feu.
      5 Au milieu, on dirait quatre êtres vivants. Ils ressemblent à des hommes.
      6 Chacun a quatre visages et quatre ailes.
      7 Leurs jambes sont droites, leurs pieds ressemblent aux sabots d’un veau et ils brillent comme du bronze poli.
      8 Sous chaque aile, il y a une main humaine. Leurs mains sont tournées dans les quatre directions comme leurs visages et leurs ailes.
      9 Les bouts de leurs ailes se touchent. Chacun avance droit devant soi sans se retourner.
      10 Chaque être a quatre visages : un visage humain devant, un visage de lion à droite, un visage de taureau à gauche et un visage d’aigle derrière.
      11 Deux de leurs ailes sont étendues vers le haut et elles se rejoignent, les deux autres ailes couvrent leurs corps.
      12 Chacun avance droit devant soi. Ils vont là où ils veulent, sans se retourner.
      13 Entre les êtres vivants, on aperçoit quelque chose qui ressemble à des braises dans le feu. C’est comme des torches qui bougent sans arrêt. Le feu brille, et des éclairs en jaillissent.
      14 Les êtres vivants vont et viennent aussi vite que les éclairs.
      15 Je les regarde et je vois une roue à terre à côté de chaque être vivant.
      16 Ces roues brillent comme une pierre précieuse. Elles ont toute la même forme. Elles fonctionnent comme si une roue se trouvait au milieu de l’autre.
      17 Elles peuvent avancer dans les quatre directions sans tourner sur elles-mêmes.
      18 Elles forment un cercle immense qui fait peur et elles sont couvertes de points brillants tout autour.
      19 Quand les êtres avancent, les roues avancent à côté d’eux, quand ils s’élèvent au-dessus de la terre, elles s’élèvent aussi.
      20 Ils vont là où ils veulent, et les roues avancent en même temps qu’eux. En effet, la volonté des êtres fait marcher les roues.
      21 Quand ils avancent, elles avancent, quand ils s’arrêtent, elles s’arrêtent, quand ils s’élèvent au-dessus de la terre, les roues s’élèvent aussi. En effet, la volonté des êtres fait marcher les roues.
      22 Au-dessus des têtes des êtres vivants, il y a quelque chose qui ressemble à un toit aussi brillant que le cristal.
      23 Sous ce toit, chaque être a deux ailes dressées l’une vers l’autre. Les deux autres ailes couvrent son corps.
      24 J’entends le bruit de leurs ailes quand ils avancent. Ce bruit ressemble au grondement de la mer, au tonnerre, la voix du Tout-Puissant, ou au bruit d’une armée nombreuse. Quand les êtres vivants s’arrêtent, ils replient leurs ailes.
      25 Au-dessus du toit qui domine leurs têtes, on entend aussi du bruit.
      26 Là, on voit comme une pierre de saphir qui a la forme d’un siège de roi. Sur cette sorte de siège, tout en haut, il y a une forme qui ressemble à un être humain.
      27 Je vois cette forme briller comme du métal poli, elle paraît entourée de feu. Au-dessus et au-dessous de ce qui ressemble à sa taille, je vois quelque chose comme du feu qui l’éclaire de tous côtés.
      28 La lumière qui l’entoure ressemble à celle de l’arc-en-ciel qui brille dans les nuages un jour de pluie. C’est le reflet de la gloire du SEIGNEUR. J’ai vu tout cela, je me suis mis à genoux, le front contre le sol. Alors j’ai entendu quelqu’un qui me parlait.

      Ezéchiel 2

      1 Celui qui parlait m’a dit : « Debout, toi qui n’es qu’un homme ! Je vais t’adresser mes paroles. »
      2 Pendant qu’il disait cela, l’esprit de Dieu est venu en moi et il m’a fait tenir debout. Alors j’ai écouté celui qui me parlait. Il m’a dit :
      3 « Toi, l’homme, je t’envoie vers les Israélites, ce peuple de révoltés qui se sont dressés contre moi. Leurs ancêtres et eux aussi se sont opposés à moi jusqu’à maintenant.
      4 Je t’envoie vers ces gens têtus qui ont le cœur fermé. Tu leur diras : “Voici les paroles du Seigneur DIEU.”
      5 Ils t’écouteront ou ils ne t’écouteront pas, parce que c’est une bande de révoltés. Mais ils sauront qu’il y a un prophète parmi eux.
      6 « Alors toi, l’homme, n’aie pas peur d’eux ni de leurs paroles. Ils diront le contraire de toi. Tu croiras vivre au milieu d’un buisson d’épines ou parmi des scorpions. N’aie pas peur de leurs paroles, ne sois pas effrayé devant eux. Oui, c’est un peuple de révoltés.
      7 Tu leur diras ce que je te dirai. Ils t’écouteront ou ils ne t’écouteront pas, parce que ce sont des gens qui ont la tête dure.
      8 « Toi, l’homme, écoute ce que je vais te dire. Ne te dresse pas contre moi, comme cette bande de révoltés ! Ouvre la bouche et mange ce que je vais te donner. »
      9 Je regarde : une main est tendue vers moi. Elle tient un livre en forme de rouleau.
      10 Elle le déroule devant moi. Des chants de tristesse et de deuil ainsi que des plaintes sont écrits des deux côtés du rouleau.

      Ezéchiel 3

      1 Celui qui parle me dit : « Toi, l’homme, mange ce qui est devant toi. Mange ce rouleau, puis va parler aux Israélites. »
      2 J’ouvre la bouche, et il me fait manger le rouleau.
      3 Ensuite, il me dit : « Toi, l’homme, remplis ton ventre, nourris-toi avec ce rouleau que je te donne. » Je le mange donc. Dans ma bouche, il est doux comme du miel.
      4 Celui qui parle me dit : « Toi, l’homme, va vers les Israélites et répète-leur ce que je vais te dire.
      5 Je ne t’envoie pas vers un peuple qui parle une langue étrangère difficile à comprendre. Je t’envoie vers le peuple d’Israël.
      6 Si je t’envoyais vers les peuples nombreux qui parlent une langue étrangère difficile à comprendre, et qui est obscure pour toi, ils t’écouteraient.
      7 Mais les Israélites, eux, ne voudront pas t’écouter, parce qu’ils ne veulent pas m’écouter. Oui, ils ont tous la tête dure, et leur cœur est fermé.
      8 Je vais te rendre aussi têtu qu’eux, et ta tête sera aussi dure que leur tête.
      9 Je la rendrai dure comme le diamant, plus dure que la pierre. N’aie pas peur d’eux, ne sois pas effrayé devant eux. Oui, c’est une bande de révoltés. »
      10 Il continue : « Toi, l’homme, écoute de toutes tes oreilles ce que je vais te dire, reçois mes paroles dans ton cœur.
      11 Ensuite, va vers tes frères israélites qui sont en exil ici. Parle-leur en disant : “Voici les paroles du Seigneur DIEU.” Ils écouteront ou ils n’écouteront pas, parle-leur quand même ! »
      12 Alors l’esprit de Dieu me soulève de terre, et j’entends derrière moi ce grand cri : « Chantons la louange du SEIGNEUR là où il montre sa gloire ! »
      13 Les ailes des êtres vivants se heurtent les unes aux autres. J’entends le bruit qu’elles font en même temps que le bruit des roues. Cela fait un bruit terrible.
      14 L’esprit qui m’a soulevé de terre m’emporte. Le SEIGNEUR me fait sentir durement sa puissance, et je m’en vais, le cœur triste et troublé.
      15 J’arrive à Tel-Abib, auprès des exilés qui habitent au bord du fleuve Kébar. Là, je suis resté sept jours avec eux, complètement bouleversé.
      16 Après sept jours, le SEIGNEUR m’a adressé sa parole. Il m’a dit :
      17 « Tu n’es qu’un homme, mais je fais de toi un guetteur pour le peuple d’Israël. Tu écouteras mes paroles et tu avertiras les Israélites de ma part.
      18 Quand je dirai à l’homme mauvais : “Tu vas mourir”, avertis-le. Dis-lui de laisser sa conduite mauvaise pour qu’il vive. Si tu ne l’avertis pas, l’homme mauvais mourra à cause de ses fautes. Mais toi, je te demanderai des comptes pour sa mort.
      19 Voici ce qui peut arriver : tu avertis l’homme mauvais. Pourtant, il ne se détourne pas de sa méchanceté ni de sa mauvaise conduite. Alors cet homme-là mourra à cause de ses fautes, mais toi, tu sauveras ta vie.
      20 Voici ce qui peut aussi arriver : Quelqu’un de juste se détourne du bon chemin, et se met à faire le mal. Alors je le ferai tomber dans un piège, et il mourra. Si tu ne le préviens pas du danger, il mourra à cause de ses mauvaises actions. Ses bonnes actions d’autrefois ne compteront pas, et je te demanderai des comptes pour sa mort.
      21 Au contraire, supposons ceci : tu avertis cet homme pour qu’il ne fasse pas le mal, et il ne le fait pas. Dans ce cas, il pourra vivre grâce à tes avertissements, et toi, tu sauveras ta vie. »
      22 Le SEIGNEUR m’a saisi avec puissance et il m’a dit : « Debout, va dans la vallée et je te parlerai là-bas. »
      23 Je me suis levé et je suis allé dans la vallée. À cet endroit, la gloire du SEIGNEUR est apparue, comme je l’avais vue au bord du fleuve Kébar. Je me suis mis à genoux, le visage contre le sol.
      24 Alors l’esprit de Dieu est entré en moi et m’a relevé. Le SEIGNEUR m’a dit : « Va t’enfermer dans ta maison.
      25 Toi, l’homme, écoute ! Des gens te mettront des cordes et ils t’attacheront. Alors tu ne pourras plus aller dehors pour être avec eux.
      26 Je collerai ta langue dans ta bouche, et tu seras muet. Tu ne pourras plus faire de reproches à cette bande de révoltés.
      27 Mais quand j’aurai quelque chose à leur dire, je t’ouvrirai la bouche. Ainsi tu pourras leur dire : “Voici les paroles du Seigneur DIEU.” Ceux qui veulent écouter, qu’ils écoutent ! Ceux qui refusent de le faire, qu’ils n’écoutent pas ! Oui, c’est une bande de révoltés. »

      Ezéchiel 4

      1 Le SEIGNEUR m’a dit encore : « Toi, l’homme, prends une brique et mets-la devant toi. Dessine sur elle une ville, Jérusalem.
      2 Ensuite, montre qu’elle est entourée d’ennemis. Creuse des fossés contre elle, construis des murs d’attaque, installe des camps et des machines de guerre tout autour.
      3 Puis prends une plaque de fer, place-la comme un mur entre toi et la ville. Regarde attentivement Jérusalem : elle est attaquée. C’est toi qui l’attaques. Ce que tu fais là sert à avertir le peuple d’Israël.
      4 « Couche-toi sur le côté gauche. Tant que tu resteras couché ainsi, tu porteras sur toi les fautes du royaume d’Israël, tu en supporteras le poids.
      5 Je te charge de faire cela un certain nombre de jours. Il sera égal au nombre d’années pendant lesquelles le royaume d’Israël a péché. Ainsi, pendant 390 jours, tu supporteras le poids de ses fautes.
      6 Quand ce temps sera fini, couche-toi sur le côté droit et porte le poids des fautes du royaume de Juda pendant 40 jours. Je t’impose un jour pour chacune des années pendant lesquelles Juda a péché.
      7 Ensuite, tu regarderas attentivement Jérusalem qui est attaquée. Tu étendras vers elle ton bras nu et tu parleras de ma part contre la ville.
      8 Moi, je vais t’attacher avec des cordes. Ainsi, tu ne pourras pas te tourner d’un côté sur l’autre pendant tout le temps où tu menaceras Jérusalem.
      9 « Prends du blé, de l’orge, des haricots, des lentilles, du mil et du blé dur. Mélange-les dans un récipient pour en faire du pain. Ce sera ta nourriture pendant les 390 jours où tu seras couché sur le côté.
      10 Tu mangeras une part d’environ 200 grammes par jour : ce sera ta part jusqu’au jour suivant.
      11 Tu boiras aussi de l’eau, ni trop ni trop peu, un litre par jour.
      12 Ta nourriture aura la forme d’une galette d’orge, et cette galette, tu la feras cuire devant tout le monde, sur un tas d’excréments humains. »
      13 Le SEIGNEUR a ajouté : « C’est ainsi que les Israélites mangeront une nourriture impure, au milieu des autres peuples où je vais les chasser. »
      14 Alors je lui ai répondu : « Ah ! Seigneur DIEU, je n’ai jamais été impur. Depuis mon enfance jusqu’à maintenant, je n’ai jamais mangé d’animal mort naturellement ou déchiré par une bête sauvage. Aucune viande impure n’est jamais entrée dans ma bouche. »
      15 Le SEIGNEUR m’a dit : « Eh bien, je te permets de remplacer les excréments humains par ceux de la vache pour faire cuire ta nourriture. »
      16 Il a ajouté : « Toi, l’homme, écoute ! Je vais détruire les réserves de pain à Jérusalem. Le pain et l’eau seront distribués en petites quantités, et à cause de cela les habitants vivront dans l’inquiétude.
      17 Le pain et l’eau vont manquer, c’est pourquoi les gens seront découragés et ils perdront leurs forces à cause de leurs fautes. »

      Ezéchiel 8

      1 C’était la sixième année après la déportation. Le sixième mois, le 5 du mois, j’étais assis chez moi, et des anciens de Juda étaient assis devant moi. C’est là que la puissance du Seigneur DIEU m’a saisi tout à coup.
      2 Voici ce que je vois : Quelqu’un est là. Il a une forme qui ressemble à un homme. Au-dessous de ce qui a l’air d’être sa taille, son corps est comme du feu. Au-dessus, il y a une sorte de lumière, brillante comme de l’or rougi au feu.
      3 Il tend quelque chose comme une main et me saisit par les cheveux. Alors, dans cette vision qui vient de Dieu, l’esprit me soulève entre ciel et terre et m’emmène à Jérusalem. Je me retrouve à l’intérieur de la porte nord de la ville, là où on a placé une statue qui est une insulte à Dieu.
      4 Or la gloire du Dieu d’Israël m’apparaît à cet endroit, comme elle m’est déjà apparue dans la vallée.
      5 Dieu me dit : « Toi, l’homme, regarde vers le nord. » Je regarde dans cette direction. À la porte du nord, il y a un autel. La statue qui est une insulte à Dieu se trouve près de l’entrée qui conduit à l’autel.
      6 Il ajoute : « Toi, l’homme, est-ce que tu vois ce qu’ils font ? Ici, les gens d’Israël commettent des actions horribles pour m’éloigner de mon lieu saint. Tu vas voir encore d’autres choses aussi horribles. »
      7 Il me transporte à l’entrée de la cour du temple. Je vois qu’il y a un trou dans le mur.
      8 Dieu me dit : « Toi, l’homme, fais un trou dans le mur. » Je fais un trou, et il y a alors un passage.
      9 Il me dit : « Entre et regarde. Les gens font ici des choses horribles et dégoûtantes. »
      10 J’entre et voici ce que je vois : autour de moi, les murs sont couverts de dessins qui représentent des serpents et des bêtes dégoûtantes. Tous les faux dieux des Israélites sont dessinés sur les murs.
      11 Soixante-dix anciens du peuple d’Israël sont debout devant les faux dieux. Parmi eux, il y a Yazania, fils de Chafan. Chacun tient un brûle-parfum à la main, et la fumée d’encens monte vers le ciel.
      12 Dieu me dit : « Toi, l’homme, est-ce que tu as vu ce que les anciens du peuple d’Israël font en se cachant, chacun à sa place devant son faux dieu. Ils disent : “Le SEIGNEUR ne peut pas nous voir, il a quitté le pays.” »
      13 Dieu ajoute : « Tu vas voir qu’ils commettent encore d’autres actions aussi horribles. »
      14 Il me transporte vers la porte nord du temple. Des femmes sont assises à cet endroit et elles pleurent sur la mort de Tammouz.
      15 Il me demande : « Toi, l’homme, est-ce que tu as bien vu ? Tu vas voir des choses encore plus horribles que celles-ci. »
      16 Il me transporte vers la cour intérieure du temple. À l’entrée du lieu saint, entre la cour et l’autel, il y a à peu près 25 hommes. Ils tournent le dos au lieu saint et ils se mettent à genoux, le front contre le sol, dans la direction de l’est, pour adorer le soleil.
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