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FARDEAU

Ce mot a plusieurs sens dans la Bible :

1. charge à porter (Jer 17:21) ;

2. corvée (De 24:5) ;

3. épreuve, souci (Ps 55:23 81:7) ;

4. servitude à l'égard de l'étranger vainqueur (Esa 10:27 14:25 ; cf. le geste symbolique du « joug ») ;

5. péché (Ps 38:5, La 1:14, Esa 53:11,12) ;

6. responsabilité (No 11:11) ;

7. oracle menaçant : (Jer 23:33, Esa 14:28) la formule de malédiction prononcée par un homme de Dieu passait pour avoir une vertu efficace et chargeait l'homme, la troupe, la nation, contre laquelle elle était dirigée, d'un fardeau qui l'accablait (cf. l'histoire de Balaam : No 22-24) ; cependant ce mot est parfois employé comme oracle de bénédiction (Za 12:1 9:1) ; dans La 2:14, c'est toute parole de prophétie, vraie ou mensongère.

Le N.T. introduit un nouveau sens : l'observation stricte et méticuleuse des ordonnances de la Loi (Mt 23:4, Lu 11:46). L'assemblée apostolique de Jérusalem (Ac 15:18) emploie le même terme pour désigner les prohibitions imposées aux païens qui deviennent chrétiens. En comparaison de celui de la Loi, le fardeau du Christ paraît léger à ses disciples (Mt 11:30). Paul oppose dans Ga 4 et Ga 5 la liberté des enfants de Dieu à l'esclavage de la Loi : la Loi est un joug. Heb 12:1 associe la délivrance de tout fardeau à la délivrance du péché. Notons enfin qu'il n'y a pas contradiction entre Ga 6:2 6:5 ; le mot fardeau y traduit deux termes grecs différents : il faut que les chrétiens s'entr'aident par la sympathie à porter les fardeaux de leurs misères morales (verset 2), ceci par opposition aux inutiles charges judaïques ; mais au service de Jésus-Christ chacun a une tâche personnelle à remplir, et doit accomplir son propre devoir (verset 5) sans tirer vanité de ce que les autres n'accomplissent pas le leur. --Voir Joug.

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      Nombres 11

      11 lui demanda : « Pourquoi me traites-tu de la sorte, Seigneur ? Pourquoi me refuses-tu ta bienveillance ? Pourquoi m’imposes-tu le fardeau de diriger tout ce peuple ?

      Nombres 22

      1 Une nouvelle étape conduisit les Israélites dans les plaines de Moab, sur la rive orientale du Jourdain, en face de Jéricho.
      2 Balac, fils de Sippor, qui était roi de Moab à cette époque, apprit comment les Israélites avaient traité les Amorites. Le roi et tout son peuple se mirent à trembler de terreur à l’idée que les Israélites arrivaient en si grand nombre. Alors les Moabites dirent aux notables madianites : « Cette multitude est sur le point de tout ravager autour de nous, comme des bœufs qui broutent toute l’herbe d’un pré. »
      5 Le roi envoya une délégation à Balaam, fils de Béor, qui habitait Petor sur l’Euphrate, dans le pays des Ammavites. Il lui adressait ce message : « Il y a ici un peuple venu d’Égypte, qui couvre toute la surface du pays. Il s’est installé non loin de chez moi.
      6 Viens donc à mon aide, je t’en prie, et maudis-le, car il est plus puissant que mon propre peuple. Si tu acceptes, je pourrai peut-être le vaincre et le chasser de la région. Je sais en effet que les bénédictions et les malédictions que tu prononces sont efficaces. »
      7 Les messagers, des notables moabites et madianites, emportèrent de quoi payer le devin Balaam et se rendirent chez lui. Ils lui transmirent la requête de Balac.
      8 Balaam leur dit : « Passez la nuit ici. Demain je vous donnerai la réponse que le Seigneur m’aura communiquée. » Les chefs de Moab demeurèrent donc chez Balaam.
      9 Alors Dieu vint demander à Balaam : « Qui sont ces gens que tu as reçus chez toi ? »
      10 Balaam lui répondit : « Balac, fils de Sippor et roi de Moab, a envoyé ces hommes me dire :
      11 “Le peuple qui a quitté l’Égypte couvre toute la surface du pays. Viens donc à mon aide, je te prie, et maudis-le. Si tu acceptes, je pourrai peut-être le combattre et le chasser.” » –
      12 « Tu n’iras pas avec eux ! lui dit Dieu. Tu ne maudiras pas ce peuple, car je l’ai béni. »
      13 Le lendemain, dès qu’il fut debout, Balaam dit aux notables envoyés par Balac : « Retournez dans votre pays. Le Seigneur m’interdit de partir avec vous. »
      14 Les notables moabites revinrent dire à Balac que Balaam avait refusé de les accompagner.
      15 Balac envoya une nouvelle délégation, composée de chefs plus nombreux et plus importants que la première fois.
      16 Ils allèrent transmettre à Balaam cette requête de Balac : « Moi, Balac, fils de Sippor, je t’en supplie, ne refuse pas de venir chez moi.
      17 Je te comblerai d’honneurs, je ferai tout ce que tu me demanderas ! Viens donc à mon aide et maudis ce peuple. »
      18 Mais Balaam répondit aux envoyés de Balac : « Même si Balac me donnait tout l’argent et l’or dont son palais est plein, je ne pourrais en rien désobéir aux ordres du Seigneur mon Dieu.
      19 Pourtant, restez ici cette nuit, vous aussi, et je saurai ce que le Seigneur veut encore me communiquer. »
      20 Durant la nuit, Dieu vint dire à Balaam : « Si ces hommes sont venus t’inviter à les accompagner, pars avec eux. Cependant tu devras faire uniquement ce que je t’indiquerai. »
      21 Au matin, Balaam sella son ânesse et partit avec les chefs moabites.
      22 Le départ de Balaam provoqua la colère de Dieu. Tandis que Balaam cheminait, monté sur son ânesse et accompagné de deux serviteurs, l’ange du Seigneur alla se placer sur la route pour lui barrer le passage.
      23 L’ânesse vit l’ange debout au milieu de la route, tenant à la main son épée dégainée ; elle s’en écarta et passa à travers champs. Balaam la battit pour la ramener sur le chemin.
      24 L’ange alla se poster plus loin dans un chemin encaissé, qui traversait des vignes entre deux murs.
      25 L’ânesse le vit, elle se serra contre le mur et y meurtrit le pied de Balaam. Celui-ci se remit à la battre.
      26 Une fois encore l’ange les devança ; il se posta dans un endroit si resserré qu’il n’y avait moyen de passer ni à sa droite ni à sa gauche.
      27 Lorsque l’ânesse le vit, elle se coucha sous son maître. Balaam se mit en colère et la roua de coups de bâton.
      28 Alors le Seigneur donna à l’ânesse la possibilité de parler, et elle dit à Balaam : « Que t’ai-je fait, pour que tu me battes à trois reprises ? » –
      29 « Tu t’es moquée de moi ! lui répondit-il. Si j’avais une épée sur moi, je t’aurais déjà tuée ! » –
      30 « Pourtant je suis ton ânesse, celle que tu as toujours montée ! reprit-elle. Ai-je l’habitude de me comporter ainsi avec toi ? » – « Non ! » reconnut-il.
      31 A cet instant, le Seigneur ouvrit les yeux de Balaam, et celui-ci aperçut l’ange debout au milieu de la route, tenant à la main son épée dégainée. Aussitôt il se jeta le visage contre terre.
      32 L’ange lui demanda : « Pourquoi as-tu battu ton ânesse à trois reprises ? Je suis venu pour te barrer le passage, car je pense que ce voyage te mène à ta perte.
      33 L’ânesse m’a vu, et à trois reprises elle s’est écartée de moi. Si elle ne l’avait pas fait, je t’aurais tué, mais elle, je l’aurais laissée en vie. »
      34 Balaam dit à l’ange : « J’ai commis une faute ! J’ignorais que tu te tenais devant moi sur la route. Mais maintenant, si ce voyage te déplaît, je suis prêt à rentrer chez moi. » –
      35 « Non ! répondit l’ange. Accompagne ces gens. Mais tu prononceras uniquement les paroles que je t’indiquerai. » Alors Balaam continua la route avec les envoyés de Balac.
      36 Lorsque Balac apprit que Balaam arrivait, il alla à sa rencontre jusqu’à Ar en Moab, qui se trouve tout près de la frontière du pays, sur le cours de l’Arnon.
      37 Balac lui demanda : « Pourquoi n’as-tu pas accepté de venir la première fois que j’ai envoyé une délégation pour t’inviter ? Pensais-tu que je ne pourrais pas te combler d’honneurs ? » –
      38 « Eh bien, me voici ! répondit Balaam. Mais que pourrais-je dire ? Je suis autorisé à prononcer uniquement les messages que Dieu placera dans ma bouche. »
      39 Balaam partit avec Balac et ils se rendirent à Quiriath-Houssoth.
      40 Balac offrit des bœufs et des moutons en sacrifices et en remit des parts à Balaam et aux chefs qui l’accompagnaient.
      41 Le lendemain matin, Balac monta avec Balaam à Bamoth-Baal, d’où l’on voyait une partie du peuple d’Israël.

      Nombres 23

      1 Balaam demanda à Balac de lui construire à cet endroit sept autels, et de lui fournir sept taureaux et sept béliers.
      2 Balac exécuta cet ordre. Après quoi, ils offrirent ensemble un taureau et un bélier sur chaque autel.
      3 Balaam dit à Balac : « Reste ici, près des sacrifices que tu as offerts, pendant que je m’en irai à l’écart. Le Seigneur se manifestera peut-être à moi. Je te communiquerai alors ce qu’il m’aura fait connaître. » Il monta sur une colline dénudée.
      4 Là, Dieu se manifesta à Balaam, qui lui dit : « J’ai fait dresser sept autels et j’ai offert un taureau et un bélier sur chacun d’eux. »
      5 Le Seigneur indiqua à Balaam le message qu’il devait prononcer, puis il lui ordonna de retourner auprès de Balac.
      6 Balaam rejoignit donc Balac, qui se tenait toujours près de ses sacrifices en compagnie des chefs moabites.
      7 Balaam prononça ce poème : « Balac, le roi de Moab, m’a fait venir des montagnes orientales de Syrie : “Viens prononcer, m’a-t-il demandé, des malédictions et des menaces contre les Israélites, les descendants de Jacob !”
      8 Mais comment pourrais-je maudire celui que Dieu ne maudit pas lui-même ? Comment menacer un peuple que le Seigneur ne menace pas ?
      9 Je regarde ce peuple du haut des rochers, je l’observe du sommet des collines ; c’est un peuple qui habite à part, il se sait différent des autres nations.
      10 Qui peut compter la multitude des Israélites, dénombrer la foule des descendants de Jacob ? Je souhaite avoir la même mort que ces justes, partager le sort du peuple d’Israël. »
      11 Balac dit à Balaam : « Que m’as-tu fait là ? Je t’amène ici pour maudire mes ennemis et tu les couvres de bénédictions ! »
      12 Balaam répondit : « Mon rôle n’est-il pas de transmettre seulement ce que le Seigneur me communique ? »
      13 Balac reprit : « Viens avec moi à un autre endroit d’où tu verras tous les Israélites. D’ici tu n’en voyais qu’une partie. De là, tu les maudiras pour moi. »
      14 Il emmena Balaam jusqu’à un poste de guet, au sommet du mont Pisga ; là aussi il construisit sept autels et offrit un taureau et un bélier sur chaque autel.
      15 Balaam dit à Balac : « Reste ici près des sacrifices que tu as offerts, pendant que j’irai là-bas attendre un message. »
      16 Le Seigneur se manifesta à Balaam, lui indiqua le message qu’il devait prononcer, puis il lui ordonna de retourner auprès de Balac.
      17 Balaam rejoignit donc Balac, qui se tenait toujours près de ses sacrifices en compagnie des chefs moabites. Balac lui demanda : « Qu’a déclaré le Seigneur ? »
      18 Alors Balaam prononça ce poème : « Lève-toi, Balac, fils de Sippor, écoute-moi attentivement !
      19 Dieu n’est pas un homme pour mentir, il n’est pas un être humain pour changer d’opinion. Il n’affirme jamais rien sans tenir parole, ce qu’il promet, il le réalise.
      20 Moi, j’ai accepté de bénir ce peuple, le Seigneur l’a béni, je n’y changerai rien !
      21 Le Seigneur ne discerne aucun mal, aucune injustice dans le peuple d’Israël. Il est leur Dieu, il habite au milieu d’eux, il reçoit leur ovation royale.
      22 C’est lui qui les a fait sortir d’Égypte avec une force irrésistible, comme celle du buffle.
      23 La divination et ses pratiques ne sont pas en usage parmi les Israélites ; en temps voulu, ils apprennent tout ce que Dieu accomplit.
      24 Ce peuple se lève comme un lion : il dévore la chair de sa proie, il boit le sang de sa victime, et ensuite seulement il se recouche. »
      25 Balac dit à Balaam : « Si tu ne veux pas les maudire, abstiens-toi au moins de les bénir ! »
      26 Balaam lui répondit : « Je t’ai pourtant bien prévenu que j’exécutais scrupuleusement les ordres du Seigneur ! »
      27 Balac reprit : « Viens donc, que je t’emmène encore à un autre endroit. Dieu acceptera peut-être que là, tu maudisses ce peuple pour moi. »
      28 Il emmena Balaam au sommet du mont Péor, d’où l’on domine le désert.
      29 Balaam lui demanda de construire à cet endroit sept autels, et de lui fournir sept taureaux et sept béliers.
      30 Balac exécuta cet ordre, puis offrit un taureau et un bélier sur chaque autel.

      Nombres 24

      1 Balaam comprit que le Seigneur tenait à bénir Israël ; il n’alla donc pas à la recherche d’une révélation divine comme les fois précédentes, mais il se tourna tout de suite vers le désert.
      2 Lorsqu’il leva les yeux et vit les tribus d’Israël installées dans leur camp, il fut saisi par l’Esprit de Dieu
      3 et il prononça ce poème : « Voici ce que je proclame, moi, Balaam, fils de Béor, moi, l’homme au regard pénétrant ;
      4 voici ce que je déclare, moi qui entends les paroles de Dieu et contemple les visions envoyées par le Tout-Puissant, car il se révèle à moi lorsque je l’adore.
      5 Peuple d’Israël, vous les descendants de Jacob, combien sont belles les tentes que vous habitez !
      6 On dirait des torrents qui coulent, des jardins sur les rives d’un fleuve ; on dirait des aloès ou des cèdres plantés par le Seigneur au bord d’un ruisseau ;
      7 on dirait de l’eau qui déborde d’un réservoir et irrigue abondamment les plantations. Le roi des Israélites l’emportera sur Agag, leur royaume gagnera en puissance.
      8 Dieu les a fait sortir d’Égypte avec une force irrésistible, comme celle du buffle. Ils ne font qu’une bouchée des nations qui les attaquent, ils brisent les os de leurs adversaires, ils les criblent de flèches.
      9 Comme des lions, ils s’accroupissent, se couchent... Qui pourrait les forcer à se lever ? Israël, béni soit celui qui te bénira, et maudit soit celui qui te maudira ! »
      10 Balac se mit en colère contre Balaam et, avec des gestes de menaces, il lui dit : « Je t’amène ici pour maudire mes ennemis, et, pour la troisième fois, tu les couvres de bénédictions !
      11 Maintenant va-t’en, retourne chez toi. Je t’avais promis de te combler d’honneurs, mais le Seigneur t’en a privé ! »
      12 Balaam répondit à Balac : « J’avais pourtant bien dit aux messagers que tu m’as envoyés :
      13 “Même si Balac me donnait tout l’argent et l’or dont son palais est plein, je ne pourrais en rien désobéir aux ordres du Seigneur. Je prononce uniquement les paroles que le Seigneur m’indique.”
      14 Eh bien, maintenant, je vais rejoindre mon peuple. Mais auparavant, viens, je veux t’avertir de ce que les Israélites feront subir un jour à ton peuple ! »
      15 Et Balaam prononça ce poème : « Voici ce que je proclame, moi, Balaam, fils de Béor, moi, l’homme au regard pénétrant ;
      16 voici ce que je déclare, moi qui entends les paroles de Dieu, qui pénètre les secrets du Très-Haut et contemple les visions envoyées par le Tout-Puissant, car il se révèle à moi lorsque je l’adore.
      17 Je vois ce qui arrivera, mais ce n’est pas pour aujourd’hui, je discerne un événement, mais il se produira plus tard : Un astre apparaît parmi les descendants de Jacob, un souverain surgit au milieu du peuple d’Israël ; de son sceptre, il frappe les Moabites à la tempe, les nomades du pays sur la tête.
      18 Il s’empare aussi de Séir, le pays de ses ennemis édomites, et les Israélites triomphent.
      19 Le descendant de Jacob domine ses adversaires, il extermine les derniers habitants de leurs villes. »
      20 Ensuite Balaam vit les Amalécites et prononça ces mots : « Voici Amalec, nation la plus puissante. Mais son avenir, c’est la ruine totale. »
      21 Il vit également les Quénites et déclara : « Quénites, vous êtes en sécurité dans votre pays, comme dans un nid accroché au rocher.
      22 Pourtant vos demeures seront la proie des flammes, et les Assyriens vous emmèneront en captivité. »
      23 Balaam ajouta encore ces mots : « Hélas ! Qui arrive en bandes du nord ?
      24 Ceux qui arrivent de la côte de Chypre, oppriment les Assyriens et même les descendants d’Éber ; mais lui aussi court à la ruine. »
      25 Après ces paroles, Balaam se mit en route pour regagner son pays, tandis que Balac s’en allait de son côté.

      Psaumes 38

      5 Mes torts s’entassent plus haut que ma tête, ils pèsent sur moi comme un fardeau trop lourd.

      Psaumes 55

      23 Décharge-toi de ton souci sur le Seigneur ; il te maintiendra debout, il ne laissera pas toujours le fidèle chanceler.

      Psaumes 81

      7 J’ai déchargé tes épaules du fardeau, tes mains ont laissé le lourd panier.

      Esaïe 10

      27 Ce jour-là, il soulagera ton épaule de la charge qui l’écrasait, et ton cou du joug qui pesait sur lui,

      Esaïe 14

      25 Je briserai la puissance assyrienne dans mon propre pays ; sur mes montagnes je la piétinerai. Elle imposait aux miens le joug de sa domination, je la ferai disparaître. Elle avait chargé leurs épaules d’un fardeau pesant, je les en débarrasserai. »
      28 Ce message date de l’année où mourut le roi Ahaz.

      Esaïe 53

      11 « Après avoir subi tant de peines, dit le Seigneur, mon serviteur verra la lumière de la vie, il en fera l’expérience parfaite. Les masses humaines reconnaîtront mon serviteur comme le vrai Juste, lui qui s’est chargé de leurs fautes.
      12 C’est pourquoi je le place au rang des plus grands, c’est avec les plus puissants qu’il partagera le butin. Car il s’est dépouillé lui-même jusqu’à en mourir, il s’est laissé placer au nombre des malfaiteurs, il a pris sur lui les fautes des masses humaines, et il est intervenu en faveur des coupables. »

      Jérémie 17

      21 Voici ce qu’il déclare : Le jour du sabbat, gardez-vous de porter une charge, gardez-vous d’en faire passer par une de ces portes.

      Jérémie 23

      33 Le Seigneur dit à Jérémie : « Si un prophète, ou un prêtre, ou n’importe qui te demande : “Quel est le message du Seigneur, quel fardeau nous impose-t-il ?”, tu répondras : “C’est vous qui êtes un fardeau, dit le Seigneur. C’est pourquoi je me débarrasserai de vous.”

      Lamentations 1

      14 Il a l’œil sur mes fautes, elles forment comme un nœud dans sa main, elles montent jusqu’à mon cou. Le Seigneur a paralysé mes forces, il m’a livrée aux mains d’adversaires contre lesquels je ne peux rien.

      Lamentations 2

      14 Tes prophètes n’ont eu pour toi que des messages mensongers et creux. Ils n’ont pas démasqué ta faute, ce qui aurait conduit à ton rétablissement. Leur message pour toi n’était que mensonge et poudre aux yeux.

      Zacharie 9

      1 Message du Seigneur. Sa parole atteint la région de Hadrak, elle s’arrête sur la ville de Damas. En effet, le Seigneur pose son regard non seulement sur les tribus d’Israël, mais aussi sur tous les êtres humains.

      Zacharie 12

      1 Message du Seigneur au sujet d’Israël. Voici ce qu’affirme le Seigneur, lui qui a déployé l’étendue du ciel, posé les bases de la terre et donné la vie à l’homme :

      Matthieu 11

      30 Le joug que je vous invite à prendre est facile à porter et le fardeau que je vous propose est léger. »

      Matthieu 23

      4 Ils attachent de lourds fardeaux, difficiles à porter, et les mettent sur les épaules des hommes ; mais eux-mêmes refusent de bouger un doigt pour les aider à remuer ces fardeaux.

      Luc 11

      46 Jésus répondit : « Malheur à vous aussi, maîtres de la loi ! Vous mettez sur le dos des gens des fardeaux difficiles à porter, et vous ne bougez pas même un seul doigt pour les aider à porter ces fardeaux.

      Actes 15

      18 qui a fait connaître ses projets depuis longtemps.”

      Galates 4

      1 En d’autres mots, voici ce que je veux dire : aussi longtemps qu’un héritier est mineur, sa situation ne diffère pas de celle d’un esclave, bien que théoriquement tout lui appartienne.
      2 En fait, il est soumis à des personnes qui prennent soin de lui et s’occupent de ses affaires jusqu’au moment fixé par son père.
      3 Nous, de même, nous étions précédemment comme des enfants, nous étions esclaves des forces spirituelles du monde.
      4 Mais quand le moment fixé est arrivé, Dieu a envoyé son Fils : il est né d’une femme et il a été soumis à la loi juive,
      5 afin de délivrer ceux qui étaient soumis à la loi, et de nous permettre ainsi de devenir enfants de Dieu.
      6 Pour prouver que vous êtes bien ses enfants, Dieu a envoyé dans nos cœurs l’Esprit de son Fils, l’Esprit qui crie : « Abba, ô mon Père ! »
      7 Ainsi, tu n’es plus esclave, mais enfant ; et puisque tu es son enfant, Dieu te donnera l’héritage qu’il réserve à ses enfants.
      8 Autrefois, vous ne connaissiez pas Dieu et vous étiez esclaves de dieux qui n’en sont pas en réalité.
      9 Mais maintenant que vous connaissez Dieu – ou, plutôt, maintenant que Dieu vous connaît –, comment est-il possible que vous retourniez à ces faibles et misérables forces spirituelles ? Voulez-vous redevenir leurs esclaves ?
      10 Vous attachez une telle importance à certains jours, certains mois, certaines saisons et certaines années !
      11 Vous m’inquiétez : toute la peine que je me suis donnée pour vous serait-elle inutile ?
      12 Frères, je vous en supplie, devenez semblables à moi, puisque je me suis fait semblable à vous. Vous ne m’avez causé aucun tort.
      13 Vous vous rappelez pourquoi je vous ai annoncé la Bonne Nouvelle la première fois : c’est parce que j’étais malade.
      14 La vue de mon corps malade était éprouvante pour vous, et pourtant vous ne m’avez pas méprisé ou repoussé. Au contraire, vous m’avez accueilli comme un ange de Dieu, ou même comme Jésus-Christ.
      15 Vous étiez si heureux ! Que vous est-il donc arrivé ? Je peux vous rendre ce témoignage : s’il avait été possible, vous vous seriez arraché les yeux pour me les donner !
      16 Et maintenant, suis-je devenu votre ennemi parce que je vous dis la vérité ?
      17 Il en est d’autres qui manifestent beaucoup d’intérêt pour vous, mais dont les intentions ne sont pas bonnes. Ce qu’ils veulent, c’est vous détacher de moi pour que vous leur portiez tout votre intérêt.
      18 Certes, il est bon d’être rempli d’intérêt, mais pour le bien, et cela en tout temps, non pas seulement quand je suis parmi vous.
      19 Mes enfants, je souffre de nouveau pour vous, comme une femme qui accouche, jusqu’à ce qu’il soit clair que le Christ est présent parmi vous.
      20 Combien j’aimerais me trouver auprès de vous en ce moment afin de pouvoir vous parler autrement. Je suis si perplexe à votre sujet !
      21 Dites-moi, vous qui voulez être soumis à la loi : n’entendez-vous pas ce que déclare cette loi ?
      22 Il est écrit, en effet, qu’Abraham eut deux fils, l’un d’une esclave, Agar, et l’autre d’une femme née libre, Sara.
      23 Le fils qu’il eut de la première naquit conformément à l’ordre naturel, mais le fils qu’il eut de la seconde naquit conformément à la promesse de Dieu.
      24 Ce récit comporte un sens plus profond : les deux femmes représentent deux alliances. L’une de ces alliances, représentée par Agar, est celle du mont Sinaï ; elle donne naissance à des esclaves.
      25 Agar, c’est le mont Sinaï en Arabie ; elle correspond à l’actuelle ville de Jérusalem, qui est esclave avec tous les siens.
      26 Mais la Jérusalem céleste est libre et c’est elle notre mère.
      27 En effet, l’Écriture déclare : « Réjouis-toi, femme qui n’avais pas d’enfant ! Pousse des cris de joie, toi qui n’as pas connu les douleurs de l’accouchement ! Car la femme abandonnée aura plus d’enfants que la femme aimée par son mari. »
      28 Quant à vous, frères, vous êtes des enfants nés conformément à la promesse de Dieu, tout comme Isaac.
      29 Autrefois, le fils né conformément à l’ordre naturel persécutait celui qui était né selon l’Esprit de Dieu, et il en va de même maintenant.
      30 Mais que déclare l’Écriture ? Ceci : « Chasse cette esclave et son fils ; car le fils de l’esclave ne doit pas avoir part à l’héritage paternel avec le fils de la femme née libre. »
      31 Ainsi, frères, nous ne sommes pas enfants de celle qui est esclave, mais de celle qui est libre.

      Galates 5

      1 Le Christ nous a libérés pour que nous soyons vraiment libres. Tenez bon, donc, ne vous laissez pas de nouveau réduire en esclavage.
      2 Écoutez ! Moi, Paul, je vous l’affirme : si vous vous faites circoncire, alors le Christ ne vous servira plus à rien.
      3 Je l’affirme encore une fois à tout homme qui se fait circoncire : il a le devoir d’obéir à la loi tout entière.
      4 Vous qui cherchez à être reconnus justes aux yeux de Dieu par la loi, vous êtes séparés du Christ ; vous êtes privés de la grâce de Dieu.
      5 Quant à nous, nous mettons notre espoir en Dieu, qui nous rendra justes à ses yeux ; c’est ce que nous attendons, par la puissance du Saint-Esprit qui agit au travers de notre foi.
      6 Car, pour celui qui est uni à Jésus-Christ, être circoncis ou ne pas l’être n’a pas d’importance : ce qui importe, c’est la foi qui agit par l’amour.
      7 Vous aviez pris un si bon départ ! Qui a brisé votre élan pour vous empêcher d’obéir à la vérité ?
      8 Ce que l’on vous a dit pour vous convaincre ne venait pas de Dieu qui vous appelle.
      9 « Un peu de levain fait lever toute la pâte », comme on dit.
      10 Cependant, le Seigneur me donne confiance en ce qui vous concerne : je suis certain que vous ne penserez pas autrement que moi. Mais celui qui vous trouble, quel qu’il soit, subira la condamnation divine.
      11 Quant à moi, frères, s’il était vrai que je prêche encore la nécessité de se faire circoncire, pourquoi continuerait-on à me persécuter ? Dans ce cas, annoncer le Christ crucifié ne serait plus scandaleux pour personne.
      12 Que ceux qui vous troublent aillent encore plus loin dans leurs pratiques : qu’ils se mutilent tout à fait !
      13 Mais vous, frères, vous avez été appelés à la liberté. Seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte pour vivre selon les désirs de votre propre nature. Au contraire, laissez-vous guider par l’amour pour vous mettre au service les uns des autres.
      14 Car toute la loi se résume dans ce seul commandement : « Tu dois aimer ton prochain comme toi-même. »
      15 Mais si vous agissez comme des bêtes sauvages, en vous mordant et vous dévorant les uns les autres, alors prenez garde : vous finirez par vous détruire les uns les autres.
      16 Voici donc ce que j’ai à vous dire : laissez le Saint-Esprit diriger votre vie et vous n’obéirez plus aux désirs de votre propre nature.
      17 Car notre propre nature a des désirs contraires à ceux de l’Esprit, et l’Esprit a des désirs contraires à ceux de notre propre nature : ils sont complètement opposés l’un à l’autre, de sorte que vous ne pouvez pas faire ce que vous voudriez.
      18 Mais si l’Esprit vous conduit, alors vous n’êtes plus soumis à la loi.
      19 On sait bien comment se manifeste l’activité de notre propre nature : dans l’immoralité, l’impureté et le vice,
      20 le culte des idoles et la magie. Les gens se haïssent les uns les autres, se querellent et sont jaloux, ils sont dominés par la colère et les rivalités. Ils se divisent en partis et en groupes opposés ;
      21 ils sont envieux, ils se livrent à l’ivrognerie et à des orgies, et commettent d’autres actions semblables. Je vous avertis maintenant comme je l’ai déjà fait : ceux qui agissent ainsi n’auront pas de place dans le Royaume de Dieu.
      22 Mais ce que l’Esprit Saint produit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bienveillance, la bonté, la fidélité,
      23 la douceur et la maîtrise de soi. La loi n’est certes pas contre de telles choses !
      24 Ceux qui appartiennent à Jésus-Christ ont fait mourir sur la croix leur propre nature avec ses passions et ses désirs.
      25 L’Esprit nous a donné la vie ; laissons-le donc aussi diriger notre conduite.
      26 Ne soyons pas vaniteux, renonçons à nous défier ou à nous envier les uns les autres.

      Galates 6

      2 Aidez-vous les uns les autres à porter vos fardeaux : vous obéirez ainsi à la loi du Christ.
      5 Car chacun doit porter sa propre charge.

      Hébreux 12

      1 Quant à nous, nous sommes entourés de cette grande foule de témoins. Débarrassons-nous donc de tout ce qui alourdit notre marche, en particulier du péché qui s’accroche si facilement à nous, et courons résolument la course qui nous est proposée.
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