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MARC

1.

Le Markos du N.T. grec est le latin Marcus, prénom romain qui en cette qualité précédait le nom et le surnom et s'écrivait en abrégé par l'initiale M. (par ex. : M. [=Marcus] Tullius Cicero). A partir de l'ère chrétienne, il devint extrêmement fréquent, sans distinction de classes, chez tous les peuples de langue grecque à travers l'empire, généralement porté seul suivant l'usage hellénique : les inscriptions et documents du temps mentionnent de nombreux Markos ou fils de Markos. Ce fut d'ailleurs le cas de la plupart des prénoms latins, parmi lesquels le N.T. emploie comme noms grecs ceux de Gaïus et de Lucius (voir ces mots). Quant à Marc, on l'y compte 8 fois : 4 fois dans les Actes (Ac 12:12,25 15:37,39), 3 fois dans les ép. de Paul (Col 4:10, Phm 1:24,2Ti 4:11), une fois dans la 1ere ép. de Pierre (1Pi 5:13). Dans les trois premiers de ces passages c'est un surnom, celui d'un Juif : « Jean surnommé Marc », désigné deux fois entre temps par son seul nom israélite de Jean (Ac 13:5-13), et qu'on distinguait donc de ses nombreux compatriotes du même nom en ajoutant son surnom d'origine latine. C'est à peu près ainsi que Joseph Barsabas est surnommé Justus (=juste) (Ac 1:23), qu'un Siméon est appelé Niger (=noir) (Ac 13:1), et que ce Saul est aussi appelé Paul » (Ac 13:9). Cette dernière analogie, celle du grand apôtre dont le nom hébreu est définitivement remplacé par son surnom grec dès le début de sa carrière missionnaire, vient ici à l'appui de l'interprétation la plus naturelle et la plus généralement adoptée, d'après laquelle les dix mentions bibliques de Jean-Marc ou Jean, et de Marc, se rapportent toutes au même personnage.

2.

Il apparaît d'abord en relation avec l'apôtre Pierre. La première fois il est simplement désigné comme fils d'une Juive de Jérusalem appelée Marie, chez qui, lors de la persécution de l'Église par Hérode Agrippa I er (an 44), des chrétiens se réunissent pour prier ; et dès que Pierre se voit délivré de la prison, en pleine nuit, c'est vers cette demeure qu'il se dirige avant de disparaître, pour y charger les fidèles assemblés de raconter à Jacques et aux autres frères sa miraculeuse libération (Ac 12:12 et suivants). Plusieurs détails du récit : une grande porte de vestibule (grec, pulôn), une pièce de réception suffisamment spacieuse, une servante (sans doute une esclave), dénotent une certaine situation de fortune, et l'épisode dans son ensemble prouve que Marie tout au moins comptait, alors parmi les membres influents de la communauté primitive. D'où il ne s'ensuit pas nécessairement, comme on l'a supposé, qu'il faille placer aussi dans sa maison le repas de la sainte Cène et l'effusion du Saint-Esprit le jour de la Pentecôte, ni faire de Marc l'un des 70 disciples (Lu 10). S'il est vrai, comme l'écrira Papias au II° siècle, que Marc auteur de l'évangile « n'avait ni entendu ni suivi le Seigneur » (ce que semble confirmer la phrase incomplète, sans doute relative à Marc, par laquelle commence le fragment de Muratori), ces hypothèses sont assez improbables. On a parfois voulu reconnaître Marc lui-même dans les deux personnages anonymes que l'évangile de Marc place à proximité soit de la chambre haute soit du jardin de Gethsémané : le porteur de la cruche (Mr 14:13 et suivants) et le jeune homme qui s'enfuit la nuit sans vêtement (Mr 14:51 et suivant) ; identifications soutenables, mais purement conjecturales. Voir Marie, parag. 3.

3.

Un ou deux ans sans doute après la délivrance de Pierre, en 45 ou 46 (voir Chronol. du N.T., II, parag. 1 et 3), Barnabas et Saul étant venus d'Antioche à Jérusalem pour y apporter les dons des frères aux victimes de la famine (Ac 11:28,30), leur attention s'y porte sur Jean surnommé Marc, vraisemblablement à cause des services qu'il leur rend dans cette distribution des secours, et lorsqu'ils repartent pour Antioche ils l'emmènent avec eux (Ac 12:25), tout comme auparavant Barnabas avait emmené de Tarse à Antioche Saul lui-même (Ac 11:25 et suivant). Le développement rapide de l'Église chrétienne en cette capitale de la Syrie réclamait en effet de nouveaux et actifs collaborateurs ; on voit (Ac 13:1,3) s'y multiplier « prophètes » et « docteurs » (prédicateurs et instructeurs), puis s'imposer d'En-haut le programme de la mission chrétienne pour laquelle deux d'entre eux sont désignés : précisément encore Barnabas et Saul, qui partent bientôt pour Chypre, « ayant Jean avec eux pour les aider » (Ac 13:3), litt. : comme serviteur ; le terme ici employé, hupêrétês, est dans le grec classique le titre du subordonné d'un chef, non pas subalterne, mais secrétaire, aide de camp, ordonnance, etc. Les fonctions assignées à ce jeune homme sont donc bien celles d'un auxiliaire et non pas d'un égal à côté des apôtres, et pas davantage celles d'un simple domestique ; il devait avoir à s'occuper des arrangements matériels du voyage, des formalités, des rendez-vous, peut-être même des baptêmes, s'il ressort de 1Co 1:14-16 que saint Paul n'en administrait guère lui-même ; ainsi les deux missionnaires pouvaient se consacrer plus complètement à leur tâche absorbante, surtout spirituelle.

4.

Mais cette collaboration à trois ne dura guère. Après la visite de Chypre, dès qu'ils ont regagné par mer le continent, au port de Perge, Jean quitte ses deux compagnons pour retourner à Jérusalem (Ac 13:13), auprès de sa mère. Bien des hypothèses ont été risquées pour expliquer un aussi rapide abandon. Le jeune homme était-il en mauvaise santé, ou du moins assez fatigué déjà pour redouter l'épuisant et périlleux trajet depuis la côte pam-phylienne fort malsaine jusqu'aux hauts-plateaux pisidiens fort mal fréquentés ? (cf. la maladie de Paul en Galatie : Ga 4:13 et suivant, et tous les risques courus dans ses voyages : 2Co 11:26 et suivants). Marc estimait-il qu'un pareil itinéraire, au sein de populations à forte proportion païenne, l'aurait beaucoup plus éloigné de son pays qu'il n'avait été prévu lors du départ ? Ou bien l'auteur du récit, qui vient de montrer d'une touche discrète Barnabas désormais éclipsé par « Saul appelé aussi Paul » (Ac 13:9, comp, d'abord « Barnabas et Saul » J (Ac 11:25,30 12:24 13 1,2,7) Puis « Paul et Barnabas ») (Ac 13:43,46,50 14:1,3 etc.), n'a-t-il pas voulu indiquer, dans Ac 13:13, sans y insister davantage, que ce changement de chef dans la troupe missionnaire avait déplu à Jean-Marc, lequel (nous le verrons plus loin) était proche parent de Barnabas, et devait préférer son autorité paisible à la fougueuse indépendance de Paul ? Cette façon elliptique de réduire le fait nouveau (changement de chef) en une tournure de style ( « Paul et ses compagnons ») et d'en rapprocher la conséquence sans la rattacher explicitement à sa cause ( « Jean se sépara d'eux »), serait bien dans la manière du rédacteur du livre des Actes. Quoi qu'il en soit de ses motifs, Marc pouvait avoir aussi ses excuses : le Saint-Esprit ne l'avait pas mis à part, lui, pour la mission, l'Église ne l'avait pas consacré, il n'était qu'un surnuméraire, choisi par les missionnaires sous leur propre responsabilité, mais (comme les faits allaient le prouver) nullement indispensable ou irremplaçable ; si de telles conditions d'engagement lui conservaient à ses yeux sa liberté, il a pu se juger autorisé à en user en présence des faits imprévus énumérés plus haut (voir Paul [ses voyages], II).

5.

Quelles qu'en aient été les raisons, sa défection devait être jugée en tout cas fort différemment par ses deux aînés. Barnabas la considéra si peu comme une désertion, qu'au moment de repartir en mission avec Paul, environ 3 ans plus tard (49/50), il voulait à tout prix, une fois de plus, l' « emmener » ; Paul au contraire n'y consentit à aucun prix, précisément parce qu' « il les avait quittés en Pamphylie et abandonnés » en plein travail. Certains commentateurs mettent ce différend en relation avec l'incident d'Antioche, où Paul avait récemment condamné les menées judaïsantes de Céphas et de Barnabas (Ga 2:11-14) ; il paraît pourtant difficile d'admettre que l'auteur du livre des Actes eût alors reporté sur Marc la responsabilité de la rupture entre Paul et Barnabas. Ni l'un ni l'autre ne voulurent céder, et la discussion fut vive (grec paroxusmos)  ; elle aboutit à la séparation : Barnabas partit avec Marc pour évangéliser encore Chypre, son propre pays d'origine, (cf. Ac 4:36) tandis que Paul, commençant lui aussi son second voyage missionnaire par son propre pays d'origine, la Syrie et Cilicie, (cf. Ac 22:3) prenait pour nouveau compagnon Silas, auquel il devait bientôt adjoindre Timothée (Ac 15:40 16:3). C'est dans ces circonstances que Barnabas (voir ce mot) disparaît du livre des Actes, bien que Paul doive le citer quelque 5 ans plus tard dans 1Co 9:6 comme un apôtre du Seigneur, en des termes qui le supposent encore vivant. D'après les Actes de Barnabas, ouvrage apocryphe du IV e ou du V e siècle fort sujet à caution, il aurait été martyr dans l'île de Chypre et Marc aurait alors gagné l'Egypte pour prêcher l'Evangile dans la ville d'Alexandrie. Cette dernière tradition n'est pas inacceptable, car d'anciens témoignages (Eusèbe, Jérôme, Épiphane, etc.) rattachent à Marc la fondation de cette Église, quoiqu'il soit étrange que ses deux plus grands chefs, Clément et Origène, n'en parlent ni l'un ni l'autre. Eusèbe précise que le successeur de Marc y serait entré en fonctions dans la 8 e année de Néron (61/62), ce qui rendrait compte de l'activité de Marc pendant une dizaine d'années, jusqu'à ce que nous le retrouvions en la compagnie de Paul.

6.

Il y paraît tout d'abord dans Col 4:10 : « Marc, le cousin de Barnabas » ; proche parenté, car le grec anepsios désigne spécialement les cousins germains (voir Cousin) : Marie mère de Marc devait être soeur de la mère ou du père de Barnabas. Ainsi se confirme bien l'identité, que nous avons admise jusqu'ici, du Jean-Marc compagnon de Barnabas d'après Act., avec le Marc cousin de Barnabas et compagnon de Paul d'après trois épîtres de ce dernier. Si ses ép. aux Col et à Philém, sont écrites de Rome (comme nous le supposons), elles se placent vers 59-61 ; si elles datent de la captivité de Césarée (voir Colossiens, III), elles remontent à environ 3 ans plus tôt, ce qui cadre moins bien avec l'époque précitée suggérée par Eusèbe pour le départ de Marc d'Alexandrie. Dans l'une ou l'autre hypothèse les allusions de Paul à des recommandations que les chrétiens de Colosses ont déjà reçues à son sujet et l'ordre de l'apôtre de bien l'accueillir s'il va les voir (car selon toute apparence la tournure ambiguë de la phrase se rapporte bien à Marc et non pas à Barnabas) indiquent que Marc est connu d'eux, et sans doute les a visités antérieurement, en tout cas qu'il doit avoir l'intention de bientôt se rendre en leur région. L'apôtre lui-même l'espérait, escomptant sa propre libération : il le dit expressément à l'hôte de l'Église même de Colosses, Philémon, dans le billet qu'il lui adresse en même temps que l'épître à la communauté. (cf. Phm 1:24) Ces deux mentions de Marc par Paul prouvent péremptoirement qu'entre eux le vieil incident est clos : non seulement il le recommande aux chrétiens de la vallée du Lycus, qui connaissaient fort bien son abandon lors de la première mission dans une région frontière de la leur, mais encore il insiste sur le fait que Marc est l'un des trois seuls frères d'origine israélite (=circoncis) qui l'ont soutenu dans sa captivité ; son ancien « aide », le trouvant prisonnier, est devenu son « compagnon de travail » (grec sunergos) et, par là, une « consolation » (parêgoria). Après l'ancienne brouille passagère, la réconciliation complète ne peut que les honorer l'un et l'autre.

7.

Marc s'est-il effectivement rendu à Colosses ? On l'ignore. Mais en Asie Mineure, certainement, si la 2 e ép. de Paul à Timothée est bien, comme nous le pensons (voir Pastorales), un message d'une deuxième captivité de l'apôtre à Rome, sa dernière, peu avant sa mort (vers 64 ou 67). S'adressant à son disciple, qui se trouve alors non loin de Troas (2Ti 4:13) et probablement à Éphèse, et l'engageant à venir le rejoindre bientôt (2Ti 4:9), Paul dit à Timothée de prendre en chemin et de lui amener Marc, qui lui est « fort utile pour le ministère » (2Ti 4:11). Encore une fois est caractérisé comme une activité auxiliaire ce genre de service (grec diaconia), ministère pratique, dans lequel il excellait. On aime à recueillir au sujet du jeune compagnon de la première mission comme des dernières épreuves ce témoignage et ce voeu suprêmes du grand apôtre, à la veille de son martyre (2Ti 4:6,8).

8.

Devait-il le revoir, avant la fin ? Ce n'est pas impossible, car vers l'époque même où Paul va disparaître, à Rome, voici reparaître Pierre, à Rome aussi, qui dans son épître (1Pi 5:13) appelle Marc son « fils » (huïos). Que ce titre d'affection soit proprement celui d'un fils spirituel, amené à l'Évangile par l'apôtre lui-même (en ce cas, Paul disait plutôt : enfant [teknon], cf. Phm 1:10, etc.), ou dans un sens plus général celui d'un jeune et fidèle disciple, il semble en tout cas fort bien approprié à Marc de la part du vieil ami de sa mère qu'au temps de sa jeunesse il voyait à la maison, le plus considéré parmi les Douze, se joindre aux frères assemblés sous l'épreuve des persécutions. Élève et maître se sont donc retrouvés « à Babylone », endroit d'où Pierre envoie sa lettre en transmettant à ses lecteurs la salutation de Marc ; on voit généralement dans ce nom de Babylone une appellation symbolique (comme est aussi symbolique l'expression voisine : sunéklektê =la co-élue, c-à-d, certainement l'Église), et l'analogie de l'Apocalypse (Ap 14:8 etc.) fait reconnaître la Rome impériale sous le nom figuré de Babylone (voir ce mot). En quelque année que Pierre soit mort, sans doute à Rome, probablement sous Néron, soit en même temps que le martyre de Paul soit quelques années après (voir Simon Pierre), la présence de Marc auprès de lui dans la capitale à cette époque (entre 64 et 68) concorde exactement avec la très solide tradition chrétienne qui situe précisément dans ce cadre la composition de l'évangile selon saint Marc par ce disciple lui-même, alors devenu 1' « interprète » (grec herméneutês) de la prédication de Pierre (voir Marc [évangile de], I ; Évangile Syn., concl.). Cette concordance avec le témoignage unanime de l'Eglise assure les plus fortes probabilités à notre interprétation de 1Pi 5:13, parmi les diverses explications, toutes hypothétiques, qui dépendent des solutions données aux problèmes de la 1 re ép. de Pierre (voir art.) : auteur, époque, lieu de composition.

A propos de cette huitième et dernière mention de Marc dans le N.T., il est à remarquer qu'elle fut écrite sous la dictée de Pierre par le disciple Silvain (1Pi 5:12), sans doute le Silas (voir ce mot) du livre des Actes, jadis emmené par Paul en mission à la place de Jean-Marc précisément (Ac 15:37,40) ; ce Silas, ancien associé de Paul, se trouve finalement avec Pierre, auprès duquel il joue le rôle de « secrétaire » pour rédiger cette épître, comme Marc jouera auprès du même Pierre le rôle d' « interprète » pour prendre des notes sur la prédication de l'apôtre et pour les composer ensuite en l'évangile qui portera le nom du disciple.

9.

En dehors des traditions relatives à cette rédaction de l'évangile de Marc, qu'on trouvera dans l'article suivant, les témoignages des Pères de l'Église concernant sa personne sont rares et fort incertains. D'après des documents romains (l'évêque Hippolyte au III° siècle, les préfaces latines de l'évangile, celle de la Vulgate et un ms. espagnol de cette dernière au VIII° siècle), il aurait porté un surnom grec : l'estropié des doigts ou d'un doigt (kolobodaktulos). On en a cherché des explications bien peu naturelles : il se serait amputé volontairement un pouce pour échapper au sacerdoce juif, (cf. Le 21:16 et suivants ; mais ceci implique qu'il aurait été de la tribu de Lévi, comme son cousin Barnabas : supposition sans aucun appui) ou bien on aurait souligné comme un mérite le fait d'avoir pu, quoique mutilé, composer un ouvrage ; ou bien, au contraire, le surnom aurait eu un sens figuré péjoratif, soit comme équivalent de déserteur pour son abandon de la première mission, soit comme sobriquet destiné par certains philosophes à ridiculiser la brièveté de son évangile ! Si le souvenir de cette singulière épithète, conservée dans les milieux chrétiens de Rome, a quelque valeur historique, mieux vaut l'accepter dans son sens le plus naturel et y voir une infirmité, accidentelle ou congénitale, ayant pu affecter l'une des mains ou même les deux, ou bien consister en un pied bot ou une claudication, et de nature à dériver la carrière du disciple vers ce ministère de second plan par lequel il rendit des services considérables à l'Évangile, comme auxiliaire des apôtres d'avant-garde.

10.

Au sujet de sa mort on ne sait rien de sûr. Diverses traditions ont rattaché, comme nous l'avons dit, une certaine période de son ministère à l'Église d'Alexandrie et à la mission en Egypte ; il y aurait été le premier évêque, y aurait subi le martyre et y aurait été enseveli. Au IX° siècle, des Vénitiens y auraient pris ses cendres pour les transporter dans leur cité. Des récits apocryphes et de nombreuses légendes ont fleuri autour de sa personne, de son martyre et de l'enlèvement soi-disant miraculeux de son corps jusqu'à Saint-Marc, à Venise, dont il a été fait le patron, et où l'on voit encore une place d'honneur réservée au « lion de saint Marc » (Invention évoquée par l'attribut de l'évangile de Marc dans l'iconographie chrétienne : voir Evangile, II). Jn L.

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    • Lévitique 21

      16 L'Eternel dit à Moïse :

      Lamentations 1

      1 Comment ! Elle est assise solitaire, cette ville si peuplée, elle est pareille à une veuve ! Elle qui était grande parmi les nations, elle qui était une princesse parmi les provinces, la voilà maintenant astreinte à la corvée !
      2 Elle pleure durant la nuit et ses joues sont couvertes de larmes. Parmi tous ceux qui l'aimaient, pas un ne la console : tous ses amis l’ont trahie, ils sont devenus ses ennemis.
      3 Juda est en exil, accablé par la misère et un grand esclavage. Il habite au milieu des nations sans y trouver de repos. Tous ses persécuteurs l'ont rattrapé au beau milieu des détresses.
      4 Les chemins de Sion sont dans le deuil, car on ne va plus aux fêtes. Toutes ses portes sont désertes, ses prêtres gémissent, ses jeunes filles sont pleines de chagrin et elle-même est remplie d'amertume.
      5 Ses adversaires ont pris le dessus, ses ennemis sont tranquilles, car c’est l'Eternel qui l’a plongée dans le chagrin à cause du grand nombre de ses transgressions. Ses enfants ont marché en déportés devant l’adversaire.
      6 La fille de Sion a perdu toute sa splendeur. Ses chefs sont pareils à des cerfs qui n’ont rien trouvé à brouter et qui fuient, sans force, devant celui qui les pourchasse.
      7 Durant ces jours de misère et d’errance, Jérusalem s'est souvenue de tous les biens précieux dont elle jouissait par le passé. Quand sa population est tombée entre les mains de l’adversaire, il n’y a eu personne pour l’aider : ses ennemis l'ont regardée et ont ri de sa chute.
      8 Jérusalem a gravement péché. Voilà pourquoi elle inspire le dégoût. Tous ceux qui l'honoraient la méprisent, car ils ont vu sa nudité. Elle-même gémit et tourne le dos.
      9 Son impureté se trouve dans les pans de sa robe. Elle n’avait pas imaginé sa fin ; elle est tombée d'une manière étonnante et personne ne la console. « Vois ma misère, Eternel, face à l’arrogance de l’ennemi ! »
      10 L’adversaire a étendu la main sur tout ce qu'elle avait de précieux. En effet, Jérusalem a vu les nations pénétrer dans son sanctuaire, alors que tu leur avais interdit d’entrer dans ton assemblée.
      11 Toute sa population gémit, elle cherche du pain. Ils ont donné tout ce qu’ils avaient de précieux pour de la nourriture afin de retrouver des forces. « Vois, Eternel, regarde, car je suis méprisée !
      12 Que cela ne vous arrive pas, à vous qui passez sur le chemin ! Regardez et voyez s'il y a une souffrance pareille à la mienne, à celle qui me fait si mal, à celle que l'Eternel m'a infligée le jour où il a déversé toute l’ardeur de sa colère.
      13 D'en haut il a lancé un feu dans mes os et il les piétine. Il a tendu un piège sous mes pieds, il m'a fait tomber en arrière. Il m'a livrée à la dévastation, je suis constamment souffrante.
      14 Sa main a fait de mes transgressions une charge, elles se sont entremêlées, hissées sur ma nuque. Il a brisé ma force. Le Seigneur m'a livrée entre des mains auxquelles je suis incapable de résister.
      15 Le Seigneur a terrassé tous les guerriers qui étaient avec moi, il a convoqué contre moi un rassemblement pour briser mes jeunes hommes. Le Seigneur a écrasé au pressoir la jeune fille, la fille de Juda.
      16 C'est pour cela que je pleure. Mes yeux fondent en larmes car il s'est éloigné de moi, celui qui pourrait me consoler, celui qui aurait pu me redonner des forces. Mes fils sont désespérés car l'ennemi est puissant. »
      17 Sion a tendu les mains et personne ne l'a consolée ; l'Eternel a donné ses ordres contre Jacob aux adversaires qui l’entouraient et Jérusalem est devenue un objet d'horreur au milieu d'eux.
      18 « L'Eternel est juste, car je me suis révoltée contre ses ordres. Ecoutez donc, vous, tous les peuples, et voyez ma douleur ! Mes jeunes filles et mes jeunes hommes sont partis en déportation ;
      19 j'ai appelé mes amis et ils m'ont trompée ; mes prêtres et mes anciens ont expiré dans la ville, alors qu’ils cherchaient de la nourriture pour retrouver des forces.
      20 Regarde, Eternel, car je suis dans la détresse ! Je suis profondément tourmentée, profondément bouleversée, car j'ai été vraiment rebelle. Dehors, l'épée m’a privée d’enfants ; dedans, c’est la mort.
      21 On a entendu mes gémissements et personne ne m'a consolée. Tous mes ennemis ont appris mon malheur, et ils se sont réjouis de ce que tu en étais l’auteur. Tu as fait venir le jour que tu avais annoncé. Qu’ils deviennent eux aussi pareils à moi !
      22 Que toute leur méchanceté vienne devant toi ! Traite-les comme tu m'as traitée à cause de toutes mes transgressions, car mes soupirs sont nombreux et mon cœur est souffrant ! »

      Lamentations 2

      1 Comment ! A cause de sa colère, le Seigneur maintient de sombres nuages sur la fille de Sion ! Il a précipité du ciel sur la terre la fierté d'Israël ! Il ne s'est pas souvenu de son marchepied, le jour de sa colère !
      2 Le Seigneur a englouti sans pitié tous les domaines de Jacob. Dans sa fureur, il a démoli les forteresses de la fille de Juda, il les a précipitées par terre. Il a profané le royaume et ses chefs.
      3 Dans son ardente colère, il a abattu toute la force d'Israël. Il a retiré sa main droite en présence de l'ennemi. Il a allumé en Jacob comme un feu dont les flammes dévorent tout ce qui l’entoure.
      4 Il a tendu son arc comme un ennemi, sa main droite s'est dressée comme celle d'un assaillant. Il a fait disparaître tout ce qui plaisait aux regards, il a déversé sa fureur comme un feu sur la tente de la fille de Sion.
      5 Le Seigneur a été comme un ennemi : il a englouti Israël, il a englouti tous ses palais, il a détruit ses forteresses. Il a rempli la fille de Juda de plaintes et de gémissements.
      6 Il est passé en force, comme on force la clôture d’un jardin, il a détruit son lieu de rencontre. L'Eternel a fait oublier dans Sion les fêtes et les sabbats et, dans sa violente colère, il a rejeté le roi et le prêtre.
      7 Le Seigneur a repoussé son autel, détesté son sanctuaire. Il a livré entre les mains de l'ennemi les murs des palais de Sion. Des cris ont retenti dans la maison de l'Eternel, comme un jour de fête.
      8 L'Eternel avait projeté de détruire les murs de la fille de Sion. Il a étendu le ruban à mesurer, il n'a pas retiré sa main pour l’empêcher de tout engloutir. Il a plongé dans le deuil remparts et murailles : ensemble ils dépérissent.
      9 Ses portes se sont enfoncées dans la terre, il a démoli et brisé ses verrous. Son roi et ses chefs sont dispersés parmi les nations. Il n'y a plus de loi. Même ses prophètes ne reçoivent plus aucune vision de l'Eternel.
      10 Les anciens de la fille de Sion sont assis par terre, ils restent silencieux ; ils ont couvert leur tête de poussière, ils se sont habillés de sacs. Les jeunes filles de Jérusalem baissent la tête vers la terre.
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      13 Que dois-je te dire ? A quoi te comparer, fille de Jérusalem ? Quel exemple te donner pour te consoler, vierge, fille de Sion ? En effet, ton désastre est aussi grand que la mer. Qui pourra te guérir ?
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      15 Tous les passants applaudissent en te voyant. Ils sifflent, ils secouent leur tête au sujet de la fille de Jérusalem : « Est-ce bien la ville que l’on présentait comme une beauté parfaite, la joie de toute la terre ? »
      16 Tous tes ennemis ouvrent la bouche contre toi, ils sifflent, ils grincent des dents. Ils disent : « Nous l'avons engloutie ! C'est bien le jour que nous attendions. Nous l'avons atteint, nous le voyons ! »
      17 L'Eternel a mis en œuvre ce qu'il avait décidé. Il a accompli sa parole, celle qu'il avait depuis longtemps ordonnée. Il a démoli sans pitié, il a fait de toi la joie de l'ennemi, il a relevé la force de tes adversaires.
      18 Le cœur des vaincus crie vers le Seigneur. Muraille de la fille de Sion, laisse couler tes larmes jour et nuit, comme un torrent ! Ne te donne aucun répit et que ton œil n'ait pas de repos !
      19 Lève-toi, crie ta détresse dans la nuit, au début de tes insomnies ! Déverse ton cœur comme de l'eau devant le Seigneur ! Lève tes mains vers lui pour la vie de tes enfants qui meurent de faim à tous les coins de rue !
      20 « Vois, Eternel ! Regarde qui tu as traité de cette manière ! Fallait-il que des femmes dévorent ceux qu’elles ont mis au monde, les petits enfants dont elles ont pris soin avec tendresse ? Fallait-il que prêtres et prophètes soient massacrés dans le sanctuaire du Seigneur ?
      21 Les enfants et les vieillards sont couchés par terre dans les rues, mes jeunes filles et mes jeunes hommes sont tombés sous les coups d'épée. Tu les as tués, le jour de ta colère, tu les as massacrés sans pitié.
      22 Tu convoques comme pour un jour de fête ceux qui me terrorisent de tous côtés. Le jour de la colère de l’Eternel, il n'y a eu ni rescapé ni survivant. Ceux dont j’avais pris soin avec tendresse et que j’avais élevés, mon ennemi les a exterminés. »

      Marc 14

      13 Il envoya deux de ses disciples et leur dit : « Allez à la ville. Vous rencontrerez un homme qui porte une cruche d'eau : suivez-le.
      51 Un jeune homme le suivait, habillé d’un simple drap. On l'attrapa,

      Luc 10

      1 Après cela, le Seigneur désigna encore 70 autres disciples et les envoya devant lui deux par deux dans toutes les villes et dans tous les endroits où lui-même devait aller.
      2 Il leur dit : « La moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson.
      3 Allez-y ! Je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups.
      4 Ne prenez ni bourse, ni sac, ni sandales et ne saluez personne en chemin.
      5 Dans toute maison où vous entrerez, dites d'abord : ‘Que la paix soit sur cette maison !’
      6 Et s'il se trouve là un homme de paix, votre paix reposera sur lui ; sinon, elle reviendra sur vous.
      7 Restez dans cette maison, mangez et buvez ce qu'on vous donnera, car *l'ouvrier mérite son salaire. N'allez pas de maison en maison.
      8 Dans toute ville où vous entrerez et où l'on vous accueillera, mangez ce que l'on vous offrira,
      9 guérissez les malades qui s'y trouveront et dites-leur : ‘Le royaume de Dieu s'est approché de vous.’
      10 Mais dans toute ville où vous entrerez et où l'on ne vous accueillera pas, allez dans les rues et dites :
      11 ‘Nous secouons contre vous même la poussière de votre ville qui s'est attachée à nos pieds. Sachez cependant que le royaume de Dieu s'est approché [de vous].’
      12 Je vous dis que, ce jour-là, Sodome sera traitée moins sévèrement que cette ville-là.
      13 » Malheur à toi, Chorazin, malheur à toi, Bethsaïda, car si les miracles accomplis au milieu de vous l'avaient été dans Tyr et dans Sidon, il y a longtemps que leurs habitants se seraient repentis, habillés d’un sac et assis dans la cendre.
      14 C'est pourquoi, lors du jugement Tyr et Sidon seront traitées moins sévèrement que vous.
      15 Et toi, Capernaüm, qui as été élevée jusqu'au ciel, tu seras abaissée jusqu'au séjour des morts.
      16 Celui qui vous écoute m'écoute, celui qui vous rejette me rejette, et celui qui me rejette rejette celui qui m'a envoyé. »
      17 Les 70 revinrent tout joyeux et dirent : « Seigneur, même les démons nous sont soumis en ton nom. »
      18 Jésus leur dit : « Je regardais Satan tomber du ciel comme un éclair.
      19 Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions et sur toute la puissance de l'ennemi, et rien ne pourra vous nuire.
      20 Cependant, ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont soumis, mais réjouissez-vous de ce que vos noms sont inscrits dans le ciel. »
      21 A ce moment même, Jésus fut rempli de joie par le Saint-Esprit et il dit : « Je te suis reconnaissant, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents et les as révélées aux enfants. Oui, Père, je te suis reconnaissant car c’est ce que tu as voulu.
      22 Mon Père m’a tout donné et personne ne sait qui est le Fils, si ce n'est le Père, ni qui est le Père, si ce n'est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. »
      23 Puis il se tourna vers les disciples et leur dit en privé : « Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez !
      24 En effet, je vous le dis, beaucoup de prophètes et de rois ont désiré voir ce que vous voyez et ne l'ont pas vu, entendre ce que vous entendez et ne l'ont pas entendu. »
      25 Un professeur de la loi se leva et dit à Jésus pour le mettre à l'épreuve : « Maître, que dois-je faire pour hériter de la vie éternelle ? »
      26 Jésus lui dit : « Qu'est-il écrit dans la loi ? Qu'y lis-tu ? »
      27 Il répondit : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même. »
      28 « Tu as bien répondu, lui dit Jésus. Fais cela et tu vivras. »
      29 Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus : « Et qui est mon prochain ? »
      30 Jésus reprit la parole et dit : « Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba entre les mains de brigands qui le dépouillèrent, le rouèrent de coups et s'en allèrent en le laissant à moitié mort.
      31 Un prêtre qui, par hasard, descendait par le même chemin vit cet homme et passa à distance.
      32 De même aussi un Lévite arriva à cet endroit ; il le vit et passa à distance.
      33 Mais un Samaritain qui voyageait arriva près de lui et fut rempli de compassion lorsqu'il le vit.
      34 Il s'approcha et banda ses plaies en y versant de l'huile et du vin ; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui.
      35 Le lendemain, [à son départ, ] il sortit deux pièces d’argent, les donna à l'aubergiste et dit : ‘Prends soin de lui, et ce que tu dépenseras en plus, je te le rendrai à mon retour.’
      36 Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands ? »
      37 « C'est celui qui a agi avec bonté envers lui », répondit le professeur de la loi. Jésus lui dit [donc] : « Va agir de la même manière, toi aussi. »
      38 Comme Jésus était en chemin avec ses disciples, il entra dans un village, et une femme du nom de Marthe l’accueillit dans sa maison.
      39 Elle avait une sœur appelée Marie, qui s'assit aux pieds de Jésus et écoutait ce qu’il disait.
      40 Marthe était affairée aux nombreuses tâches du service. Elle survint et dit : « Seigneur, cela ne te fait-il rien que ma sœur me laisse seule pour servir ? Dis-lui donc de venir m'aider. »
      41 Jésus lui répondit : « Marthe, Marthe, tu t'inquiètes et tu t'agites pour beaucoup de choses,
      42 mais une seule est nécessaire. Marie a choisi la bonne part, elle ne lui sera pas enlevée. »

      Actes 1

      23 Ils en présentèrent deux : Joseph appelé Barsabbas, surnommé Justus, et Matthias.

      Actes 4

      36 Joseph – celui que les apôtres surnommaient Barnabas, ce qui signifie « fils d’encouragement » –, un Lévite originaire de Chypre,

      Actes 11

      25 Barnabas se rendit ensuite à Tarse pour aller chercher Saul.
      28 L'un d'eux, du nom d’Agabus, se leva et annonça par l'Esprit qu'il y aurait une grande famine sur toute la terre. Elle arriva, en effet, sous l'empereur Claude.
      30 C’est ce qu’ils firent en l’envoyant aux anciens par l'intermédiaire de Barnabas et de Saul.

      Actes 12

      12 Après avoir réfléchi, il se dirigea vers la maison de Marie, la mère de Jean, surnommé Marc, où beaucoup de personnes étaient réunies et priaient.
      24 Quant à la parole de Dieu, elle se propageait de plus en plus.
      25 Une fois leur mission à Jérusalem accomplie, Barnabas et Saul repartirent, emmenant avec eux Jean, surnommé Marc.

      Actes 13

      1 Il y avait dans l'Eglise d'Antioche des prophètes et des enseignants : Barnabas, Siméon appelé le Noir, Lucius de Cyrène, Manahen, qui avait été élevé avec Hérode le tétrarque, et Saul.
      3 Alors, après avoir jeûné, prié et posé les mains sur eux, ils les laissèrent partir.
      5 Arrivés à Salamine, ils annoncèrent la parole de Dieu dans les synagogues des Juifs. Ils avaient aussi Jean pour aide.
    • Lévitique 21

      16 L'Éternel parla encore à Moïse, en disant :

      Lamentations 1

      1 Comment est-elle assise solitaire, la ville si peuplée ! Celle qui était grande entre les nations est semblable à une veuve ; la princesse des provinces est devenue tributaire !
      2 Elle pleure durant la nuit, et les larmes couvrent ses joues ; de tous ceux qu'elle aimait aucun ne la console ; tous ses amis ont agi perfidement contre elle, ils sont devenus ses ennemis.
      3 Juda s'est exilé devant l'affliction et la grandeur de sa servitude ; il demeure au milieu des nations, et il n'y trouve point de repos ; tous ses persécuteurs l'ont saisi dans l'angoisse.
      4 Les chemins de Sion sont dans le deuil, car personne ne vient plus aux fêtes solennelles ; toutes ses portes sont désertes, ses sacrificateurs gémissent, ses vierges sont désolées, et elle est remplie d'amertume.
      5 Ses adversaires ont le dessus, ses ennemis prospèrent ; car l'Éternel l'a affligée, à cause de la multitude de ses forfaits ; ses petits enfants ont marché captifs devant l'ennemi.
      6 Et la fille de Sion a perdu toute sa splendeur ; ses chefs sont devenus comme des cerfs qui ne trouvent point de pâture, et ils s'en vont, privés de force, devant celui qui les chasse.
      7 Aux jours de son affliction et de son exil, Jérusalem s'est souvenue de toutes les choses désirables qu'elle possédait depuis les jours anciens. Quand son peuple est tombé par la main de l'ennemi et que personne n'est venu à son aide, ses adversaires l'ont vue et se sont moqués de ses sabbats.
      8 Jérusalem a grièvement péché ; c'est pourquoi elle est devenue un objet de dégoût ; tous ceux qui l'honoraient la méprisent, parce qu'ils ont vu sa nudité ; elle-même gémit et détourne la tête !
      9 Sa souillure était dans les pans de sa robe, et elle ne s'est pas souvenue de sa fin. Elle a été prodigieusement abaissée ; elle n'a point de consolateur ! Regarde, ô Éternel ! mon affliction ; car l'ennemi triomphe.
      10 L'adversaire a étendu la main sur tout ce qu'elle avait de plus désirable ; car elle a vu entrer dans son sanctuaire les nations, au sujet desquelles tu avais donné cet ordre : Elles n'entreront point dans ton assemblée.
      11 Tout son peuple gémit, ils cherchent du pain ; ils ont donné ce qu'ils avaient de plus précieux pour de la nourriture, afin de ranimer leur vie. Vois, ô Éternel, et regarde combien je suis méprisée !
      12 N'êtes-vous pas touchés, vous tous qui passez par le chemin ? Regardez et voyez s'il est une douleur pareille à la douleur dont j'ai été frappée, moi que l'Éternel afflige au jour de l'ardeur de sa colère.
      13 D'en haut, il a envoyé dans mes os un feu qui s'en est rendu maître ; il a tendu un filet sous mes pieds, et m'a fait tomber en arrière. Il m'a mise dans la désolation, dans une langueur de tous les jours.
      14 Le joug de mes iniquités est lié par sa main. Elles sont entrelacées et pèsent sur mon cou ; il a fait fléchir ma force ; le Seigneur m'a livrée à des mains auxquelles je ne puis résister.
      15 Le Seigneur a renversé au milieu de moi tous les hommes vaillants ; il a convoqué contre moi une assemblée, pour mettre en pièces mes jeunes gens d'élite. Le Seigneur a foulé au pressoir la vierge, fille de Juda !
      16 C'est pour cela que je pleure, et que mon oeil, mon oeil se fond en eau ; car le consolateur qui ranimait mon âme s'est éloigné de moi ; mes enfants sont dans la désolation, parce que l'ennemi a été le plus fort.
      17 Sion étend ses mains, et personne ne la console ; l'Éternel a ordonné aux ennemis de Jacob de l'entourer de toutes parts. Jérusalem est devenue parmi eux comme un objet d'horreur.
      18 L'Éternel est juste ; car j'ai été rebelle à sa parole. Peuples, écoutez tous, je vous prie, et regardez ma douleur ! Mes vierges et mes jeunes gens sont allés en captivité.
      19 J'ai appelé mes amis, mais ils m'ont trompée. Mes sacrificateurs et mes anciens ont expiré dans la ville, lorsqu'ils cherchaient de la nourriture pour ranimer leur vie.
      20 Regarde, ô Éternel ! car je suis dans la détresse : mes entrailles bouillonnent, mon coeur est bouleversé au-dedans de moi, car j'ai été fort rebelle. Au-dehors, l'épée fait ses ravages ; au-dedans, c'est la mort !
      21 Ils m'entendent gémir ; et personne ne me console. Tous mes ennemis ont appris mon malheur ; ils se réjouissent de ce que tu l'as fait. Tu feras venir le jour que tu as annoncé, et ils seront semblables à moi.
      22 Que toute leur malice vienne devant toi, et traite-les comme tu m'as traitée, à cause de toutes mes transgressions ; car mes gémissements sont en grand nombre, et mon coeur est languissant.

      Lamentations 2

      1 Comment le Seigneur, dans sa colère, a-t-il couvert d'un nuage la fille de Sion ? Il a précipité des cieux sur la terre la gloire d'Israël, et au jour de sa colère il ne s'est point souvenu du marchepied de ses pieds !
      2 Le Seigneur a détruit sans pitié toutes les demeures de Jacob ; il a ruiné, dans sa fureur, les forteresses de la ville de Juda ; il les a jetées par terre, il a profané le royaume et ses chefs.
      3 Dans l'ardeur de sa colère, il a brisé toute la force d'Israël ; il a retiré sa droite en présence de l'ennemi ; il a allumé dans Jacob comme un feu flamboyant, qui consume de toutes parts.
      4 Il a tendu son arc comme un ennemi ; sa droite s'est tenue comme celle d'un adversaire ; il a tué tout ce qui était agréable à l'oeil ; sur la tente de la fille de Sion, il a répandu comme un feu sa colère.
      5 Le Seigneur a été comme un ennemi, il a détruit Israël, il a détruit tous ses palais, il a ruiné toutes ses forteresses, il a multiplié chez la fille de Juda les gémissements et les plaintes.
      6 Il a ravagé son enclos comme un jardin ; il a détruit le lieu de son assemblée. L'Éternel a fait oublier, dans Sion, la fête solennelle et le sabbat ; et dans l'indignation de sa colère, il a rejeté le roi et le sacrificateur.
      7 Le Seigneur a dédaigné son autel, il a répudié son sanctuaire ; il a livré aux mains de l'ennemi les murailles de ses palais ; ils ont jeté leurs cris dans la maison de l'Éternel, comme en un jour de fête.
      8 L'Éternel avait résolu de détruire la muraille de la fille de Sion ; il a tendu le cordeau, et n'a point retiré sa main pour cesser de détruire ; il a mis dans le deuil le rempart et la muraille ; l'un et l'autre languissent attristés.
      9 Ses portes sont enfoncées en terre ; il en a détruit et brisé les barres. Son roi et ses chefs sont parmi les nations ; la loi n'est plus ; ses prophètes même ne reçoivent aucune vision de l'Éternel.
      10 Les anciens de la fille de Sion sont assis à terre et se taisent ; ils mettent de la poussière sur leur tête ; ils se sont ceints de sacs ; les vierges de Jérusalem laissent retomber leur tête vers la terre.
      11 Mes yeux se consument dans les larmes ; mes entrailles bouillonnent, et mon foie se répand sur la terre, à cause de la plaie de la fille de mon peuple, parce que les petits enfants et ceux qui sont à la mamelle défaillent dans les places de la ville.
      12 Ils disaient à leurs mères : Où est le froment et le vin ? lorsqu'ils défaillaient comme des blessés à mort dans les places de la ville, et rendaient l'âme sur le sein de leurs mères.
      13 Quel témoignage présenterai-je ? A quoi te comparerai-je, fille de Jérusalem ? Et à qui t'égalerai-je, pour te consoler, vierge, fille de Sion ? Car ta plaie est grande comme la mer ; qui est-ce qui te guérira ?
      14 Tes prophètes ont eu pour toi des visions mensongères et vaines ; ils ne t'ont point découvert ton iniquité, pour détourner ta captivité, mais ils ont eu pour toi des oracles de mensonge et d'égarement.
      15 Tous les passants battent des mains à ton sujet ; ils sifflent, ils branlent la tête, contre la fille de Jérusalem. Est-ce là, disent-ils, la ville qu'on appelait la parfaite en beauté, la joie de toute la terre ?
      16 Tous tes ennemis ouvrent la bouche contre toi ; ils sifflent et grincent des dents ; ils disent : Nous les avons engloutis ! Oui, c'est ici le jour que nous attendions, nous y sommes parvenus, nous le voyons !
      17 L'Éternel a fait ce qu'il avait résolu ; il a accompli la parole qu'il avait dès longtemps arrêtée ; il a détruit, il n'a point épargné. Il a réjoui l'ennemi à ton sujet, et il a relevé la force de tes adversaires.
      18 Leur coeur crie vers le Seigneur : Muraille de la fille de Sion ! verse des larmes, comme un torrent, jour et nuit ; ne te donne pas de relâche, et que la prunelle de tes yeux ne se repose point !
      19 Lève-toi et crie de nuit, dès le commencement des veilles de la nuit ; répands ton coeur comme de l'eau, en la présence du Seigneur ! Lève tes mains vers lui, pour la vie de tes petits enfants, qui meurent de faim aux coins de toutes les rues !
      20 Regarde, ô Éternel ! et considère qui tu as ainsi traité ! Fallait-il que les femmes dévorassent leur fruit, les petits enfants, objets de leurs caresses ? Fallait-il que le sacrificateur et le prophète fussent tués dans le sanctuaire du Seigneur ?
      21 Le jeune homme et le vieillard sont couchés par terre dans les rues ; mes vierges et mes jeunes gens d'élite sont tombés par l'épée ; tu as tué, au jour de ta colère, tu as égorgé, tu n'as point épargné !
      22 Tu as appelé de toutes parts sur moi les frayeurs, comme à un jour de fête solennelle ; et au jour de la colère de l'Éternel, nul n'a échappé ni survécu. Ceux que j'avais caressés et élevés, mon ennemi les a consumés !

      Marc 14

      13 Alors il envoya deux de ses disciples et leur dit : Allez à la ville, et vous rencontrerez un homme portant une cruche d'eau ; suivez-le.
      51 Et un jeune homme le suivait, enveloppé seulement d'une étoffe légère ; et les jeunes gens le prirent.

      Luc 10

      1 Après cela, le Seigneur établit encore soixante et dix autres disciples ; et il les envoya deux à deux devant lui, dans toutes les villes et dans tous les lieux où lui-même devait aller.
      2 Et il leur disait : La moisson est grande ; mais il y a peu d'ouvriers ; priez donc le Maître de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson.
      3 Allez, je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups.
      4 Ne portez ni bourse, ni sac, ni souliers ; et ne saluez personne en chemin.
      5 Et dans quelque maison que vous entriez, dites en entrant : La paix soit sur cette maison.
      6 S'il y a là un enfant de paix, votre paix reposera sur lui ; sinon elle retournera à vous.
      7 Et demeurez dans cette maison, mangeant et buvant de ce qu'on vous donnera ; car l'ouvrier est digne de son salaire. Ne passez point d'une maison à une autre maison.
      8 Et dans quelque ville que vous entriez, si l'on vous y reçoit, mangez de ce qu'on vous présentera.
      9 Guérissez les malades qui s'y trouveront, et dites-leur : Le royaume de Dieu s'est approché de vous.
      10 Mais dans quelque ville que vous entriez, si l'on ne vous reçoit pas, sortez dans les rues, et dites :
      11 Nous secouons contre vous la poussière qui s'est attachée à nous dans votre ville ; sachez pourtant que le règne de Dieu s'est approché de vous.
      12 Je vous dis qu'en ce jour-là le sort de Sodome sera plus supportable que celui de cette ville-là.
      13 Malheur à toi, Chorazin ; malheur à toi, Bethsaïda ; car si les miracles qui ont été faits au milieu de vous, avaient été faits à Tyr et à Sidon, il y a longtemps qu'elles se seraient converties, en prenant le sac et la cendre.
      14 C'est pourquoi le sort de Tyr et de Sidon sera plus supportable au Jugement que le vôtre.
      15 Et toi, Capernaüm, qui as été élevée jusqu'au ciel, tu seras abaissée jusqu'en enfer.
      16 Qui vous écoute, m'écoute ; et qui vous rejette, me rejette ; et qui me rejette, rejette celui qui m'a envoyé.
      17 Or, les soixante et dix disciples revinrent avec joie, disant : Seigneur, les démons mêmes nous sont assujettis en ton nom.
      18 Et il leur dit : Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair.
      19 Voici, je vous donne le pouvoir de marcher sur les serpents, sur les scorpions, et sur toutes les forces de l'ennemi ; et rien ne pourra vous nuire.
      20 Toutefois ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont assujettis ; mais réjouissez-vous plutôt de ce que vos noms sont écrits dans les cieux.
      21 En ce même instant, Jésus tressaillit de joie en son esprit et dit : Je te loue, ô Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants ! Oui, ô Père, cela est ainsi, parce que tu l'as trouvé bon !
      22 Toutes choses m'ont été données par mon Père ; et nul ne connaît qui est le Fils, que le Père, ni qui est le Père, que le Fils, et celui à qui le Fils le voudra révéler.
      23 Puis, se tournant vers ses disciples, il leur dit en particulier : Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez !
      24 Car je vous dis que plusieurs prophètes et plusieurs rois ont désiré de voir ce que vous voyez, et ne l'ont point vu ; et d'entendre ce que vous entendez, et ne l'ont point entendu.
      25 Alors un docteur de la loi se leva et dit à Jésus, pour l'éprouver : Maître, que faut-il que je fasse pour hériter de la vie éternelle ?
      26 Jésus lui dit : Qu'est-ce qui est écrit dans la loi, et qu'y lis-tu ?
      27 Il répondit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même.
      28 Et Jésus lui dit : Tu as bien répondu ; fais cela, et tu vivras.
      29 Mais cet homme voulant paraître juste, dit à Jésus : Et qui est mon prochain ?
      30 Et Jésus, reprenant la parole, dit : Un homme descendit de Jérusalem à Jérico, et tomba entre les mains des brigands, qui le dépouillèrent ; et après l'avoir blessé de plusieurs coups, ils s'en allèrent, le laissant à demi mort.
      31 Or, il se rencontra qu'un sacrificateur descendait par ce chemin-là, et ayant vu cet homme, il passa outre.
      32 Un lévite étant aussi venu dans le même endroit, et le voyant, passa outre.
      33 Mais un Samaritain, passant son chemin, vint vers cet homme, et le voyant, il fut touché de compassion.
      34 Et s'approchant, il banda ses plaies, et il y versa de l'huile et du vin ; puis il le mit sur sa monture, et le mena à une hôtellerie, et prit soin de lui.
      35 Le lendemain, en partant, il tira deux deniers d'argent, et les donna à l'hôte, et lui dit : Aie soin de lui, et tout ce que tu dépenseras de plus, je te le rendrai à mon retour.
      36 Lequel donc de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui est tombé entre les mains des voleurs ?
      37 Le docteur dit : C'est celui qui a exercé la miséricorde envers lui. Jésus donc lui dit : Va, et fais la même chose.
      38 Comme ils étaient en chemin, il entra dans un bourg, et une femme, nommée Marthe, le reçut dans sa maison.
      39 Elle avait une soeur nommée Marie, qui, se tenant assise aux pieds de Jésus, écoutait sa parole.
      40 Et Marthe était distraite par divers soins du ménage. Étant survenue, elle dit : Seigneur, ne considères-tu point que ma soeur me laisse servir toute seule ? Dis-lui donc qu'elle m'aide.
      41 Et Jésus lui répondit : Marthe, Marthe, tu te mets en peine et tu t'agites pour beaucoup de choses ;
      42 (10-41) mais une seule est nécessaire ; et Marie a choisi la bonne part, qui ne lui sera point ôtée.

      Actes 1

      23 Alors ils en présentèrent deux : Joseph, appelé Barsabas, surnommé Juste, et Matthias.

      Actes 4

      36 Ainsi Joses, surnommé par les apôtres Barnabas, c'est-à-dire, fils de consolation, Lévite et originaire de Cypre,

      Actes 11

      25 Barnabas s'en alla ensuite à Tarse, pour chercher Saul ;
      28 Et l'un d'eux, nommé Agabus, se leva, et annonça par l'Esprit qu'il y aurait une grande famine par toute la terre ; ce qui arriva en effet sous Claude César.
      30 Et ils le firent, l'envoyant aux anciens par les mains de Barnabas et de Saul.

      Actes 12

      12 Et s'étant reconnu, il alla à la maison de Marie, mère de Jean, sur-nommé Marc, où plusieurs personnes étaient assemblées et priaient.
      24 Or la parole du Seigneur croissait, et se répandait.
      25 Et Barnabas et Saul, après s'être acquittés de leur ministère, s'en retournèrent de Jérusalem, ayant aussi pris avec eux Jean, surnommé Marc.

      Actes 13

      1 Il y avait dans l'Église d'Antioche quelques prophètes et docteurs, Barnabas, Siméon appelé Niger, Lucius le Cyrénéen, Manahem, élevé avec Hérode le tétrarque, et Saul.
      3 Alors ayant jeûné et prié, ils leur imposèrent les mains, et les firent partir.
      5 Et étant arrivés à Salamine, ils annoncèrent la parole de Dieu dans les synagogues des Juifs, et ils avaient aussi Jean pour les aider.
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