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MARC

1.

Le Markos du N.T. grec est le latin Marcus, prénom romain qui en cette qualité précédait le nom et le surnom et s'écrivait en abrégé par l'initiale M. (par ex. : M. [=Marcus] Tullius Cicero). A partir de l'ère chrétienne, il devint extrêmement fréquent, sans distinction de classes, chez tous les peuples de langue grecque à travers l'empire, généralement porté seul suivant l'usage hellénique : les inscriptions et documents du temps mentionnent de nombreux Markos ou fils de Markos. Ce fut d'ailleurs le cas de la plupart des prénoms latins, parmi lesquels le N.T. emploie comme noms grecs ceux de Gaïus et de Lucius (voir ces mots). Quant à Marc, on l'y compte 8 fois : 4 fois dans les Actes (Ac 12:12,25 15:37,39), 3 fois dans les ép. de Paul (Col 4:10, Phm 1:24,2Ti 4:11), une fois dans la 1ere ép. de Pierre (1Pi 5:13). Dans les trois premiers de ces passages c'est un surnom, celui d'un Juif : « Jean surnommé Marc », désigné deux fois entre temps par son seul nom israélite de Jean (Ac 13:5-13), et qu'on distinguait donc de ses nombreux compatriotes du même nom en ajoutant son surnom d'origine latine. C'est à peu près ainsi que Joseph Barsabas est surnommé Justus (=juste) (Ac 1:23), qu'un Siméon est appelé Niger (=noir) (Ac 13:1), et que ce Saul est aussi appelé Paul » (Ac 13:9). Cette dernière analogie, celle du grand apôtre dont le nom hébreu est définitivement remplacé par son surnom grec dès le début de sa carrière missionnaire, vient ici à l'appui de l'interprétation la plus naturelle et la plus généralement adoptée, d'après laquelle les dix mentions bibliques de Jean-Marc ou Jean, et de Marc, se rapportent toutes au même personnage.

2.

Il apparaît d'abord en relation avec l'apôtre Pierre. La première fois il est simplement désigné comme fils d'une Juive de Jérusalem appelée Marie, chez qui, lors de la persécution de l'Église par Hérode Agrippa I er (an 44), des chrétiens se réunissent pour prier ; et dès que Pierre se voit délivré de la prison, en pleine nuit, c'est vers cette demeure qu'il se dirige avant de disparaître, pour y charger les fidèles assemblés de raconter à Jacques et aux autres frères sa miraculeuse libération (Ac 12:12 et suivants). Plusieurs détails du récit : une grande porte de vestibule (grec, pulôn), une pièce de réception suffisamment spacieuse, une servante (sans doute une esclave), dénotent une certaine situation de fortune, et l'épisode dans son ensemble prouve que Marie tout au moins comptait, alors parmi les membres influents de la communauté primitive. D'où il ne s'ensuit pas nécessairement, comme on l'a supposé, qu'il faille placer aussi dans sa maison le repas de la sainte Cène et l'effusion du Saint-Esprit le jour de la Pentecôte, ni faire de Marc l'un des 70 disciples (Lu 10). S'il est vrai, comme l'écrira Papias au II° siècle, que Marc auteur de l'évangile « n'avait ni entendu ni suivi le Seigneur » (ce que semble confirmer la phrase incomplète, sans doute relative à Marc, par laquelle commence le fragment de Muratori), ces hypothèses sont assez improbables. On a parfois voulu reconnaître Marc lui-même dans les deux personnages anonymes que l'évangile de Marc place à proximité soit de la chambre haute soit du jardin de Gethsémané : le porteur de la cruche (Mr 14:13 et suivants) et le jeune homme qui s'enfuit la nuit sans vêtement (Mr 14:51 et suivant) ; identifications soutenables, mais purement conjecturales. Voir Marie, parag. 3.

3.

Un ou deux ans sans doute après la délivrance de Pierre, en 45 ou 46 (voir Chronol. du N.T., II, parag. 1 et 3), Barnabas et Saul étant venus d'Antioche à Jérusalem pour y apporter les dons des frères aux victimes de la famine (Ac 11:28,30), leur attention s'y porte sur Jean surnommé Marc, vraisemblablement à cause des services qu'il leur rend dans cette distribution des secours, et lorsqu'ils repartent pour Antioche ils l'emmènent avec eux (Ac 12:25), tout comme auparavant Barnabas avait emmené de Tarse à Antioche Saul lui-même (Ac 11:25 et suivant). Le développement rapide de l'Église chrétienne en cette capitale de la Syrie réclamait en effet de nouveaux et actifs collaborateurs ; on voit (Ac 13:1,3) s'y multiplier « prophètes » et « docteurs » (prédicateurs et instructeurs), puis s'imposer d'En-haut le programme de la mission chrétienne pour laquelle deux d'entre eux sont désignés : précisément encore Barnabas et Saul, qui partent bientôt pour Chypre, « ayant Jean avec eux pour les aider » (Ac 13:3), litt. : comme serviteur ; le terme ici employé, hupêrétês, est dans le grec classique le titre du subordonné d'un chef, non pas subalterne, mais secrétaire, aide de camp, ordonnance, etc. Les fonctions assignées à ce jeune homme sont donc bien celles d'un auxiliaire et non pas d'un égal à côté des apôtres, et pas davantage celles d'un simple domestique ; il devait avoir à s'occuper des arrangements matériels du voyage, des formalités, des rendez-vous, peut-être même des baptêmes, s'il ressort de 1Co 1:14-16 que saint Paul n'en administrait guère lui-même ; ainsi les deux missionnaires pouvaient se consacrer plus complètement à leur tâche absorbante, surtout spirituelle.

4.

Mais cette collaboration à trois ne dura guère. Après la visite de Chypre, dès qu'ils ont regagné par mer le continent, au port de Perge, Jean quitte ses deux compagnons pour retourner à Jérusalem (Ac 13:13), auprès de sa mère. Bien des hypothèses ont été risquées pour expliquer un aussi rapide abandon. Le jeune homme était-il en mauvaise santé, ou du moins assez fatigué déjà pour redouter l'épuisant et périlleux trajet depuis la côte pam-phylienne fort malsaine jusqu'aux hauts-plateaux pisidiens fort mal fréquentés ? (cf. la maladie de Paul en Galatie : Ga 4:13 et suivant, et tous les risques courus dans ses voyages : 2Co 11:26 et suivants). Marc estimait-il qu'un pareil itinéraire, au sein de populations à forte proportion païenne, l'aurait beaucoup plus éloigné de son pays qu'il n'avait été prévu lors du départ ? Ou bien l'auteur du récit, qui vient de montrer d'une touche discrète Barnabas désormais éclipsé par « Saul appelé aussi Paul » (Ac 13:9, comp, d'abord « Barnabas et Saul » J (Ac 11:25,30 12:24 13 1,2,7) Puis « Paul et Barnabas ») (Ac 13:43,46,50 14:1,3 etc.), n'a-t-il pas voulu indiquer, dans Ac 13:13, sans y insister davantage, que ce changement de chef dans la troupe missionnaire avait déplu à Jean-Marc, lequel (nous le verrons plus loin) était proche parent de Barnabas, et devait préférer son autorité paisible à la fougueuse indépendance de Paul ? Cette façon elliptique de réduire le fait nouveau (changement de chef) en une tournure de style ( « Paul et ses compagnons ») et d'en rapprocher la conséquence sans la rattacher explicitement à sa cause ( « Jean se sépara d'eux »), serait bien dans la manière du rédacteur du livre des Actes. Quoi qu'il en soit de ses motifs, Marc pouvait avoir aussi ses excuses : le Saint-Esprit ne l'avait pas mis à part, lui, pour la mission, l'Église ne l'avait pas consacré, il n'était qu'un surnuméraire, choisi par les missionnaires sous leur propre responsabilité, mais (comme les faits allaient le prouver) nullement indispensable ou irremplaçable ; si de telles conditions d'engagement lui conservaient à ses yeux sa liberté, il a pu se juger autorisé à en user en présence des faits imprévus énumérés plus haut (voir Paul [ses voyages], II).

5.

Quelles qu'en aient été les raisons, sa défection devait être jugée en tout cas fort différemment par ses deux aînés. Barnabas la considéra si peu comme une désertion, qu'au moment de repartir en mission avec Paul, environ 3 ans plus tard (49/50), il voulait à tout prix, une fois de plus, l' « emmener » ; Paul au contraire n'y consentit à aucun prix, précisément parce qu' « il les avait quittés en Pamphylie et abandonnés » en plein travail. Certains commentateurs mettent ce différend en relation avec l'incident d'Antioche, où Paul avait récemment condamné les menées judaïsantes de Céphas et de Barnabas (Ga 2:11-14) ; il paraît pourtant difficile d'admettre que l'auteur du livre des Actes eût alors reporté sur Marc la responsabilité de la rupture entre Paul et Barnabas. Ni l'un ni l'autre ne voulurent céder, et la discussion fut vive (grec paroxusmos)  ; elle aboutit à la séparation : Barnabas partit avec Marc pour évangéliser encore Chypre, son propre pays d'origine, (cf. Ac 4:36) tandis que Paul, commençant lui aussi son second voyage missionnaire par son propre pays d'origine, la Syrie et Cilicie, (cf. Ac 22:3) prenait pour nouveau compagnon Silas, auquel il devait bientôt adjoindre Timothée (Ac 15:40 16:3). C'est dans ces circonstances que Barnabas (voir ce mot) disparaît du livre des Actes, bien que Paul doive le citer quelque 5 ans plus tard dans 1Co 9:6 comme un apôtre du Seigneur, en des termes qui le supposent encore vivant. D'après les Actes de Barnabas, ouvrage apocryphe du IV e ou du V e siècle fort sujet à caution, il aurait été martyr dans l'île de Chypre et Marc aurait alors gagné l'Egypte pour prêcher l'Evangile dans la ville d'Alexandrie. Cette dernière tradition n'est pas inacceptable, car d'anciens témoignages (Eusèbe, Jérôme, Épiphane, etc.) rattachent à Marc la fondation de cette Église, quoiqu'il soit étrange que ses deux plus grands chefs, Clément et Origène, n'en parlent ni l'un ni l'autre. Eusèbe précise que le successeur de Marc y serait entré en fonctions dans la 8 e année de Néron (61/62), ce qui rendrait compte de l'activité de Marc pendant une dizaine d'années, jusqu'à ce que nous le retrouvions en la compagnie de Paul.

6.

Il y paraît tout d'abord dans Col 4:10 : « Marc, le cousin de Barnabas » ; proche parenté, car le grec anepsios désigne spécialement les cousins germains (voir Cousin) : Marie mère de Marc devait être soeur de la mère ou du père de Barnabas. Ainsi se confirme bien l'identité, que nous avons admise jusqu'ici, du Jean-Marc compagnon de Barnabas d'après Act., avec le Marc cousin de Barnabas et compagnon de Paul d'après trois épîtres de ce dernier. Si ses ép. aux Col et à Philém, sont écrites de Rome (comme nous le supposons), elles se placent vers 59-61 ; si elles datent de la captivité de Césarée (voir Colossiens, III), elles remontent à environ 3 ans plus tôt, ce qui cadre moins bien avec l'époque précitée suggérée par Eusèbe pour le départ de Marc d'Alexandrie. Dans l'une ou l'autre hypothèse les allusions de Paul à des recommandations que les chrétiens de Colosses ont déjà reçues à son sujet et l'ordre de l'apôtre de bien l'accueillir s'il va les voir (car selon toute apparence la tournure ambiguë de la phrase se rapporte bien à Marc et non pas à Barnabas) indiquent que Marc est connu d'eux, et sans doute les a visités antérieurement, en tout cas qu'il doit avoir l'intention de bientôt se rendre en leur région. L'apôtre lui-même l'espérait, escomptant sa propre libération : il le dit expressément à l'hôte de l'Église même de Colosses, Philémon, dans le billet qu'il lui adresse en même temps que l'épître à la communauté. (cf. Phm 1:24) Ces deux mentions de Marc par Paul prouvent péremptoirement qu'entre eux le vieil incident est clos : non seulement il le recommande aux chrétiens de la vallée du Lycus, qui connaissaient fort bien son abandon lors de la première mission dans une région frontière de la leur, mais encore il insiste sur le fait que Marc est l'un des trois seuls frères d'origine israélite (=circoncis) qui l'ont soutenu dans sa captivité ; son ancien « aide », le trouvant prisonnier, est devenu son « compagnon de travail » (grec sunergos) et, par là, une « consolation » (parêgoria). Après l'ancienne brouille passagère, la réconciliation complète ne peut que les honorer l'un et l'autre.

7.

Marc s'est-il effectivement rendu à Colosses ? On l'ignore. Mais en Asie Mineure, certainement, si la 2 e ép. de Paul à Timothée est bien, comme nous le pensons (voir Pastorales), un message d'une deuxième captivité de l'apôtre à Rome, sa dernière, peu avant sa mort (vers 64 ou 67). S'adressant à son disciple, qui se trouve alors non loin de Troas (2Ti 4:13) et probablement à Éphèse, et l'engageant à venir le rejoindre bientôt (2Ti 4:9), Paul dit à Timothée de prendre en chemin et de lui amener Marc, qui lui est « fort utile pour le ministère » (2Ti 4:11). Encore une fois est caractérisé comme une activité auxiliaire ce genre de service (grec diaconia), ministère pratique, dans lequel il excellait. On aime à recueillir au sujet du jeune compagnon de la première mission comme des dernières épreuves ce témoignage et ce voeu suprêmes du grand apôtre, à la veille de son martyre (2Ti 4:6,8).

8.

Devait-il le revoir, avant la fin ? Ce n'est pas impossible, car vers l'époque même où Paul va disparaître, à Rome, voici reparaître Pierre, à Rome aussi, qui dans son épître (1Pi 5:13) appelle Marc son « fils » (huïos). Que ce titre d'affection soit proprement celui d'un fils spirituel, amené à l'Évangile par l'apôtre lui-même (en ce cas, Paul disait plutôt : enfant [teknon], cf. Phm 1:10, etc.), ou dans un sens plus général celui d'un jeune et fidèle disciple, il semble en tout cas fort bien approprié à Marc de la part du vieil ami de sa mère qu'au temps de sa jeunesse il voyait à la maison, le plus considéré parmi les Douze, se joindre aux frères assemblés sous l'épreuve des persécutions. Élève et maître se sont donc retrouvés « à Babylone », endroit d'où Pierre envoie sa lettre en transmettant à ses lecteurs la salutation de Marc ; on voit généralement dans ce nom de Babylone une appellation symbolique (comme est aussi symbolique l'expression voisine : sunéklektê =la co-élue, c-à-d, certainement l'Église), et l'analogie de l'Apocalypse (Ap 14:8 etc.) fait reconnaître la Rome impériale sous le nom figuré de Babylone (voir ce mot). En quelque année que Pierre soit mort, sans doute à Rome, probablement sous Néron, soit en même temps que le martyre de Paul soit quelques années après (voir Simon Pierre), la présence de Marc auprès de lui dans la capitale à cette époque (entre 64 et 68) concorde exactement avec la très solide tradition chrétienne qui situe précisément dans ce cadre la composition de l'évangile selon saint Marc par ce disciple lui-même, alors devenu 1' « interprète » (grec herméneutês) de la prédication de Pierre (voir Marc [évangile de], I ; Évangile Syn., concl.). Cette concordance avec le témoignage unanime de l'Eglise assure les plus fortes probabilités à notre interprétation de 1Pi 5:13, parmi les diverses explications, toutes hypothétiques, qui dépendent des solutions données aux problèmes de la 1 re ép. de Pierre (voir art.) : auteur, époque, lieu de composition.

A propos de cette huitième et dernière mention de Marc dans le N.T., il est à remarquer qu'elle fut écrite sous la dictée de Pierre par le disciple Silvain (1Pi 5:12), sans doute le Silas (voir ce mot) du livre des Actes, jadis emmené par Paul en mission à la place de Jean-Marc précisément (Ac 15:37,40) ; ce Silas, ancien associé de Paul, se trouve finalement avec Pierre, auprès duquel il joue le rôle de « secrétaire » pour rédiger cette épître, comme Marc jouera auprès du même Pierre le rôle d' « interprète » pour prendre des notes sur la prédication de l'apôtre et pour les composer ensuite en l'évangile qui portera le nom du disciple.

9.

En dehors des traditions relatives à cette rédaction de l'évangile de Marc, qu'on trouvera dans l'article suivant, les témoignages des Pères de l'Église concernant sa personne sont rares et fort incertains. D'après des documents romains (l'évêque Hippolyte au III° siècle, les préfaces latines de l'évangile, celle de la Vulgate et un ms. espagnol de cette dernière au VIII° siècle), il aurait porté un surnom grec : l'estropié des doigts ou d'un doigt (kolobodaktulos). On en a cherché des explications bien peu naturelles : il se serait amputé volontairement un pouce pour échapper au sacerdoce juif, (cf. Le 21:16 et suivants ; mais ceci implique qu'il aurait été de la tribu de Lévi, comme son cousin Barnabas : supposition sans aucun appui) ou bien on aurait souligné comme un mérite le fait d'avoir pu, quoique mutilé, composer un ouvrage ; ou bien, au contraire, le surnom aurait eu un sens figuré péjoratif, soit comme équivalent de déserteur pour son abandon de la première mission, soit comme sobriquet destiné par certains philosophes à ridiculiser la brièveté de son évangile ! Si le souvenir de cette singulière épithète, conservée dans les milieux chrétiens de Rome, a quelque valeur historique, mieux vaut l'accepter dans son sens le plus naturel et y voir une infirmité, accidentelle ou congénitale, ayant pu affecter l'une des mains ou même les deux, ou bien consister en un pied bot ou une claudication, et de nature à dériver la carrière du disciple vers ce ministère de second plan par lequel il rendit des services considérables à l'Évangile, comme auxiliaire des apôtres d'avant-garde.

10.

Au sujet de sa mort on ne sait rien de sûr. Diverses traditions ont rattaché, comme nous l'avons dit, une certaine période de son ministère à l'Église d'Alexandrie et à la mission en Egypte ; il y aurait été le premier évêque, y aurait subi le martyre et y aurait été enseveli. Au IX° siècle, des Vénitiens y auraient pris ses cendres pour les transporter dans leur cité. Des récits apocryphes et de nombreuses légendes ont fleuri autour de sa personne, de son martyre et de l'enlèvement soi-disant miraculeux de son corps jusqu'à Saint-Marc, à Venise, dont il a été fait le patron, et où l'on voit encore une place d'honneur réservée au « lion de saint Marc » (Invention évoquée par l'attribut de l'évangile de Marc dans l'iconographie chrétienne : voir Evangile, II). Jn L.

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      Luc 10

      1 Après cela, le Seigneur choisit encore soixante-dix autres disciples et les envoya deux à deux, pour le précéder dans toutes les villes et les localités où il devait se rendre lui-même.
      2 Il leur dit : — La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Demandez donc au Seigneur à qui appartient la moisson d’envoyer plus d’ouvriers pour rentrer sa récolte.
      3 Allez maintenant, et rappelez-vous que je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups.
      4 N’emportez ni bourse, ni sac de voyage, ni sandales, et ne vous attardez pas en chemin pour faire des visites de politesse.
      5 Lorsque vous entrerez dans une maison, dites d’abord : — Que la paix soit sur cette maison !
      6 Si un homme de paix y habite, votre paix descendra sur lui. Si ce n’est pas le cas, elle reviendra vers vous.
      7 Restez dans cette maison-là, prenez la nourriture et la boisson que l’on vous donnera, car celui qui travaille a droit à son salaire. Ne passez pas d’une maison à l’autre pour demander l’hospitalité.
      8 Dans toute ville où vous irez et où l’on vous accueillera, mangez ce qu’on vous offrira,
      9 guérissez les malades qui s’y trouveront et dites aux gens : « Le règne de Dieu est là, tout près de vous ».
      10 Si, par contre, on refuse de vous recevoir dans une ville, allez sur la place publique et dites : —
      11 En signe de protestation contre vous, nous secouons de nos pieds même la poussière de votre ville pour vous la rendre. Sachez pourtant ceci : le règne de Dieu est proche.
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      14 C’est pourquoi, au jour du jugement, le sort de Tyr et de Sidon sera plus supportable que le vôtre.
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      41 Mais le Seigneur lui répondit : — Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu t’agites pour beaucoup trop de choses.
      42 Il y en a si peu qui soient vraiment nécessaires, une seule même suffit. Marie a choisi la meilleure part, celle que personne ne lui enlèvera.

      Actes 1

      23 Les frères proposèrent deux hommes : Joseph, fils de Sabbas, surnommé le Juste, et Matthias.

      Actes 4

      36 C’est ainsi que, par exemple, un nommé Joseph possédait un terrain. C’était un lévite originaire de Chypre, les apôtres le surnommaient Barnabas, c’est-à-dire celui qui console et encourage.

      Actes 11

      25 Barnabas se rendit alors à Tarse pour y chercher Saul. Quand il l’eut trouvé, il l’amena avec lui à Antioche.
      28 L’un d’eux, nommé Agabus, prédit sous l’inspiration de l’Esprit qu’une grande famine sévirait bientôt dans le monde entier. Cette famine eut effectivement lieu sous le règne de l’empereur Claude.
      30 Ainsi fut fait. Barnabas et Saul furent chargés de porter les dons (à Jérusalem) et de les remettre aux responsables de l’Église.

      Actes 12

      12 Il se mit à réfléchir et, bien conscient cette fois, se dirigea vers la maison de Marie, la mère de Jean surnommé Marc. Un assez grand nombre de frères y étaient réunis pour prier.
      24 Entre-temps, la parole de Dieu se répandait de plus en plus et gagnait du terrain.
      25 Après avoir rempli leur mission, Barnabas et Saul repartirent de Jérusalem, emmenant avec eux Jean surnommé Marc.

      Actes 13

      1 Il y avait alors, dans l’Église d’Antioche, des hommes qui avaient le don de parler au nom de Dieu, et d’autres qui possédaient le don d’enseigner : Barnabas, Siméon surnommé le Noir, Lucius originaire de Cyrène, Manaën, un camarade d’enfance d’Hérode le tétrarque, et Saul.
      3 Alors, après avoir jeûné et prié, ils leur imposèrent les mains et pourvurent à leur voyage.
      5 Dès qu’ils furent arrivés dans le port de Salamine, ils annoncèrent la parole de Dieu dans les synagogues des Juifs. Jean-Marc était avec eux et les secondait.
      6 Ils traversèrent toute l’île jusqu’à Paphos. Ils trouvèrent là un magicien juif nommé Bar-Jésus, qui se faisait passer pour un prophète.
      7 Il faisait partie de la cour du proconsul Sergius Paulus, un homme intelligent et ouvert. Celui-ci invita Barnabas et Saul et leur exprima le désir d’entendre la parole de Dieu.
      8 Mais Elymas – c’est-à-dire le mage, dans notre langue – s’y opposa et excita le proconsul contre eux pour le dissuader de devenir croyant.
      9 Alors, Saul, plus connu à présent sous le nom de Paul, animé par l’Esprit saint, l’apostropha en le regardant droit dans les yeux : —
      10 Espèce de charlatan plein de ruse et de méchanceté, fils du diable, ennemi juré de tout ce qui est bien, quand cesseras-tu de contrecarrer les plans du Seigneur ? Quand finiras-tu de falsifier sa vérité ?
      11 Attention ! C’est lui qui te punira maintenant ! Tu vas devenir aveugle et, pendant quelque temps, tu ne verras même plus la lumière du soleil. Au même instant, il se trouva enveloppé d’épaisses ténèbres ; autour de lui, c’était la nuit noire. Il se tournait en tâtonnant de tous côtés, cherchant quelqu’un qui lui donnerait la main pour le guider.
      12 Quand le proconsul vit ce qui venait de se passer, il fut vivement impressionné par la puissance de l’enseignement du Seigneur et il devint croyant.
      13 Quittant Paphos, Paul et ses compagnons reprirent la mer en direction de Perge en Pamphylie. Là, Jean-Marc les abandonna et revint à Jérusalem.
      43 Après que l’assemblée se fut dispersée, beaucoup de Juifs et de gens qui s’étaient convertis au judaïsme rejoignirent Paul et Barnabas pour s’entretenir avec eux. Ceux-ci les persuadaient d’accepter la grâce de Dieu et de s’attacher fidèlement à tout ce qu’il leur avait accordé.
      46 Paul et Barnabas leur déclarèrent alors avec une pleine assurance : — Notre devoir était de vous annoncer, à vous les premiers, la parole de Dieu. Mais puisque vous la refusez et que vous ne vous jugez sans doute pas dignes d’avoir part à la vie éternelle, eh bien ! nous allons désormais nous tourner vers les autres peuples.
      50 Mais les Juifs montèrent la tête à des femmes dévotes de la haute société qui s’étaient attachées au judaïsme. Par elles, ils gagnèrent les notables de la ville et déchaînèrent ainsi une persécution contre Paul et Barnabas, qui furent expulsés de leur territoire.

      Actes 14

      1 À Iconium, (les choses se passèrent à peu près de la même manière :) Paul et Barnabas se rendirent à la synagogue des Juifs ; ils y parlèrent avec une telle puissance qu’un nombre considérable de Juifs et de Grecs devinrent croyants.
      3 Néanmoins, Paul et Barnabas prolongèrent leur séjour dans cette ville ; ils parlèrent avec assurance, car ils se fondaient sur le Seigneur qui confirmait lui-même le message de la grâce par des témoignages (visibles). En effet, il leur donnait le pouvoir d’accomplir des miracles et des prodiges qui appuyaient leur prédication.

      Actes 15

      3 L’Église pourvut à leur voyage. Ils traversèrent la Phénicie et la Samarie, racontant partout comment les non-Juifs se convertissaient à la foi. Et tous les frères en eurent beaucoup de joie.
      37 Barnabas fut d’accord et proposa d’emmener aussi Jean, surnommé Marc.
      39 On se mit à insister, à s’obstiner ; la discussion s’échauffa, et chacun finit par partir de son côté. Barnabas s’embarqua avec Marc pour l’île de Chypre.
      40 Paul, de son côté, choisit Silas et partit avec lui, après que les frères lui eurent souhaité bon voyage en le confiant à la grâce du Seigneur.

      Actes 16

      3 Paul décida de se l’adjoindre comme collaborateur. Il le prit donc avec lui et le fit circoncire, par égard pour les Juifs de ces régions (parmi lesquels il aurait à travailler et qui) tous, en effet, savaient que son père était grec.

      Actes 22

      3 Je suis juif, moi aussi, je suis né à Tarse en Cilicie, mais j’ai été élevé ici à Jérusalem. C’est Gamaliel qui fut mon maître ; il m’a inculqué comment il fallait observer scrupuleusement la loi de nos ancêtres. Aussi, j’étais un partisan farouche de la cause de Dieu – comme vous l’êtes tous aujourd’hui. C’est avec un zèle passionné et enthousiaste que je l’ai servie.

      1 Corinthiens 1

      14 Dieu merci de ce qu’à part Crispus et Gaïus, je n’ai baptisé aucun de vous.
      15 Au moins, personne ne peut prétendre avoir été baptisé en mon nom.
      16 Ah si ! J’ai baptisé encore les gens de la maison de Stéphanas. À part ceux-là, je crois n’avoir baptisé personne.

      1 Corinthiens 9

      6 Ou bien, Barnabas et moi-même serions-nous les seuls à devoir travailler pour gagner notre pain ?

      2 Corinthiens 11

      26 Que de voyages j’ai entrepris ! J’ai été en danger au passage des fleuves, en danger dans les régions infestées de brigands, en danger de la part des Juifs, en danger de la part des païens, en danger dans les villes, en danger dans les contrées désertes, en danger de la part des faux chrétiens.

      Galates 2

      11 Cependant, plus tard, lorsque Pierre est venu à Antioche, j’ai dû prendre personnellement position contre lui. Je lui ai tenu tête, car il était manifestement dans son tort et méritait d’être repris.
      12 En effet, avant l’arrivée de certaines personnes de l’entourage de Jacques, il prenait ses repas avec les non-Juifs convertis. Puis, quand ces gens sont arrivés, il a subitement pris peur et s’est esquivé, évitant de fréquenter les frères non juifs. Par crainte des « judaïsants », partisans de la circoncision, il s’est tenu complètement à l’écart des chrétiens non juifs.
      13 Les autres Juifs convertis, imitant sa conduite, se sont mis, eux aussi, à cacher leurs véritables convictions, au point que Barnabas lui-même s’est laissé entraîner avec eux à la dissimulation.
      14 Je voyais clairement qu’ils quittaient le droit chemin et ne marchaient plus selon la vérité enseignée par l’Évangile. J’ai alors dit ouvertement à Pierre, dans une réunion de l’Église (afin d’être entendu par tous) : « Si toi qui es juif, tu te sens libre de suivre les coutumes non juives et t’estimes dégagé des ordonnances légales du judaïsme, pourquoi veux-tu contraindre les non-Juifs convertis à respecter les coutumes juives ? »

      Galates 4

      13 Vous rappelez-vous notre première rencontre ? Ce fut par suite d’une maladie que je me suis arrêté chez vous et que je vous ai annoncé l’Évangile.

      Colossiens 4

      10 Vous avez les salutations d’Aristarque, mon compagnon de prison, et de Marc, le cousin de Barnabas ; je vous ai donné des instructions particulières à son sujet : s’il vient vous voir, faites-lui bon accueil.

      2 Timothée 4

      6 Car, en ce qui me concerne, je suis bien près du sacrifice de ma vie. Le moment du grand départ approche.
      9 Efforce-toi de venir me rejoindre aussitôt que possible.
      11 Seul Luc est encore avec moi. Prends Marc et amène-le avec toi ; il peut me rendre de précieux services ici et m’assister dans mon ministère.
      13 Lorsque tu viendras, rapporte-moi le manteau que j’ai laissé à Troas chez Carpus, ainsi que les livres, surtout les parchemins.

      Philémon 1

      10 Je viens te prier en faveur de mon enfant. Oui, ici, dans cette prison, je suis devenu le père spirituel d’Onésime.
      24 Tu as aussi les salutations de Marc, d’Aristarque, de Démas et de Luc, mes collaborateurs.

      1 Pierre 5

      12 Par Sylvain, ce frère fidèle, je vous ai écrit, il me semble assez brièvement, pour vous encourager et vous assurer que Dieu vous a véritablement accordé sa grâce. Puissiez-vous demeurer fermement attachés à elle !
      13 Recevez les salutations de l’Église de Babylone choisie, comme vous, par Dieu. Marc, mon fils, vous salue.

      Apocalypse 14

      8 Un second ange le suivit, disant : — Elle est tombée, la puissante Babylone est tombée, celle qui avait enivré toutes les nations avec le vin brûlant de sa rage de plaisir et de son infidélité passionnée.
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