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MATTHIEU

1.

En grec, Matthaïos ; nom sémitique dont l'étymologie n'est pas absolument sûre. On le rattache ordinairement à l'hébreu Matthi, abrév, de Matthiâh ou Matthias, de Mattithia, Matthinia, etc. (des rac. matthân Yâh =don de JHVH) ; c'est ainsi qu'un Mattathias des LXX devient Matthias dans le latin de la Vulg, et Matthieu dans la traduction franc. Apocr.  ; voir (2Ma 14:19) Mattathias, 6. D'autres auteurs, pourtant, font de Matthieu une abrév, du nom hébreu Amittaï, ou bien le font dériver de l'aram, math (=homme), ce qui lui donne le sens de : viril (le nom grec d'André a le même sens).

2.

Matthieu est cité dans 5 passages du N.T. dont 4 parallèles : les 3 évang, synopt, comme le livre des Actes le placent dans la liste des Douze (Mr 3:18, Mt 10:3, Lu 6:15, Ac 1:13) ; mais auparavant, l'évangile qui porte son nom l'a présenté comme un receveur du péage que Jésus appelle à le suivre (Mt 9:9), et que Marc et Luc en cette circonstance ont désigné du nom de Lévi (Mr 2:14, Lu 5:29). L'identification, généralement admise, de ce péager Lévi, « fils d'Alphée » (précise Marc ; et quelques manuscrits occidentaux ont « Jacques fils d'Alphée », sans doute par erreur), avec Matthieu employé du péage, ressort du parallélisme des 3 synopt, dans ce récit de sa vocation. On connaît d'autres personnages porteurs d'un nom et d'un surnom : Simon Pierre, Jean Marc (voir Marc), Saul Paul, etc. ; et Flavius Josèphe donne un exemple de double nom sémitique, comme serait celui de Lévi Matthieu : le grand-prêtre Joseph Caïphe. On peut fort bien concevoir que le second nom, Matthieu, comme l'attestent les 4 listes des Douze, soit devenu celui de l'apôtre, peut-être à cause de sa signification (don de JHVH), sans que Marc ni Luc aient jugé nécessaire d'indiquer l'équivalence des deux noms, pas plus que Matthieu de rappeler celui de Lévi. S'il fallait distinguer Matthieu de Lévi, celui-ci n'aurait pas été l'un des Douze, et il faudrait attribuer leur identification erronée dans Matthieu à l'évangéliste qui, convaincu qu'un disciple de Jésus aussi empresse devait être devenu apôtre, aurait donné au « péager » un nom pris dans la liste des Douze (Goguel) : une telle liberté d'invention chez un chrétien qui nous a conservé l'enseignement du Maître, le discours sur la montagne ( « Que votre oui soit oui »), ne paraît-elle pas infiniment moins vraisemblable que le changement de nom correspondant au changement de vie, des fonctions si contestables du publicain à la mission sainte pour le Roi-Messie ?

3.

L'appel du Seigneur vint en effet chercher Lévi-Matthieu au bureau du péage (Mr 2:14 parallèles). Le service des impôts douaniers à Capernaüm (voir ce mot) était fort important : la ville se trouvait au bord du lac de Galilée, sur la « voie de la mer », route séculaire des caravanes de Damas en Egypte, avec embranchement vers Tyr et Sidon (voir pl. V, 2 e carte) ; de plus elle marquait la frontière entre les deux gouvernements, ou tétrarchies, de Philippe et d'Hérode Antipas (voir pl. VIII, petite carte des divisions politiques). Le contrôle et la taxation des marchandises au péage de Capernaüm devaient se faire à cette époque pour le compte d'Antipas et non pas de l'empire romain directement ; les fonctionnaires juifs qui l'assuraient n'en étaient pas moins condamnés et méprisés par les Pharisiens et les stricts pratiquants de la Loi : ils étaient obligés, pour raisons de service, de l'enfreindre souvent, par des contacts cérémoniellement impurs, par de constantes violations du sabbat ; leur patriotisme était fortement suspecté, et leur honnêteté se trouvait couramment à la merci de grandes tentations de fraude et d'exactions. Pour toutes ces raisons, les Juifs rigoristes considéraient comme synonymes les termes de péager et de pécheur (Mr 2:16 parallèle) ; V PÉAGER.

Lorsque Jésus appelle à son service le péager Matthieu, il y a déjà quelque temps qu'il a commencé son ministère à Capernaüm : il en est reparti, est revenu s'y établir comme au centre de son activité galiléenne (Mr 12:1,29,39 2:1), si bien que Matthieu appelle alors cette ville « sa ville » (Mt 9:1) ; c'est dans cette région qu'à cette époque « tous le cherchent » (Mr 13:7). Tout porte donc à croire que l'employé des impôts, placé par sa tâche professionnelle à quelque endroit de la ville des plus fréquentés par les voyageurs, a de bonne heure eu connaissance de la présence et de l'oeuvre du Maître galiléen, et, réciproquement, que Jésus l'a remarqué et pénétré jusqu'à l'âme avant de lui adresser un appel par lequel il ne craignait pas de se compromettre aux yeux des Juifs orthodoxes. Cet appel est d'une brièveté saisissante, ainsi que la réponse immédiate, l'un et l'autre presque identiques dans les 3 évangiles : « Il lui dit : Suis-moi. Et lui, quittant tout (Luc), se leva et le suivit. »

4.

Aussitôt après, les 3 synoptiques racontent un repas auquel participent Jésus, Lévi et des péagers ; mais il n'est pas dit qu'il a eu lieu immédiatement : la formule de Matthieu « et il arriva... » paraît même supposer un certain laps de temps. Le texte grec de Mt 9:10 est ambigu au sujet de l'hôte qui reçoit, et la suite des pronoms personnels : « ... le suivit... [il] était à table dans la maison de lui...  » suggérerait plutôt : la maison de Jésus (cf. sa ville, Mt 9:1) ; en ce cas, sa déclaration imagée, au verset 13, pourrait prendre dans le grec une nuance de plus : « Je ne suis pas venu appeler, ou inviter (grec kalésaï) les justes, etc. » Malgré l'attrait de cette hypothèse, il faut convenir que Luc (qui conserve la déclaration de Jésus mais en précisant : « ... appeler à la repentance... ») place très nettement le repas chez Lévi : celui-ci l'offre à Jésus dans sa propre maison ; il est donc plus normal d'admettre une imprécision dans les termes de Matthieu qu'une indécision des évangélistes quant au fait lui-même, qui devait avoir à leurs yeux une valeur significative. Il semble bien en effet ressortir du récit à triples parallèles, bien que ce ne soit pas explicitement indiqué, que l'ex-péager offre un repas d'adieu à ses anciens collègues en même temps que d'accueil à son nouveau maître et à ses nouveaux compagnons de vie. Un aussi grand nombre de convives ne pouvait passer inaperçu, et l'usage qui autorisait le public à entrer et à s'approcher des tables explique ici la présence des critiques malveillants : au cours du repas, pour la première fois dans le ministère du Christ, se dresse contre lui l'hostilité pharisienne qui, après avoir en cette circonstance condamné ses fréquentations, va systématiquement poursuivre et dénoncer les diverses manifestations de son indépendance à l'égard de leurs réglementations inhumaines (Mr 2:16,24 3:2,6 parallèles). La réponse de Jésus, sous sa tournure proverbiale : « Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais ceux qui se portent mal ; je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pécheurs », n'est pas seulement ironique, en ce sens que les pharisiens à qui elle s'adresse ne sont point « bien portants » ni « justes », mais se croient tels ; elle est aussi la révélation de l'oeuvre du Messie, offerte à tous les pécheurs, sans considération de situations sociales, à la seule condition pour eux de se reconnaître malades et d'avoir recours au Médecin envoyé de Dieu. Proclamation caractéristique, au moment même où Jésus, en introduisant un péager parmi ses disciples immédiats, est décidément classé comme suspect dans l'esprit des chefs formalistes, orgueilleux et méprisants.

5.

C'est sans doute peu de temps après que Jésus s'associe le groupe des douze disciples qui deviendront les apôtres (voir ce mot) et dont les 3 évang, synopt, donnent en effet la liste un peu plus loin (Mr 3:18 parallèles). C'est toujours dans le deuxième groupe de quatre, dont le chef de file est Philippe, que Matthieu se trouve placé ; mais étant soit le 7 e (Marc et Luc) soit le 8 e (Matthieu et Act.), il appartient dans ce groupe de quatre à la deuxième paire, qui le réunit à Thomas, sauf dans la liste des Ac qui le réunit à Barthélémy au lieu de Thomas. Il est à noter que ces deux noms, Thomas et Barthélémy (voir ces mots), sont à proprement parler des surnoms, comme nous l'avons aussi supposé pour Matthieu (parag. 2). Dans les deux listes où celui-ci est le 8 e, il est suivi de Jacques fils d'Alphée, qui pour certains critiques aurait été frère de Matthieu =Lévi fils d'Alphée (Mr 2:14) ; hypothèse improbable (voir Alphée, 2). Enfin Matthieu est certainement parmi les Douze le seul qui ait été fonctionnaire du gouvernement.

6.

Ici cessent les données du N.T., fort réduites on le voit, sur la personne de Matthieu. La tradition de l'Église retenue au II° siècle par l'évêque Papias lui attribue la rédaction d'un évangile ; pour l'interprétation de ce témoignage, voir l'art, suiv, et Évang, synopt. (IV, 1, 2°, et conclusion).

La diversité des traditions ultérieures sur la fin de sa carrière confirme la supposition qu'aux temps apostoliques Matthieu resta plus ou moins dans l'ombre ; l'incertitude des générations chrétiennes à son sujet favorisa l'éclosion de légendes dont un certain nombre le confondent avec Matthias (voir ce mot). Clément d'Alexandrie en fait un Essénien (voir ce mot), ascète et végétarien ; les champs de mission qu'on lui a tour à tour attribués sont, en dehors de la Judée et de la Palestine : l'Ethiopie, où il aurait été martyrisé, l'Inde, la Perse, la Phénicie, la Macédoine, l'Espagne, les pays des Troglodytes, des Devins, des Cannibales, etc. ; le mode de son martyre aurait été : le bûcher, la lapidation ou la décapitation, mais d'après d'autres sa mort aurait été naturelle ; on l'aurait enterré à Antioche de Pisidie, à Hiérapolis de Syrie, chez les Parthes, etc. Rien de tout cela ne peut sans doute être tenu pour historique. Jn L.

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Versets relatifs

    • Lévitique 7

      1 Voici la loi du sacrifice de culpabilité : c'est une chose très sainte.
      2 C'est dans le lieu où l'on égorge l'holocauste que sera égorgée la victime pour le sacrifice de culpabilité. On en répandra le sang sur l'autel tout autour.
      3 On en offrira toute la graisse, la queue, la graisse qui couvre les entrailles,
      4 les deux rognons, et la graisse qui les entoure, qui couvre les flancs, et le grand lobe du foie, qu'on détachera près des rognons.
      5 Le sacrificateur brûlera cela sur l'autel en sacrifice consumé devant l'Éternel. C'est un sacrifice de culpabilité.
      6 Tout mâle parmi les sacrificateurs en mangera ; il le mangera dans un lieu saint : c'est une chose très sainte.
      7 Il en est du sacrifice de culpabilité comme du sacrifice d'expiation ; la loi est la même pour ces deux sacrifices : la victime sera pour le sacrificateur qui fera l'expiation.
      8 Le sacrificateur qui offrira l'holocauste de quelqu'un aura pour lui la peau de l'holocauste qu'il a offert.
      9 Toute offrande cuite au four, préparée sur le gril ou à la poêle, sera pour le sacrificateur qui l'a offerte.
      10 Toute offrande pétrie à l'huile et sèche sera pour tous les fils d'Aaron, pour l'un comme pour l'autre.
      11 Voici la loi du sacrifice d'actions de grâces, qu'on offrira à l'Éternel.
      12 Si quelqu'un l'offre par reconnaissance, il offrira, avec le sacrifice d'actions de grâces, des gâteaux sans levain pétris à l'huile, des galettes sans levain arrosées d'huile, et des gâteaux de fleur de farine frite et pétris à l'huile.
      13 A ces gâteaux il ajoutera du pain levé pour son offrande, avec son sacrifice de reconnaissance et d'actions de grâces.
      14 On présentera par élévation à l'Éternel une portion de chaque offrande ; elle sera pour le sacrificateur qui a répandu le sang de la victime d'actions de grâces.
      15 La chair du sacrifice de reconnaissance et d'actions de grâces sera mangée le jour où il est offert ; on n'en laissera rien jusqu'au matin.
      16 Si quelqu'un offre un sacrifice pour l'accomplissement d'un voeu ou comme offrande volontaire, la victime sera mangée le jour où il l'offrira, et ce qui en restera sera mangé le lendemain.
      17 Ce qui restera de la chair de la victime sera brûlé au feu le troisième jour.
      18 Dans le cas où l'on mangerait de la chair de son sacrifice d'actions de grâces le troisième jour, le sacrifice ne sera point agréé ; il n'en sera pas tenu compte à celui qui l'a offert ; ce sera une chose infecte, et quiconque en mangera restera chargé de sa faute.
      19 La chair qui a touché quelque chose d'impur ne sera point mangée : elle sera brûlée au feu.
      20 Tout homme pur peut manger de la chair ; mais celui qui, se trouvant en état d'impureté, mangera de la chair du sacrifice d'actions de grâces qui appartient à l'Éternel, celui-là sera retranché de son peuple.
      21 Et celui qui touchera quelque chose d'impur, une souillure humaine, un animal impur, ou quoi que ce soit d'impur, et qui mangera de la chair du sacrifice d'actions de grâces qui appartient à l'Éternel, celui-là sera retranché de son peuple.
      22 L'Éternel parla à Moïse, et dit :
      23 Parle aux enfants d'Israël, et dis : Vous ne mangerez point de graisse de boeuf, d'agneau ni de chèvre.
      24 La graisse d'une bête morte ou déchirée pourra servir à un usage quelconque ; mais vous ne la mangerez point.
      25 Car celui qui mangera de la graisse des animaux dont on offre à l'Éternel des sacrifices consumés par le feu, celui-là sera retranché de son peuple.
      26 Vous ne mangerez point de sang, ni d'oiseau, ni de bétail, dans tous les lieux où vous habiterez.
      27 Celui qui mangera du sang d'une espèce quelconque, celui-là sera retranché de son peuple.
      28 L'Éternel parla à Moïse, et dit :
      29 Parle aux enfants d'Israël, et dis : Celui qui offrira à l'Éternel son sacrifice d'actions de grâces apportera son offrande à l'Éternel, prise sur son sacrifice d'actions de grâces.
      30 Il apportera de ses propres mains ce qui doit être consumé par le feu devant l'Éternel ; il apportera la graisse avec la poitrine, la poitrine pour l'agiter de côté et d'autre devant l'Éternel.
      31 Le sacrificateur brûlera la graisse sur l'autel, et la poitrine sera pour Aaron et pour ses fils.
      32 Dans vos sacrifices d'actions de grâces, vous donnerez au sacrificateur l'épaule droite, en la présentant par élévation.
      33 Celui des fils d'Aaron qui offrira le sang et la graisse du sacrifice d'actions de grâces aura l'épaule droite pour sa part.
      34 Car je prends sur les sacrifices d'actions de grâces offerts par les enfants d'Israël la poitrine qu'on agitera de côté et d'autre et l'épaule qu'on présentera par élévation, et je les donne au sacrificateur Aaron et à ses fils, par une loi perpétuelle qu'observeront les enfants d'Israël.
      35 C'est là le droit que l'onction d'Aaron et de ses fils leur donnera sur les sacrifices consumés par le feu devant l'Éternel, depuis le jour où ils seront présentés pour être à mon service dans le sacerdoce.
      36 C'est ce que l'Éternel ordonne aux enfants d'Israël de leur donner depuis le jour de leur onction ; ce sera une loi perpétuelle parmi leurs descendants.
      37 Telle est la loi de l'holocauste, de l'offrande, du sacrifice d'expiation, du sacrifice de culpabilité, de la consécration, et du sacrifice d'actions de grâces.
      38 L'Éternel la prescrivit à Moïse sur la montagne de Sinaï, le jour où il ordonna aux enfants d'Israël de présenter leurs offrandes à l'Éternel dans le désert du Sinaï.

      Lévitique 8

      1 L'Éternel parla à Moïse, et dit :
      2 Prends Aaron et ses fils avec lui, les vêtements, l'huile d'onction, le taureau expiatoire, les deux béliers et la corbeille de pains sans levain ;
      3 et convoque toute l'assemblée à l'entrée de la tente d'assignation.
      4 Moïse fit ce que l'Éternel lui avait ordonné ; et l'assemblée se réunit à l'entrée de la tente d'assignation.
      5 Moïse dit à l'assemblée : Voici ce que l'Éternel a ordonné de faire.
      6 Moïse fit approcher Aaron et ses fils, et il les lava avec de l'eau.
      7 Il mit à Aaron la tunique, il le ceignit de la ceinture, il le revêtit de la robe, et il plaça sur lui l'éphod, qu'il serra avec la ceinture de l'éphod dont il le revêtit.
      8 Il lui mit le pectoral, et il joignit au pectoral l'urim et le thummim.
      9 Il posa la tiare sur sa tête, et il plaça sur le devant de la tiare la lame d'or, diadème sacré, comme l'Éternel l'avait ordonné à Moïse.
      10 Moïse prit l'huile d'onction, il oignit le sanctuaire et toutes les choses qui y étaient, et le sanctifia.
      11 Il en fit sept fois l'aspersion sur l'autel, et il oignit l'autel et tous ses ustensiles, et la cuve avec sa base, afin de les sanctifier.
      12 Il répandit de l'huile d'onction sur la tête d'Aaron, et l'oignit, afin de la sanctifier.
      13 Moïse fit aussi approcher les fils d'Aaron ; il les revêtit de tuniques, les ceignit de ceintures, et leur attacha des bonnets, comme l'Éternel l'avait ordonné à Moïse.
      14 Il fit approcher le taureau expiatoire, et Aaron et ses fils posèrent leurs mains sur la tête du taureau expiatoire.
      15 Moïse l'égorgea, prit du sang, et en mit avec son doigt sur les cornes de l'autel tout autour, et purifia l'autel ; il répandit le sang au pied de l'autel, et le sanctifia pour y faire l'expiation.
      16 Il prit toute la graisse qui couvre les entrailles, le grand lobe du foie, et les deux rognons avec leur graisse, et il brûla cela sur l'autel.
      17 Mais il brûla au feu hors du camp le taureau, sa peau, sa chair et ses excréments, comme l'Éternel l'avait ordonné à Moïse.
      18 Il fit approcher le bélier de l'holocauste, et Aaron et ses fils posèrent leurs mains sur la tête du bélier.
      19 Moïse l'égorgea, et répandit le sang sur l'autel tout autour.
      20 Il coupa le bélier par morceaux, et il brûla la tête, les morceaux et la graisse.
      21 Il lava avec de l'eau les entrailles et les jambes, et il brûla tout le bélier sur l'autel : ce fut l'holocauste, ce fut un sacrifice consumé par le feu, d'une agréable odeur à l'Éternel, comme l'Éternel l'avait ordonné à Moïse.
      22 Il fit approcher l'autre bélier, le bélier de consécration, et Aaron et ses fils posèrent leurs mains sur la tête du bélier.
      23 Moïse égorgea le bélier, prit de son sang, et en mit sur le lobe de l'oreille droite d'Aaron, sur le pouce de sa main droite et sur le gros orteil de son pied droit.
      24 Il fit approcher les fils d'Aaron, mit du sang sur le lobe de leur oreille droite, sur le pouce de leur main droite et sur le gros orteil de leur pied droit, et il répandit le sang sur l'autel tout autour.
      25 Il prit la graisse, la queue, toute la graisse qui couvre les entrailles, le grand lobe du foie, les deux rognons avec leur graisse, et l'épaule droite ;
      26 il prit aussi dans la corbeille de pains sans levain, placée devant l'Éternel, un gâteau sans levain, un gâteau de pain à l'huile et une galette, et il les posa sur les graisses et sur l'épaule droite.
      27 Il mit toutes ces choses sur les mains d'Aaron et sur les mains de ses fils, et il les agita de côté et d'autre devant l'Éternel.
      28 Puis Moïse les ôta de leurs mains, et il les brûla sur l'autel, par-dessus l'holocauste : ce fut le sacrifice de consécration, ce fut un sacrifice consumé par le feu, d'une agréable odeur à l'Éternel.
      29 Moïse prit la poitrine du bélier de consécration, et il l'agita de côté et d'autre devant l'Éternel : ce fut la portion de Moïse, comme l'Éternel l'avait ordonné à Moïse.
      30 Moïse prit de l'huile d'onction et du sang qui était sur l'autel ; il en fit l'aspersion sur Aaron et sur ses vêtements, sur les fils d'Aaron et sur leurs vêtements ; et il sanctifia Aaron et ses vêtements, les fils d'Aaron et leurs vêtements avec lui.
      31 Moïse dit à Aaron et à ses fils : Faites cuire la chair à l'entrée de la tente d'assignation ; c'est là que vous la mangerez, avec le pain qui est dans la corbeille de consécration, comme je l'ai ordonné, en disant : Aaron et ses fils la mangeront.
      32 Vous brûlerez dans le feu ce qui restera de la chair et du pain.
      33 Pendant sept jours, vous ne sortirez point de l'entrée de la tente d'assignation, jusqu'à ce que les jours de votre consécration soient accomplis ; car sept jours seront employés à vous consacrer.
      34 Ce qui s'est fait aujourd'hui, l'Éternel a ordonné de le faire comme expiation pour vous.
      35 Vous resterez donc sept jours à l'entrée de la tente d'assignation, jour et nuit, et vous observerez les commandements de l'Éternel, afin que vous ne mouriez pas ; car c'est là ce qui m'a été ordonné.
      36 Aaron et ses fils firent toutes les choses que l'Éternel avait ordonnées par Moïse.

      Matthieu 9

      1 Jésus, étant monté dans une barque, traversa la mer, et alla dans sa ville.
      9 De là étant allé plus loin, Jésus vit un homme assis au lieu des péages, et qui s'appelait Matthieu. Il lui dit : Suis-moi. Cet homme se leva, et le suivit.
      10 Comme Jésus était à table dans la maison, voici, beaucoup de publicains et de gens de mauvaise vie vinrent se mettre à table avec lui et avec ses disciples.

      Matthieu 10

      3 Philippe, et Barthélemy ; Thomas, et Matthieu, le publicain ; Jacques, fils d'Alphée, et Thaddée ;

      Marc 2

      1 Quelques jours après, Jésus revint à Capernaüm. On apprit qu'il était à la maison,
      14 En passant, il vit Lévi, fils d'Alphée, assis au bureau des péages. Il lui dit : Suis-moi. Lévi se leva, et le suivit.
      16 Les scribes et les pharisiens, le voyant manger avec les publicains et les gens de mauvaise vie, dirent à ses disciples : Pourquoi mange-t-il et boit-il avec les publicains et les gens de mauvaise vie ?
      24 Les pharisiens lui dirent : Voici, pourquoi font-ils ce qui n'est pas permis pendant le sabbat ?

      Marc 3

      2 Ils observaient Jésus, pour voir s'il le guérirait le jour du sabbat : c'était afin de pouvoir l'accuser.
      6 Les pharisiens sortirent, et aussitôt ils se consultèrent avec les hérodiens sur les moyens de le faire périr.
      18 André ; Philippe ; Barthélemy ; Matthieu ; Thomas ; Jacques, fils d'Alphée ; Thaddée ; Simon le Cananite ;

      Marc 12

      1 Jésus se mit ensuite à leur parler en paraboles. Un homme planta une vigne. Il l'entoura d'une haie, creusa un pressoir, et bâtit une tour ; puis il l'afferma à des vignerons, et quitta le pays.
      29 Jésus répondit : Voici le premier : Écoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur ;
      39 qui recherchent les premiers sièges dans les synagogues, et les premières places dans les festins ;

      Marc 13

      7 Quand vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres, ne soyez pas troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin.

      Luc 5

      29 Lévi lui donna un grand festin dans sa maison, et beaucoup de publicains et d'autres personnes étaient à table avec eux.

      Luc 6

      15 Matthieu ; Thomas ; Jacques, fils d'Alphée ; Simon, appelé le zélote ;

      Actes 1

      13 Quand ils furent arrivés, ils montèrent dans la chambre haute où ils se tenaient d'ordinaire ; c'étaient Pierre, Jean, Jacques, André, Philippe, Thomas, Barthélemy, Matthieu, Jacques, fils d'Alphée, Simon le Zélote, et Jude, fils de Jacques.
    • Lévitique 7

      1

      Au sujet de la loi du sacrifice de culpabilité. (Lévitique 7:1-10)
      Au sujet de du sacrifice d'actions de grâces. (Lévitique 7:11-27)
      Le rituel des sacrifices d'actions de grâces. (Lévitique 7:28-34)
      La conclusion de toutes ces ordonnances. (Lévitique 7:35-38)

      Dans le sacrifice de culpabilité et celui d'expiation, le corps de la victime était partagé : une part était destinée à l'autel et l'autre au sacrificateur ; celui qui apportait son sacrifice ne récupérait rien, comme c'était d'ailleurs le cas dans les offrandes d'actions de grâces. Le sacrifice de culpabilité manifestait la repentance et la douleur que l'on éprouvait après avoir péché : il était plutôt judicieux de jeûner que de festoyer ! Le sacrifice d'actions de grâces est une image de la communion avec Dieu, Christ nous ayant réconciliés avec Lui. Ce sacrifice manifeste également l'expression de la joie et de la gratitude du pécheur pardonné, associée aux privilèges du croyant convaincu.
      11 Comme dans le sacrifice d'actions de grâce, dans un esprit de miséricorde, Dieu laissa plutôt au peuple une certaine liberté dans la pratique des sacrifices, au vu de la conviction de son péché ; en effet, Dieu acceptait davantage ces offrandes faites librement, en toute sincérité, plutôt que d'autres, devant répondre, par obligation au rituel de l'expiation : l'Éternel montrait ainsi le fait d'une réelle Propitiation. La principale raison d'interdiction de consommer du sang, dès les temps les plus reculés, venait du fait qu'il fallait respecter celui qui allait être versé plus tard par notre Seigneur, pour notre expiation. Ce précepte figuratif a pris fin lors de la mort de Christ, date à laquelle les sacrifices ont cessé. Cette ordonnance relative au sang, n'a donc plus raison d'être aujourd'hui pour les croyants.
      28 Quand le sacrificateur recevait une offrande à sacrifier, il pouvait garder la poitrine et l'épaule droite de la victime. Quand cette dernière était exécutée, celui qui avait apporté cette offrande devait en présenter une partie à Dieu ; cela signifiait qu'il offrait ce sacrifice à l'Éternel avec un cœur joyeux. Il devait, de ses propres mains, apporter ce qui devait être consumé, devant le Dieu des cieux ; ensuite il devait agiter la poitrine de la victime, de côté et d'autre, devant l'Éternel, le Dieu de la terre entière. Nous devons être convaincus et encouragés, en « consommant » le sacrifice parfait de Christ, notre « Sacrifice d'actions de grâces ».

      Dans le texte, ce sacrifice d'actions de grâces n'était pas réservé au sacrificateur uniquement, ou à tous les grands dignitaires locaux, mais il l'était également pour tout le peuple.

      Prenons garde de ne pas tarder à faire expier nos fautes par Dieu : beaucoup pensent en effet qu'ils auront tout le temps de se repentir devant Lui, au moment de leur mort : ils iront alors en enfer ; ils doivent en fait, offrir leur « sacrifice d'actions de grâces » maintenant. N'attendons pas que la patience de Dieu soit épuisée : ce n'est pas en enfer que nous pourrons crier à Christ pour se repentir de nos fautes !

      35 Les actes solennels relatifs à l'adoration religieuse, ne sont pas des choses que l'on doit faire, selon notre bon plaisir : nous sommes vraiment en « péril » si nous ne les accomplissons pas. Le respect des commandements ordonnés par Christ est d'ailleurs aussi important et nécessaire que l'était celui des lois données par Moïse !

      Lévitique 8

      1

      La consécration d'Aaron et ses fils. (Lévitique 8:1-13)
      Les offrandes de consécration. (Lévitique 8:14-36)

      La consécration d'Aaron et ses fils a été différée jusqu'à ce que le tabernacle soit terminé et que les lois relatives aux sacrifices soient données. Aaron et ses fils furent lavés avec de l'eau, signifiant par là qu'ils devaient être purifiés de tous sentiments liés au péché.

      Christ, par son sang, nous lave de nos péchés, afin de faire de nous un royaume et des sacrificateurs pour Dieu le Père, Apocalypse 1:5,6 ; ceux qui s'approchent de Dieu doivent être lavés d'eau pure, Heb 10:22.

      Cette consécration d'Aaron était une image de celle de Christ et du Saint-Esprit, donnés pour le salut de tous les croyants.

      14 Dans toutes ces cérémonies, nous pouvons discerner les symboles représentant notre « grand Sacrificateur », Jésus-Christ : Il a été désigné, oint et ordonné « Sacrificateur » par Son sang, par la vertu du Saint-Esprit. Jésus a ainsi sanctifié tout ce qui concerne les ordonnances de la chrétienté, pour le bénéfice de Son peuple et pour l'honneur de Dieu le Père ; malgré le fait que nous soyons pollués par le péché, Jésus nous accepte, afin que nous Lui apportions notre adoration.

      Nous pouvons également nous réjouir en ce « grand Sacrificateur » fidèle et miséricordieux, plein de compassion pour les âmes rejetées et égarées. Tous les véritables chrétiens sont appelés à devenir des « sacrificateurs spirituels ».

      Nous devons sérieusement nous demander si nous veillons, dans nos tâches quotidiennes, à accomplir ce type de service. Est-ce que nous abondons dans les « sacrifices spirituels », acceptables par Dieu, au travers de Jésus-Christ ?

      S'il en est ainsi, ne cherchons pas à nous vanter de quoi que ce soit. N'oublions pas nos compagnons qui sont toujours sous l'emprise du péché ; rappelons-nous tout notre cheminement dans la repentance, comment nous avons été sauvés ! Prions et recherchons le salut des âmes perdues !

      Matthieu 9

      1

      Jésus retourne à Capernaüm, et guérit un paralytique. (Matthieu 9:1-8)
      L’appel de Matthieu. (Matthieu 9:9)
      La fête chez Matthieu, (ou Lévi). (Matthieu 9:10-13)
      Les objections des disciples de Jean. (Matthieu 9:14-17)
      Christ guérit la fille de Jaïrus, Il guérit la femme, à la perte de sang. (Matthieu 9:18-26)
      Il guérit deux aveugles. (Matthieu 9:27-31)
      Christ chasse un démon, d'un muet. (Matthieu 9:32-34)
      Il envoie les apôtres en mission. (Matthieu 9:35-38)

      La foi des amis du paralytique qui l'amenèrent à Christ, était grande ; ils croyaient fermement que Jésus-Christ pouvait le guérir, et qu'Il allait le faire.

      Une foi solide ne considère aucun obstacle, pour se diriger vers Christ. Ces hommes disposaient d’une telle foi ; ils amenèrent le paralytique à Christ, convaincus de Sa Puissance. Il s’agissait d’une une foi active.

      Le péché peut être pardonné, alors que la maladie peut subsister, par contre la maladie peut être ôtée, sans que le péché ne soit pardonné : si nous disposons du réconfort de la Paix divine, avec en plus, la joie d’être guéri d'une maladie, cette guérison est alors réellement une miséricorde. Cela ne doit surtout pas nous encourager à pécher !

      Si l’on apporte son péché à Jésus-Christ, en tant que « maladie et misère » dont on veut être guéri et délivré, c'est une bonne démarche ; mais si l’on veut venir à Lui, sans vouloir renoncer à ces péchés, nous commettons alors une grossière erreur, nous sommes victimes d’une misérable illusion. La grande intention de Jésus, dans la Rédemption qu'Il offre, consiste à séparer notre cœur du péché. Notre Seigneur Jésus a une parfaite connaissance de tout ce que nous pensons.

      Il y a une grande quantité de maux, dans les pensées coupables ; ils sont très offensifs pour le Seigneur. Christ a choisi de montrer que Sa grande mission dans le monde, était de sauver Son peuple de ses péchés. Dans ce texte, Il a évité de débattre longuement avec les scribes : Il a parlé de la guérison de l'homme malade. Non seulement ce dernier n'avait plus besoin d'être porté sur son lit, mais il avait la force de porter sa couche !

      Dieu doit être glorifié pour toute Sa Puissance qu'Il nous accorde, pour accomplir le bien !

      9 Comme tous ceux que Christ a appelés pour Son service, Matthieu exerçait une profession. Alors que Satan provoque avec ses tentations, les personnes oisives, Christ, de Son côté, appelle ceux qui travaillent.

      « Par nature, nous Te sommes opposés, O notre Dieu ; incite-nous à Te suivre ; entraîne-nous par Ta puissante Parole, et nous accourrons auprès de Toi. Par Ton Esprit, parle à notre cœur ; le monde ne peut pas nous retenir, Satan ne peut pas nous arrêter en chemin, nous nous lèverons et nous Te suivrons ».

      Par le biais de Christ, un changement à salut est opéré dans l'âme : Il en est l’Auteur, et Sa Parole en est le moyen. Ni la position administrative de Matthieu, ni son salaire, n'ont pu le retenir, quand Christ l'a appelé. Il a tout laissé.

      Bien que nous voyions certains disciples, anciens pêcheurs « professionnels », retourner ultérieurement parfois à la pêche, nous ne verrons plus jamais Matthieu retourner à son gain coupable.

      10 Quelques temps après avoir été appelé par Jésus, Matthieu chercha à amener ses anciens collègues de travail, pour qu’ils entendent le Seigneur. Il savait, par expérience, ce que la Grâce de Christ pouvait faire, et il ne désespérait pas au sujet de ces hommes.

      Ceux qui sont réellement amenés à Christ, ne peuvent que désirer que d'autres y viennent aussi. Ceux qui estiment que leur âme n’est pas malade, n'accueillent pas avec plaisir le « Médecin spirituel ». C’était le cas des Pharisiens ; ils méprisaient Christ parce qu'ils s'estimaient intègres ; mais les publicains, pauvres et pécheurs, ressentirent qu'ils manquaient manifestement d'instruction spirituelle.

      Il est facile, et trop commun, de mal interpréter les meilleures paroles et actions des autres. On peut suspecter, sans grand risque de se tromper, que ceux qui ne sont pas au bénéfice de la Grâce de Dieu, ne soient pas satisfaits que d'autres l'obtiennent.

      Quand, dans ce texte, nous voyons Christ converser avec des pécheurs, nous savons qu’Il agit par pure Miséricorde ; promouvoir la conversion des âmes est le plus grand acte de compassion.

      L'appel de l'évangile est un appel à la repentance ; un appel qui nous invite à changer notre esprit, à changer nos voies.

      Si les hommes n'avaient pas été pécheurs, Christ n’aurait pas eu à venir parmi eux. Examinons-nous, afin de nous assurer que notre « maladie spirituelle » a disparu et que nous avons appris à suivre les directives de notre « grand Médecin » !

      Matthieu 10

      Marc 2

      1

      Christ guérit un paralytique. (Marc 2:1-12). L'appel de Lévi, et l'invitation faite à Jésus. (Marc 2:13-17). Pourquoi les disciples ne jeûnèrent pas. (Marc 2:18-22). Il justifie Ses disciples d’avoir arraché des épis, le jour du Sabbat. (Marc 2:23-28)

      L’état misérable de ce paralytique était tel, qu’il avait besoin d’être porté : c’est en quelque sorte, une image de la souffrance de l’humanité... Les quatre personnes qui le portèrent étaient vraiment serviables : cela nous enseigne la compassion que devraient avoir les hommes envers leurs semblables, lors de l’épreuve. Une foi fervente et sincère peut œuvrer en divers domaines : ce n’est qu’à ce stade qu’elle sera acceptée et approuvée par Jésus-Christ !

      Le péché est la cause de toutes nos douleurs et de nos maladies : le seul moyen d’en annuler les effets, est d'éviter de le commettre. Le pardon des péchés « s’infiltre » jusqu'à la racine de toutes les maladies. Christ a prouvé Son pouvoir de pardonner le péché, en guérissant ce paralytique. La guérison de cette maladie était en quelque sorte, une image de son péché pardonné : ce dernier est en effet la maladie de l'âme ; quand il est pardonné, elle est guérie !

      Quand nous voyons Christ opérer ainsi pour la guérison des âmes, nous devons reconnaître que nous n'avons jamais vu pareille chose ! La plupart des hommes pensent qu'ils sont en bonne santé : ils ne ressentent aucunement le besoin d’aller consulter un médecin ; de même, sur le plan spirituel, ils dédaignent ou négligent Christ et Son évangile. Mais le pécheur humble et convaincu, celui qui désespère de recevoir toute aide, excepté celle du Sauveur, montrera sa foi, en ayant immédiatement recours à Lui !

      Marc 3

      6 Toutes nos maladies et nos malheurs découlent de la colère de Dieu, à cause de nos péchés. Leur guérison ou leur transformation en bénédiction, furent acquises par le sang de Christ.

      En fait, nous devons surtout redouter les plaies et les maladies de l’âme ou du cœur. Jésus peut aussi les guérir, par une simple parole.

      Puissions-nous toujours davantage nous adresser à Christ, afin qu'Il guérisse nos plaies, et nous délivre des ennemis de notre âme !

      Marc 12

      1

      La parabole du vigneron et des cultivateurs. (Marc 12:1-12). Question à propos du tribut. (Marc 12:13-17). Question concernant la résurrection. (Marc 12:18-27). Le grand commandement de la loi. (Marc 12:28-34). Christ, le Fils, et néanmoins, le Seigneur de David. (Marc 12:35-40). Éloge d’une pauvre veuve. (Marc 12:41-44).

      Christ montre dans ces paraboles, qu'Il mettait de coté l'église juive.

      Il est triste de penser au traitement ignoble, que les fidèles serviteurs de Dieu ont dû subir de tout temps, de la part de ceux qui ont pu jouir des privilèges qu’offre l'église, sans produire pour autant en retour, les « fruits ».

      Dieu, finalement, envoya Son Fils bien-aimé : on aurait dû s'attendre à ce que, ce Fils, que le Maître aimait, soit également respecté et aimé par les hommes. Mais au lieu de L'honorer, en tant que Fils et Héritier, ils L'ont cependant haï. La louange que nous pouvons offrir à Christ, provient de Dieu. C'est par ce Dernier que nous exaltons Son Fils en notre cœur, que nous pouvons y établir Son trône : si tel est le cas, cela ne peut être que merveilleux à nos yeux !

      Les Écritures, les fidèles prédicateurs et la venue de Christ en chair, nous poussent à rendre à Dieu, ici-bas, la louange qui Lui est due. Que les pécheurs prennent garde à ne pas avoir un esprit orgueilleux et charnel. S'ils insultent ou méprisent ceux qui professent Christ, ils Lui auraient fait subir le même sort odieux, s'ils avaient vécu au temps où le Seigneur était en ce monde.

      Marc 13

      Luc 5

      Luc 6

      Actes 1

    • Lévitique 7

      1 « Règles concernant le sacrifice de réparation : Il s’agit d’une offrande strictement réservée à Dieu.
      2 On doit égorger l’animal à l’endroit où l’on égorge les animaux offerts en sacrifices complets, puis on asperge de son sang les côtés de l’autel.
      3 On présente au Seigneur les morceaux gras suivants : la queue, la graisse qui recouvre les entrailles,
      4 les deux rognons avec la graisse qui y adhère ainsi qu’aux flancs, et le lobe du foie qu’on détache en même temps que les rognons.
      5 Le prêtre brûle le tout sur l’autel. C’est un sacrifice de réparation, consumé pour le Seigneur.
      6 Seuls les hommes des familles sacerdotales peuvent manger de la viande de cet animal ; ils la consommeront dans un endroit réservé du sanctuaire, puisqu’elle est strictement réservée à Dieu.
      7 Ces règles concernant le sacrifice de réparation sont identiques à celles concernant le sacrifice pour obtenir le pardon. La viande de l’animal revient au prêtre qui a présidé la cérémonie de pardon. »
      8 « Lorsqu’un homme offre un sacrifice complet, la peau de l’animal revient au prêtre qui préside la cérémonie.
      9 Les offrandes végétales, qu’elles soient cuites au four, dans la poêle ou sur la plaque, reviennent au prêtre qui préside la cérémonie.
      10 Par contre les offrandes non cuites sont partagées à égalité entre les prêtres, aussi bien celles qui sont préparées avec de l’huile que les autres. »
      11 « Règles concernant le sacrifice de communion offert au Seigneur :
      12 Quand un sacrifice est offert pour accompagner un chant de louange, on apporte, en plus de l’animal à sacrifier, des gâteaux à l’huile cuits sans levain, des galettes sans levain arrosées d’huile et des gâteaux faits de farine pétrie avec de l’huile.
      13 On apporte en outre une offrande de pain levé pour accompagner le sacrifice de louange.
      14 On prélève sur ces offrandes une pièce de chaque espèce, pour le Seigneur ; ces gâteaux-là reviennent ensuite au prêtre qui a aspergé de sang les côtés de l’autel.
      15 Quant à la viande de l’animal sacrifié, elle doit être consommée le jour même. On ne doit rien en garder pour le lendemain.
      16 « Quand un sacrifice de communion est offert de manière spontanée ou pour accomplir un vœu, on peut manger une partie de la viande le jour même du sacrifice et une autre partie le lendemain.
      17 S’il en reste le surlendemain, on doit la jeter au feu.
      18 Si, le troisième jour, quelqu’un mange de la viande provenant du sacrifice, celui qui a offert le sacrifice ne peut pas obtenir la faveur du Seigneur : son sacrifice est tenu pour nul, car la viande est devenue impropre à tout usage religieux. Celui qui en mange se rend coupable d’une faute.
      19 Si la viande est entrée en contact avec quelque chose d’impur, on ne doit pas la consommer, mais la jeter au feu. « Il faut être en état de pureté pour manger la viande du sacrifice.
      20 Si quelqu’un est en état d’impureté personnelle et mange de la viande d’un sacrifice de communion offert au Seigneur, il sera exclu de la communauté d’Israël ;
      21 et il en ira de même pour quiconque en consomme après avoir été en contact avec un être humain impur, un animal impur ou une bestiole impure. »
      22 Le Seigneur dit à Moïse
      23 de communiquer aux Israélites les règles suivantes : « Vous ne devez consommer aucun morceau gras d’un animal, bœuf, mouton ou chèvre.
      24 La graisse d’une bête crevée ou tuée par des animaux sauvages ne doit pas être mangée, mais peut servir à n’importe quel autre usage.
      25 Si quelqu’un mange un morceau gras d’un animal destiné à être consumé en sacrifice pour le Seigneur, il sera exclu de la communauté d’Israël.
      26 Vous ne devez jamais consommer non plus le sang d’un oiseau ou d’une bête, quel que soit l’endroit où vous habitez.
      27 Si quelqu’un consomme du sang, il sera également exclu de la communauté d’Israël. »
      28 Le Seigneur dit à Moïse
      29 de communiquer aux Israélites encore les règles suivantes : « Lorsqu’un homme offre un sacrifice de communion, il donne au Seigneur la part qui lui revient ;
      30 il apporte lui-même ce qui est réservé au Seigneur, à savoir les morceaux gras et la poitrine de l’animal. La poitrine doit lui être offerte avec le geste rituel de présentation.
      31 Le prêtre brûle alors les morceaux gras sur l’autel. Quant à la poitrine, elle revient à Aaron et à ses fils.
      32 Vous devez également prélever le gigot droit de l’animal sacrifié et le remettre au prêtre.
      33 C’est en effet la part attribuée à celui des fils d’Aaron qui apporte à l’autel le sang et les morceaux gras de l’animal.
      34 Le Seigneur lui-même vous ordonne, à vous les Israélites, de mettre de côté la poitrine et le gigot des animaux offerts en sacrifices de communion, pour les donner au prêtre Aaron et à ses descendants, car ces morceaux-là leur sont réservés pour toujours. »
      35 Ces parts prélevées sur les sacrifices offerts au Seigneur revinrent à Aaron et à ses fils, dès qu’ils furent installés dans leur ministère de prêtres du Seigneur.
      36 Le Seigneur ordonna aux Israélites de les leur remettre, le jour où il les consacra. Cette prescription doit être observée en tout temps.
      37 Telles sont les règles concernant les sacrifices complets, les offrandes végétales, les sacrifices pour obtenir le pardon, les sacrifices de réparation, les sacrifices d’installation et les sacrifices de communion.
      38 Le Seigneur les a transmises à Moïse sur le mont Sinaï, dans le désert, le jour même où il a ordonné aux Israélites de lui offrir des sacrifices.

      Lévitique 8

      1 Le Seigneur dit à Moïse :
      2 « Convoque Aaron et ses fils à l’entrée de la tente de la rencontre. Fais apporter les vêtements sacrés et l’huile d’onction, et fais amener le taureau du sacrifice pour obtenir le pardon, les deux béliers et la corbeille contenant les pains sans levain.
      3 Rassemble aussi toute la communauté d’Israël à cet endroit. »
      4 Moïse obéit au Seigneur : il rassembla les Israélites à l’entrée de la tente
      5 et leur annonça qu’il devait exécuter les ordres du Seigneur.
      6 Puis il alla chercher Aaron et ses fils et leur fit prendre un bain rituel.
      7 Il revêtit Aaron de la tunique, lui attacha la ceinture, lui mit la robe avec l’éfod par-dessus et noua dans son dos les attaches de l’éfod ;
      8 il plaça sur sa poitrine le pectoral, dans lequel il déposa l’Ourim et le Toummim.
      9 Il posa le turban sur sa tête et fixa l’insigne sacré, le bijou d’or en forme de fleur, sur le devant du turban, conformément aux ordres du Seigneur.
      10 Moïse prit ensuite de l’huile d’onction et s’en servit pour consacrer la demeure sacrée et tout ce qu’elle contenait.
      11 Il fit sept aspersions d’huile pour consacrer l’autel, ses accessoires, le bassin des purifications et son support.
      12 Il consacra également Aaron en versant de l’huile sur sa tête.
      13 Il demanda enfin aux fils d’Aaron de s’approcher : il les revêtit de leurs tuniques, puis leur mit leurs ceintures et leurs tiares, conformément aux ordres du Seigneur.
      14 Il fit amener le taureau destiné au sacrifice pour obtenir le pardon ; Aaron et ses fils posèrent la main sur sa tête.
      15 Moïse l’égorgea, prit de son sang et en déposa avec un doigt sur les angles relevés de l’autel, pour le purifier ; puis il versa le reste du sang à la base de l’autel. C’est ainsi qu’il consacra l’autel afin qu’il puisse servir dans les cérémonies de pardon des péchés.
      16 Moïse prit toute la graisse qui recouvrait les entrailles de l’animal, le lobe du foie et les deux rognons avec la graisse qui y adhère, et il brûla le tout sur l’autel.
      17 Le reste de l’animal, peau, viande et boyaux, fut jeté au feu en dehors du camp, conformément aux ordres du Seigneur.
      18 Il fit amener ensuite le bélier destiné au sacrifice complet ; Aaron et ses fils posèrent la main sur sa tête.
      19 Moïse égorgea le bélier et aspergea de son sang les côtés de l’autel.
      20 Il découpa l’animal en morceaux et les brûla avec la tête et les parties grasses.
      21 Il lava les entrailles et les pattes, et les brûla sur l’autel avec le reste du bélier, en sacrifice complet, conformément aux ordres du Seigneur ; ce fut un sacrifice dont le Seigneur apprécia la fumée odorante.
      22 Il fit amener enfin le second bélier, dont le sacrifice devait marquer l’entrée en fonction des prêtres ; Aaron et ses fils posèrent la main sur sa tête.
      23 Moïse égorgea le bélier, prit de son sang et en déposa sur le lobe de l’oreille droite d’Aaron, de même que sur le pouce de sa main droite et de son pied droit.
      24 Puis il fit approcher les fils d’Aaron et déposa également du sang sur le lobe de leur oreille droite, de même que sur le pouce de leur main droite et de leur pied droit ; ensuite il aspergea les côtés de l’autel avec le reste du sang.
      25 Moïse prit les parties grasses du bélier : la queue, la graisse qui recouvre les entrailles, le lobe du foie, les deux rognons avec la graisse qui y adhère, ainsi que le gigot droit.
      26 Dans la corbeille des pains sans levain déposée devant le Seigneur, il préleva un gâteau sans levain, un gâteau à l’huile et une galette, et il les disposa sur les morceaux gras et le gigot droit.
      27 Il plaça le tout sur les mains d’Aaron et de ses fils, et leur dit de l’offrir au Seigneur avec le geste rituel de présentation.
      28 Ensuite, il reprit ces offrandes de leurs mains et les brûla sur l’autel, par-dessus le sacrifice complet. Ainsi se déroula le sacrifice marquant l’entrée en fonction des prêtres ; le Seigneur en apprécia la fumée odorante.
      29 Moïse prit la poitrine de l’animal et la présenta devant le Seigneur avec le geste rituel ; cette part du bélier lui revint, conformément aux ordres du Seigneur.
      30 Moïse prit de l’huile d’onction et un peu du sang qui était sur l’autel, et il en aspergea Aaron et ses vêtements, puis ses fils et leurs vêtements ; ainsi, Aaron et ses fils furent consacrés, de même que leurs vêtements.
      31 Moïse dit à Aaron et à ses fils : « Faites cuire la viande du second bélier à l’entrée de la tente de la rencontre. Vous la mangerez vous-mêmes à cet endroit, avec les pains confectionnés pour la cérémonie, conformément à l’ordre que je vous ai transmis.
      32 S’il y a ensuite des restes de viande ou de pain, vous les jetterez au feu.
      33 Vous demeurerez pendant sept jours à l’entrée de la tente ; vous ne la quitterez pas avant que soient achevés les sept jours de la cérémonie de votre entrée en fonction.
      34 Le Seigneur lui-même a ordonné de procéder comme on l’a fait aujourd’hui, afin que vous obteniez le pardon de vos péchés.
      35 Restez à l’entrée de la tente jour et nuit, durant toute cette semaine. Ensuite vous pourrez accomplir le service prescrit par le Seigneur sans risquer la mort. Tels sont les ordres que j’ai reçus de Dieu. »
      36 Aaron et ses fils exécutèrent tous les ordres que le Seigneur leur avait transmis par l’intermédiaire de Moïse.

      Matthieu 9

      1 Jésus monta dans la barque, refit la traversée du lac et se rendit dans sa ville.
      9 Jésus partit de là et vit, en passant, un homme appelé Matthieu assis au bureau des impôts. Il lui dit : « Suis-moi ! » Matthieu se leva et le suivit.
      10 Jésus prenait un repas dans la maison de Matthieu ; beaucoup de collecteurs d’impôts et autres gens de mauvaise réputation vinrent prendre place à table avec lui et ses disciples.

      Matthieu 10

      3 Philippe et Barthélemy ; Thomas et Matthieu le collecteur d’impôts ; Jacques le fils d’Alphée et Thaddée ;

      Marc 2

      1 Quelques jours plus tard, Jésus revint à Capernaüm, et l’on apprit qu’il était à la maison.
      14 En passant, il vit Lévi, le fils d’Alphée, assis au bureau des impôts. Jésus lui dit : « Suis-moi ! » Lévi se leva et le suivit.
      16 Et les maîtres de la loi qui étaient du parti des Pharisiens virent que Jésus mangeait avec tous ces gens ; ils dirent à ses disciples : « Pourquoi mange-t-il avec les collecteurs d’impôts et les gens de mauvaise réputation ? »
      24 Les Pharisiens dirent alors à Jésus : « Regarde, pourquoi tes disciples font-ils ce que notre loi ne permet pas le jour du sabbat ? »

      Marc 3

      2 Les Pharisiens observaient attentivement Jésus pour voir s’il allait le guérir le jour du sabbat, car ils voulaient l’accuser.
      6 Les Pharisiens sortirent de la synagogue et se réunirent aussitôt avec des membres du parti d’Hérode pour décider comment ils pourraient faire mourir Jésus.
      18 André, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques le fils d’Alphée, Thaddée, Simon le nationaliste,

      Marc 12

      1 Puis Jésus se mit à leur parler en utilisant des paraboles : « Un homme planta une vigne ; il l’entoura d’un mur, creusa la roche pour le pressoir à raisin et bâtit une tour de garde. Ensuite, il loua la vigne à des ouvriers vignerons et partit en voyage.
      29 Jésus lui répondit : « Voici le commandement le plus important : “Écoute, Israël ! Le Seigneur notre Dieu est le seul Seigneur.
      39 ils choisissent les sièges les plus en vue dans les synagogues et les places d’honneur dans les grands repas.

      Marc 13

      7 Quand vous entendrez le bruit de guerres proches et des nouvelles sur des guerres lointaines, ne vous effrayez pas ; il faut que cela arrive, mais ce ne sera pas encore la fin de ce monde.

      Luc 5

      29 Puis Lévi lui offrit un grand repas dans sa maison ; beaucoup de collecteurs d’impôts et d’autres personnes étaient à table avec eux.

      Luc 6

      15 Matthieu et Thomas, Jacques le fils d’Alphée et Simon – dit le nationaliste –,

      Actes 1

      13 Quand ils furent arrivés à Jérusalem, ils montèrent dans la chambre où ils se tenaient d’habitude, en haut d’une maison. Il y avait Pierre, Jean, Jacques et André, Philippe et Thomas, Barthélemy et Matthieu, Jacques le fils d’Alphée, Simon le nationaliste et Jude le fils de Jacques.
    • Lévitique 7

      1 » Voici la loi du sacrifice de culpabilité. C'est une chose très sainte.
      2 C'est à l’endroit où l'on égorge l'holocauste que sera égorgée la victime pour le sacrifice de culpabilité. On versera son sang sur tout le pourtour de l'autel.
      3 On offrira toute sa graisse : la queue, la graisse qui couvre les entrailles,
      4 les deux rognons et la graisse qui les entoure, celle qui couvre les flancs, et le grand lobe du foie qu'on détachera près des rognons.
      5 Le prêtre brûlera cela sur l'autel en sacrifice passé par le feu devant l'Eternel. C'est un sacrifice de culpabilité.
      6 Tout homme parmi les prêtres en mangera. Il le mangera dans un endroit saint. C'est une chose très sainte.
      7 Il en va pour le sacrifice de culpabilité comme pour le sacrifice d'expiation ; la loi est la même pour ces deux sacrifices : la victime sera pour le prêtre qui fera l'expiation.
      8 Le prêtre qui offrira l'holocauste de quelqu'un aura pour lui la peau de l'holocauste qu'il a offert.
      9 Toute offrande cuite au four, préparée sur le gril ou à la poêle sera pour le prêtre qui l'a offerte.
      10 Toute offrande pétrie à l'huile ou sèche sera pour tous les descendants d'Aaron, sans distinction.
      11 » Voici la loi du sacrifice de communion qu'on offrira à l'Eternel.
      12 Si quelqu'un l'offre par reconnaissance, il offrira avec le sacrifice de communion des gâteaux sans levain pétris à l'huile, des galettes sans levain arrosées d'huile et des gâteaux de fleur de farine pétris à l'huile.
      13 A ces gâteaux il ajoutera du pain levé pour son offrande, pour accompagner son sacrifice de reconnaissance et de communion.
      14 On présentera à titre de prélèvement pour l'Eternel une portion de chaque offrande. Elle sera pour le prêtre qui a versé le sang de la victime du sacrifice de communion.
      15 La viande du sacrifice de reconnaissance et de communion sera mangée le jour où il est offert ; on n'en laissera rien jusqu'au matin.
      16 Si quelqu'un offre un sacrifice pour l'accomplissement d'un vœu ou comme offrande volontaire, la victime sera mangée le jour où il l'offrira et ce qui en restera sera mangé le lendemain.
      17 Ce qui restera de la viande de la victime le troisième jour sera brûlé au feu.
      18 Dans le cas où quelqu’un mangerait de la viande de son sacrifice de communion le troisième jour, le sacrifice ne sera pas accepté. Il ne sera pas porté au compte de celui qui l'a offert ; ce sera une chose infecte et celui qui en mangera restera chargé de sa faute.
      19 La viande qui a touché quelque chose d'impur ne sera pas mangée : elle sera brûlée au feu. Toute personne pure peut manger de la viande ;
      20 mais si quelqu’un, alors qu’il se trouve en état d'impureté, mange de la viande du sacrifice de communion qui appartient à l'Eternel, il sera exclu de son peuple.
      21 Et si quelqu’un touche quelque chose d'impur – une impureté humaine, un animal impur ou n’importe quelle abomination impure – et mange de la viande du sacrifice de communion qui appartient à l'Eternel, il sera exclu de son peuple. »
      22 L'Eternel dit à Moïse :
      23 « Transmets ces instructions aux Israélites : Vous ne mangerez aucune graisse de bœuf, d'agneau ou de chèvre.
      24 La graisse d'une bête trouvée morte ou déchiquetée pourra servir à n’importe quel usage, mais vous ne la mangerez pas.
      25 Si quelqu’un mange de la graisse des animaux qu’on offre à l'Eternel en sacrifices passés par le feu, il sera exclu de son peuple.
      26 Vous ne mangerez pas de sang d'oiseau ni de bétail, où que vous habitiez.
      27 Si quelqu’un mange du sang, il sera exclu de son peuple. »
      28 L'Eternel dit à Moïse :
      29 « Transmets ces instructions aux Israélites : Celui qui offrira à l'Eternel un sacrifice de communion apportera à l'Eternel une offrande prise sur son sacrifice de communion.
      30 Il apportera de ses propres mains ce qui doit être passé par le feu pour l'Eternel, la graisse qui est sur la poitrine, et il fera avec la poitrine le geste de présentation devant l'Eternel.
      31 Le prêtre brûlera la graisse sur l'autel et la poitrine sera pour Aaron et pour ses descendants.
      32 Vous donnerez au prêtre la cuisse droite à titre de prélèvement sur vos sacrifices de communion ;
      33 le descendant d'Aaron qui offrira le sang et la graisse du sacrifice de communion aura comme part la cuisse droite.
      34 En effet, je prends sur les sacrifices de communion offerts par les Israélites la poitrine avec laquelle on fait le geste de présentation et la cuisse prélevée, et je les donne au prêtre Aaron et à ses descendants, par une prescription perpétuelle que respecteront les Israélites.
      35 Telle est la part d'Aaron et de ses descendants dans les sacrifices passés par le feu pour l'Eternel, dès le jour où ils seront présentés pour être à mon service en tant que prêtres.
      36 C'est ce que l'Eternel ordonne aux Israélites de leur donner dès le jour de leur onction. Ce sera une prescription perpétuelle pour eux au fil des générations. »
      37 Telle est la loi pour l'holocauste, l'offrande, le sacrifice d'expiation, le sacrifice de culpabilité, la consécration et le sacrifice de communion.
      38 L'Eternel la prescrivit à Moïse sur le mont Sinaï, le jour où il ordonna aux Israélites de présenter leurs offrandes à l'Eternel dans le désert du Sinaï.

      Lévitique 8

      1 L'Eternel dit à Moïse :
      2 « Prends Aaron et ses fils avec lui, les vêtements, l'huile d'onction, le taureau expiatoire, les deux béliers et la corbeille de pains sans levain,
      3 et convoque toute l'assemblée à l'entrée de la tente de la rencontre. »
      4 Moïse fit ce que l'Eternel lui avait ordonné et l'assemblée se réunit à l'entrée de la tente de la rencontre.
      5 Moïse dit à l'assemblée : « Voici ce que l'Eternel a ordonné de faire. »
      6 Il fit approcher Aaron et ses fils, et il les lava avec de l'eau.
      7 Il mit la tunique à Aaron, lui passa la ceinture, l’habilla de la robe et plaça sur lui l'éphod, qu'il serra avec l’écharpe de l'éphod dont il l’habilla.
      8 Il lui mit le pectoral, dans lequel il plaça l'urim et le thummim.
      9 Il posa la tiare sur sa tête et plaça sur le devant de la tiare la lame d'or, le diadème sacré, comme l'Eternel le lui avait ordonné.
      10 Moïse prit l'huile d'onction. Il en versa sur le sanctuaire et tout ce qui s’y trouvait, et ainsi il le consacra.
      11 Il aspergea sept fois l'autel d’huile, il versa de l’huile sur l'autel et tous ses ustensiles, ainsi que sur la cuve avec sa base, afin de les consacrer.
      12 Il versa de l'huile d'onction sur la tête d'Aaron, il lui fit cette onction afin de le consacrer.
      13 Moïse fit aussi approcher les fils d'Aaron ; il les habilla de tuniques, leur passa des ceintures et leur attacha des coiffes comme l'Eternel le lui avait ordonné.
      14 Il fit approcher le taureau expiatoire, et Aaron et ses fils posèrent leurs mains sur sa tête.
      15 Moïse l'égorgea, prit du sang et en mit avec son doigt sur les cornes du pourtour de l'autel pour le purifier. Il versa le sang au pied de l'autel pour le consacrer en vue d’y faire l'expiation.
      16 Il prit toute la graisse qui couvre les entrailles, le grand lobe du foie et les deux rognons avec leur graisse, et il brûla cela sur l'autel.
      17 Mais il brûla dans un feu à l’extérieur du camp le taureau, sa peau, sa viande et ses excréments, comme l'Eternel le lui avait ordonné.
      18 Il fit approcher le bélier de l'holocauste, et Aaron et ses fils posèrent leurs mains sur sa tête.
      19 Moïse l'égorgea et versa le sang sur le pourtour de l'autel.
      20 Il coupa le bélier par morceaux et brûla la tête, les morceaux et la graisse.
      21 Il lava avec de l'eau les entrailles et les pattes, et il brûla tout le bélier sur l'autel. Ce fut l'holocauste, un sacrifice brûlé au feu dont l’odeur fut agréable à l'Eternel, comme l'Eternel l'avait ordonné à Moïse.
      22 Il fit approcher l'autre bélier, le bélier de consécration, et Aaron et ses fils posèrent leurs mains sur sa tête.
      23 Moïse égorgea le bélier, prit de son sang et en mit sur le lobe de l'oreille droite d'Aaron, sur le pouce de sa main droite et sur le gros orteil de son pied droit.
      24 Il fit approcher les fils d'Aaron, mit du sang sur le lobe de leur oreille droite, sur le pouce de leur main droite et sur le gros orteil de leur pied droit, et il versa le sang sur le pourtour de l'autel.
      25 Il prit la graisse, la queue, toute la graisse qui couvre les entrailles, le grand lobe du foie, les deux rognons avec leur graisse et la cuisse droite ;
      26 il prit aussi dans la corbeille de pains sans levain placée devant l'Eternel un gâteau sans levain, un gâteau de pain à l'huile et une galette, et il les posa sur les graisses et sur la cuisse droite.
      27 Il mit tous ces éléments sur les mains d'Aaron et sur celles de ses fils, et il fit le geste de présentation devant l'Eternel.
      28 Puis il les retira de leurs mains et les brûla sur l'autel, par-dessus l'holocauste. Ce fut le sacrifice de consécration, un sacrifice passé par le feu dont l’odeur fut agréable à l'Eternel.
      29 Moïse prit la poitrine du bélier de consécration et fit avec elle le geste de présentation devant l'Eternel. Ce fut la portion de Moïse, comme l'Eternel le lui avait ordonné.
      30 Moïse prit de l'huile d'onction et du sang qui était sur l'autel et en aspergea Aaron et ses vêtements, de même que les fils d'Aaron et leurs vêtements. C’est ainsi qu’il consacra Aaron et ses vêtements, de même que les fils d'Aaron et leurs vêtements.
      31 Moïse dit à Aaron et à ses fils : « Faites cuire la viande à l'entrée de la tente de la rencontre ; c'est là que vous la mangerez, avec le pain qui est dans la corbeille de consécration, comme je l'ai ordonné en disant : ‘Aaron et ses descendants la mangeront.’
      32 Vous brûlerez dans le feu ce qui restera de la viande et du pain.
      33 Pendant 7 jours, vous ne sortirez pas de l'entrée de la tente de la rencontre, jusqu'à ce que prenne fin la période de votre entrée en fonction. En effet, 7 jours seront employés à vous établir dans vos fonctions.
      34 Ce qui s'est fait aujourd'hui, l'Eternel a ordonné de le faire comme expiation pour vous.
      35 Vous resterez donc 7 jours à l'entrée de la tente de la rencontre, jour et nuit, vous respecterez les commandements de l'Eternel. Ainsi vous ne mourrez pas, car c'est l’ordre que j’ai reçu. »
      36 Aaron et ses fils firent tout ce que l'Eternel avait ordonné par l’intermédiaire de Moïse.

      Matthieu 9

      1 Jésus monta dans une barque, traversa le lac et se rendit dans sa ville.
      9 Jésus partit de là. En passant, il vit un homme assis au bureau des taxes et qui s'appelait Matthieu. Il lui dit : « Suis-moi. » Cet homme se leva et le suivit.
      10 Comme Jésus était à table dans la maison, beaucoup de collecteurs d’impôts et de pécheurs vinrent se mettre à table avec lui et avec ses disciples.

      Matthieu 10

      3 Philippe et Barthélémy ; Thomas et Matthieu, le collecteur d’impôts ; Jacques, fils d'Alphée, et [Lebbée, surnommé] Thaddée ;

      Marc 2

      1 Quelques jours après, Jésus revint à Capernaüm. On apprit qu'il était à la maison,
      14 En passant, il vit Lévi, fils d'Alphée, assis au bureau des taxes. Il lui dit : « Suis-moi. » Lévi se leva et le suivit.
      16 Le voyant manger avec les collecteurs d’impôts et les pécheurs, les spécialistes de la loi et les pharisiens dirent à ses disciples : « Pourquoi mange-t-il avec les collecteurs d’impôts et les pécheurs ? »
      24 Les pharisiens lui dirent : « Regarde ! Pourquoi font-ils ce qui n'est pas permis pendant le sabbat ? »

      Marc 3

      2 Ils observaient Jésus pour voir s'il le guérirait le jour du sabbat : c'était afin de pouvoir l'accuser.
      6 Les pharisiens sortirent et tinrent aussitôt conseil avec les hérodiens sur les moyens de le faire mourir.
      18 André ; Philippe ; Barthélémy ; Matthieu ; Thomas ; Jacques, fils d'Alphée ; Thaddée ; Simon le Cananite ;

      Marc 12

      1 Jésus se mit ensuite à leur parler en paraboles : « Un homme planta une vigne. Il l'entoura d'une haie, creusa un pressoir et construisit une tour. Puis il la loua à des vignerons et quitta le pays.
      29 Jésus répondit : « Voici le premier : Ecoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur
      39 Ils recherchent les sièges d'honneur dans les synagogues et les meilleures places dans les festins ;

      Marc 13

      7 Quand vous entendrez parler de guerres et de menaces de guerres, ne vous laissez pas effrayer, car il faut que ces choses arrivent. Cependant, ce ne sera pas encore la fin.

      Luc 5

      29 Lévi lui offrit un grand festin dans sa maison, et beaucoup de collecteurs d’impôts et d'autres personnes étaient à table avec eux.

      Luc 6

      15 Matthieu ; Thomas ; Jacques, fils d'Alphée ; Simon, appelé le zélote ;

      Actes 1

      13 Quand ils furent arrivés, ils montèrent à l'étage dans la pièce où ils se tenaient d'ordinaire ; il y avait là Pierre, Jean, Jacques, André, Philippe, Thomas, Barthélémy, Matthieu, Jacques, fils d'Alphée, Simon le zélote et Jude, fils de Jacques.
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