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SACREMENT

Ce terme est devenu l'un des plus essentiels du langage religieux et théologique par le fait que les réalités auxquelles il se rapporte sont elles-mêmes essentielles et que leur interprétation a présenté les divergences les plus grandes.

Il correspond au terme grec mustêrion (=mystère) que la Vulgate traduit plusieurs fois par sacra-mentum, dans les ép. aux Éphésiens, Colossiens, 1 Tim., et dans l'Apocalypse. Seulement, dans tous ces passages, le mot désigne le mystère de Dieu, de l'Évangile ou de la piété, et jamais un acte religieux ou ecclésiastique.

Mais, à l'époque où est apparu le christianisme, il existait dans le monde antique un puissant mouvement dit précisément des religions des « mystères » (voir ce mot), dont le succès tenait au fait que par les pratiques qu'elles prescrivaient et par le déroulement de leurs cérémonies elles pensaient rendre l'homme participant du mystère divin et le sauver par cette « initiation » au travers du rite et de ses solennités. Dès la fin du I er siècle, à n'en pas douter, ces cultes ont influencé la pratique de l'Église. Dans son ép. aux Éphésiens, Ignace d'Antioche nomme le pain de la Cène une « médecine d'immortalité, un moyen de ne pas mourir mais de vivre toujours en Jésus-Christ » (20:2). Justin Martyr tient le même langage dans son Apologie (166). Ce réalisme alla s'accentuant encore.

1.

Le catholicisme.

De là est née la conception catholique du sacrement : « communication mystérieuse de la grâce, infusion de la charité ». Toutefois ce n'est que tardivement, avec Augustin, que l'on voit la conception courante du sacrement soumise à une critique approfondie. C'est Augustin qui a caractérisé les sacrements comme « le signe visible d'une grâce invisible ». Il leur accorde une importance très grande : toute pratique cultuelle de l'Église est pour lui sacrement, et tout sacrement est par nature nécessaire, le baptême et la sainte Cène tout particulièrement. Mais Augustin a nettement affirmé que si les sacrements conduisent au salut, ils ne sont pourtant que des signes et non des moyens de salut. Qui a la foi peut être sauvé sans les sacrements. Conception très riche, mais imprécise et même contradictoire.

C'est cette doctrine qui est à l'origine de toutes les théories et de toutes les divisions subséquentes. Les partis les plus opposés se sont également appuyés sur elle, les uns mettant l'accent sur la valeur purement symbolique du « signe visible », les autres insistant sur la présence de la « grâce invisible ». Paschase Radbert et Ratramne prennent ce dernier point de vue, Bérenger de Tours défend le premier. De même on varie longtemps encore, pour les mêmes raisons, sur le nombre des vrais sacrements : on en affirme deux, sept, douze, davantage encore.

En tout cas, c'est au Moyen âge qu'est vraiment apparue la notion du sacrement et que s'est formée la doctrine catholique à ce sujet, sous l'influence d'hommes comme Hugues de Saint-Victor, Pierre Lombard, Thomas d'Aquin surtout, dans son grand effort systématique et sous l'influence aussi des conceptions populaires de cette époque. C'est à la même époque que le nombre sept s'est peu à peu imposé (baptême, cène, pénitence, confirmation, ordination, mariage, extrême-onction), apparemment en raison du prestige dont il a joui dès longtemps. Le concile de Trente l'acceptera définitivement.

L'opposition des grands ordres monastiques est apparue ici aussi, les Dominicains avec saint Thomas voyant dans le sacrement un « signe » qui sanctifie lui-même celui qui le reçoit, les Franciscains voyant en lui, non pas une force divine qui y serait présente, mais seulement une parabole de ce que Dieu réalise dans le même moment en l'âme du fidèle. C'est d'ailleurs la conception de saint Thomas qui a prévalu dans l'Église. Il considère le sacrement comme efficace en lui-même (ex opere operato). Il réclame que celui qui l'administre en respecte le caractère surnaturel et observe strictement la prescription du Christ et de l'Église. De même celui qui le reçoit doit croire à son contenu divin et ne point se trouver en état de péché mortel. Alors, quand aucun obstacle ne vient s'opposer à ces nécessaires dispositions, Dieu peut, par le sacrement, agir dans les âmes.

Ces conceptions ont été élevées à la dignité de dogmes par la bulle Exultate Deo du pape Eugène IV, au concile de Florence (22 nov. 143 (5). Elles ont gardé jusqu'ici, d'une façon générale, leur valeur dans l'Église romaine. Par elle, le sacrement est devenu la voie nécessaire du salut, le chemin inévitable, et le prêtre seul administrateur du sacrement. De toute façon le prestige de l'Église en fut puissamment augmenté. Mais à la veille de la Réforme il sera combattu par toutes sortes de raisons, et quand le renouveau des études sur la Bible viendra mettre en doute la légitimité du développement de la tradition, le prestige de l'institution cléricale et hiérarchique sera encore plus ébranlé. Et les sacrements que l'Église garantissait par son prestige seront remis en discussion à la clarté des sources bibliques. Ajoutons que le concile de Trente ne s'est pas préoccupé des imprécisions et des contradictions de la doctrine des sacrements née au Moyen âge. Il s'est contenté de condamner ceux qui mettent en doute le nombre de sept sacrements, l'idée qu'ils sont absolument nécessaires sur le chemin du salut et qu'ils sont en eux-mêmes efficaces et agissants, leur caractère indélébile, enfin.

2.

La Réforme.

Luther a combattu dès le début la conception romaine de la transsubstantiation et de l'action magique des sacrements, pour défendre une conception toute spirituelle selon laquelle il n'y a que deux sacrements, ceux qui rappellent l'oeuvre de Jésus-Christ : le baptême et la Cène (cf. Trois sermons sur les sacrements, et son grand écrit réformateur : De la captivité babylonienne de l'Église). Mais plus tard, au cours de ses luttes avec les « illuminés », il revint en arrière, au risque de se rapprocher à nouveau de la doctrine romaine, et abandonna le strict symbolisme.

Dans ces mêmes circonstances, Zwingle prit l'attitude opposée faisant du sacrement un pur symbole, un simple mémorial de l'oeuvre du Christ, ce qui ne signifie nullement d'ailleurs que Zwingle ait dédaigné ces actes ou les ait tenus pour peu de chose. Mais l'attitude divergente des deux Réformateurs provoqua la « Controverse sur la Cène », qui aboutit au colloque de Strasbourg où l'entente se fit sur de nombreux points, mais non pas sur la question de savoir si le vrai corps et le vrai sang de Christ étaient « corporellement » présents dans le pain et le vin.

Calvin prit, tout comme les Réformateurs de Strasbourg, une attitude intermédiaire. Il vit dans les sacrements des « signes » par lesquels Dieu, afin de venir en aide à notre pauvre foi, nous confirme la grâce promise en Jésus-Christ et dans l'Écriture, tandis que nous-mêmes, en les recevant, nous lui montrons notre foi. Parole et sacrement en eux-mêmes n'apportent rien et ne sont pour l'incrédule que signes vains et vides, mais quand l'Esprit s'est emparé d'un coeur pour en faire un coeur croyant, les sacrements peuvent lui communiquer la grâce divine. Ce n'est donc pas dans le sacrement lui-même qu'il faut mettre sa confiance, mais dans l'Esprit, seule réalité, venant à la rencontre de la foi.

C'est cette affirmation du primat de l'Esprit qui doit être, et qui sera toujours davantage entre les diverses branches du protestantisme, la base d'une interprétation commune de la nature des sacrements et de leur rôle. N'est-ce pas ainsi que le N.T. lui-même juge de leur valeur ? On sait que le 4 e évangile parle en termes très réalistes du corps qu'il faut manger, du sang qu'il faut boire (Jn 6:53 et suivants). Mais il déclare en même temps (verset 63) : « C'est l'Esprit qui vivifie, la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous dis sont esprit et vie. » Et saint Paul, d'autre part, semble employer dans Ro 6 des expressions bien proches de celles des religions des mystères (voir Paul, VII, 2). Mais il est impossible d'affirmer qu'il s'agisse là du rite ex opere operato. Paul veut marquer quelle puissance possède, sur la conscience du disciple, la pensée de la mort et de la résurrection de son Maître. Aucune formule ne sera assez forte pour souligner cette action.

Mais cette action reste tout intérieure, morale ; l'apôtre, après les premiers versets de ce chap. 6, exhorte ses lecteurs à vivre conformément à la grâce reçue et les associe étroitement au combat par lequel l'Esprit doit triompher (Ro 6:11,14).

Il ne pourrait y avoir de véritable sacrement qu'en tant que ex opere operato. Le véritable sacrement se suffit à lui-même, son oeuvre est parfaite. En ce sens l'Écriture ne connaît pas le sacrement. Ni l'apôtre Paul ni aucun autre auteur sacré n'attribuent au sacrement ce rôle suffisant. Tous conçoivent que la communication de l'Esprit qui est l'élément décisif d'une vie nouvelle, non seulement peut s'accomplir indépendamment de l'acte rituel, mais encore est la seule chose qui importe dans cet acte lui-même, et qu'elle est le fait de la vie entière.

Le baptême et la Cène annoncent le don de Dieu, Christ et son oeuvre. Voilà pourquoi ils parlent à l'âme croyante et lui sont chers, pourquoi ils veulent être reçus avec un grand sérieux. Mais si c'est une grande émotion que la découverte et la prise de conscience de l'amour divin, il n'y a rien là de semblable à une « infusion de substance ». Et cette émotion ne vaut même, au travers de la cérémonie la plus saisissante, que pour autant qu'elle devient assentiment conscient et décidé au jugement, à la volonté, à l'amour divins.

Voir Cène, Symbole. G. F.

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Versets relatifs

    • Lévitique 4

      1 L'Eternel dit à Moïse :
      2 « Transmets ces instructions aux Israélites : Lorsque quelqu'un péchera involontairement contre l'un des commandements de l'Eternel en faisant des choses qui ne doivent pas se faire,
      3 si c'est le prêtre consacré par onction qui a péché et a rendu par là le peuple coupable, il offrira à l'Eternel, en sacrifice d'expiation pour le péché qu'il a commis, un jeune taureau sans défaut.
      4 Il amènera le taureau à l'entrée de la tente de la rencontre, devant l'Eternel. Il posera sa main sur la tête du taureau et l’égorgera devant l'Eternel.
      5 Le prêtre consacré par onction prendra du sang du taureau et l'apportera dans la tente de la rencontre.
      6 Il trempera son doigt dans le sang et il en fera 7 fois l'aspersion devant l'Eternel, en face du voile du sanctuaire.
      7 Le prêtre mettra du sang sur les cornes de l'autel des parfums odoriférants, qui est devant l'Eternel dans la tente de la rencontre. Il versera tout le sang du taureau au pied de l'autel des holocaustes, qui est à l'entrée de la tente de la rencontre.
      8 Il enlèvera toute la graisse du taureau expiatoire, la graisse qui couvre les entrailles et toute celle qui y est attachée,
      9 les deux rognons et la graisse qui les entoure, qui couvre les flancs, et le grand lobe du foie, qu'il détachera près des rognons.
      10 Le prêtre enlèvera ces parties comme on les enlève du taureau dans le sacrifice de communion et il les brûlera sur l'autel des holocaustes.
      11 Mais la peau du taureau, toute sa viande avec sa tête, ses pattes, ses entrailles et ses excréments,
      12 le taureau entier, il l'emportera à l’extérieur du camp, dans un endroit pur où l'on jette les cendres, et il le brûlera au feu sur du bois ; c'est sur le tas de cendres qu’on le brûlera.
      13 » Si c'est toute l'assemblée d'Israël qui a péché involontairement, si sans y prêter attention elle a fait contre l'un des commandements de l'Eternel des choses qui ne doivent pas se faire et s’est ainsi rendue coupable,
      14 et si le péché commis vient à être découvert, l'assemblée offrira un jeune taureau en sacrifice d'expiation et on l'amènera devant la tente de la rencontre.
      15 Les anciens d'Israël poseront leurs mains sur la tête du taureau devant l'Eternel et l’on égorgera le taureau devant l'Eternel.
      16 Le prêtre consacré par onction apportera du sang du taureau dans la tente de la rencontre.
      17 Il trempera son doigt dans le sang et il en fera 7 fois l'aspersion devant l'Eternel, en face du voile.
      18 Il mettra du sang sur les cornes de l'autel qui est devant l'Eternel dans la tente de la rencontre. Puis il versera tout le sang au pied de l'autel des holocaustes, qui est à l'entrée de la tente de la rencontre.
      19 Il enlèvera toute la graisse du taureau et la brûlera sur l'autel.
      20 Il procédera avec ce taureau exactement comme pour le taureau expiatoire. C'est ainsi que le prêtre fera l’expiation pour eux, et le pardon leur sera accordé.
      21 Il emportera le taureau à l’extérieur du camp et il le brûlera comme le premier taureau. C'est un sacrifice d'expiation pour l'assemblée.
      22 » Si c'est un chef qui a péché, s’il a fait involontairement contre l'un des commandements de l'Eternel, son Dieu, des choses qui ne doivent pas se faire et s’est ainsi rendu coupable,
      23 et s’il vient à découvrir le péché qu'il a commis, il offrira en sacrifice un bouc mâle sans défaut.
      24 Il posera sa main sur la tête du bouc et l’égorgera à l’endroit où l'on égorge les holocaustes devant l'Eternel. C'est un sacrifice d'expiation.
      25 Le prêtre prendra avec son doigt du sang de la victime expiatoire, il en mettra sur les cornes de l'autel des holocaustes et il versera le sang au pied de l'autel des holocaustes.
      26 Il brûlera toute la graisse sur l'autel, comme la graisse du sacrifice de communion. C'est ainsi que le prêtre fera pour ce chef l'expiation de son péché, et le pardon lui sera accordé.
      27 » Si c'est quelqu'un du peuple qui a péché involontairement en faisant contre l'un des commandements de l'Eternel des choses qui ne doivent pas se faire et en se rendant ainsi coupable,
      28 et s’il vient à découvrir le péché qu'il a commis, il offrira en sacrifice une chèvre, une femelle sans défaut, pour le péché qu'il a commis.
      29 Il posera sa main sur la tête de la victime expiatoire et l’égorgera à l’endroit où l'on égorge les holocaustes.
      30 Le prêtre prendra avec son doigt du sang de la victime, il en mettra sur les cornes de l'autel des holocaustes et il versera tout le sang au pied de l'autel.
      31 Le prêtre enlèvera toute la graisse, comme on enlève la graisse du sacrifice de communion, et il la brûlera sur l'autel ; son odeur sera agréable à l'Eternel. C'est ainsi que le prêtre fera l’expiation pour cet homme, et le pardon lui sera accordé.
      32 » Si c’est un agneau qu’il offre en sacrifice d'expiation, il offrira une femelle sans défaut.
      33 Il posera sa main sur la tête de la victime et l’égorgera en sacrifice d'expiation à l’endroit où l'on égorge les holocaustes.
      34 Le prêtre prendra avec son doigt du sang de la victime, il en mettra sur les cornes de l'autel des holocaustes et il versera tout le sang au pied de l'autel.
      35 Le prêtre enlèvera toute la graisse comme on enlève la graisse de l'agneau dans le sacrifice de communion, et il la brûlera sur l'autel comme un sacrifice passé par le feu pour l'Eternel. C'est ainsi que le prêtre fera pour cet homme l'expiation du péché qu'il a commis, et le pardon lui sera accordé.

      Jean 6

      53 Jésus leur dit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez pas le corps du Fils de l'homme et si vous ne buvez pas son sang, vous n'avez pas la vie en vous-mêmes.

      Romains 6

      1 Que dirons-nous donc ? Allons-nous persister dans le péché afin que la grâce se multiplie ?
      2 Certainement pas ! Nous qui sommes morts pour le péché, comment pourrions-nous encore vivre dans le péché ?
      3 Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c'est en sa mort que nous avons été baptisés ?
      4 Par le baptême en sa mort nous avons donc été ensevelis avec lui afin que, comme Christ est ressuscité par la gloire du Père, de même nous aussi nous menions une vie nouvelle.
      5 En effet, si nous avons été unis à lui par une mort semblable à la sienne, nous le serons aussi par une résurrection semblable à la sienne.
      6 Nous savons que notre vieil homme a été crucifié avec lui afin que le corps du péché soit réduit à l'impuissance et qu’ainsi nous ne soyons plus esclaves du péché.
      7 En effet, celui qui est mort est libéré du péché.
      8 Or, si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui,
      9 car nous savons que Christ ressuscité ne meurt plus ; la mort n'a plus de pouvoir sur lui.
      10 Christ est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes ; maintenant qu'il est vivant, c'est pour Dieu qu'il vit.
      11 De la même manière, vous aussi, considérez-vous comme morts pour le péché et comme vivants pour Dieu en Jésus-Christ [notre Seigneur].
      12 Que le péché ne règne donc plus dans votre corps mortel pour vous soumettre à lui par ses désirs.
      13 Ne mettez plus vos membres au service du péché comme des instruments de l'injustice, mais au contraire livrez-vous vous-mêmes à Dieu comme des morts revenus à la vie et mettez vos membres à son service comme des instruments de la justice.
      14 En effet, le péché n’aura pas de pouvoir sur vous, puisque vous n’êtes plus sous la loi mais sous la grâce.
      15 Quoi donc ! Allons-nous pécher parce que nous ne sommes pas sous la loi mais sous la grâce ? Certainement pas !
      16 Ne savez-vous pas que si vous vous livrez à quelqu'un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes les esclaves du maître à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l'obéissance qui conduit à la justice ?
      17 Mais que Dieu soit remercié : alors que vous étiez esclaves du péché, vous avez obéi de tout cœur au modèle d'enseignement auquel vous avez été confiés.
      18 Et une fois libérés du péché, vous êtes devenus esclaves de la justice.
      19 – Je parle à la manière des hommes, à cause de votre faiblesse naturelle. – De même que vous avez mis vos membres comme esclaves au service de l'impureté et de l’injustice pour arriver à plus d'injustice, de même maintenant, mettez vos membres comme esclaves au service de la justice pour progresser dans la sainteté.
      20 En effet, lorsque vous étiez esclaves du péché, vous étiez libres par rapport à la justice.
      21 Quels fruits portiez-vous alors ? Des fruits dont vous avez honte aujourd'hui, car leur fin, c’est la mort.
      22 Mais maintenant que vous avez été libérés du péché et que vous êtes devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la progression dans la sainteté et pour fin la vie éternelle.
      23 En effet, le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.
    • Lévitique 4

      1 Yahweh spoke to Moses, saying,
      2 "Speak to the children of Israel, saying, 'If anyone sins unintentionally, in any of the things which Yahweh has commanded not to be done, and does any one of them:
      3 if the anointed priest sins so as to bring guilt on the people, then let him offer for his sin, which he has sinned, a young bull without blemish to Yahweh for a sin offering.
      4 He shall bring the bull to the door of the Tent of Meeting before Yahweh; and he shall lay his hand on the head of the bull, and kill the bull before Yahweh.
      5 The anointed priest shall take some of the blood of the bull, and bring it to the Tent of Meeting.
      6 The priest shall dip his finger in the blood, and sprinkle some of the blood seven times before Yahweh, before the veil of the sanctuary.
      7 The priest shall put some of the blood on the horns of the altar of sweet incense before Yahweh, which is in the Tent of Meeting; and he shall pour out all of rest of the blood of the bull at the base of the altar of burnt offering, which is at the door of the Tent of Meeting.
      8 He shall take all the fat of the bull of the sin offering off of it; the fat that covers the innards, and all the fat that is on the innards,
      9 and the two kidneys, and the fat that is on them, which is by the loins, and the cover on the liver, with the kidneys, he shall take away,
      10 as it is taken off of the bull of the sacrifice of peace offerings. The priest shall burn them on the altar of burnt offering.
      11 The bull's skin, all its flesh, with its head, and with its legs, its innards, and its dung,
      12 even the whole bull shall he carry forth outside the camp to a clean place, where the ashes are poured out, and burn it on wood with fire. Where the ashes are poured out it shall be burned.
      13 "'If the whole congregation of Israel sins, and the thing is hidden from the eyes of the assembly, and they have done any of the things which Yahweh has commanded not to be done, and are guilty;
      14 when the sin in which they have sinned is known, then the assembly shall offer a young bull for a sin offering, and bring it before the Tent of Meeting.
      15 The elders of the congregation shall lay their hands on the head of the bull before Yahweh; and the bull shall be killed before Yahweh.
      16 The anointed priest shall bring of the blood of the bull to the Tent of Meeting:
      17 and the priest shall dip his finger in the blood, and sprinkle it seven times before Yahweh, before the veil.
      18 He shall put some of the blood on the horns of the altar which is before Yahweh, that is in the Tent of Meeting; and the rest of the blood he shall pour out at the base of the altar of burnt offering, which is at the door of the Tent of Meeting.
      19 All its fat he shall take from it, and burn it on the altar.
      20 Thus shall he do with the bull; as he did with the bull of the sin offering, so shall he do with this; and the priest shall make atonement for them, and they shall be forgiven.
      21 He shall carry forth the bull outside the camp, and burn it as he burned the first bull. It is the sin offering for the assembly.
      22 "'When a ruler sins, and unwittingly does any one of all the things which Yahweh his God has commanded not to be done, and is guilty;
      23 if his sin, in which he has sinned, is made known to him, he shall bring as his offering a goat, a male without blemish.
      24 He shall lay his hand on the head of the goat, and kill it in the place where they kill the burnt offering before Yahweh. It is a sin offering.
      25 The priest shall take some of the blood of the sin offering with his finger, and put it on the horns of the altar of burnt offering. He shall pour out the rest of its blood at the base of the altar of burnt offering.
      26 All its fat he shall burn on the altar, like the fat of the sacrifice of peace offerings; and the priest shall make atonement for him concerning his sin, and he will be forgiven.
      27 "'If anyone of the common people sins unwittingly, in doing any of the things which Yahweh has commanded not to be done, and is guilty;
      28 if his sin, which he has sinned, is made known to him, then he shall bring for his offering a goat, a female without blemish, for his sin which he has sinned.
      29 He shall lay his hand on the head of the sin offering, and kill the sin offering in the place of burnt offering.
      30 The priest shall take some of its blood with his finger, and put it on the horns of the altar of burnt offering; and the rest of its blood he shall pour out at the base of the altar.
      31 All its fat he shall take away, like the fat is taken away from off of the sacrifice of peace offerings; and the priest shall burn it on the altar for a pleasant aroma to Yahweh; and the priest shall make atonement for him, and he will be forgiven.
      32 "'If he brings a lamb as his offering for a sin offering, he shall bring a female without blemish.
      33 He shall lay his hand on the head of the sin offering, and kill it for a sin offering in the place where they kill the burnt offering.
      34 The priest shall take some of the blood of the sin offering with his finger, and put it on the horns of the altar of burnt offering; and all the rest of its blood he shall pour out at the base of the altar.
      35 All its fat he shall take away, like the fat of the lamb is taken away from the sacrifice of peace offerings; and the priest shall burn them on the altar, on the offerings of Yahweh made by fire; and the priest shall make atonement for him concerning his sin that he has sinned, and he will be forgiven.

      Jean 6

      53 Jesus therefore said to them, "Most certainly I tell you, unless you eat the flesh of the Son of Man and drink his blood, you don't have life in yourselves.

      Romains 6

      1 What shall we say then? Shall we continue in sin, that grace may abound?
      2 May it never be! We who died to sin, how could we live in it any longer?
      3 Or don't you know that all we who were baptized into Christ Jesus were baptized into his death?
      4 We were buried therefore with him through baptism to death, that just like Christ was raised from the dead through the glory of the Father, so we also might walk in newness of life.
      5 For if we have become united with him in the likeness of his death, we will also be part of his resurrection;
      6 knowing this, that our old man was crucified with him, that the body of sin might be done away with, so that we would no longer be in bondage to sin.
      7 For he who has died has been freed from sin.
      8 But if we died with Christ, we believe that we will also live with him;
      9 knowing that Christ, being raised from the dead, dies no more. Death no more has dominion over him!
      10 For the death that he died, he died to sin one time; but the life that he lives, he lives to God.
      11 Thus consider yourselves also to be dead to sin, but alive to God in Christ Jesus our Lord.
      12 Therefore don't let sin reign in your mortal body, that you should obey it in its lusts.
      13 Neither present your members to sin as instruments of unrighteousness, but present yourselves to God, as alive from the dead, and your members as instruments of righteousness to God.
      14 For sin will not have dominion over you. For you are not under law, but under grace.
      15 What then? Shall we sin, because we are not under law, but under grace? May it never be!
      16 Don't you know that to whom you present yourselves as servants to obedience, his servants you are whom you obey; whether of sin to death, or of obedience to righteousness?
      17 But thanks be to God, that, whereas you were bondservants of sin, you became obedient from the heart to that form of teaching whereunto you were delivered.
      18 Being made free from sin, you became bondservants of righteousness.
      19 I speak in human terms because of the weakness of your flesh, for as you presented your members as servants to uncleanness and to wickedness upon wickedness, even so now present your members as servants to righteousness for sanctification.
      20 For when you were servants of sin, you were free in regard to righteousness.
      21 What fruit then did you have at that time in the things of which you are now ashamed? For the end of those things is death.
      22 But now, being made free from sin, and having become servants of God, you have your fruit of sanctification, and the result of eternal life.
      23 For the wages of sin is death, but the free gift of God is eternal life in Christ Jesus our Lord.
    • Lévitique 4

      1 וַיְדַבֵּ֥ר יְהוָ֖ה אֶל־מֹשֶׁ֥ה לֵּאמֹֽר׃
      2 דַּבֵּ֞ר אֶל־בְּנֵ֣י יִשְׂרָאֵ֘ל לֵאמֹר֒ נֶ֗פֶשׁ כִּֽי־תֶחֱטָ֤א בִשְׁגָגָה֙ מִכֹּל֙ מִצְוֺ֣ת יְהוָ֔ה אֲשֶׁ֖ר לֹ֣א תֵעָשֶׂ֑ינָה וְעָשָׂ֕ה מֵאַחַ֖ת מֵהֵֽנָּה׃
      3 אִ֣ם הַכֹּהֵ֧ן הַמָּשִׁ֛יחַ יֶחֱטָ֖א לְאַשְׁמַ֣ת הָעָ֑ם וְהִקְרִ֡יב עַ֣ל חַטָּאתוֹ֩ אֲשֶׁ֨ר חָטָ֜א פַּ֣ר בֶּן־בָּקָ֥ר תָּמִ֛ים לַיהוָ֖ה לְחַטָּֽאת׃
      4 וְהֵבִ֣יא אֶת־הַפָּ֗ר אֶל־פֶּ֛תַח אֹ֥הֶל מוֹעֵ֖ד לִפְנֵ֣י יְהוָ֑ה וְסָמַ֤ךְ אֶת־יָדוֹ֙ עַל־רֹ֣אשׁ הַפָּ֔ר וְשָׁחַ֥ט אֶת־הַפָּ֖ר לִפְנֵ֥י יְהוָֽה׃
      5 וְלָקַ֛ח הַכֹּהֵ֥ן הַמָּשִׁ֖יחַ מִדַּ֣ם הַפָּ֑ר וְהֵבִ֥יא אֹת֖וֹ אֶל־אֹ֥הֶל מוֹעֵֽד׃
      6 וְטָבַ֧ל הַכֹּהֵ֛ן אֶת־אֶצְבָּע֖וֹ בַּדָּ֑ם וְהִזָּ֨ה מִן־הַדָּ֜ם שֶׁ֤בַע פְּעָמִים֙ לִפְנֵ֣י יְהוָ֔ה אֶת־פְּנֵ֖י פָּרֹ֥כֶת הַקֹּֽדֶשׁ׃
      7 וְנָתַן֩ הַכֹּהֵ֨ן מִן־הַדָּ֜ם עַל־קַ֠רְנוֹת מִזְבַּ֨ח קְטֹ֤רֶת הַסַּמִּים֙ לִפְנֵ֣י יְהוָ֔ה אֲשֶׁ֖ר בְּאֹ֣הֶל מוֹעֵ֑ד וְאֵ֣ת ׀ כָּל־דַּ֣ם הַפָּ֗ר יִשְׁפֹּךְ֙ אֶל־יְסוֹד֙ מִזְבַּ֣ח הָעֹלָ֔ה אֲשֶׁר־פֶּ֖תַח אֹ֥הֶל מוֹעֵֽד׃
      8 וְאֶת־כָּל־חֵ֛לֶב פַּ֥ר הַֽחַטָּ֖את יָרִ֣ים מִמֶּ֑נּוּ אֶת־הַחֵ֙לֶב֙ הַֽמְכַסֶּ֣ה עַל־הַקֶּ֔רֶב וְאֵת֙ כָּל־הַחֵ֔לֶב אֲשֶׁ֖ר עַל־הַקֶּֽרֶב׃
      9 וְאֵת֙ שְׁתֵּ֣י הַכְּלָיֹ֔ת וְאֶת־הַחֵ֙לֶב֙ אֲשֶׁ֣ר עֲלֵיהֶ֔ן אֲשֶׁ֖ר עַל־הַכְּסָלִ֑ים וְאֶת־הַיֹּתֶ֙רֶת֙ עַל־הַכָּבֵ֔ד עַל־הַכְּלָי֖וֹת יְסִירֶֽנָּה׃
      10 כַּאֲשֶׁ֣ר יוּרַ֔ם מִשּׁ֖וֹר זֶ֣בַח הַשְּׁלָמִ֑ים וְהִקְטִירָם֙ הַכֹּהֵ֔ן עַ֖ל מִזְבַּ֥ח הָעֹלָֽה׃
      11 וְאֶת־ע֤וֹר הַפָּר֙ וְאֶת־כָּל־בְּשָׂר֔וֹ עַל־רֹאשׁ֖וֹ וְעַל־כְּרָעָ֑יו וְקִרְבּ֖וֹ וּפִרְשֽׁוֹ׃
      12 וְהוֹצִ֣יא אֶת־כָּל־הַ֠פָּר אֶל־מִח֨וּץ לַֽמַּחֲנֶ֜ה אֶל־מָק֤וֹם טָהוֹר֙ אֶל־שֶׁ֣פֶךְ הַדֶּ֔שֶׁן וְשָׂרַ֥ף אֹת֛וֹ עַל־עֵצִ֖ים בָּאֵ֑שׁ עַל־שֶׁ֥פֶךְ הַדֶּ֖שֶׁן יִשָּׂרֵֽף׃
      13 וְאִ֨ם כָּל־עֲדַ֤ת יִשְׂרָאֵל֙ יִשְׁגּ֔וּ וְנֶעְלַ֣ם דָּבָ֔ר מֵעֵינֵ֖י הַקָּהָ֑ל וְ֠עָשׂוּ אַחַ֨ת מִכָּל־מִצְוֺ֧ת יְהוָ֛ה אֲשֶׁ֥ר לֹא־תֵעָשֶׂ֖ינָה וְאָשֵֽׁמוּ׃
      14 וְנֽוֹדְעָה֙ הַֽחַטָּ֔את אֲשֶׁ֥ר חָטְא֖וּ עָלֶ֑יהָ וְהִקְרִ֨יבוּ הַקָּהָ֜ל פַּ֤ר בֶּן־בָּקָר֙ לְחַטָּ֔את וְהֵבִ֣יאוּ אֹת֔וֹ לִפְנֵ֖י אֹ֥הֶל מוֹעֵֽד׃
      15 וְ֠סָמְכוּ זִקְנֵ֨י הָעֵדָ֧ה אֶת־יְדֵיהֶ֛ם עַל־רֹ֥אשׁ הַפָּ֖ר לִפְנֵ֣י יְהוָ֑ה וְשָׁחַ֥ט אֶת־הַפָּ֖ר לִפְנֵ֥י יְהוָֽה׃
      16 וְהֵבִ֛יא הַכֹּהֵ֥ן הַמָּשִׁ֖יחַ מִדַּ֣ם הַפָּ֑ר אֶל־אֹ֖הֶל מוֹעֵֽד׃
      17 וְטָבַ֧ל הַכֹּהֵ֛ן אֶצְבָּע֖וֹ מִן־הַדָּ֑ם וְהִזָּ֞ה שֶׁ֤בַע פְּעָמִים֙ לִפְנֵ֣י יְהוָ֔ה אֵ֖ת פְּנֵ֥י הַפָּרֹֽכֶת׃
      18 וּמִן־הַדָּ֞ם יִתֵּ֣ן ׀ עַל־קַרְנֹ֣ת הַמִּזְבֵּ֗חַ אֲשֶׁר֙ לִפְנֵ֣י יְהוָ֔ה אֲשֶׁ֖ר בְּאֹ֣הֶל מוֹעֵ֑ד וְאֵ֣ת כָּל־הַדָּ֗ם יִשְׁפֹּךְ֙ אֶל־יְסוֹד֙ מִזְבַּ֣ח הָעֹלָ֔ה אֲשֶׁר־פֶּ֖תַח אֹ֥הֶל מוֹעֵֽד׃
      19 וְאֵ֥ת כָּל־חֶלְבּ֖וֹ יָרִ֣ים מִמֶּ֑נּוּ וְהִקְטִ֖יר הַמִּזְבֵּֽחָה׃
      20 וְעָשָׂ֣ה לַפָּ֔ר כַּאֲשֶׁ֤ר עָשָׂה֙ לְפַ֣ר הַֽחַטָּ֔את כֵּ֖ן יַעֲשֶׂה־לּ֑וֹ וְכִפֶּ֧ר עֲלֵהֶ֛ם הַכֹּהֵ֖ן וְנִסְלַ֥ח לָהֶֽם׃
      21 וְהוֹצִ֣יא אֶת־הַפָּ֗ר אֶל־מִחוּץ֙ לַֽמַּחֲנֶ֔ה וְשָׂרַ֣ף אֹת֔וֹ כַּאֲשֶׁ֣ר שָׂרַ֔ף אֵ֖ת הַפָּ֣ר הָרִאשׁ֑וֹן חַטַּ֥את הַקָּהָ֖ל הֽוּא׃
      22 אֲשֶׁ֥ר נָשִׂ֖יא יֶֽחֱטָ֑א וְעָשָׂ֡ה אַחַ֣ת מִכָּל־מִצְוֺת֩ יְהוָ֨ה אֱלֹהָ֜יו אֲשֶׁ֧ר לֹא־תֵעָשֶׂ֛ינָה בִּשְׁגָגָ֖ה וְאָשֵֽׁם׃
      23 אֽוֹ־הוֹדַ֤ע אֵלָיו֙ חַטָּאת֔וֹ אֲשֶׁ֥ר חָטָ֖א בָּ֑הּ וְהֵבִ֧יא אֶת־קָרְבָּנ֛וֹ שְׂעִ֥יר עִזִּ֖ים זָכָ֥ר תָּמִֽים׃
      24 וְסָמַ֤ךְ יָדוֹ֙ עַל־רֹ֣אשׁ הַשָּׂעִ֔יר וְשָׁחַ֣ט אֹת֔וֹ בִּמְק֛וֹם אֲשֶׁר־יִשְׁחַ֥ט אֶת־הָעֹלָ֖ה לִפְנֵ֣י יְהוָ֑ה חַטָּ֖את הֽוּא׃
      25 וְלָקַ֨ח הַכֹּהֵ֜ן מִדַּ֤ם הַֽחַטָּאת֙ בְּאֶצְבָּע֔וֹ וְנָתַ֕ן עַל־קַרְנֹ֖ת מִזְבַּ֣ח הָעֹלָ֑ה וְאֶת־דָּמ֣וֹ יִשְׁפֹּ֔ךְ אֶל־יְס֖וֹד מִזְבַּ֥ח הָעֹלָֽה׃
      26 וְאֶת־כָּל־חֶלְבּוֹ֙ יַקְטִ֣יר הַמִּזְבֵּ֔חָה כְּחֵ֖לֶב זֶ֣בַח הַשְּׁלָמִ֑ים וְכִפֶּ֨ר עָלָ֧יו הַכֹּהֵ֛ן מֵחַטָּאת֖וֹ וְנִסְלַ֥ח לֽוֹ׃
      27 וְאִם־נֶ֧פֶשׁ אַחַ֛ת תֶּחֱטָ֥א בִשְׁגָגָ֖ה מֵעַ֣ם הָאָ֑רֶץ בַּ֠עֲשֹׂתָהּ אַחַ֨ת מִמִּצְוֺ֧ת יְהוָ֛ה אֲשֶׁ֥ר לֹא־תֵעָשֶׂ֖ינָה וְאָשֵֽׁם׃
      28 א֚וֹ הוֹדַ֣ע אֵלָ֔יו חַטָּאת֖וֹ אֲשֶׁ֣ר חָטָ֑א וְהֵבִ֨יא קָרְבָּנ֜וֹ שְׂעִירַ֤ת עִזִּים֙ תְּמִימָ֣ה נְקֵבָ֔ה עַל־חַטָּאת֖וֹ אֲשֶׁ֥ר חָטָֽא׃
      29 וְסָמַךְ֙ אֶת־יָד֔וֹ עַ֖ל רֹ֣אשׁ הַֽחַטָּ֑את וְשָׁחַט֙ אֶת־הַ֣חַטָּ֔את בִּמְק֖וֹם הָעֹלָֽה׃
      30 וְלָקַ֨ח הַכֹּהֵ֤ן מִדָּמָהּ֙ בְּאֶצְבָּע֔וֹ וְנָתַ֕ן עַל־קַרְנֹ֖ת מִזְבַּ֣ח הָעֹלָ֑ה וְאֶת־כָּל־דָּמָ֣הּ יִשְׁפֹּ֔ךְ אֶל־יְס֖וֹד הַמִּזְבֵּֽחַ׃
      31 וְאֶת־כָּל־חֶלְבָּ֣הּ יָסִ֗יר כַּאֲשֶׁ֨ר הוּסַ֣ר חֵלֶב֮ מֵעַ֣ל זֶ֣בַח הַשְּׁלָמִים֒ וְהִקְטִ֤יר הַכֹּהֵן֙ הַמִּזְבֵּ֔חָה לְרֵ֥יחַ נִיחֹ֖חַ לַיהוָ֑ה וְכִפֶּ֥ר עָלָ֛יו הַכֹּהֵ֖ן וְנִסְלַ֥ח לֽוֹ׃
      32 וְאִם־כֶּ֛בֶשׂ יָבִ֥יא קָרְבָּנ֖וֹ לְחַטָּ֑את נְקֵבָ֥ה תְמִימָ֖ה יְבִיאֶֽנָּה׃
      33 וְסָמַךְ֙ אֶת־יָד֔וֹ עַ֖ל רֹ֣אשׁ הַֽחַטָּ֑את וְשָׁחַ֤ט אֹתָהּ֙ לְחַטָּ֔את בִּמְק֕וֹם אֲשֶׁ֥ר יִשְׁחַ֖ט אֶת־הָעֹלָֽה׃
      34 וְלָקַ֨ח הַכֹּהֵ֜ן מִדַּ֤ם הַֽחַטָּאת֙ בְּאֶצְבָּע֔וֹ וְנָתַ֕ן עַל־קַרְנֹ֖ת מִזְבַּ֣ח הָעֹלָ֑ה וְאֶת־כָּל־דָּמָ֣הּ יִשְׁפֹּ֔ךְ אֶל־יְס֖וֹד הַמִּזְבֵּֽחַ׃
      35 וְאֶת־כָּל־חֶלְבָּ֣ה יָסִ֗יר כַּאֲשֶׁ֨ר יוּסַ֥ר חֵֽלֶב־הַכֶּשֶׂב֮ מִזֶּ֣בַח הַשְּׁלָמִים֒ וְהִקְטִ֨יר הַכֹּהֵ֤ן אֹתָם֙ הַמִּזְבֵּ֔חָה עַ֖ל אִשֵּׁ֣י יְהוָ֑ה וְכִפֶּ֨ר עָלָ֧יו הַכֹּהֵ֛ן עַל־חַטָּאת֥וֹ אֲשֶׁר־חָטָ֖א וְנִסְלַ֥ח לֽוֹ׃

      Jean 6

      53 εἶπεν οὖν αὐτοῖς ὁ Ἰησοῦς· Ἀμὴν ἀμὴν λέγω ὑμῖν, ἐὰν μὴ φάγητε τὴν σάρκα τοῦ υἱοῦ τοῦ ἀνθρώπου καὶ πίητε αὐτοῦ τὸ αἷμα, οὐκ ἔχετε ζωὴν ἐν ἑαυτοῖς.

      Romains 6

      1 Τί οὖν ἐροῦμεν; ἐπιμένωμεν τῇ ἁμαρτίᾳ, ἵνα ἡ χάρις πλεονάσῃ;
      2 μὴ γένοιτο· οἵτινες ἀπεθάνομεν τῇ ἁμαρτίᾳ, πῶς ἔτι ζήσομεν ἐν αὐτῇ;
      3 ἢ ἀγνοεῖτε ὅτι ὅσοι ἐβαπτίσθημεν εἰς Χριστὸν Ἰησοῦν εἰς τὸν θάνατον αὐτοῦ ἐβαπτίσθημεν;
      4 συνετάφημεν οὖν αὐτῷ διὰ τοῦ βαπτίσματος εἰς τὸν θάνατον, ἵνα ὥσπερ ἠγέρθη Χριστὸς ἐκ νεκρῶν διὰ τῆς δόξης τοῦ πατρός, οὕτως καὶ ἡμεῖς ἐν καινότητι ζωῆς περιπατήσωμεν.
      5 Εἰ γὰρ σύμφυτοι γεγόναμεν τῷ ὁμοιώματι τοῦ θανάτου αὐτοῦ, ἀλλὰ καὶ τῆς ἀναστάσεως ἐσόμεθα·
      6 τοῦτο γινώσκοντες ὅτι ὁ παλαιὸς ἡμῶν ἄνθρωπος συνεσταυρώθη, ἵνα καταργηθῇ τὸ σῶμα τῆς ἁμαρτίας, τοῦ μηκέτι δουλεύειν ἡμᾶς τῇ ἁμαρτίᾳ,
      7 ὁ γὰρ ἀποθανὼν δεδικαίωται ἀπὸ τῆς ἁμαρτίας.
      8 εἰ δὲ ἀπεθάνομεν σὺν Χριστῷ, πιστεύομεν ὅτι καὶ συζήσομεν αὐτῷ·
      9 εἰδότες ὅτι Χριστὸς ἐγερθεὶς ἐκ νεκρῶν οὐκέτι ἀποθνῄσκει, θάνατος αὐτοῦ οὐκέτι κυριεύει·
      10 ὃ γὰρ ἀπέθανεν, τῇ ἁμαρτίᾳ ἀπέθανεν ἐφάπαξ· ὃ δὲ ζῇ, ζῇ τῷ θεῷ.
      11 οὕτως καὶ ὑμεῖς λογίζεσθε ἑαυτοὺς εἶναι νεκροὺς μὲν τῇ ἁμαρτίᾳ ζῶντας δὲ τῷ θεῷ ἐν Χριστῷ Ἰησοῦ.
      12 Μὴ οὖν βασιλευέτω ἡ ἁμαρτία ἐν τῷ θνητῷ ὑμῶν σώματι εἰς τὸ ὑπακούειν ταῖς ἐπιθυμίαις αὐτοῦ,
      13 μηδὲ παριστάνετε τὰ μέλη ὑμῶν ὅπλα ἀδικίας τῇ ἁμαρτίᾳ, ἀλλὰ παραστήσατε ἑαυτοὺς τῷ θεῷ ὡσεὶ ἐκ νεκρῶν ζῶντας καὶ τὰ μέλη ὑμῶν ὅπλα δικαιοσύνης τῷ θεῷ.
      14 ἁμαρτία γὰρ ὑμῶν οὐ κυριεύσει, οὐ γάρ ἐστε ὑπὸ νόμον ἀλλὰ ὑπὸ χάριν.
      15 Τί οὖν; ἁμαρτήσωμεν ὅτι οὐκ ἐσμὲν ὑπὸ νόμον ἀλλὰ ὑπὸ χάριν; μὴ γένοιτο·
      16 οὐκ οἴδατε ὅτι ᾧ παριστάνετε ἑαυτοὺς δούλους εἰς ὑπακοήν, δοῦλοί ἐστε ᾧ ὑπακούετε, ἤτοι ἁμαρτίας εἰς θάνατον ἢ ὑπακοῆς εἰς δικαιοσύνην;
      17 χάρις δὲ τῷ θεῷ ὅτι ἦτε δοῦλοι τῆς ἁμαρτίας ὑπηκούσατε δὲ ἐκ καρδίας εἰς ὃν παρεδόθητε τύπον διδαχῆς,
      18 ἐλευθερωθέντες δὲ ἀπὸ τῆς ἁμαρτίας ἐδουλώθητε τῇ δικαιοσύνῃ·
      19 ἀνθρώπινον λέγω διὰ τὴν ἀσθένειαν τῆς σαρκὸς ὑμῶν· ὥσπερ γὰρ παρεστήσατε τὰ μέλη ὑμῶν δοῦλα τῇ ἀκαθαρσίᾳ καὶ τῇ ἀνομίᾳ εἰς τὴν ἀνομίαν, οὕτως νῦν παραστήσατε τὰ μέλη ὑμῶν δοῦλα τῇ δικαιοσύνῃ εἰς ἁγιασμόν.
      20 Ὅτε γὰρ δοῦλοι ἦτε τῆς ἁμαρτίας, ἐλεύθεροι ἦτε τῇ δικαιοσύνῃ.
      21 τίνα οὖν καρπὸν εἴχετε τότε ἐφ’ οἷς νῦν ἐπαισχύνεσθε; τὸ γὰρ τέλος ἐκείνων θάνατος·
      22 νυνὶ δέ, ἐλευθερωθέντες ἀπὸ τῆς ἁμαρτίας δουλωθέντες δὲ τῷ θεῷ, ἔχετε τὸν καρπὸν ὑμῶν εἰς ἁγιασμόν, τὸ δὲ τέλος ζωὴν αἰώνιον.
      23 τὰ γὰρ ὀψώνια τῆς ἁμαρτίας θάνατος, τὸ δὲ χάρισμα τοῦ θεοῦ ζωὴ αἰώνιος ἐν Χριστῷ Ἰησοῦ τῷ κυρίῳ ἡμῶν.
    • Lévitique 4

      1 Le SEIGNEUR dit à Moïse
      2 de donner aux Israélites les enseignements suivants : « Quand quelqu’un a péché sans le vouloir, quand il a commis un acte interdit par un commandement du SEIGNEUR, voici ce qu’il faut faire.
      3 Supposons ceci : C’est le grand-prêtre qui a commis un péché, et par là, il a rendu le peuple coupable. Il doit alors offrir en sacrifice au SEIGNEUR un taureau sans défaut, pour recevoir le pardon des péchés.
      4 Il conduit l’animal devant le SEIGNEUR, à l’entrée de la tente de la rencontre. Il pose la main sur la tête du taureau et il l’égorge à cet endroit.
      5 Le grand-prêtre prend du sang du taureau et il l’emporte dans la tente de la rencontre.
      6 Il trempe un doigt dans le sang et, devant le SEIGNEUR, il lance sept fois un peu de sang sur le rideau du lieu très saint, sur sa partie visible.
      7 Ensuite, le grand-prêtre met du sang sur les coins relevés de l’autel du parfum qui se trouve devant le SEIGNEUR, dans la tente de la rencontre. Puis il verse tout le sang qui reste au pied de l’autel des sacrifices qui se trouve à l’entrée de la tente.
      8 Il prend toutes les parties grasses du taureau : la graisse qui entoure les intestins et l’estomac,
      9 les deux reins avec la graisse qui les enveloppe et qui tient aux côtés de l’animal, enfin, la meilleure partie du foie. On l’enlève avec les reins.
      10 Ce sont les mêmes parties qu’on prend quand on offre un taureau en sacrifice de communion. Le grand-prêtre les brûle sur l’autel des sacrifices.
      11 Ensuite, la peau du taureau, la viande, la tête, les pattes, les intestins et l’estomac avec ce qu’ils contiennent,
      12 tout ce qui reste de l’animal, il le fait porter en dehors du camp. On porte ces restes dans un endroit pur, là où on met les cendres grasses, et on les brûle sur un feu de bois. C’est à cet endroit qu’il faut tout brûler, sur le tas des cendres grasses. »
      13 « Supposons ceci : C’est toute la communauté d’Israël qui a péché sans le vouloir et sans le savoir. Elle a fait un acte interdit par un commandement du SEIGNEUR. Dans ce cas, les Israélites sont devenus coupables.
      14 Quand ils se rendent compte de ce péché, ils doivent offrir un taureau pour recevoir le pardon de Dieu. Ils conduisent l’animal devant la tente de la rencontre.
      15 Les anciens de la communauté posent la main sur la tête du taureau, et l’un d’eux l’égorge à cet endroit, devant le SEIGNEUR.
      16 Le grand-prêtre emporte un peu de son sang dans la tente de la rencontre.
      17 Il trempe un doigt dans le sang et, devant le SEIGNEUR, il lance du sang sept fois sur le rideau du lieu très saint, sur sa partie visible.
      18 Ensuite, le grand-prêtre met du sang sur les coins relevés de l’autel qui se trouve devant le SEIGNEUR, dans la tente de la rencontre. Puis il verse tout le sang qui reste au pied de l’autel des sacrifices qui se trouve à l’entrée de la tente.
      19 Il prend toutes les parties grasses du taureau et il les brûle sur l’autel.
      20 Avec ce taureau, il fait exactement la même chose qu’avec le taureau offert pour son péché à lui. Quand le grand-prêtre fait sur la communauté d’Israël le geste du pardon des péchés, Dieu pardonne à cette communauté.
      21 Ensuite, le grand-prêtre fait porter en dehors du camp tout ce qui reste de l’animal. On le brûle comme on a brûlé le premier taureau offert pour le péché du grand-prêtre. Voilà le sacrifice pour recevoir le pardon, quand la communauté d’Israël a commis un péché. »
      22 « Supposons ceci : C’est un chef du peuple qui a péché sans le vouloir. Il a fait un acte interdit par un commandement du SEIGNEUR son Dieu, et ainsi il est devenu coupable.
      23 Quand il se rend compte de ce péché, il doit offrir un bouc sans défaut.
      24 Il pose la main sur la tête de l’animal et il l’égorge devant le SEIGNEUR, là où on tue les animaux offerts en sacrifices complets. C’est un sacrifice pour recevoir le pardon des péchés.
      25 Le prêtre trempe un doigt dans le sang du bouc et il en met sur les coins relevés de l’autel des sacrifices. Puis il verse tout le sang qui reste au pied de cet autel.
      26 Il brûle sur l’autel toutes les parties grasses, comme on le fait pour le sacrifice de communion. Quand le prêtre fait sur le chef le geste de pardon pour son péché, Dieu pardonne à ce chef. »
      27 « Supposons ceci : C’est n’importe quel Israélite qui a péché sans le vouloir. Il a fait un acte interdit par un commandement du SEIGNEUR, et ainsi il est devenu coupable.
      28 Quand il se rend compte de ce péché, il doit offrir une chèvre sans défaut pour recevoir le pardon de Dieu.
      29 Il pose la main sur la tête de l’animal et il l’égorge là où on égorge les animaux offerts en sacrifices complets.
      30 Le prêtre trempe un doigt dans le sang de la chèvre et il en met sur les coins relevés de l’autel des sacrifices. Puis il verse tout le sang qui reste au pied de cet autel.
      31 Il enlève toutes les parties grasses de la chèvre, comme on le fait pour le sacrifice de communion. Le prêtre les brûle sur l’autel pour que la fumée de bonne odeur de ce sacrifice plaise au SEIGNEUR. Il fait sur le coupable le geste de pardon pour son péché. Alors Dieu pardonne à cet homme.
      32 « Si le coupable offre un mouton en sacrifice pour recevoir le pardon, il doit amener une femelle sans défaut.
      33 Il pose la main sur la tête de l’animal et il l’égorge là où on égorge les animaux offerts en sacrifices complets.
      34 Le prêtre trempe un doigt dans le sang de l’animal et il en met sur les coins relevés de l’autel des sacrifices.
      35 Il enlève toutes les parties grasses du mouton, comme pour le sacrifice de communion. Le prêtre les brûle sur l’autel avec les autres sacrifices brûlés pour le SEIGNEUR. Il fait sur le coupable le geste de pardon pour son péché. Alors Dieu pardonne à cet homme. »

      Jean 6

      53 Jésus leur dit : « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : si vous ne mangez pas le corps du Fils de l’homme et si vous ne buvez pas son sang, vous n’aurez pas la vie en vous.

      Romains 6

      1 Alors, qu’est-ce que cela veut dire ? Est-ce que nous devons continuer à pécher pour que les bienfaits de Dieu se répandent en abondance ?
      2 Sûrement pas ! Nous sommes passés par une mort qui nous a séparés du péché. Alors, comment pouvons-nous vivre encore dans le péché ?
      3 Vous le savez bien : notre baptême, en nous unissant au Christ Jésus, nous a tous unis à sa mort.
      4 Donc, par le baptême, nous avons été plongés avec lui dans la mort. Mais la puissance glorieuse du Père a réveillé le Christ de la mort, pour que, nous aussi, nous vivions d’une vie nouvelle.
      5 En effet, nous avons été totalement unis à lui au moment où nous sommes morts avec lui. De même, nous serons unis à lui en nous levant comme lui de la mort.
      6 Comprenons bien ceci : ce que nous étions avant a été cloué sur la croix avec le Christ. Alors le péché qui fait partie de nous-mêmes est détruit, et nous ne sommes plus esclaves du péché.
      7 Oui, celui qui est mort est libéré du péché.
      8 Mais si nous sommes morts avec le Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui.
      9 Nous le savons bien : depuis que le Christ s’est réveillé de la mort, il ne doit plus mourir, la mort n’a plus de pouvoir sur lui.
      10 Le Christ est mort, et sa mort l’a séparé totalement du péché, une fois pour toutes. Maintenant il est vivant, et sa vie est tout entière pour Dieu.
      11 De même, vous aussi, vous devez penser ceci : vous êtes morts en étant totalement séparés du péché, mais, en étant unis à Jésus-Christ, vous êtes vivants pour Dieu.
      12 Donc le péché ne doit plus avoir de pouvoir sur votre corps qui mourra un jour, et vous ne devez plus obéir aux désirs mauvais de votre corps.
      13 Ne mettez plus votre corps au service du péché, comme un moyen pour faire le mal. Au contraire, mettez-vous au service de Dieu, comme des vivants revenus de la mort. Servez-vous de votre corps comme d’un moyen pour faire ce qui est juste.
      14 Ce n’est plus la loi qui vous commande, mais c’est l’amour de Dieu pour vous. Le péché ne peut donc plus avoir de pouvoir sur vous.
      15 Ce n’est plus la loi qui nous commande, mais c’est l’amour de Dieu pour nous. Alors, est-ce une raison pour faire le mal ? Sûrement pas !
      16 Vous ne savez pas ceci ? Quand vous vous mettez au service de quelqu’un comme esclaves, vous êtes les esclaves du maître à qui vous obéissez. Alors, ou bien vous êtes esclaves du péché, et le péché vous conduit à la mort, ou bien vous êtes serviteurs de Dieu, et Dieu vous rend justes parce que vous lui obéissez.
      17 Remercions Dieu ! Autrefois, vous étiez esclaves du péché. Maintenant, vous avez obéi de tout votre cœur à l’enseignement donné à tous et que vous avez reçu.
      18 Vous avez été libérés du péché et vous êtes au service de ce qui est juste.
      19 J’utilise une comparaison humaine parce que vous avez du mal à comprendre. Autrefois, comme des esclaves, vous aviez mis votre corps au service d’une vie immorale et pleine de désordre, et le résultat, c’était la désobéissance à Dieu. De même, aujourd’hui, comme des esclaves, mettez votre corps au service de ce qui est juste, et le résultat, ce sera une vie qui plaît à Dieu.
      20 Quand vous étiez esclaves du péché, faire ce qui est juste ne vous intéressait pas !
      21 Et à ce moment-là, quelles actions avez-vous faites ? Aujourd’hui, vous en avez honte, parce que le résultat, c’est la mort.
      22 Mais maintenant, vous êtes libérés du péché et vous êtes devenus les serviteurs de Dieu. Ainsi, vous faites des actions qui plaisent à Dieu, et le résultat, c’est la vie avec Dieu pour toujours.
      23 Oui, avec le péché, ce qu’on gagne, c’est la mort. Mais avec Dieu, ce qu’on reçoit gratuitement, c’est la vie avec lui pour toujours, en union avec le Christ Jésus, notre Seigneur.
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