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SALUTATION

Les salutations ont toujours joué un très grand rôle dans la vie de l'Oriental, à la politesse exubérante ; elles joignent aux paroles généralement prolixes les gestes démonstratifs (Ex 18:7), et elles ont autant d'importance lors des séparations que lors des rencontres.

On salue les supérieurs, les grands personnages,

en se prosternant devant eux jusqu'en terre (Ge 33:6 42:6 etc.), en s'agenouillant (Mr 10:17 etc.) ; on se tend les mains, on s'embrasse : (2Sa 15:5 etc.) voir Gestes.
Les formules de salutation sont tenues pour solennelles ; elles se confondent assez souvent avec de véritables bénédictions (voir ce mot) auxquelles est attribué un pouvoir caché et une sorte d'existence indépendante. (cf. Lu 10:6)

Le verbe hébreu bârak (=bénir) peut donc se traduire aussi dans bien des cas par saluer, (cf. Ge 47:8,1Sa 13:10, Pr 27:14, etc.) et le grec aspazesthaï s'applique tout à la fois au salut respectueux ou fraternel, au baiser, à l'accueil en général, au message affectueux dont on charge un ami pour des amis (Mt 5:47, Ac 25:13,1Th 5:26 2Jn 1:10).

Les saluts des Israélites s'exprimaient surtout par le terme de châlôm, qui signifie : paix, dans un sens très large comprenant à la fois santé, sécurité, prospérité, bien-être (1Sa 1:17,1Ch 12:18 etc.) ; « s'informer de la paix » est une locution équivalant au verbe saluer (Jug 18:15 etc.).

Les questions personnelles se pressent autour de ces informations (Ge 43:27-29,2Sa 20:9 etc.) ; en général elles se prolongent et se répètent interminablement (voir dans Beedeker, Palestine et Syrie, p. CIX, les salutations et formules de politesse des bédouins et des paysans d'aujourd'hui, qui reprennent volontiers une demande une douzaine de fois ; il en est de même chez bien des peuples primitifs, au témoignage des voyageurs et missionnaires) ; ainsi s'explique la consigne d'éviter les salutations, lorsqu'on ne doit perdre son temps à aucun prix (2Ro 4:29, Lu 10:4).

Le terme péjoratif de salamalec, qui s'applique aux politesses exagérées, est précisément la forme francisée du salam, ou salut, musulman : es-salam aleïka, qui est calqué sur le salut hébreu : « La paix soit avec toi ! » Cette expression est la plus commune dans l'A.T., et aussi dans le N.T., où elle est parfois littéralement traduite (Jug 19:20,1Sa 25:6, Jn 20:19,21,26,1Pi 5:14 etc.). C'est à cette formule de salutation que Jésus fait allusion dans la chambre haute : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ; je ne la donne pas comme le monde la donne » (Jn 14:27), c-à-d, « je vous dis adieu ; c'est mon adieu que je vous adresse ; mon adieu n'est pas comme l'adieu du monde... l'adieu du monde est pour toujours ; moi, je vais revenir » (A. Westphal).

Les protestations verbales du monde oriental sont d'ailleurs en fonction de son imagination sans mesure ; la courtoisie et la faconde en varient à l'infini des développements improvisés, suivant les circonstances les plus diverses.

Ceux qu'a conservés l'A. T, sont du reste modérés (par ex. les habiles compliments d'Abigaïl à David : 1Sa 25:23 et suivants). Les salutations spécifiquement religieuses y sont fréquentes : voir les saluts échangés entre Booz et ses moissonneurs, entre Booz et Ruth (Ru 2:4-12) ; ce salut des moissonneurs est repris dans Ps 129:8.

Quant à la bénédiction de Ps 118:26, ce devait être un des répons, prononcé par un choeur ou par un prêtre, dans ce chant de fête au temple de Jérusalem (cf. Bbl. Cent.) ; elle sera lancée comme acclamation messianique devant le cortège du Seigneur entrant dans la ville (Mt 21:9), et les parallèles des quatre évangiles donnent une idée des variantes individuelles qui devaient s'entrecroiser à ce moment. d'enthousiasme populaire (voir Hosanna). Les vivats réservés aux rois étaient plus ou moins stéréotypés (1Sa 10:24,1Ro 13:9,2Ro 11:12, Ne 2:3, Da 2:4 5:10) ; ils se sont perpétués à travers les siècles.

Le N.T. adopte parfois la forme de salutation grecque, en rendant par khairé, khaïreïn (=réjouis-toi), le châlôm hébreu ; littéralement, ce n'est plus la paix, mais la joie (en latin, ce sera la santé : vale =porte-toi bien), la portée de la formule de politesse demeurant la même : salut ! (Lu 1:28, Mt 26:49, Mr 15:18)

Dans la correspondance écrite officielle entre les rois de Perse et leurs gouverneurs apparaît la salutation araméenne chelâm, chelâmâ =salut, prospérité, paix parfaite ! (Esd 4:17 5:7)

De même, dans deux lettres de l'époque apostolique, c'est la salutation classique du temps : khaïreïn (Ac 15:23 23:26).

Comme le Maître avait tiré enseignement du châlôm hébreu, ainsi l'apôtre Paul tire enseignement de ce khaïreïn grec lorsque dans son « épître de la joie » il donne à ce mot d'adieu alors devenu banal toute sa force d'exhortation chrétienne : « Réjouissez-vous ! » (Php 3:1 4:4). Et l'épître de Jacques, aussitôt après le « salut » (khaïreïn) à ses lecteurs, en prend texte pour sa première exhortation : « Parfaite joie, mes frères, les diverses épreuves qui vous surviennent » (Php 1:1 et suivants).

La correspondance populaire des premiers siècles, retrouvée depuis quelque cinquante ans dans les innombrables papyrus d'Egypte, prouve que le plan même des épîtres du N.T. était exactement celui des lettres entre particuliers : nom et titre de l'auteur, nom et titre du destinataire, et une brève salutation de l'un à l'autre, consistant en un souhait de joie, de paix, de bonne santé ; puis généralement une action de grâces, suivie enfin de l'objet de la lettre, et de nouveau des actions de grâces et des voeux de bonne santé, enfin une salutation plus ou moins élaborée, désignant souvent un certain nombre de personnes.

C'est ainsi que le chap. 16 de l'épître aux Romains, avec tant de salutations, ressemble tout à fait à ces fins de lettres du I er ou du II° siècle : « Salue Diodore avec les autres ; salue Harpocrate... Salue bien fort Capiton et mes frères, Serènille et mes amis, etc. » L'expression de 3Jn 1:14 : « Salue les amis, chacun en particulier » (grec, kat'onoma) y est aussi très fréquente. La salutation isolée, à la 1re personne du singulier, de Tertius le scribe qui avait écrit l'épître aux Romains dictée par saint Paul (Ro 16:22), trouve aussi un cas similaire : une lettre du III° siècle envoyée à son frère par une certaine Hélène, se termine par ce post-scriptum de la même écriture que la lettre : « Et moi Alexandre, votre père, je vous salue beaucoup » (VGT, p. 85).

Jn L.

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Versets relatifs

    • Genèse 33

      6 Les servantes s’approchèrent avec leurs enfants et se prosternèrent.

      Genèse 42

      6 Joseph gouvernait tout le pays. C’était lui qui supervisait la vente du blé à toute la population du pays. Les frères de Joseph vinrent donc et se prosternèrent devant lui, face contre terre.

      Genèse 43

      27 Il prit de leurs nouvelles et leur demanda : —Votre père âgé dont vous m’avez parlé, se porte-t-il bien ? Vit-il encore ?
      28 Ils répondirent en s’inclinant et en se prosternant jusqu’à terre : —Ton serviteur, notre père, est encore en vie et il va bien.
      29 En apercevant son frère Benjamin, fils de sa mère, il demanda : —Est-ce là votre frère cadet dont vous m’avez parlé ? Et il ajouta : Que Dieu te témoigne sa grâce, mon fils !

      Genèse 47

      8 Celui-ci lui demanda : —Quel âge as-tu ?

      Exode 18

      7 Moïse sortit à la rencontre de son beau-père, se prosterna devant lui et l’embrassa. Ils prirent réciproquement de leurs nouvelles, puis entrèrent sous la tente.

      Lévitique 16

      1 L’Eternel parla à Moïse après la mort des deux fils d’Aaron qui périrent lorsqu’ils se présentèrent devant l’Eternel.
      2 Il lui dit : —Dis à ton frère Aaron de ne pas entrer à tout moment dans le sanctuaire au-delà du voile, devant le *propitiatoire qui repose sur le *coffre sacré afin qu’il n’encoure pas la mort ; car j’apparais dans la nuée au-dessus du propitiatoire.
      3 Voici de quelle manière Aaron pourra pénétrer dans le sanctuaire : il prendra un jeune taureau pour le sacrifice pour le péché et un bélier pour l’*holocauste.
      4 Il se revêtira d’une tunique sainte en lin, il mettra des caleçons de lin, se ceindra d’une écharpe de lin et se coiffera d’un turban de lin. Il mettra ces vêtements sacrés après s’être lavé le corps dans l’eau.
      5 L’assemblée des Israélites lui fournira deux boucs pour le sacrifice pour le péché et un bélier pour l’*holocauste.
      6 Aaron offrira pour lui-même le taureau du sacrifice pour le péché, et il fera l’*expiation pour lui et pour sa famille.
      7 Puis il prendra les deux boucs et les placera devant l’Eternel à l’entrée de la *tente de la Rencontre.
      8 Il tirera au sort pour savoir lequel des deux sera destiné à être sacrifié à l’Eternel et lequel sera destiné à être un bouc émissaire.
      9 Il fera approcher le bouc que le sort aura attribué à l’Eternel, et l’offrira en sacrifice pour le péché.
      10 Quant au bouc désigné par le sort comme bouc émissaire, on le présentera vivant devant l’Eternel, pour servir à l’expiation et pour être chassé comme bouc émissaire dans le désert.
      11 Aaron offrira ensuite pour lui-même le taureau du sacrifice pour le péché afin de faire l’expiation pour lui-même et pour sa famille. Il immolera le taureau de son sacrifice pour le péché.
      12 Après cela, il prendra un plein encensoir de charbons ardents de l’autel, de devant l’Eternel, et deux pleines poignées de parfum à brûler réduit en poudre, et il emportera le tout au-delà du voile.
      13 Là, il répandra le parfum sur le feu devant l’Eternel, de sorte que le nuage de fumée couvre le *propitiatoire qui se trouve au-dessus de l’*acte de l’alliance. Ainsi il ne mourra pas.
      14 Il prendra du sang du taureau et en fera aspersion avec son doigt sur le côté oriental du propitiatoire, puis il en fera sept fois aspersion devant le *propitiatoire.
      15 Il immolera le bouc du sacrifice pour le péché du peuple et en portera le sang au-delà du voile ; il procédera avec ce sang comme avec celui du taureau : il en fera des aspersions sur le propitiatoire et devant lui.
      16 C’est ainsi qu’il accomplira le rite d’*expiation pour le sanctuaire pour l’impureté et pour les désobéissances des Israélites, pour toutes leurs fautes quelle qu’en soit la nature. Il procédera de même pour la *tente de la Rencontre, parce qu’elle est dressée au milieu d’eux et de leur impureté.
      17 Personne ne devra se trouver dans la tente de la Rencontre depuis le moment où il y entrera pour accomplir le rite d’expiation dans le sanctuaire jusqu’à ce qu’il en ressorte. Il accomplira ces rites d’expiation pour lui-même, pour sa famille et pour toute l’assemblée d’Israël.
      18 Après cela, il sortira vers l’autel qui est devant l’Eternel et accomplira le rite d’expiation pour celui-ci ; il prendra du sang du taureau et du sang du bouc, et il en appliquera sur les cornes de l’autel tout autour.
      19 Puis, avec son doigt, il fera sept fois l’aspersion du sang sur l’autel. Il le purifiera ainsi des impuretés des Israélites et me le consacrera.
      20 Quand il aura achevé le rite d’expiation pour le sanctuaire, pour la *tente de la Rencontre et pour l’autel, il fera amener le bouc vivant.
      21 Il posera ses deux mains sur la tête du bouc et confessera sur lui toutes les désobéissances, tous les péchés et toutes les fautes des Israélites ; ainsi il les fera passer sur la tête du bouc, puis il le fera chasser au désert par un homme désigné pour cela.
      22 Le bouc emportera sur lui tous leurs péchés dans une contrée déserte quand l’homme le chassera au désert.
      23 Aaron retournera dans la *tente de la Rencontre, il ôtera les vêtements de lin qu’il avait mis pour pénétrer dans le sanctuaire, et les déposera là.
      24 Il se lavera à l’eau dans un lieu saint, puis remettra ses vêtements sacerdotaux ordinaires, et il sortira pour offrir son *holocauste ainsi que celui du peuple, afin d’accomplir le rite d’*expiation pour lui et pour le peuple.
      25 Il brûlera sur l’autel la graisse de la victime du sacrifice pour le péché.
      26 L’homme qui aura été désigné pour chasser le bouc émissaire lavera ses vêtements, se baignera, et alors seulement il retournera dans le camp.
      27 On emportera à l’extérieur du camp le taureau et le bouc offerts en sacrifice pour le péché et dont le sang aura été introduit dans le sanctuaire pour accomplir le rite d’expiation, et l’on brûlera leur peau, leur viande et leurs déchets.
      28 Celui qui les aura brûlés lavera ses vêtements, se baignera dans l’eau, et ensuite seulement il retournera dans le camp.
      29 Ceci sera pour vous une règle en vigueur à perpétuité. Le dixième jour du septième mois vous vous humilierez et vous ne ferez aucun travail ce jour-là — aussi bien les autochtones que les étrangers résidant au milieu de vous.
      30 Car en ce jour-là, on accomplira le rite d’expiation pour vous afin de vous purifier de toutes vos fautes ; ainsi vous serez purs devant l’Eternel.
      31 Ce sera pour vous un sabbat, un jour de repos, pendant lequel vous vous humilierez ; c’est là une institution pour toujours.
      32 Le rite d’expiation sera accompli par le prêtre qui aura reçu l’onction et l’office sacerdotal à la place de son père. Il revêtira les vêtements sacrés en lin.
      33 Il accomplira le rite d’expiation pour le sanctuaire sacré, pour la tente de la Rencontre et pour l’autel, il fera aussi le rite d’expiation pour les prêtres et pour tout le peuple rassemblé.
      34 C’est pour vous une ordonnance en vigueur à perpétuité : une fois par an, il faut accomplir le rite d’expiation pour toutes les fautes des Israélites. Aaron fit tout ce que l’Eternel avait ordonné à Moïse.

      Juges 18

      15 Alors ils firent un détour jusque là, entrèrent dans la maison du jeune lévite, la maison de Mika, pour le saluer.

      Juges 19

      20 Le vieillard dit alors : —La paix soit avec toi ! Sois le bienvenu ! Laisse-moi pourvoir à tous tes besoins, tu ne vas pas passer la nuit sur la place.

      Ruth 2

      4 Un peu plus tard, Booz lui-même vint de Bethléhem et salua les moissonneurs en leur disant : —Que l’Eternel soit avec vous ! Ils lui répondirent : —Que l’Eternel te bénisse !
      5 Booz demanda au serviteur qui était responsable des moissonneurs : —A qui est cette jeune femme ?
      6 Le responsable des moissonneurs lui répondit : —C’est la jeune Moabite qui est revenue avec Noémi des plaines de Moab.
      7 Elle nous a demandé la permission de glaner les épis entre les gerbes derrière les moissonneurs. Elle est venue ce matin et, depuis, elle a été à pied d’œuvre jusqu’à maintenant et s’est à peine reposée un instant.
      8 Booz dit à Ruth : —Ecoute bien, ma fille : Ne va pas glaner dans un autre champ ; reste ici et suis mes servantes !
      9 Regarde bien où mes hommes moissonneront et suis les femmes qui ramassent les épis. J’ai interdit à mes serviteurs de t’ennuyer. Et si tu as soif, va boire aux cruches qu’ils ont remplies.
      10 Ruth s’inclina jusqu’à terre, se prosterna et lui dit : —Pourquoi m’accueilles-tu avec tant de faveur et t’intéresses-tu à moi qui ne suis qu’une étrangère ?
      11 Booz lui répondit : —On m’a bien raconté tout ce que tu as fait pour ta belle-mère après la mort de ton mari. Je sais que tu as quitté ton père et ta mère et ton pays natal pour venir vivre chez un peuple que tu ne connaissais pas auparavant.
      12 Que l’Eternel te récompense pour ce que tu as fait et que le Dieu d’Israël, sous la protection duquel tu es venue t’abriter, t’accorde une pleine récompense !

      1 Samuel 1

      17 —Dans ce cas, lui dit Eli, va en paix, et que le Dieu d’Israël exauce la requête que tu lui as adressée.

      1 Samuel 10

      24 Samuel dit à tout le peuple : —Voyez celui que l’Eternel a choisi ! Il n’a pas son pareil dans tout Israël. Tous l’acclamèrent aux cris de : —Vive le roi !

      1 Samuel 13

      10 Au moment où il achevait de l’offrir, Samuel arriva. Saül alla à sa rencontre pour le saluer.

      1 Samuel 25

      6 —Voici comment vous lui parlerez, leur dit-il : « Longue vie à toi ! Que la paix soit avec toi et avec ta maison ! Que toutes tes affaires prospèrent !
      23 Quand Abigaïl aperçut David, elle se hâta de descendre de son âne et, s’inclinant la face contre terre, se prosterna devant lui.

      2 Samuel 15

      5 Quand quelqu’un s’approchait pour s’incliner devant lui, il lui tendait la main, le saisissait et l’embrassait.

      2 Samuel 20

      9 Joab dit à Amasa : —Vas-tu bien, mon frère ? De la main droite, il saisit la barbe d’Amasa pour l’embrasser.

      1 Chroniques 12

      18 David sortit au devant d’eux. Il prit la parole et leur dit : —Si vous venez me trouver dans des intentions pacifiques, pour m’aider, nous serons alliés, vous et moi. Mais si c’est pour me trahir et me livrer à mes ennemis, alors que je n’ai commis aucun acte de violence, que le Dieu de nos ancêtres en soit témoin et qu’il juge.

      Esdras 4

      17 L’empereur fit parvenir la réponse suivante : « A Rehoum, gouverneur, à Chimchaï, secrétaire, et au reste de leurs collègues demeurant à Samarie et dans les territoires à l’ouest du fleuve, j’adresse mes salutations, etc.

      Esdras 5

      7 Le rapport qu’ils envoyèrent était conçu ainsi : « A l’empereur Darius, tous nos vœux de prospérité !

      Néhémie 2

      3 mais je lui dis : —Que l’empereur vive toujours ! Comment n’aurais-je pas un air triste alors que la ville où sont enterrés mes ancêtres est en ruines et que ses portes ont été détruites par le feu ?

      Psaumes 118

      26 Oui, béni soit celui qui vient au nom de l’Eternel ! Nous vous bénissons tous de la maison de l’Eternel !

      Psaumes 129

      8 Et qu’aucun passant jamais ne leur dise : « Que l’Eternel vous bénisse ! Nous vous bénissons de la part de l’Eternel. »

      Proverbes 27

      14 Si, de grand matin, quelqu’un vient bénir son ami à voix forte, ce sera pris comme une malédiction.

      Daniel 2

      4 Les astrologues dirent au roi en langue araméenne : —Que le roi vive éternellement ! Raconte le rêve à tes serviteurs, et nous t’en donnerons l’interprétation.

      Daniel 5

      10 Quand la reine-mère fut informée de ce qui troublait le roi et ses hauts dignitaires, elle pénétra dans la salle du festin. Elle prit la parole et dit : —Que le roi vive éternellement ! Ne te laisse pas terrifier par tes pensées et que ton visage ne pâlisse pas ainsi !

      Matthieu 5

      47 Si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens n’agissent-ils pas de même ?

      Matthieu 21

      9 Et toute la foule, de la tête à la fin du cortège, criait : Hosanna au *Fils de David ! Béni soit celui qui vient de la part du Seigneur ! Hosanna à Dieu au plus haut des cieux !

      Matthieu 26

      49 Il se dirigea donc tout droit sur Jésus et lui dit : —Bonsoir, Maître ! Et il l’embrassa.

      Marc 10

      17 Comme il partait, un homme accourut, se jeta à genoux devant lui et lui demanda : —Bon Maître, que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle ?

      Marc 15

      18 Puis ils le saluèrent en disant : —Salut, roi des Juifs !

      Luc 1

      28 L’ange entra chez elle et lui dit : —Réjouis-toi, toi à qui Dieu a accordé sa faveur : le Seigneur est avec toi.

      Luc 10

      4 N’emportez ni bourse, ni sac de voyage, ni sandales, et ne vous attardez pas en chemin pour saluer les gens.
      6 Si un homme de paix y habite, votre paix reposera sur lui. Si ce n’est pas le cas, elle reviendra à vous.

      Jean 1

      10 Celui qui est la Parole était déjà dans le monde, puisque le monde a été créé par lui, et pourtant, le monde ne l’a pas reconnu.

      Jean 14

      27 Je pars, mais je vous laisse la paix, c’est ma paix que je vous donne. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne. C’est pourquoi, ne soyez pas troublés et n’ayez aucune crainte en votre cœur.

      Jean 20

      19 Ce même dimanche, dans la soirée, les disciples étaient dans une maison dont ils avaient verrouillé les portes, parce qu’ils avaient peur des chefs des Juifs. Jésus vint : il se trouva là, au milieu d’eux, et il leur dit : —Que la paix soit avec vous !
      21 —Que la paix soit avec vous, leur dit-il de nouveau. Comme mon Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie.
      26 Huit jours plus tard, les disciples étaient de nouveau réunis dans la maison. Cette fois-ci, Thomas était avec eux. Jésus vint, alors que les portes étaient verrouillées. Il se tint au milieu d’eux et leur dit : —Que la paix soit avec vous !

      Actes 15

      23 Voici la lettre qu’ils leur remirent : Les apôtres et les responsables de l’Eglise adressent leurs salutations aux frères d’origine païenne qui habitent Antioche, la *Syrie et la Cilicie.

      Actes 23

      26 Claudius Lysias adresse ses salutations à Son Excellence le gouverneur Félix.

      Actes 25

      13 Quelque temps plus tard, le roi Agrippa et Bérénice arrivèrent à Césarée pour rendre visite à Festus.

      Romains 11

      12 Et si leur faux pas a fait la richesse du monde, et leur déchéance la richesse des non-Juifs, quelle richesse plus grande encore n’y aura-t-il pas dans leur complet rétablissement ?

      Romains 13

      2 C’est pourquoi celui qui s’oppose à l’autorité lutte contre une disposition établie par Dieu, et ceux qui sont engagés dans une telle lutte recevront le châtiment qu’ils se seront attiré.
      9 En effet, des commandements comme : Tu ne commettras pas d’adultère, tu ne commettras pas de meurtre, tu ne voleras pas, tu ne convoiteras pas, et tous les autres, se trouvent récapitulés en cette seule parole : Aime ton prochain comme toi-même.

      Romains 16

      22 Moi, Tertius qui écris cette lettre, j’ajoute mes salutations dans le Seigneur qui nous unit.

      1 Thessaloniciens 5

      26 Saluez tous les frères en leur donnant le baiser fraternel.

      1 Pierre 5

      14 Donnez-vous, les uns aux autres, le baiser fraternel. Paix à vous tous qui êtes unis au Christ.

      2 Jean 1

      10 Si quelqu’un vient vous trouver et ne vous apporte pas cet enseignement, ne l’accueillez pas dans votre maison, et ne lui adressez pas la salutation fraternelle.

      3 Jean 1

      14 J’espère te voir bientôt et alors nous nous entretiendrons de vive voix.
    • Genèse 33

      Genèse 42

      Genèse 43

      Genèse 47

      Exode 18

      7 Les conversations relatant les merveilles divines sont toujours bonnes et édifiantes. Jéthro ne s'est pas réjoui uniquement de l'honneur acquis par son gendre, mais aussi de toutes les bontés que Dieu a accordées au peuple d'Israël. Les témoins de ces faveurs divines étaient plus touchés que les Hébreux eux-mêmes, pourtant bénéficiaires directs. Jéthro rendit gloire au Dieu d'Israël. Quelle que soit la joie qui nous anime, Dieu doit être le premier objet de notre louange.

      Les deux patriarches offrirent conjointement un sacrifice de reconnaissance. L'amitié mutuelle est sanctifiée par l'adoration commune. Il est vraiment profitable à ceux qui entretiennent des relations amicales, de se réunir sous le regard de Christ, afin d'offrir un sacrifice spirituel, de prière et de louange. Dans ce texte, le festin en question était relativement modeste : ils consommèrent du pain et de la manne. Jéthro devait goûter à ce pain descendant du ciel ; en tant que « gentil », il était le bienvenu à ce repas : les « gentils » sont également les bienvenus en Christ, le pain de vie.

      Lévitique 16

      1

      Le grand jour de la propitiation. (Lévitique 16:1-14)
      Le sacrifice du péché, Le bouc qui lui est réservé. (Lévitique 16:15-34)

      Sans entrer dans les détails des sacrifices du « grand jour le l'expiation », nous pouvons remarquer qu'il s'agissait d'un commandement perpétuel, du moins tant que la dispensation en cours durerait.

      Quand nous pratiquons le péché, nous avons besoin de l'expiation. L'affliction de nos âmes, causée par le péché, doit durer tant que nous n'arrivons pas, les yeux remplis des larmes de la repentance, devant Dieu. Les apôtres ont pu constater par là, que c'était une preuve que les sacrifices ne pouvaient ôter les péchés ni purifier la conscience : chaque année, au jour de la propitiation, il fallait se remémorer les péchés commis, Heb 10:1,3.

      La répétition des sacrifices révèle les vains efforts que l'on tentait de faire, en vue d'obtenir l'expiation. Cela ne pouvait se faire définitivement, une fois pour toutes, que par le corps de Christ. En effet, ce Sacrifice parfait n'a pas eu besoin d'être répété !

      15 Nous voyons dans ce texte, les deux grands privilèges de l'évangile : la rémission des péchés et le libre accès à Dieu, tous deux obtenus grâce à notre Seigneur Jésus !

      Considérez bien l'expiation qui était faite pour nos fautes : Christ a été à la fois l'Auteur et l'Objet de cette expiation ; Il est le Sacrificateur, le grand Sacrificateur, le Seul qui puisse obtenir la réconciliation avec Dieu pour les péchés des hommes. Comme Christ a été le « grand Sacrificateur », ainsi en est-il de Son Sacrifice, par lequel nous sommes sauvés. En effet, Il a tout accompli en ce qui concerne notre réconciliation avec Dieu. Les deux boucs utilisés pour la rémission des péchés étaient une image de l'œuvre rédemptrice de Jésus. Le bouc sacrifié était « Christ mourant pour nos péchés » ; celui qui était libéré, était une image de notre justification apportée par le Sauveur. Le texte mentionne que l'expiation n'était achevée que lorsque l'on « mettait » les péchés d'Israël sur la tête du bouc qui était relâché dans le désert, dans un site inhabité ; cet animal chassé représentait alors la complète rémission des péchés du peuple. Il portait sur lui toutes les iniquités. Ainsi en est-il de Christ, l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde, prenant les iniquités sur Lui-même, Jean 1:29. L'entrée du souverain sacrificateur dans le lieu très saint, était une image de notre « possibilité » d'accéder directement aux cieux, Heb 9:7. Ensuite, le souverain sacrificateur devait sortir du lieu très saint. Mais notre Seigneur Jésus, Lui, vit éternellement dans les cieux, intercédant pour nous continuellement auprès de Dieu. Nous sommes ici en présence des deux grandes vérités de l'évangile : la foi et la repentance.

      Par la foi, nous posons nos mains sur la « tête du sacrifice », nous appuyant sur Christ, le Seigneur de droiture, le Seul qui puisse faire l'expiation de nos péchés et nous procurer le pardon. Lors de la repentance, nos âmes sont attristées : non seulement par les déviations que peuvent amener certains plaisirs ici-bas, mais aussi, par la douleur engendrée par le péché et une vie constituée de luttes constantes. Nous sommes par contre assurés que si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous pardonner nos iniquités et nous purifier de toute impiété. Par l'expiation, nous pouvons obtenir le repos de notre âme et toutes les merveilleuses libertés dont peuvent jouir les enfants de Dieu. Pécheur, prend le Sang de Christ pour sauver ton âme, ou alors tu ne pourras jamais voir Dieu en face, l'esprit dégagé de toute culpabilité. Prends ce sang, et par la foi, constate à quel point Il te réconcilie avec Dieu !

      Juges 18

      Juges 19

      Ruth 2

      4 Les paroles de Boaz, pleines de bonté et de piété, à l'égard de ses moissonneurs, révèlent qu'il y avait toujours en Israël, des personnes qui vivaient avec Dieu. De tels propos sont assez rares de nos jours ! Au contraire, on n'entend trop souvent autour de nous que des paroles d'immoralité et de corruption. Un étranger qui viendrait nous visiter, n'aurait pas du tout la même opinion de notre pays, que s'il se présentait, au temps de Ruth en Israël, en écoutant les conversations entre Boaz et ses serviteurs, et en observant la conduite du maître.

      La véritable piété poussera un homme à bien se conduire, dans toutes situations et conditions ; cette piété formera les maîtres dans les voies de la bonté et les serviteurs, dans celles de la fidélité : la famille sera ainsi en parfaite harmonie. Elle connaîtra l'équilibre, l'amour et la gentillesse.

      C'est ce que l'on peut voir chez Boaz et les siens. Quand ce maître de maison s'est présenté auprès des moissonneurs, il les a d'abord salués par une bénédiction de l'Éternel. Dès qu'ils virent leur maître, ces serviteurs ne l'ont pas maudit, comme le font communément certains, qui haïssent leur supérieur : ils lui ont retourné avec courtoisie ses salutations.

      Les affaires journalières ne peuvent que bien se dérouler lorsqu'une bonne ambiance règne entre supérieurs et subalternes.

      Chacun exprima ainsi sa gentillesse envers l'autre. Boaz s'est ensuite enquis au sujet de la jeune femme qui glanait dans son champ, désirant qu'elle soit bien traitée. Les responsables doivent non seulement veiller sur leur bien-être personnel, mais aussi sur celui de leurs subalternes, afin que ces derniers accomplissent correctement leur tâche.

      Ruth, sachant d'où elle venait, un pays aux mœurs païennes, s'est soumise humblement aux faveurs imméritées que Boaz lui adressa. Il est toujours bon d'avoir une modeste opinion de soi-même, estimant les autres, au-dessus de soi. Quand nous voyons une telle compassion, de Boaz envers Ruth, cela nous rappelle celle du Seigneur Jésus envers les pauvres pécheurs !

      1 Samuel 1

      1 Samuel 10

      1 Samuel 13

      1 Samuel 25

      2 Samuel 15

      2 Samuel 20

      1 Chroniques 12

      Esdras 4

      Esdras 5

      Néhémie 2

      Psaumes 118

      Psaumes 129

      Proverbes 27

      Daniel 2

      Daniel 5

      10 Au fil des années, Daniel a été oublié à la cour ; il vivait tranquillement, et était alors âgé de quatre-vingt-dix ans.

      Beaucoup consultent les serviteurs de Dieu en leur posant des questions curieuses, ou pour se faire expliquer des sujets difficiles, mais ils ne demandent pas comment parvenir au salut, ni comment trouver le chemin du devoir.

      Daniel a décliné la récompense du roi. Il a parlé à Belshatsar comme à un criminel condamné. Nous devrions dédaigner tous les cadeaux et les récompenses que le monde peut donner, car nous voyons, par la foi, la fin s'approcher rapidement ; mais cherchons à accomplir notre devoir ici-bas, et consacrons-nous, dans la mesure du possible, au véritable service, celui de notre prochain !

      Matthieu 5

      Matthieu 21

      Matthieu 26

      Marc 10

      17 Ce jeune homme riche montra un grand intérêt pour le domaine spirituel. Il demanda à Jésus ce qu'il devait faire pour connaître la félicité éternelle. La plupart des hommes aspirent aux biens de ce monde, quels qu’ils soient, Psaume 4:6.

      Le jeune homme demanda quelle attitude pratiquer ici-bas, afin de pouvoir jouir dans le ciel d’une grande récompense. Christ encouragea cette démarche, en le félicitant pour sa foi, et en lui dictant une ligne de conduite. Mais un problème surgit au cours de l’échange entre Jésus et ce jeune homme : ce dernier Lui demandant ce qu'il devait faire en plus, pour obtenir la vie éternelle, Christ voulut alors vérifier les bonnes intentions de cette demande : le jeune homme avait-il la volonté de supporter sa « croix » pour le présent, dans l'attente d'une « couronne » dans le ciel ?

      Cet homme était désolé de ne pas pouvoir devenir facilement un disciple de Christ : il ne pouvait pas obtenir la vie éternelle et garder en même temps ce qu'il possédait ici-bas. Il partit donc, attristé.

      Voir Matthieu 6:24 : « vous ne pouvez servir Dieu et Mammon ».

      Marc 15

      Luc 1

      Luc 10

      Jean 1

      Jean 14

      Jean 20

      19 Ce texte nous décrit ce qui s’est passé le premier jour de la semaine, après la crucifixion ; ce jour particulier a ensuite été souvent mentionné par de nombreux écrivains : il a été de toute évidente mis à part, en tant que « sabbat chrétien », en mémoire de la résurrection de Christ.

      Les disciples avaient fermé les portes de la maison, par peur des Juifs ; alors qu'ils ne s’attendaient pas à voir Jésus, ce Dernier apparu Lui-même au milieu d'eux, ayant miraculeusement et silencieusement ouvert les portes. Quel réconfort pour les disciples de Christ qui se réunissent en privé dans les assemblées, de savoir que nulle porte fermée ne pourra empêcher la venue du Seigneur ! Quand Il manifeste Son amour aux croyants, par le réconfort de son Esprit, Il leur donne l’assurance qu’ils vivront éternellement « en Lui ». Le fait de voir spirituellement Christ réjouit le cœur d'un disciple, quel que soit le moment ; plus nous verrons Jésus, plus nous nous réjouirons !

      Jésus dit à Ses disciples : « Recevez le Saint-Esprit » ; Il leur montrait ainsi que leur vie spirituelle, aussi bien que leurs tâches ici-bas, dépendraient de l'Esprit. Chaque parole de Christ reçue dans le cœur, par la foi, est accompagnée par ce souffle divin ; sans ce souffle, il n'y a ni lumière ni vie. Rien ne peut être discerné ni ressenti spirituellement, si ce n'est au travers de cette pensée.

      Après s’être présenté à Ses disciples, Christ leur a indiqué la seule méthode par laquelle le péché pouvait être pardonné. Ce pouvoir de pardonner ne leur était pas encore donné ; sans porter un jugement contre les autres, les disciples allaient seulement avoir le pouvoir de leur annoncer comment Dieu les accepterait ou les rejetterait au jour du Jugement, selon leur repentance. Les disciples ont ainsi clairement discerné ce qui caractérisait les véritables enfants de Dieu : ils ont su que le cas de chacun allait être examiné au jour du Jugement.

      Quand nous nous rassemblons au Nom de Christ, en particulier le « premier jour de la semaine », Il nous rencontre, et nous communique Sa paix. Les disciples de Christ doivent s'efforcer de se fortifier mutuellement, par la foi, en répétant ce qu'ils ont reçu spirituellement à ceux qui étaient absents, et en leur faisant connaître ce qu'ils ont expérimenté.

      Thomas sous estimait la Puissance du « Saint d'Israël », quand il ne voulait croire qu’après avoir vu les blessures de Christ. Il aurait pu être laissé dans son incrédulité, pour avoir repoussé de si nombreuses preuves de la résurrection de Jésus.

      Les craintes et les peines des enfants de Dieu sont souvent prolongées à cause de leur incrédulité...

      26 Le jour de repos hebdomadaire doit être respecté religieusement : il fut institué dès le commencement. De nos jours, « au temps de la Grâce », le premier jour de la semaine est solennel, il indique, que Christ vient de nouveau pour rencontrer Ses disciples dans une assemblée religieuse.

      Le respect de ce jour est parvenu jusqu’à nous, tout au long du temps de l'église. Il n'y aucune parole incrédule que nous ayons prononcées, ni aucun pensée, qui ne soit connue du Seigneur Jésus ; Ce Dernier s’est penché sur le cas de Thomas, ne voulant pas le laisser dans son incrédulité.

      Nous mêmes, devons aussi « porter l’infirmité des faibles », Romains 15:1,2. Ceci s'adresse à tous ! Si nous demeurons sans foi, nous sommes sans Christ, dépourvus de Sa Grâce, désespérés et sans joie...

      Thomas eut honte de son incrédulité, et s’est écrié : « Mon Seigneur et mon Dieu » ! Son cœur s’est vraiment exprimé, voulant « saisir » Christ avec toute Sa Puissance ; Les véritables croyants, malgré leurs faiblesses, seront toujours acceptés par le Seigneur Jésus, dans toute Sa Grâce. Il est du devoir de ceux qui lisent et entendent l'évangile de croire, d'embrasser la doctrine de Christ, et de mémoriser Ses paroles, 1Jean 5:11 !

      Actes 15

      Actes 23

      Actes 25

      13 Agrippa était le gouverneur de la Galilée. Nous voyons, au verset Actes 25:16 à quel point les Romains condamnaient les jugements injustes et hâtifs. Ces païens, guidés seulement par une logique naturelle, suivaient à la lettre leurs lois et leurs coutumes, contrairement à certains chrétiens, qui ne suivent aucune des règles de la Vérité, de la Justice, et de la charité, concernant les démêlés avec leurs frères !

      Les questions sur l'adoration de Dieu, le chemin du salut, et les vérités de l'évangile, peuvent paraître douteuses et sans intérêt, pour les hommes du monde et les politiciens. Remarquez à quel point Festus parle avec légèreté, de Christ et de la grande controverse entre les Juifs et les chrétiens. Mais le jour approchait, où il allait voir, lui et le monde entier, que tous les sujets d'inquiétude de l'empire romain n'étaient que bagatelle sans conséquence, comparée à cette question sur la résurrection de Christ.

      Ceux qui ont reçu une certaine instruction religieuse, sans toutefois en tenir compte au cours de leur vie, resteront, par ces connaissances, souvent convaincus de leur péché et de la folie de leur cœur.

      Nous voyons dans ce texte, une assemblée de hautes personnalités, venues pour entendre Paul, alors prisonnier, témoigner des vérités de l'évangile ; ils ne désiraient en fait que satisfaire leur propre curiosité...

      Beaucoup de personnes aiment à entendre prêcher la Parole de Dieu, lors de grandes cérémonies, mais hélas trop souvent, sans autre motif que la curiosité. Bien que les serviteurs de Dieu ne soient pas, tous comme Paul, des prisonniers cherchant à défendre leur vie, certaines personnes ne désirent que les juger dans leurs prédications, désirant les culpabiliser, plutôt que d’apprendre la Vérité et la volonté divine, pour le salut de leur âme.

      En fait, nous pouvons voir dans ce texte que tout l’apparat de cette audience fut éclipsé par l’éloquence et l’autorité du témoignage de Paul. Que pouvaient être l'honneur et la belle apparence de ces personnages, face à la sagesse de Paul, prêchant la Grâce et la sainteté, face à son courage et à sa constance, dans sa souffrance pour Christ !

      Ce n'est pas un fait mineur de constater que Dieu, par Sa Miséricorde, nous justifie et nous blanchit de toutes nos fautes ; au jour du Jugement, rien ne sera retenu contre nous ! Dieu, par Sa Providence, dispose souvent les ennemis de Son peuple, pour qu’ils agissent en la faveur de ce dernier.

      Romains 11

      Romains 13

      Romains 16

      1 Thessaloniciens 5

      1 Pierre 5

      2 Jean 1

      3 Jean 1

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