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THÉOPHANIE

Définition biblique de Théophanie :

Sommaire

I. ÉTYMOLOGIE.

(grec théophanéïa ou théophania, de Théos =Dieu, et phaineïn =faire paraître, rendre visible). Mot que l'on rencontre chez les Pères grecs pour désigner les manifestations de Dieu (Grég. de Naz.), la nativité de Jésus-Christ (Grég. de Nysse), l'épiphanie (Chrysost.). Dans son sens premier le mot théophanie nous ramène avant tout aux passages de l'A. T, où il est question d'apparitions divines.

La Bible nous dit que Dieu, en lui-même, ne peut être représenté sous aucune forme (Ex 20:4, De 4:15 5:8), que nul ne peut le voir et vivre (Ex 33:20), qu'il habite une lumière inaccessible, que nul homme ne l'a vu ni ne peut le voir (1Ti 6:16). De théophanie au sens strict, il n'y en a donc point. Mais que Dieu, en vue de l'oeuvre qu'il avait entreprise sur la terre, se soit manifesté dans la création, s'abaissant de telle sorte que les hommes pussent reconnaître sa présence immédiate, voilà ce que la Bible nous dit aussi, explicitement. On connaît les nombreux passages dans lesquels l'histoire sainte jéhoviste (voir Sources), qui est la véritable introduction aux prophètes et le portique de la révélation, nous présente Dieu se montrant sous l'apparence d'un homme : « Il se promène dans le jardin d'Éden, il cause avec Adam, Caïn, Noé, il ferme lui-même la porte de l'arche, il se repent, s'afflige, prononce des serments... Plus tard, nous le voyons descendre vers les patriarches, recevoir l'hospitalité d'Abraham... La terre est, à la lettre, son marchepied. »

Tout n'est pas dit quand on a déclaré que ces divers textes parlent le langage de l'enfance de l'esprit humain. Les circonstances dans lesquelles se produisent ces théophanies, les conséquences qu'elles ont dans la marche des récits comme dans le développement de la doctrine, enfin leur pragmatisme moral et religieux nous obligent de reconnaître, derrière les expressions de l'antique écrivain, le fait d'interventions réelles de Dieu et ses initiatives personnelles dans l'histoire.

II. DIFFÉRENTES THÉOPHANIES.

La doctrine des théophanies s'exprime avec une entière clarté dans les rapports de Dieu avec Moïse. Dieu nous y est représenté (Ex 33:11) parlant à Moïse « face à face, comme un homme parle à un autre ». Dans No 12:6,8, Jéhovah dit à Aaron et à Marie, du sein de la nuée qui le dérobe à leurs yeux : « S'il y a un prophète parmi vous, moi, Jéhovah, je me fais connaître à lui en vision ; c'est en songe que je lui parle. Il n'en est pas ainsi de mon serviteur Moïse ; toute ma maison lui est confiée. Je lui parle bouche à bouche et en me faisant voir, et non par énigmes, et il contemple la figure de Jéhovah » (Bible annotée) ; « ... la personne même de Jéhovah » (Reuss) ; « er siehet den Herrn in seiner Gestalt » (Luther). Traduire : « il voit une représentation de Jéhovah » (Sg.), ou : « il contemple une image de Jéhovah » (Vers. Syn.), c'est dire le contraire de ce que le texte a l'intention d'exprimer.

Auprès de ces passages où il est question de théophanie par une manifestation visible de la personne divine, (cf. No 14:14 où Dieu s'est fait voir « d'oeil à oeil ») la Bible parle de théophanies par la voix. C'est par la parole que Dieu révèle sa présence, --non pas seulement la parole entendue à l'intérieur de l'homme, ce qui appartient au domaine de l'esprit, mais la voix ouïe extérieurement. Nombreux dans l'A. T, sont les passages où il est dit que Dieu a parlé. Moïse attache à ce fait une importance décisive. D'après De 4:12, il spécifie que Jéhovah a parlé du milieu du feu : « Vous entendiez le son des paroles, sans apercevoir aucune figure ; vous n'entendiez qu'une voix ». (cf. De 4:36,1Sa 3:1,1Ro 19:13) La même forme de manifestations divines se retrouve dans le N.T. (cf. Mt 3:17 17:5, Jn 12:28 ; voir aussi le cas de Saül dans Ac 9:4, etc.).

Mentionnons encore les théophanies indirectes où Dieu se manifeste en se voilant (Ex 3:1 13:21 16:10 24:16 40:38, etc., De 4:36) et établit sa présence permanente dans son sanctuaire en enveloppant sa gloire d'une nuée (Ex 40:34, cf. 1Ro 8:10 Eze 10:4, etc.) ; d'où le nom de « demeure de Jéhovah » donné parfois au temple (Ps 26:8), et la doctrine juive de la chekinah (voir ce mot).

Enfin, on trouvera dans l'article Ange de l'Éternel les diverses représentations théophaniques qui aboutissent à l'incarnation du Verbe : « Le Verbe était Dieu... le Verbe s'est fait chair » (Jn 1:1-14) ; « image du Dieu invisible » (Col 1:15) ; « qui m'a vu, a vu le Père » (Jn 14:9).

III. DIFFÉRENTES INTERPRÉTATIONS.

On a cru souvent devoir conclure que les épisodes où il est question de théophanies dans la Bible ne sont que des résidus de paganisme ou des marques de superstition. Reste à savoir si la superstition de la psychologie rationaliste, qui enferme dès l'origine la religion dans les phénomènes de conscience, n'est pas aussi éloignée des faits que la superstition dont témoignent les fables de la religion naturelle. La tendance qu'a la théologie moderne à récuser dans les récits de la Bible tout ce qui s'apparente aux conceptions des cultes païens pourrait bien ne venir que d'une méconnaissance des justes instincts de l'humanité, qui, cherchant la divinité dans ses symboles et dans ses mythes, avait eu l'intuition que Dieu devait intervenir dans l'histoire, et lui-même y participer, s'il voulait attirer les hommes à lui.

On a objecté aussi que les théophanies ne présentent aucune garantie parce que les sens extérieurs peuvent nous tromper. Comme si notre sens intime ne dépendait pas du même système nerveux et n'était pas aussi, de ce chef, sujet à caution ! Ne suffit-il pas d'un jeûne prolongé, d'une crise hystérique, d'une influence hypnotique ou simplement d'une violente émotion pour mettre en désarroi notre vie subjective, lui faire prendre des fantômes pour des réalités ou des réalités pour des fantômes ? Au dehors comme au dedans, c'est, chez l'homme, la même fragilité, la même possibilité d'erreurs et d'illusions ; mais c'est aussi la même origine divine, et par conséquent la même faculté d'entrer en relation avec Dieu par les sens extérieurs comme par le sens intime. Au vrai, c'est perdre son temps que tenter de déterminer le mode des théophanies et d'opérer entre elles des discriminations pour accepter les unes et rejeter les autres, car nous ne savons proprement ni ce qu'est la matière, ni ce qu'est l'Esprit, ni de quelles ressources Dieu dispose.

La vraie question est de savoir si nous croyons que Dieu intervient personnellement et librement dans les affaires de ce monde. Si nous ne le croyons pas, tout entretien sur le sujet est oiseux ; si nous le croyons, il nous faut reconnaître que nous n'avons d'autre garantie de l'authenticité des théophanies, qu'elles soient objectives ou subjectives, que leur résultat pratique.

Ici comme partout, c'est le mot de Jésus qui seul compte : « On connaît l'arbre à son fruit. » Toute secousse qui pousse vers Dieu vient de Dieu ; tout appel qui rapproche de Dieu est une parole de Dieu ; toute manifestation qui lie l'homme à Dieu par le coeur et par les actes suppose à l'origine une théophanie.

Qu'ont fourni au patrimoine de l'humanité les théophanies des religions naturelles ? Des mythes pour les poètes, des images pour les philosophes, des moyens d'exploitation pour les sacerdoces, des excitations pour la sensualité des cultes orgiaques, et pour tous une occasion de superstition. L'homme, après, est comme avant, parfois même inférieur à ce qu'il était avant, parce que la superstition fausse le sens moral et débauche la volonté. Qu'ont apporté à Israël les théophanies de la Bible ? Une progressive rééducation où l'homme, par le contact effectif de Dieu, a retrouvé la ressemblance divine et la communion du Père céleste.

Les résultats des interventions surnaturelles de Dieu au sein du peuple élu sont attestés par trois réalités sans analogues :

les prophètes d'Israël, dont les oracles ont eu leur accomplissement ;

les chrétiens authentiques, dont les oeuvres sont le sel de la terre ;

le peuple juif, dont la survivance est un pur miracle.

Que peuvent contre ces réalités contrôlables les arguties de notre philosophie ? C'est, dirait de Bonald, comme si nous jetions des pierres contre une montagne. Celui qui explique le destin du peuple de Dieu en supprimant les manifestations de Dieu ne donne pas une leçon d'histoire mais une leçon à l'histoire, et fait parler les textes au lieu de les laisser parler.

Sans doute les documents bibliques nous montrent d'âge en âge un effort pour spiritualiser les théophanies, tout spécialement dans le judaïsme, qui est loin d'avoir rendu service à la notion de Dieu en éloignant toujours plus, sous prétexte de respect, la divinité de l'humanité ; mais la théophanie demeure d'un bout à l'autre de la Bible, et témoigne que la Bible se prête mal aux théories subjectives dont les interprétations symboliques et spiritualisantes ont exercé une si grande influence sur notre théologie, surtout vers la fin du siècle dernier. Leurs protagonistes, en enfermant la révélation biblique dans le domaine de l'émotion mentale, croyaient la rendre inattaquable ; en réalité, ils la livraient à l'ennemi, comme le général qui enferme son armée dans une place forte.

Une religion qui cesse de plonger dans la théophanie est une religion déracinée, qui a perdu ses points de résistance et ses moyens d'échapper à l'emprise de l'adversaire. Pour s'en rendre compte, il suffit de lire avec attention la Psychologie du mysticisme religieux de J.H. Leuba (1930), où l'auteur, après avoir ramené la religion biblique à la théologie d'Aug. Sabatier (Esquisse d'une philosophie de la religion), triomphe : « D'un bout à l'autre du monde protestant ces « expériences intérieures » constituent l'unique preuve sur laquelle on estime légitime d'appuyer la foi en un Dieu lié à l'homme par des rapports sentimentaux et intellectuels. Or, les pages qui suivent établiront que cette appréhension « immédiate », « intuitive » de Dieu, quelle qu'en soit la forme, n'est nullement soustraite à l'intervention des processus mentaux habituels, et qu'elle relève donc de la critique que la raison peut avoir à exercer sur elle. » (Ouvr. cit., p. 453.)

Naturellement, Leuba récuse aussi les théophanies. Tout cas est niable. Mais ici, on ne peut démontrer le bien-fondé de la négation. Une négation sans preuve est une négation sans force. Voilà pourquoi la théophanie laisse généralement chez ceux qui la nient un élément d'inquiétude, et comme une irritation dans la plaie.

Nous savons par ailleurs que la foi ne naît point d'un raisonnement de la sagesse humaine, ni d'une intuition, mais d'une rencontre avec Dieu, de ce que saint Paul appelle « une démonstration d'Esprit et de puissance » (1Co 2:4).

Sans doute, la Bible, plus que tout autre livre, insiste sur l'importance de l'expérience intérieure, mais jamais elle ne fait de cette expérience l'origine de la foi. Pour Israël, tout remonte au tête-à-tête du Sinaï. Pour le chrétien, l'objet de la foi c'est « l'homme, Jésus-Christ » (Ro 5:15), et Jésus lui-même propose comme preuve suprême de la vérité de son Évangile les oeuvres qu'il a accomplies devant tous, au grand soleil de la Palestine (Jn 5,10,14 et surtout Jn 15:24).

Fidèles à la doctrine de la révélation (Lu 10:19, Mr 16:17 et suivant), les disciples de Jésus, au seuil du grand combat où ils entrent pour convertir le monde, prient : « Maintenant, Seigneur... donne à tes serviteurs d'annoncer ta parole avec une entière assurance, en étendant ta main, pour opérer des guérisons, des miracles et des prodiges par la puissance de ton saint serviteur Jésus » ; et Dieu les exauça (Ac 4:29 5:12,16).

Le symbolisme perd aujourd'hui du terrain. La jeune génération en revient ; elle en revient au point qu'on a déjà pu écrire : « Nous sommes sur le chemin d'une nouvelle découverte de la Bible qui émerge des brouillards de la discussion comme le livre qui parle avec autorité. » Qui dira ce que perdrait cette autorité si l'on devait rayer des pages de la Bible toutes les manifestations où nous pouvons constater que Dieu a besogné dans le monde, non seulement par sa puissance inspiratrice, mais par ses interventions créatrices, sous toutes les formes appropriées aux résultats qu'il voulait obtenir ?

Ces manifestations extérieures--dans lesquelles il faut en dernière analyse inclure les miracles--ne sont pas seulement la preuve inaugurale de la réalité du Dieu personnel et tout-puissant, la preuve qu'il agit dans l'histoire et qu'il s'y porte au-devant de l'humanité. On peut y voir aussi, dans la pédagogie divine, une méthode de liberté. En effet, toutes les fois que Dieu se propose à l'homme de l'extérieur, l'homme a le choix de se déterminer pour ou contre lui ; tel, Jésus frappant du dehors à la porte, laisse l'habitant libre d'ouvrir ou de n'ouvrir point.

Il y a moins d'impertinence qu'on ne l'imagine dans l'objection populaire : « Je ne crois que ce que je vois. » L'homme n'est pas un pur esprit. Ses sens extérieurs lui ont été donnés comme organes de science et agents de certitude. Pour que les réalités éternelles lui soient assimilables, il faut qu'elles lui deviennent sensibles, que tout son être soit saisi et conquis. Dieu ne s'est imposé à l'homme qu'après s'être posé devant lui. Pour qu'un terrain porte une végétation, il faut qu'à l'origine une semence lui soit venue de l'extérieur.

Ainsi, dans la Bible, les incarnations du monde spirituel, les manifestations de Dieu dans l'histoire apparaissent dans tous les commencements : début de l'humanité, vocation d'Abraham, fondation de l'ancienne alliance, fondation de la nouvelle. Et qu'est-ce donc que Jésus-Christ, sinon la présence de Dieu rendue sensible, une apparition de Dieu ? N'est-il pas aussi très frappant de voir que la révélation du Christ rédempteur s'achève par une résurrection s'adressant aux sens aussi bien qu'à l'âme, afin d'emporter la conviction des disciples et de leur permettre de fonder leur prédication sur ce témoignage : « Ce que nous avons entendu, ce que nos yeux ont vu, ce que nos mains ont touché, nous vous l'annonçons..., nous sommes témoins de ces choses » ? (1Jn 1:1,3, Ac 2:32 5:32)

La descente du Saint-Esprit ne nous est-elle pas aussi présentée par trois fois comme un événement qui a frappé les sens avant d'agir sur l'être intime ? (Mr 1:10 parallèle Jn 1:32, Ac 2:2 4:31). Enfin le commencement de la mission qui devait gagner le monde païen à Jésus n'est-il pas dans une apparition du Christ sur le chemin de Damas ? Et depuis lors, à travers les siècles, l'histoire de l'Église ne produit-elle pas toute une lignée d' « enfants de Dieu » qui ont marché sur l'ordre d'apparitions surnaturelles, tels Catherine de Sienne, Pascal, Swedenborg, ou de voix célestes, comme Jeanne d'Arc ? Celui qui écrit ces lignes en a connu un cas très caractérisé. On croit se débarrasser du phénomène extérieur en traitant ces personnalités de mystiques hallucinés ; est-il certain que les « sages » et les « intelligents » qui les disqualifient d'un mot pourraient produire comme elles leurs lettres de créance ? Dès lors, l'attitude la plus scientifique ne serait-elle pas, tout en se gardant de la crédulité, de montrer dans ce domaine la simplicité de la foi ?

Entre les diverses formes de théophanies dont les conditions laissent l'âme humaine intacte, et les appels au for intérieur où Dieu influence nos facultés émotives et nous attire irrésistiblement, nous pouvons deviner toute une gamme d'actions divines pour atteindre le coeur de l'homme, l'éclairer, le gagner. Dans cette gamme s'exprime l'entière liberté de Dieu. Gardons-nous de légiférer ici, et surtout de poser des limites. Nous serions pris en flagrant délit d'expliquer des mystères dont Dieu a gardé le secret.

Il est certain que les formes les plus extérieures de la théophanie, nécessaires pour amorcer des rapports nouveaux entre Dieu et l'homme, ont toute raison de s'espacer lorsque l'oeuvre spirituelle que Dieu voulait accomplir s'est intégrée dans une collectivité humaine, si bien que la puissance de Dieu comme aussi la réalité de son action sont reconnaissables et justifiées dans la manière d'être de ses témoins. Le tort de Philippe (Jn 14) est de ne pas avoir su reconnaître Dieu dans le Christ ; le tort de Thomas (Jn 20) a été de n'avoir pas su reconnaître, dans l'attitude de ses condisciples, la preuve de la résurrection. Mais la théophanie, pour être transformée, n'en est pas supprimée pour cela.

Une observation attentive des manifestations de Dieu au sein de son peuple--qu'il s'agisse de l'ancien ou du nouvel Israël--, loin de nous amener à réduire le nombre des cas où Dieu nous atteint par l'extérieur, nous convie au contraire à l'étendre ; car, depuis l'Ange de l'Éternel qui se campe l'épée nue devant Josué (Jos 5:13) jusqu'au martyr obscur qui monte, désarmé, sur le bûcher de l'Inquisition, qu'avons-nous sous les yeux, sinon la série infiniment variée de théophanies par lesquelles Dieu s'extériorise, se rend visible à nous, et se glorifie sous nos yeux dans la personne de ses hérauts ?

Il faut aller jusqu'au bout, et reconnaître que toute personne qui, renouvelée par l'Esprit, vit devant nous une vie chrétienne authentique, est pour nous une théophanie. Par cette théophanie-là, aboutissement de toutes les théophanies, se poursuit au sein de l'humanité l'intervention de Dieu inaugurée par la Bible ; grâce à elle s'accompliront à la fin des temps les voeux de la création soupirante qui « attend, d'un ardent désir, la manifestation des fils de Dieu » (Ro 8:19 et suivants). Et ce sera la suprême théophanie : le retour de Christ (Mt 25:31) Voir Révélation.). Alex. W.

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Versets relatifs

    • Exode 3

      1 Moïse garde les moutons et les chèvres de Jéthro, son beau-père, le prêtre de Madian. Un jour, Moïse conduit le troupeau au-delà du désert et il arrive à l’Horeb, la montagne de Dieu.

      Exode 13

      21 Le SEIGNEUR lui-même marche devant eux. Le jour, il se tient dans une colonne de fumée pour leur montrer la route. La nuit, il se tient dans une colonne de feu pour les éclairer. Ainsi ils peuvent marcher le jour et la nuit.

      Exode 16

      10 Aaron parle à toute la communauté. Pendant ce temps, les Israélites regardent dans la direction du désert. Tout à coup, ils voient la gloire du SEIGNEUR dans le nuage de fumée.

      Exode 20

      4 « Ne fabrique pas de statues de dieux. Ne représente pas ce qu’il y a là-haut dans le ciel, en bas sur la terre, ou dans l’eau sous la terre.

      Exode 24

      16 La gloire du SEIGNEUR reste sur le mont Sinaï, et le nuage de fumée le couvre pendant six jours. Le septième jour, le SEIGNEUR appelle Moïse du milieu du nuage.

      Exode 33

      11 Le SEIGNEUR parle avec Moïse face à face, comme un homme parle avec un autre homme. Puis Moïse revient au camp. Mais son serviteur, le jeune Josué, fils de Noun, reste dans la tente sacrée.
      20 Mais voir mon visage, c’est impossible. En effet, un être humain ne peut pas me voir et rester vivant. »

      Exode 40

      34 Alors le nuage de fumée vient couvrir la tente de la rencontre, la gloire du SEIGNEUR remplit la tente sacrée.
      38 Le nuage du SEIGNEUR repose sur la tente sacrée pendant le jour, un feu brille dans le nuage pendant la nuit. Les Israélites voient cela, tout au long de leur route.

      Nombres 12

      6 Le SEIGNEUR leur dit : « Écoutez bien ce que je vais vous dire ! Quand il y a un prophète parmi vous, moi, le SEIGNEUR, je me fais connaître à lui en visions et je lui parle en rêves.
      8 Je lui parle directement, et non de façon cachée. Je me montre à lui et il voit quelque chose de moi, le SEIGNEUR. Alors, comment osez-vous critiquer mon serviteur Moïse ? »

      Nombres 14

      14 Ils l’ont raconté aux habitants de ce pays. Les gens de Canaan ont donc appris ceci : toi, le SEIGNEUR, tu es au milieu de ton peuple. Tu te montres à lui face à face. Tu le protèges d’un nuage et tu marches devant lui, le jour dans une colonne de fumée, la nuit dans une colonne de feu.

      Josué 5

      13 Un jour, Josué se trouve près de Jéricho. Tout à coup, il voit un homme debout en face de lui. Celui-ci tient à la main une épée sortie de son étui. Josué s’approche de lui et lui demande : « Est-ce que tu es pour nous ou pour nos ennemis ? »

      1 Samuel 3

      1 Le petit Samuel est au service du SEIGNEUR sous la garde du prêtre Héli. À cette époque-là, le SEIGNEUR parle rarement à quelqu’un et il envoie rarement des visions.

      Psaumes 26

      8 SEIGNEUR, j’aime la maison où tu habites, le lieu où ta gloire est présente.

      Ezéchiel 10

      4 La gloire du SEIGNEUR qui est au-dessus des chérubins se dirige vers l’entrée du temple. Alors le nuage vient remplir le temple et la gloire du SEIGNEUR remplit la cour de sa lumière.

      Matthieu 3

      17 Une voix vient du ciel et dit : « Celui-ci est mon Fils très aimé. C’est lui que j’ai choisi avec joie. »

      Matthieu 17

      5 Pendant qu’il parle, un nuage brillant arrive et les couvre de son ombre. Une voix vient du nuage et dit : « Celui-ci est mon Fils très aimé. C’est lui que j’ai choisi avec joie. Écoutez-le ! »

      Matthieu 25

      31 « Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, avec tous ses anges, il s’assoira sur son siège de roi tout-puissant.

      Marc 1

      10 Au moment où Jésus sort de l’eau, il voit le ciel s’ouvrir. Et il voit l’Esprit Saint descendre sur lui comme une colombe.

      Marc 16

      17 Et ceux qui croiront, voici comment ils montreront la gloire de Dieu : en mon nom, ils chasseront les esprits mauvais, ils parleront des langues nouvelles.

      Luc 10

      19 Écoutez ! Je vous ai donné le pouvoir de marcher sans danger sur les serpents et les scorpions, et d’écraser toute la puissance de l’esprit mauvais. Rien ne pourra vous faire du mal.

      Jean 1

      1 Au commencement, la Parole existait déjà. La Parole était avec Dieu et la Parole était Dieu.
      2 Au commencement, la Parole était avec Dieu.
      3 Par elle, Dieu a fait toutes choses et il n’a rien fait sans elle.
      4 En elle, il y a la vie, et la vie est la lumière des êtres humains.
      5 La lumière brille dans la nuit, mais la nuit ne l’a pas reçue.
      6 Dieu a envoyé un homme qui s’appelait Jean.
      7 Il est venu comme témoin pour être le témoin de la lumière, afin que tous croient par lui.
      8 Il n’était pas la lumière, mais il était le témoin de la lumière.
      9 La Parole est la vraie lumière. En venant dans le monde, elle éclaire tous les êtres humains.
      10 La Parole était dans le monde, et Dieu a fait le monde par elle, mais le monde ne l’a pas reconnue.
      11 La Parole est venue dans son peuple, mais les gens de son peuple ne l’ont pas reçue.
      12 Pourtant certains l’ont reçue et ils croient en elle. À ceux-là, la Parole a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu.
      13 Et ils sont devenus enfants de Dieu en naissant non par la volonté d’un homme et d’une femme, mais de Dieu.
      14 La Parole est devenue un homme, et il a habité parmi nous. Nous avons vu sa gloire. Cette gloire, il la reçoit du Père. C’est la gloire du Fils unique, plein d’amour et de vérité.
      32 Et voici le témoignage de Jean : « J’ai vu l’Esprit Saint descendre du ciel comme une colombe et il est resté sur Jésus.

      Jean 5

      1 Ensuite il y a une fête juive, et Jésus va à Jérusalem.
      2 À Jérusalem, près de la porte des Moutons, se trouve une piscine avec cinq rangées de colonnes. En hébreu, on l’appelle Bethzata.
      3 Sous ces colonnes, beaucoup de malades sont couchés : des aveugles, des boiteux, des paralysés.
      4 []
      5 Parmi eux, il y a un homme malade depuis 38 ans.
      6 Jésus voit qu’il est couché et il apprend que cet homme est malade depuis déjà longtemps. Il lui demande : « Est-ce que tu veux guérir ? »
      7 Le malade lui répond : « Seigneur, je n’ai personne pour me descendre dans la piscine quand l’eau se met en mouvement. Et pendant que j’essaie d’y aller, un autre descend avant moi. »
      8 Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ta natte et marche ! »
      9 Aussitôt, l’homme est guéri. Il prend sa natte et il se met à marcher. Cela se passe le jour du sabbat.
      10 Alors des chefs juifs disent à l’homme guéri : « C’est le jour du sabbat, et tu n’as pas le droit de porter ta natte. »
      11 Il leur répond : « Celui qui m’a guéri m’a dit : “Prends ta natte et marche !” »
      12 Ces gens lui demandent : « Qui est cet homme qui t’a dit : “Prends ta natte et marche” ? »
      13 Mais celui qui a été guéri n’en sait rien. En effet, Jésus est parti, parce qu’il y avait beaucoup de monde à cet endroit.
      14 Plus tard, Jésus le rencontre dans le temple et il lui dit : « Maintenant tu es guéri. Ne commets plus de péché, sinon il t’arrivera quelque chose de plus grave. »
      15 L’homme va dire aux chefs juifs : « C’est Jésus qui m’a guéri. »
      16 Alors ils cherchent à faire du mal à Jésus, parce qu’il a guéri quelqu’un le jour du sabbat.
      17 Mais Jésus leur dit : « Mon Père travaille depuis toujours, et moi aussi, je travaille. »
      18 À cause de cette parole, les chefs juifs cherchent encore plus à faire mourir Jésus. En effet, Jésus ne respecte pas le sabbat. Mais surtout il dit que Dieu est son Père, et ainsi, il se fait égal à Dieu.
      19 Jésus reprend la parole et dit : « Oui, je vous le dis, c’est la vérité, le Fils ne peut décider lui-même ce qu’il doit faire. Il voit ce que le Père fait et il fait seulement cela. Ce que le Père fait, le Fils le fait aussi.
      20 Le Père aime le Fils et il lui montre tout ce qu’il fait. Il lui montrera des actions encore plus grandes, et vous serez très étonnés.
      21 En effet, le Père réveille les morts et il leur donne la vie. De la même façon, le Fils donne la vie à qui il veut.
      22 Et le Père ne juge personne, mais il a donné au Fils tout le pouvoir pour juger.
      23 Ainsi, tous respecteront le Fils, comme tous respectent le Père. Le Père a envoyé le Fils. Si quelqu’un ne respecte pas le Fils, il ne respecte pas non plus le Père.
      24 « Oui, je vous le dis, c’est la vérité, si quelqu’un écoute mes paroles et croit au Père qui m’a envoyé, il vit avec Dieu pour toujours. Il n’est pas condamné, mais il est passé de la mort à la vie.
      25 Oui, je vous le dis, c’est la vérité, le moment arrive, et c’est maintenant : les morts vont entendre la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l’entendront vivront.
      26 Le Père possède la vie, le Fils aussi possède la vie. C’est le Père qui lui a donné cela.
      27 Et il a donné au Fils le pouvoir de juger, parce qu’il est le Fils de l’homme.
      28 Ne soyez pas étonnés de toutes ces choses. Le moment arrive où tous les morts qui sont dans les tombes entendront la voix du Fils de l’homme.
      29 Alors ils sortiront de leurs tombes. Ceux qui ont fait le bien se relèveront de la mort pour vivre. Ceux qui ont fait le mal se relèveront de la mort pour être condamnés. »
      30 « Je ne peux rien faire par moi-même. Je juge d’après ce que le Père me dit, et mon jugement est juste. En effet, je ne cherche pas à faire ce que je veux, mais à faire la volonté de celui qui m’a envoyé.
      31 « Si je suis témoin pour moi-même, ce que je dis n’est pas valable.
      32 Mais c’est quelqu’un d’autre qui est mon témoin, et je sais que son témoignage à mon sujet est vrai.
      33 Vous, vous avez envoyé des messagers à Jean-Baptiste, et il a rendu témoignage à la vérité.
      34 Moi, je n’ai pas besoin qu’un homme soit mon témoin. Mais je dis cela pour que vous soyez sauvés.
      35 Jean était comme une lampe qu’on allume et qui éclaire. Et pendant un moment, vous avez accepté de vous réjouir à sa lumière.
      36 « Mais j’ai pour moi un témoignage plus grand que celui de Jean. En effet, le travail que le Père m’a donné à faire, le travail que je fais, me rend témoignage et il montre que le Père m’a envoyé.
      37 Et le Père qui m’a envoyé est aussi mon témoin. Mais vous n’avez jamais écouté sa voix et vous n’avez jamais vu son visage.
      38 Vous ne croyez pas celui que le Père a envoyé. C’est pourquoi vous n’accueillez pas ses paroles.
      39 « Vous étudiez les Livres Saints et vous pensez trouver en eux la vie avec Dieu pour toujours. Et ce sont les Livres Saints qui me rendent témoignage.
      40 Mais vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vraie vie.
      41 « Je ne désire pas que les gens me fassent des compliments,
      42 mais je vous connais : vous n’avez pas en vous d’amour pour Dieu.
      43 Moi, je suis venu de la part de mon Père, et vous ne voulez pas me recevoir. Mais quand quelqu’un d’autre décide lui-même de venir, vous le recevez.
      44 Vous aimez vous faire des compliments les uns aux autres, mais vous ne cherchez pas la gloire qui vient de Dieu seul. Alors comment pouvez-vous croire ?
      45 « Ne pensez pas que je vous accuserai devant mon Père. Vous mettez votre espoir en Moïse, et c’est Moïse qui vous accusera.
      46 En effet, si vous croyiez en Moïse, vous croiriez aussi en moi. Oui, Moïse a parlé de moi dans ses livres,
      47 mais vous ne croyez pas ce que Moïse a écrit. Alors comment pouvez-vous croire ce que je dis ? »

      Jean 10

      1 « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : si quelqu’un n’entre pas par la porte dans l’enclos des moutons, mais s’il passe par-dessus le mur à un autre endroit, c’est un voleur et un bandit.

      Jean 12

      28 Père, rends ton nom glorieux. » Alors, une voix vient du ciel et dit : « Je l’ai déjà rendu glorieux, et je le rendrai glorieux de nouveau. »

      Jean 14

      1 Jésus dit à ses disciples : « Ne soyez pas inquiets, croyez en Dieu et croyez aussi en moi.
      2 Dans la maison de mon Père, il y a beaucoup d’endroits pour habiter. C’est pourquoi je vous ai dit : “Je vais vous préparer une place.”
      3 Et, quand je serai allé vous préparer une place, je reviendrai et je vous prendrai avec moi. De cette façon, vous serez vous aussi là où je suis.
      4 Et le chemin qui conduit là où je vais, vous le connaissez. »
      5 Thomas lui dit : « Seigneur, nous ne savons pas où tu vas. Comment est-ce que nous pourrions connaître le chemin ? »
      6 Jésus lui répond : « Le chemin, la vérité, la vie, c’est moi. Personne ne va au Père sans passer par moi.
      7 Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père. À partir de maintenant, vous le connaissez et vous l’avez vu. »
      8 Philippe dit à Jésus : « Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit. »
      9 Jésus lui répond : « Philippe, je suis avec vous depuis si longtemps, et tu ne me connais pas ? Celui qui m’a vu a vu le Père. Comment peux-tu dire : “Montre-nous le Père” ?
      10 Je vis dans le Père et le Père vit en moi. Tu ne crois pas cela ? Les paroles que je vous dis ne viennent pas de moi, mais le Père habite en moi, et c’est lui qui agit.
      11 Croyez-moi quand je vous dis : “Je vis dans le Père, et le Père vit en moi.” Sinon, croyez au moins à cause de mes actions.
      12 « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : si quelqu’un croit en moi, il fera lui aussi les actions que je fais. Cette personne fera même des actions encore plus grandes, parce que je vais près du Père.
      13 Tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai. De cette façon, le Fils montrera la gloire du Père.
      14 Si vous me demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. »
    • Exode 3

      1 Moïse faisait paître le troupeau de Jéthro, son beau-père, sacrificateur de Madian ; et il mena le troupeau derrière le désert, et vint à la montagne de Dieu, à Horeb.

      Exode 13

      21 L'Éternel allait devant eux, le jour dans une colonne de nuée pour les guider dans leur chemin, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu'ils marchassent jour et nuit.

      Exode 16

      10 Et tandis qu'Aaron parlait à toute l'assemblée des enfants d'Israël, ils se tournèrent du côté du désert, et voici, la gloire de l'Éternel parut dans la nuée.

      Exode 20

      4 Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.

      Exode 24

      16 La gloire de l'Éternel reposa sur la montagne de Sinaï, et la nuée le couvrit pendant six jours. Le septième jour, l'Éternel appela Moïse du milieu de la nuée.

      Exode 33

      11 L'Éternel parlait avec Moïse face à face, comme un homme parle à son ami. Puis Moïse retournait au camp ; mais son jeune serviteur, Josué, fils de Nun, ne sortait pas du milieu de la tente.
      20 L'Éternel dit : Tu ne pourras pas voir ma face, car l'homme ne peut me voir et vivre.

      Exode 40

      34 Alors la nuée couvrit la tente d'assignation, et la gloire de l'Éternel remplit le tabernacle.
      38 La nuée de l'Éternel était de jour sur le tabernacle ; et de nuit, il y avait un feu, aux yeux de toute la maison d'Israël, pendant toutes leurs marches.

      Nombres 12

      6 Et il dit : Écoutez bien mes paroles ! Lorsqu'il y aura parmi vous un prophète, c'est dans une vision que moi, l'Éternel, je me révélerai à lui, c'est dans un songe que je lui parlerai.
      8 Je lui parle bouche à bouche, je me révèle à lui sans énigmes, et il voit une représentation de l'Éternel. Pourquoi donc n'avez-vous pas craint de parler contre mon serviteur, contre Moïse ?

      Nombres 14

      14 et ils le diront aux habitants de ce pays. Ils savaient que toi, l'Éternel, tu es au milieu de ce peuple ; que tu apparais visiblement, toi, l'Éternel ; que ta nuée se tient sur lui ; que tu marches devant lui le jour dans une colonne de nuée, et la nuit dans une colonne de feu.

      Josué 5

      13 Comme Josué était près de Jéricho, il leva les yeux, et regarda. Voici, un homme se tenait debout devant lui, son épée nue dans la main. Il alla vers lui, et lui dit : Es-tu des nôtres ou de nos ennemis ?

      1 Samuel 3

      1 Le jeune Samuel était au service de l'Éternel devant Éli. La parole de l'Éternel était rare en ce temps-là, les visions n'étaient pas fréquentes.

      Psaumes 26

      8 Éternel ! j'aime le séjour de ta maison, Le lieu où ta gloire habite.

      Ezéchiel 10

      4 La gloire de l'Éternel s'éleva de dessus les chérubins, et se dirigea vers le seuil de la maison ; la maison fut remplie de la nuée, et le parvis fut rempli de la splendeur de la gloire de l'Éternel.

      Matthieu 3

      17 Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection.

      Matthieu 17

      5 Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection : écoutez-le !

      Matthieu 25

      31 Lorsque le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s'assiéra sur le trône de sa gloire.

      Marc 1

      10 Au moment où il sortait de l'eau, il vit les cieux s'ouvrir, et l'Esprit descendre sur lui comme une colombe.

      Marc 16

      17 Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ;

      Luc 10

      19 Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l'ennemi ; et rien ne pourra vous nuire.

      Jean 1

      1 Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.
      2 Elle était au commencement avec Dieu.
      3 Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle.
      4 En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.
      5 La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue.
      6 Il y eut un homme envoyé de Dieu : son nom était Jean.
      7 Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous crussent par lui.
      8 Il n'était pas la lumière, mais il parut pour rendre témoignage à la lumière.
      9 Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme.
      10 Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue.
      11 Elle est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue.
      12 Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés,
      13 non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu.
      14 Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.
      32 Jean rendit ce témoignage : J'ai vu l'Esprit descendre du ciel comme une colombe et s'arrêter sur lui.

      Jean 5

      1 Après cela, il y eut une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem.
      2 Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s'appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.
      3 Sous ces portiques étaient couchés en grand nombre des malades, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de l'eau ;
      4 car un ange descendait de temps en temps dans la piscine, et agitait l'eau ; et celui qui y descendait le premier après que l'eau avait été agitée était guéri, quelle que fût sa maladie.
      5 Là se trouvait un homme malade depuis trente-huit ans.
      6 Jésus, l'ayant vu couché, et sachant qu'il était malade depuis longtemps, lui dit : Veux-tu être guéri ?
      7 Le malade lui répondit : Seigneur, je n'ai personne pour me jeter dans la piscine quand l'eau est agitée, et, pendant que j'y vais, un autre descend avant moi.
      8 Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche.
      9 Aussitôt cet homme fut guéri ; il prit son lit, et marcha.
      10 C'était un jour de sabbat. Les Juifs dirent donc à celui qui avait été guéri : C'est le sabbat ; il ne t'est pas permis d'emporter ton lit.
      11 Il leur répondit : Celui qui m'a guéri m'a dit : Prends ton lit, et marche.
      12 Ils lui demandèrent : Qui est l'homme qui t'a dit : Prends ton lit, et marche ?
      13 Mais celui qui avait été guéri ne savait pas qui c'était ; car Jésus avait disparu de la foule qui était en ce lieu.
      14 Depuis, Jésus le trouva dans le temple, et lui dit : Voici, tu as été guéri ; ne pèche plus, de peur qu'il ne t'arrive quelque chose de pire.
      15 Cet homme s'en alla, et annonça aux Juifs que c'était Jésus qui l'avait guéri.
      16 C'est pourquoi les Juifs poursuivaient Jésus, parce qu'il faisait ces choses le jour du sabbat.
      17 Mais Jésus leur répondit : Mon Père agit jusqu'à présent ; moi aussi, j'agis.
      18 A cause de cela, les Juifs cherchaient encore plus à le faire mourir, non seulement parce qu'il violait le sabbat, mais parce qu'il appelait Dieu son propre Père, se faisant lui-même égal à Dieu.
      19 Jésus reprit donc la parole, et leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu'il voit faire au Père ; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.
      20 Car le Père aime le Fils, et lui montre tout ce qu'il fait ; et il lui montrera des oeuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l'étonnement.
      21 Car, comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, ainsi le Fils donne la vie à qui il veut.
      22 Le Père ne juge personne, mais il a remis tout jugement au Fils,
      23 afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n'honore pas le Fils n'honore pas le Père qui l'a envoyé.
      24 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.
      25 En vérité, en vérité, je vous le dis, l'heure vient, et elle est déjà venue, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu ; et ceux qui l'auront entendue vivront.
      26 Car, comme le Père a la vie en lui-même, ainsi il a donné au Fils d'avoir la vie en lui-même.
      27 Et il lui a donné le pouvoir de juger, parce qu'il est Fils de l'homme.
      28 Ne vous étonnez pas de cela ; car l'heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et en sortiront.
      29 Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement.
      30 Je ne puis rien faire de moi-même : selon que j'entends, je juge ; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé.
      31 Si c'est moi qui rends témoignage de moi-même, mon témoignage n'est pas vrai.
      32 Il y en a un autre qui rend témoignage de moi, et je sais que le témoignage qu'il rend de moi est vrai.
      33 Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.
      34 Pour moi ce n'est pas d'un homme que je reçois le témoignage ; mais je dis ceci, afin que vous soyez sauvés.
      35 Jean était la lampe qui brûle et qui luit, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumière.
      36 Moi, j'ai un témoignage plus grand que celui de Jean ; car les oeuvres que le Père m'a donné d'accomplir, ces oeuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c'est le Père qui m'a envoyé.
      37 Et le Père qui m'a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi. Vous n'avez jamais entendu sa voix, vous n'avez point vu sa face,
      38 et sa parole ne demeure point en vous, parce que vous ne croyez pas à celui qu'il a envoyé.
      39 Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle : ce sont elles qui rendent témoignage de moi.
      40 Et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie !
      41 Je ne tire pas ma gloire des hommes.
      42 Mais je sais que vous n'avez point en vous l'amour de Dieu.
      43 Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas ; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez.
      44 Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire les uns des autres, et qui ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul ?
      45 Ne pensez pas que moi je vous accuserai devant le Père ; celui qui vous accuse, c'est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance.
      46 Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu'il a écrit de moi.
      47 Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles ?

      Jean 10

      1 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand.

      Jean 12

      28 Père, glorifie ton nom ! Et une voix vint du ciel : Je l'ai glorifié, et je le glorifierai encore.

      Jean 14

      1 Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi.
      2 Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place.
      3 Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi.
      4 Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin.
      5 Thomas lui dit : Seigneur, nous ne savons où tu vas ; comment pouvons-nous en savoir le chemin ?
      6 Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.
      7 Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l'avez vu.
      8 Philippe lui dit : Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.
      9 Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le Père ; comment dis-tu : Montre-nous le Père ?
      10 Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même ; et le Père qui demeure en moi, c'est lui qui fait les oeuvres.
      11 Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi ; croyez du moins à cause de ces oeuvres.
      12 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père ;
      13 et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils.
      14 Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai.
    • Exode 3

      Exode 13

      Exode 16

      Exode 20

      Exode 24

      Exode 33

      Exode 40

      Nombres 12

      Nombres 14

      Josué 5

      1 Samuel 3

      Psaumes 26

      8 Combien j’aime, Seigneur, le lieu de ton séjour Où tu fais resplendir ta gloire.

      Ezéchiel 10

      Matthieu 3

      17 En même temps, une voix retentit du ciel, disant : — Voici mon Fils bien-aimé, celui qui fait toute ma joie.

      Matthieu 17

      5 Pendant qu’il parlait ainsi, une nuée lumineuse vint les envelopper, et voici qu’une voix en sortit disant : — Celui-ci est mon Fils bien-aimé, celui qui fait toute ma joie, écoutez-le.

      Matthieu 25

      31 Quand le Fils de l’homme reviendra dans la gloire, escorté de tous ses anges, il prendra place sur son trône de gloire.

      Marc 1

      10 Soudain, au moment où il sortit de l’eau, il vit le ciel s’entrouvrir et l’Esprit descendre sous la forme d’une colombe pour reposer sur lui.

      Marc 16

      17 Voici les miracles qui marqueront la vie des croyants : en mon nom, ils chasseront des démons, ils parleront des langues nouvelles,

      Luc 10

      19 Écoutez bien ceci : il est vrai que je vous ai donné le pouvoir de marcher impunément sur les serpents et les scorpions, de dominer sur toutes les forces de l’ennemi, sans que rien ne puisse vous faire de mal.

      Jean 1

      1 Aux origines, avant que rien n’existe, le Fils, expression de Dieu, était là. Il était face à face avec Dieu, étant lui-même Dieu.
      2 De toute éternité, donc, il était là, face à face avec Dieu.
      3 Tout ce qui existe a été créé par lui, absolument rien n’a pris naissance sans lui.
      4 La vie résidait en lui. Cette vie est la lumière de tout le genre humain.
      5 La lumière rayonne vers les ténèbres, mais les ténèbres ne l’ont pas acceptée.
      6 Un homme parut, envoyé par Dieu : il s’appelait Jean (-Baptiste).
      7 Il est venu pour être un témoin, pour dire la vérité au sujet de la lumière, afin d’amener tous les hommes à la foi.
      8 Il n’était pas lui-même la lumière, il avait seulement pour mission de rendre témoignage à la lumière.
      9 C’est le Christ qui était la lumière véritable venant dans ce monde, celle qui éclaire tout être humain.
      10 En fait, il était déjà dans le monde, puisque le monde a été créé par lui, et pourtant, le monde ne l’a pas reconnu.
      11 Il est venu chez lui, et les siens ont refusé de l’accueillir.
      12 Quelques-uns, cependant, l’ont accueilli, ils ont cru en lui, ils ont placé leur confiance dans ce qu’il était. À tous ceux-là, il a accordé le privilège de devenir enfants de Dieu.
      13 Peu importe leur race et leur sang, puisque ce n’est pas par une naissance naturelle qu’ils le sont devenus, sous l’impulsion d’un désir instinctif ou par une initiative d’homme : c’est Dieu lui-même qui les a fait naître.
      14 Le Fils, expression de Dieu, s’est incarné, il est devenu homme et a vécu parmi nous. Oui, nous avons contemplé sa splendeur glorieuse, une splendeur que seul le Fils unique envoyé par son Père pouvait posséder. Tout en lui n’était que grâce et vérité.
      32 Jean a rendu aussi cet autre témoignage : — J’ai vu l’Esprit descendre du ciel sous la figure d’une colombe et se poser sur lui.

      Jean 5

      1 À quelque temps de là, Jésus remonta à Jérusalem à l’occasion d’une fête juive.
      2 Or, dans cette ville, près de la porte des moutons, se trouve une piscine entourée de cinq galeries couvertes. On l’appelle en hébreu Béthesda.
      3 Ces galeries étaient constamment encombrées d’une foule de malades et d’infirmes : des aveugles, des paralysés, des impotents.
      5 Il y avait, entre autres, un homme malade depuis trente-huit ans.
      6 Quand Jésus le voit couché par terre et qu’il apprend qu’il est là depuis si longtemps, il lui demande : — Veux-tu être guéri ? —
      7 Maître, se plaint le malade, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine quand l’eau commence à bouillonner. Le temps que je me traîne là-bas, un autre s’y précipite avant moi. —
      8 Eh bien, lève-toi, lui dit Jésus, enroule ta natte et marche !
      9 À l’instant même, l’homme est guéri. Il enroule sa natte et se met à marcher. Mais voilà, cela s’est passé un jour de sabbat.
      10 Les responsables des Juifs interpellent donc l’homme qui vient d’être guéri : — Hé ! Aujourd’hui, c’est jour de sabbat, tu n’as pas le droit de porter cette natte. —
      11 Mais, réplique-t-il, celui-là même qui m’a guéri m’a dit : « Prends ta natte et marche ». —
      12 Et quel est celui qui t’a dit cela ? lui demandent-ils.
      13 Mais l’homme qui avait recouvré la santé ignorait qui l’avait guéri, car Jésus avait disparu dans la foule qui se pressait en cet endroit.
      14 Quelque temps après, Jésus le rencontre dans la cour du temple. — Te voilà bien portant, lui dit-il, veille désormais à ne plus pécher, pour qu’il ne t’arrive pas quelque chose de pire.
      15 Et l’homme d’aller dire aux chefs des Juifs que c’était Jésus qui l’avait guéri,
      16 de sorte qu’ils se mirent à poursuivre Jésus (de leur haine) parce qu’il faisait des miracles le jour du sabbat.
      17 Mais Jésus se défendait : — Jusqu’à cette heure, mon Père ne cesse d’agir, c’est pourquoi, moi aussi, j’agis.
      18 Cette remarque fut pour eux une raison de plus pour se décider à le faire mourir : non content de violer la loi sur le sabbat, il parlait encore de Dieu comme de son propre Père, il se faisait donc l’égal de Dieu.
      19 Jésus répondit à ces reproches en leur disant : — Vraiment, je vous l’assure : le Fils ne peut rien faire de sa propre initiative, il agit seulement d’après ce qu’il voit faire au Père. Le Fils imite tout ce que fait le Père.
      20 Parce que le Père aime le Fils, il l’initie à tout ce qu’il fait. Il lui donnera même le pouvoir d’accomplir des œuvres plus extraordinaires que toutes celles que vous avez vues jusqu’à présent, vous en serez stupéfaits.
      21 En effet, comme le Père ressuscite les morts et leur donne une nouvelle vie, ainsi le Fils peut, lui aussi, donner la vie nouvelle à tous ceux auxquels il veut la donner.
      22 De plus, ce n’est pas le Père qui prononce le jugement final sur les hommes, il a remis toute autorité judiciaire entre les mains du Fils,
      23 afin que tous les hommes rendent honneur au Fils au même titre qu’au Père. Refuser de rendre au Fils l’honneur qui lui est dû, c’est, en fait, le refuser au Père qui l’a envoyé.
      24 Oui, vraiment, je vous l’assure : celui qui écoute ce que je dis et qui place sa confiance dans le Père qui m’a envoyé possède, dès à présent, la vie éternelle et il n’aura pas à comparaître au jugement (dernier) : il a déjà franchi la frontière de la mort à la vie.
      25 Oui, vraiment, je vous l’assure : le temps viendra – en fait, nous y sommes déjà – où les morts entendront l’appel du Fils de Dieu, et tous ceux qui l’entendront reprendront vie.
      26 En effet, le Père est la source de toute vie et il a accordé au Fils d’avoir à son tour la vie en lui-même et d’être pour d’autres une source de vie, exactement comme le Père. —
      27 En même temps, il l’a investi, en sa qualité de Fils de l’homme, des pleins pouvoirs pour exercer le jugement.
      28 Que cela ne vous étonne pas, car voici venir le moment où tous ceux qui sont dans leurs tombes entendront l’appel du Fils de l’homme.
      29 Au son de sa voix, ils en sortiront : ceux qui ont bien agi ressusciteront pour la vie, ceux qui ont fait le mal ressusciteront pour être jugés et condamnés.
      30 En tout ceci, bien entendu, je ne peux rien faire de mon propre chef ; je juge seulement comme le Père me le demande et selon les informations que je reçois. Et mon verdict est juste, car il ne s’agit pas pour moi de réaliser mes propres désirs, mais de faire la volonté de celui qui m’a envoyé. —
      31 Bien sûr, si j’étais seul à témoigner en ma faveur, mon témoignage ne serait pas valable, et vous n’auriez pas besoin de l’accepter.
      32 Mais j’ai un autre témoin et je sais que ce qu’il dit de moi est entièrement digne de foi.
      33 Vous avez envoyé une commission d’enquête auprès de Jean (-Baptiste), et il vous a rendu témoignage conformément à la vérité.
      34 Je ne mentionne pas cela parce que je serais dépendant du témoignage d’un homme, je le rappelle seulement pour vous aider à trouver le salut.
      35 Oui, Jean était vraiment comme un flambeau que l’on allume pour qu’il répande sa clarté. Mais vous, vous avez simplement voulu, pour un petit moment, jouir de sa lumière.
      36 Quant à moi, j’ai en ma faveur un témoignage qui a plus de poids que celui de Jean : celui des œuvres que le Père m’a donné le pouvoir d’accomplir. Oui, ce que je fais atteste clairement que le Père m’a envoyé.
      37 De plus, le Père lui-même, lui qui m’a envoyé, est intervenu pour témoigner en ma faveur. Mais vous êtes toujours restés sourds à sa voix, vous n’avez jamais vu ce qui le manifestait.
      38 Vous n’avez pas accueilli sa parole dans vos cœurs : sa pensée n’habite pas en vous. La preuve, c’est que vous ne croyez pas en celui qu’il a envoyé.
      39 Vous étudiez avec soin les Écritures parce que vous êtes convaincus d’y trouver la vie éternelle.
      40 Or, précisément, elles aussi témoignent de moi. Mais voilà, vous ne voulez pas venir à moi pour recevoir la vie éternelle.
      41 Je ne cherche pas de gloriole humaine.
      42 Seulement, je constate une chose : en votre for intérieur, vous n’aimez pas réellement Dieu.
      43 Je suis venu au nom de mon Père, accrédité par lui, et vous refusez de me recevoir. Si un autre vient en son propre nom, accrédité par personne d’autre que lui-même, vous le recevrez à bras ouverts !
      44 D’ailleurs, comment pourriez-vous parvenir à la foi alors que vous tirez votre gloire les uns des autres et que vous ne recherchez pas la gloire qui vient de Dieu seul ?
      45 N’allez surtout pas croire que moi, je serai votre accusateur auprès de mon Père ; il y a déjà quelqu’un qui se chargera de vous accuser : Moïse. Oui, ce Moïse même en qui vous avez mis votre espoir.
      46 En effet, si vous aviez réellement foi en lui, vous auriez aussi foi en moi, car c’est de moi que parlent ses livres.
      47 Mais vous ne croyez même pas à ses écrits, comment croiriez-vous à mes paroles ?

      Jean 10

      1 — Vraiment, je vous l’assure : si quelqu’un n’entre pas par la porte dans l’enclos où l’on parque les brebis, mais qu’il l’escalade par ailleurs, c’est un voleur et un brigand.

      Jean 12

      28 Je dirai : « Père, glorifie ton nom ». Alors, une voix se fit entendre, venant du ciel : — J’ai déjà fait éclater ma gloire, et je continuerai à le faire.

      Jean 14

      1 (Jésus dit :) — Ne soyez pas inquiets, que votre cœur ne soit pas troublé. Vous avez foi en Dieu, ayez aussi foi en moi.
      2 Dans la maison de mon Père, il y a beaucoup de place. Si ce n’était pas vrai, est-ce que je vous aurais dit que je m’en vais pour vous y préparer une demeure ?
      3 Lorsque je vous aurai préparé cette demeure, je reviendrai et je vous prendrai avec moi, si bien que vous serez, vous aussi, là où je serai.
      4 Vous savez bien où je vais et par quel chemin on y parvient.
      5 Thomas lui fit remarquer : — Seigneur, nous ne savons même pas où tu vas, comment saurions-nous par quel chemin y parvenir ? —
      6 Le chemin, répondit Jésus, c’est moi, (parce que) je suis la vérité et la vie. Personne ne parviendra jusqu’au Père sans passer par moi.
      7 Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père. Mais (que dis-je,) maintenant déjà, vous le connaissez, vous l’avez même vu.
      8 Philippe intervint : — Seigneur, montre-nous simplement le Père et nous serons satisfaits. —
      9 Eh quoi, lui répondit Jésus, après tout le temps que j’ai passé avec vous, tu ne m’as pas encore reconnu, Philippe ! Celui qui m’a vu, a aussi vu mon Père. Comment peux-tu dire : Montre-nous le Père ?
      10 Ne crois-tu pas que je suis un avec mon Père : que je vis en lui et qu’il vit en moi ? Ce que je vous dis, je ne le tire pas de mon propre fond, c’est le Père qui demeure continuellement en moi qui accomplit par moi ses propres œuvres.
      11 Si vous ne me croyez pas sur parole quand je dis que je vis dans le Père et que le Père vit en moi, alors croyez-le du moins à cause des œuvres que vous m’avez vu accomplir.
      12 Vraiment, je vous l’assure, celui qui croit fermement en moi accomplira lui-même les œuvres que je fais. Il fera même de plus grandes choses, parce que je retourne auprès du Père.
      13 Et quoi que ce soit que vous demandiez en vous recommandant de moi, je le réaliserai pour que, par le Fils, la gloire du Père devienne manifeste.
      14 Je le répète : si vous demandez quelque chose en vous recommandant de moi, je le ferai. —
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