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Dictionnaire Biblique de Top Bible

VIE PASTORALE

Dans la vie pastorale, l'homme demande sa subsistance à l'élevage du bétail et possède en propre les pâturages où paissent ses troupeaux. Lorsque la terre, les sources et les cours d'eau sont regardés comme un bien commun, au même titre que l'air et la lumière, et sont, par conséquent, à la libre disposition du premier occupant, le pâtre ou le clan ne demeure pas sédentaire ; il se déplace constamment de pacage en pacage selon les besoins de ses troupeaux ; la vie pastorale est alors en même temps nomade : cette existence errante s'impose partout où, comme dans les steppes de l'Arabie, le sol pierreux et aride est impropre à toute culture, mais offre pourtant de maigres herbages à la nourriture des moutons et des chèvres (voir fig. 140 et 291).

Les Israélites, à l'époque patriarcale d'abord, puis en Egypte où ils purent se fixer probablement à la suite et à la faveur de la conquête de ce pays par les Hyksos (peuple de pâtres migrateurs d'origine sémitique comme eux), enfin dans leurs pérégrinations au désert, ont vécu sous des tentes, se déplaçant avec leurs troupeaux, dans un rayon plus ou moins étendu, autour de points déterminés qui étaient généralement des sources ou des puits. Cependant ils n'ont pas été ce que l'on appelle des bédouins à grands parcours, mais des demi-nomades, faisant un peu de culture entre deux déplacements, quand la saison et la nature du sol le permettaient, et s'approvisionnant ainsi de farine pour leurs besoins (Ge 18:6 26:12 30:14 37:7). Voir Nomade, Hospitalité.

Sur les origines nomades du peuple élu, la littérature hébraïque fournit d'abondants témoignages. Les anciennes traditions yahviste et élohiste, qui font d'Abel le premier pâtre (Ge 4:2) et de Jabal l'ancêtre des bergers itinérants (Ge 4:20), représentent les patriarches abrahamides comme des chefs de douars en perpétuels déplacements avec leurs gens et leurs biens (Ge 11 31 12 4,9 13:1,12 20:1 26:1 33:17-20 35:16-21,27 46:32-34 47:3), et rapportent que Moïse, avant de se mettre à la tête des tribus opprimées et de les conduire par le chemin du désert, s'initia quelque temps à la vie pastorale dans le pays de Madian (Ex 3:1). Certaines métaphores en usage à l'époque de la vie sédentaire ont conservé l'empreinte des siècles où les tribus n'étaient pas encore bien fixées au sol, par exemple l'image fréquente du chemin symbolisant la vie ou la manière de vivre, et les expressions « retourner à ses tentes » et « arracher les pieux de la tente » signifiant, la première, rentrer chez soi, et, la seconde, se mettre en route.

La Palestine se prêtant, dans certaines de ses régions, à la culture plutôt qu'à l'élevage intensif, l'établissement en Canaan devait amener et amena bientôt, en effet, des modifications profondes dans le genre d'existence d'une grande partie des populations israélites. D'une façon générale, la vie pastorale persista au sein des tribus installées en Transjordanie, pays de sources et de gras pâturages (No 32:1,4), et dans le sud-judéen ou Négeb, plateau rocailleux aux villages clairsemés au milieu d'étendues infertiles et désolées que le langage courant appelait des déserts (Ge 21:14,1Sa 23:24 24:2) et où l'élevage nécessita peut-être la pratique de la transhumance, si, comme il est vraisemblable, le procédé de Nabal faisant passer ses troupeaux de Maon à Carmel a été communément adopté (1Sa 25:2). Chez les tribus qui se fixèrent dans les régions montagneuses de la Galilée et de la Judée, l'agriculture supplanta l'élevage, sans que celui-ci fût cependant abandonné tout à fait : autour des villages, les terres restées incultes et les hauteurs escarpées servirent de ce que le droit moderne appelle vaine pâture, c-à-d, de pacage communal où avaient accès tous les troupeaux de l'endroit. Enfin, la peuplade kénienne, qui avait lié son sort à celui des Israélites à partir du désert (No 10:29,32) et qui garda avec eux des rapports de bonne entente et d'amitié (1Sa 15:6), se fixa dans le désert de Juda, aux confins S. -O, de la mer Morte (Jug 1:16,4:11-17), en gardant toutes les habitudes de la vie nomade (Jug 5:24) ; la confrérie des Récabites (voir ce mot) qui, six siècles après la conquête de Canaan, se signalait encore par son attachement aux coutumes nomades, appartenait à cette peuplade kénienne (1Ch 2:55, Jer 35).

Les Israélites ont pratiqué principalement l'élevage du petit bétail : leurs troupeaux de brebis et de chèvres pouvaient être très considérables (1Sa 25:2). Mais ils possédaient aussi, en moins grand nombre, des boeufs, ou plutôt probablement des buffles, et, comme montures ou bêtes de somme, des ânes et des chameaux (Ge 12:16 13:5 22:3 24:35 26:14 32:5,15 42:26 43:18,24, Jug 5:10 10:4 12:14) ; ils paraissent n'avoir adopté le mulet et le cheval que d'une façon exceptionnelle et tard, une fois fixés en Canaan (De 17:16,2Sa 13:29 18:9,1Ro 18:5,2Ro 3:7). Voir art. à ces différents noms d'animaux.

Le travail du pâtre commençait dès l'aube. Tous les troupeaux d'un douar ou d'un village se trouvant réunis pour la nuit dans le même enclos, son premier soin était de rassembler ses brebis, qui reconnaissaient sa voix et dont chacune portait un nom rappelant, sans doute, une particularité de son pelage, de sa taille ou de son caractère. Puis il les conduisait, marchant à leur tête, au pâturage où elles se dispersaient, broutant à leur fantaisie. Au milieu du jour, il les menait à l'abreuvoir qui était, le plus souvent, un puits fermé par une grosse pierre (Ge 29:2) ; on attendait, en général, que tous les troupeaux du voisinage fussent rassemblés pour rouler la pierre et puiser l'eau, dont on remplissait les auges où le bétail venait boire (Ge 24:20 29:3,8, Ex 2:16) ; c'était l'heure où les bergers se retrouvaient ensemble, et cette rencontre quotidienne donnait lieu à des scènes variées : idylles (Ge 29:10 et suivant), prévenances (Ge 24:10,27), querelles (Ge 21:25 26:20 et suivant), expulsions (Ex 2:17). A la tombée de la nuit, ayant à nouveau rassemblé son troupeau, le berger le ramenait au gîte, portant dans ses bras l'agneau fatigué, ou, autour de son cou, la brebis malade (Esa 40:11, cf. Ge 33:13) ; arrivé au parc, bergerie ou étable, il comptait ses bêtes à mesure qu'elles rentraient (Jer 33:13) et, s'il en manquait une, il partait aussitôt à sa recherche (Lu 15:4). Cette routine quotidienne se trouvait rompue, chaque année, à l'époque de la tonte, qui durait plusieurs jours et se terminait par des festins et des réjouissances (Ge 31:19 38:13,1Sa 25:7-36,2Sa 13:23,28).

L'office du berger n'était pas de tout repos ; il comportait des fatigues et des dangers et nécessitait un dur entraînement. Le jour, en effet, le pâtre avait à subir les ardeurs du soleil et, la nuit, les rigueurs du froid (Ge 31:40). De plus, et surtout, il avait à compter avec des ennemis de toutes sortes qui pouvaient assaillir le troupeau à tout instant : dans les gorges et dans les fourrés se cachaient des fauves, le loup, le chacal, la panthère, l'ours, le lion, qui surgissaient à l'improviste et faisaient des ravages parmi le bétail (Ex 22:13,1Sa 17:34, Esa 31:4, Jer 5:6 12:9, Am 3:12) ; d'autre part, il y. avait à se défendre contre les pillards qui rôdaient en quête de larcins dans les régions écartées, et parfois même contre des hordes entières se livrant à des razzias hardies et soudaines (Jug 6:3,5).

Divers auteurs considèrent la houlette et le bâton du berger (Ps 23:4) comme deux synonymes désignant « une seule et même chose, à la fois appui pour le berger et signal pour la brebis » (Bible annotée). Mais le plus souvent on les distingue comme deux objets différents, connus encore aujourd'hui chez les Arabes sous les noms de nabout (rac. frapper) et d'asseia (rac. appuyer) : le bâton, gros et court, à tête ronde souvent cloutée, que le berger se pend à la ceinture ou au poignet par une courroie, sert à frapper l'ennemi (hyène, serpent, voleur, etc.) ; la houlette, perche longue et plus fine, qu'il porte à la main comme une haute canne, lui sert d'appui pendant ses longues heures d'immobilité. Sans doute elle peut aussi servir à grouper ou compter les brebis (Le 27:32, cf. Jer 33:13, Eze 20:37), à les diriger (Mic 7:14), à aider une bête à se relever, mais guère à « houler », c'est-à-dire à lancer cailloux ou mottes pour ramener l'animal qui s'écarte, comme font nos bergers avec leur houlette terminée par une plaque de fer. Bâton et houlette « consolent », comme défense, guide et soutien.

Pour faciliter sa tâche de gardien et parer à toutes les surprises possibles, le berger se tenait sur une terrasse rustiquement construite en bois (cf. t. I, fig. 50), ou, le plus souvent, sur une tour bâtie au centre du pâturage (fig. 285) et que l'on appelait tour de garde ou tour du troupeau (2Ro 17:9 18:8, Esa 32:14, Mic 4:8) ; il n'avait d'autre arme qu'un bâton et parfois une fronde (1Sa 17:40,43) et son chien était son seul auxiliaire (Job 30:1) ; aussi était-il heureux s'il pouvait se recommander à la protection de gens armés campés dans le voisinage (1Sa 25:16). La nuit, selon les régions où il se trouvait, il abritait son troupeau, soit dans des grottes à l'entrée desquelles il s'étendait lui-même pour en barrer l'accès et se trouver prêt à toute éventualité fâcheuse, soit dans des enclos faits de pierres superposées et surmontées de ronces et d'épines, difficiles à escalader ; en vue d'obtenir une sécurité plus grande et de s'assurer une mutuelle protection en cas d'alerte, les bergers d'une même région rassemblaient volontiers leurs troupeaux dans un même parc et veillaient à tour de rôle (Lu 2:8).

La vie pastorale a fourni aux écrivains israélites les éléments de maintes comparaisons suggestives. C'est, en particulier, le plus souvent, sous l'image du berger et de son troupeau qu'ils ont dépeint les rapports des chefs et du peuple ; les prophètes se sont plu à rappeler leurs devoirs aux rois, aux prêtres et aux grands à l'aide de cette similitude (Jer 3:15 23:4 25:24-36 Eze 34:2-10, Zach, 10 2 11:3,5,7-17). C'est surtout la sollicitude de Dieu envers son peuple, envers ses fidèles, que le berger représente pour la piété israélite : (Ge 48:15 etc.) tout le monde connaît le psaume du Berger (Ps 23) ; le recueil des Psaumes abonde d'ailleurs en images pittoresques empruntées aux moeurs pastorales (Ps 44:12,23 49:15 78:71 79:13 80:2 95:7 100:3 119:176).

Les plus émouvants appels des serviteurs de l'Éternel s'expriment au moyen de paraboles du même ordre (Esa 40:11 53:6, Jer 50:6,17, Eze 34:11-31, Mic 2:12). Jésus, à son tour, s'est servi des mêmes comparaisons : il a, en particulier, fait ressortir le caractère de sa vie et de son oeuvre, de la façon la plus touchante, dans la similitude bien connue du bon Berger (Mt 7:15 9:36 10:6-16 25:32 26:31, Lu 12:32 15:3-6, Jn 10:2,10 21:15-17). Les apôtres enfin ont eu, à l'occasion, recours aux mêmes images (Ac 20:28 et suivant, 1Pi 5:2 et suivant), et deux d'entre eux ont symbolisé le Rédempteur sous les traits du grand Pasteur des brebis (Heb 13:20,1Pi 2:25 5:4). De la vie pastorale en Israël sont restées, dans le langage ecclésiastique, les expressions : « le pasteur et son troupeau », « les brebis du Seigneur », « la brebis du bon Dieu », « une brebis galeuse », etc.

Voir Bertholet, Hist. Civ. Isr., 1 re part., ch. IV

Ch. K.

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    • Genèse 4

      2 Elle mit encore au monde le frère de Caïn, Abel. Abel fut berger et Caïn fut cultivateur.
      20 Ada mit au monde Jabal. Il est l'ancêtre de ceux qui habitent sous des tentes et près des troupeaux.

      Genèse 11

      31 Térach prit son fils Abram, son petit-fils Lot, qui était le fils d'Haran, et sa belle-fille Saraï, la femme de son fils Abram. Ils sortirent ensemble d'Ur en Chaldée pour se rendre dans le pays de Canaan mais, arrivés à Charan, ils s’y installèrent.

      Genèse 12

      4 Abram partit conformément à la parole de l'Eternel, et Lot partit avec lui. Abram était âgé de 75 ans lorsqu'il quitta Charan.
      9 Puis Abram continua par étapes en direction du Néguev.
      16 Il traita bien Abram à cause d'elle et Abram reçut des brebis, des bœufs, des ânes, des serviteurs et des servantes, des ânesses et des chameaux.

      Genèse 13

      1 Abram remonta d'Egypte vers le Néguev avec sa femme et tout ce qui lui appartenait. Lot était avec lui.
      5 Lot, qui voyageait avec Abram, avait aussi des brebis, des bœufs et des tentes.
      12 Abram s’installa dans le pays de Canaan, tandis que Lot s’installait dans les villes de la plaine et dressait ses tentes jusqu'à Sodome.

      Genèse 18

      6 Abraham s'empressa d'aller trouver Sara dans la tente et dit : « Prends vite 22 litres de fleur de farine ! Pétris-la et fais des gâteaux. »

      Genèse 20

      1 Abraham partit de là pour la région du Néguev. Il s’installa entre Kadès et Shur et fit un séjour à Guérar.

      Genèse 21

      14 Abraham se leva de bon matin. Il prit du pain et une outre d'eau qu'il donna à Agar et plaça sur son épaule. Il lui remit aussi l'enfant et la renvoya. Elle s'en alla et se perdit dans le désert de Beer-Shéba.
      25 Il fit toutefois des reproches à Abimélec au sujet d'un puits dont les serviteurs d'Abimélec s'étaient emparés de force.

      Genèse 22

      3 Abraham se leva de bon matin, sella son âne et prit avec lui deux serviteurs et son fils Isaac. Il fendit du bois pour l'holocauste et partit pour aller à l'endroit que Dieu lui avait indiqué.

      Genèse 24

      10 Le serviteur prit dix chameaux parmi ceux de son seigneur et il partit avec tous les biens de son seigneur à sa disposition. Il se leva et se rendit en Mésopotamie, dans la ville de Nachor.
      20 Elle s'empressa de vider sa cruche dans l'abreuvoir et courut encore au puits pour puiser. Elle puisa pour tous les chameaux.
      27 en disant : « Béni soit l'Eternel, le Dieu de mon seigneur Abraham, qui n'a pas renoncé à sa bonté et à sa fidélité envers mon seigneur ! Moi-même, l'Eternel m'a conduit chez la famille de mon seigneur. »
      35 L'Eternel a comblé mon seigneur de bénédictions, si bien qu’il est devenu puissant. Il lui a donné des brebis et des bœufs, de l'argent et de l'or, des serviteurs et des servantes, des chameaux et des ânes.

      Genèse 26

      1 Il y eut une famine dans le pays, en plus de la première famine de l’époque d'Abraham, et Isaac se rendit vers Abimélec, le roi des Philistins, à Guérar.
      12 Isaac fit des semailles dans le pays et il récolta le centuple cette année-là, car l'Eternel le bénit.
      14 Il avait des troupeaux de petit et de gros bétail, ainsi qu’un grand nombre de serviteurs. Les Philistins furent jaloux de lui.
      20 Les bergers de Guérar cherchèrent querelle aux bergers d'Isaac en disant : « L'eau est à nous. » Il appela le puits Esek parce qu'on s'était disputé avec lui.

      Genèse 29

      2 Il regarda : il y avait un puits dans les champs et, à côté, trois troupeaux de brebis qui se reposaient, car c'était à ce puits qu'on faisait boire les troupeaux. La pierre placée sur l'ouverture du puits était grande.
      3 Tous les troupeaux se rassemblaient là, on roulait la pierre de dessus l'ouverture du puits, on faisait boire les troupeaux et l'on remettait la pierre à sa place sur l'ouverture du puits.
      8 Ils répondirent : « Nous ne pouvons pas le faire tant que tous les troupeaux ne sont pas rassemblés. C'est à ce moment-là qu'on roule la pierre de dessus l'ouverture du puits et qu'on fait boire les brebis. »
      10 Lorsque Jacob vit Rachel, la fille de Laban, le frère de sa mère, et le troupeau de Laban, le frère de sa mère, il s'approcha, roula la pierre de dessus l'ouverture du puits et fit boire le troupeau de Laban, le frère de sa mère.

      Genèse 30

      14 Ruben sortit à l'époque de la moisson des blés et trouva des mandragores dans les champs. Il les apporta à sa mère Léa. Rachel dit alors à Léa : « Donne-moi, je t’en prie, des mandragores de ton fils. »

      Genèse 31

      19 Laban était parti tondre ses brebis, et Rachel vola les théraphim de son père.
      40 La chaleur me dévorait pendant le jour et le froid pendant la nuit, et le sommeil fuyait mes yeux.

      Genèse 32

      5 Il leur donna cet ordre : « Vous transmettrez ce message à mon seigneur Esaü : ‘Voici ce que dit ton serviteur Jacob : J'ai séjourné chez Laban et j'y suis resté jusqu'à maintenant.
      15 200 chèvres et 20 boucs, 200 brebis et 20 béliers,

      Genèse 33

      13 Jacob lui répondit : « Mon seigneur sait que les enfants sont fragiles et que j'ai des brebis et des vaches qui allaitent. Si l'on forçait leur marche un seul jour, tout le troupeau mourrait.
      17 Quant à Jacob, il partit pour Succoth. Il se construisit une maison et fit des cabanes pour ses troupeaux. Voilà pourquoi l'on a appelé cet endroit Succoth.

      Genèse 35

      16 Ils partirent de Béthel. Il y avait encore une certaine distance jusqu'à Ephrata lorsque Rachel accoucha. Elle eut un accouchement pénible.
      27 Jacob arriva vers son père Isaac à Mamré près de Kirjath-Arba, c'est-à-dire Hébron, où Abraham et Isaac avaient séjourné en étrangers.

      Genèse 37

      7 Nous étions en train d’attacher des gerbes au milieu des champs, et voici que ma gerbe s’est dressée et est même restée debout. Vos gerbes l'ont alors entourée et se sont prosternées devant elle. »

      Genèse 38

      13 On annonça à Tamar : « Ton beau-père monte à Thimna pour tondre ses brebis. »

      Genèse 42

      26 Quant à eux, ils chargèrent le blé sur leurs ânes et partirent.

      Genèse 43

      18 Ils eurent peur lorsqu'ils furent conduits à la maison de Joseph et se dirent : « C'est à cause de l'argent remis l'autre fois dans nos sacs qu'on nous emmène. C'est pour se jeter sur nous, se précipiter sur nous. C'est pour nous prendre comme esclaves et s'emparer de nos ânes. »
      24 et les fit entrer dans la maison de Joseph. Il leur donna de l'eau pour qu’ils puissent se laver les pieds ; il donna aussi du fourrage à leurs ânes.

      Genèse 46

      32 Ces hommes sont bergers, car ils élèvent du bétail. Ils ont amené leurs brebis, leurs bœufs et tout ce qui leur appartient.’

      Genèse 47

      3 Le pharaon leur dit : « Quelle est votre occupation ? » Ils répondirent au pharaon : « Tes serviteurs sont bergers, tout comme l'étaient leurs ancêtres. »

      Genèse 48

      15 Il bénit Joseph et dit : « Que le Dieu devant lequel ont marché mes pères Abraham et Isaac, le Dieu qui a pris soin de moi depuis que j'existe jusqu’à aujourd’hui,

      Exode 2

      16 Le prêtre de Madian avait sept filles. Celles-ci vinrent puiser de l'eau et elles remplirent les abreuvoirs pour faire boire le troupeau de leur père.
      17 Les bergers arrivèrent et les chassèrent. Alors Moïse se leva, prit leur défense et fit boire leur troupeau.

      Exode 3

      1 Moïse était devenu berger du troupeau de son beau-père Jéthro, le prêtre de Madian. Il conduisit le troupeau derrière le désert et vint à la montagne de Dieu, à Horeb.

      Exode 22

      13 » Si un homme emprunte un animal à un autre et que l'animal se casse un membre ou meure en l'absence de son maître, il devra donner un dédommagement.

      Lévitique 27

      32 Toute dîme de gros et de petit bétail, une bête sur dix de tout ce qui passe sous un bâton de berger, sera consacrée à l'Eternel.

      Nombres 10

      29 Moïse dit à Hobab, le fils de son beau-père madianite Réuel : « Nous partons pour l’endroit que l’Eternel a déclaré vouloir nous donner. Viens avec nous et nous te ferons du bien, car l'Eternel a promis de faire du bien à Israël. »
      32 Et si tu viens avec nous, nous te ferons jouir du bien que l'Eternel nous fera. »

      Nombres 32

      1 Les Rubénites et les Gadites avaient une quantité considérable de troupeaux, et ils virent que le pays de Jaezer et le pays de Galaad étaient un endroit approprié pour des troupeaux.
      4 ce pays que l'Eternel a frappé devant l'assemblée d'Israël, est un endroit approprié pour des troupeaux. Or, tes serviteurs ont des troupeaux. »

      Juges 1

      16 Les fils du Kénien, du beau-père de Moïse, montèrent avec les Judéens de la ville des palmiers jusque dans le désert de Juda, au sud d'Arad, et ils vinrent habiter parmi le peuple.

      Juges 4

      11 Héber, le Kénien, s'était séparé des autres Kéniens qui descendaient de Hobab, le beau-frère de Moïse, et il s’était rendu jusqu'au chêne de Tsaannaïm, près de Kédesh, pour y dresser sa tente.

      Juges 5

      10 » Vous qui montez de blanches ânesses, #vous qui avez pour sièges des tapis #et vous qui marchez sur les routes, chantez ! #
      24 » Que Jaël, la femme de Héber le Kénien, #soit bénie parmi les femmes ! #Qu’elle soit bénie parmi les femmes qui habitent sous les tentes ! #

      Juges 6

      3 Quand Israël avait semé, les Madianites montaient avec Amalek et les nomades de l’est et marchaient contre lui.
      5 En effet, ils montaient avec leurs troupeaux et leurs tentes, arrivant comme un essaim de sauterelles ; il était impossible de les compter, eux et leurs chameaux, et ils venaient dans le pays pour le dévaster.

      Juges 10

      4 Il avait 30 fils, qui montaient sur 30 ânons et qui possédaient 30 villes, appelées aujourd'hui encore « bourgs de Jaïr » et situées dans le pays de Galaad.

      Juges 12

      14 Il eut 40 fils et 30 petits-fils, qui montaient sur 70 ânons. Il fut juge en Israël pendant 8 ans.

      1 Samuel 15

      6 Il dit aux Kéniens : « Partez, retirez-vous, quittez les Amalécites afin que je ne vous fasse pas subir le même sort qu’à eux. En effet, vous avez fait preuve de bonté envers tous les Israélites lorsqu'ils sont montés d'Egypte. » Les Kéniens se retirèrent alors du milieu des Amalécites.

      1 Samuel 17

      34 David dit à Saül : « Ton serviteur gardait les brebis de son père. Quand un lion ou un ours venait pour en enlever une du troupeau,
      40 Il prit en main son bâton, puis il choisit dans le torrent cinq pierres lisses et les mit dans sa gibecière de berger et dans sa poche. Enfin, sa fronde à la main, il s'avança contre le Philistin.

      1 Samuel 23

      24 Ils se levèrent donc et retournèrent à Ziph avant Saül. David et ses hommes se trouvaient dans le désert de Maon, dans la plaine située au sud de ce désert.

      1 Samuel 25

      2 Il y avait à Maon un homme très riche, qui possédait des biens à Carmel. Il avait 3000 brebis et 1000 chèvres, et il se trouvait à Carmel pour la tonte de ses brebis.
      7 Maintenant, j'ai appris que tu as chez toi les tondeurs. Or, lorsque tes bergers étaient avec nous, nous ne leur avons fait aucun mal et rien ne leur a été volé durant tout le temps où ils étaient avec nous à Carmel.
      8 Demande-le à tes serviteurs et ils te le confirmeront. Que ces jeunes gens trouvent donc grâce à tes yeux, puisque nous venons dans un jour de joie. Donne donc à tes serviteurs et à ton fils David ce que tu as sous la main.’ »
      9 Lorsque les hommes de David furent arrivés, ils répétèrent toutes ces paroles à Nabal, au nom de David, puis ils se turent.
      10 Nabal répondit aux serviteurs de David : « Qui est David et qui est le fils d'Isaï ? Il y a aujourd'hui beaucoup de serviteurs qui s'échappent de chez leur maître.
      11 Et je devrais prendre mon pain, mon eau, mon bétail que j'ai tué pour mes tondeurs, pour les donner à des gens qui sortent je ne sais d'où ? »
      12 Les hommes de David rebroussèrent chemin, ils repartirent et répétèrent, à leur arrivée, toutes ces paroles à David.
      13 Alors David dit à ses hommes : « Que chacun de vous prenne son épée ! » Et ils prirent chacun leur épée. David aussi prit la sienne, et environ 400 hommes montèrent à sa suite, tandis que 200 restaient près du matériel.
      14 Un des serviteurs de Nabal vint dire à Abigaïl, la femme de Nabal : « David a envoyé du désert des messagers pour saluer notre maître, et celui-ci les a traités avec dureté.
      15 Pourtant ces hommes se sont montrés très bons pour nous. Ils ne nous ont fait aucun mal et rien ne nous a été volé durant tout le temps où nous avons été avec eux lorsque nous étions dans les champs.
      16 Ils nous ont nuit et jour servi de protection, durant tout le temps où nous avons été avec eux pour garder les troupeaux.
      17 Maintenant, sache et vois ce que tu as à faire, car la perte de notre maître et de toute sa famille est décidée. Lui-même est si méchant que nous n'osons pas lui parler. »
      18 Abigaïl prit aussitôt 200 pains, 2 outres de vin, 5 brebis toutes préparées, 5 mesures de grain rôti, 100 gâteaux aux raisins secs et 200 aux figues sèches. Elle chargea tout cela sur des ânes
      19 et dit à ses serviteurs : « Passez devant moi, je vais vous suivre. » Elle ne dit rien à Nabal, son mari.
      20 Montée sur un âne, elle descendit, cachée par la montagne. David et ses hommes descendaient en face d'elle, de sorte qu'elle les rencontra.
      21 David avait dit : « C'est bien inutilement que j'ai gardé tout ce que cet homme a dans le désert et que rien de tout ce qu'il possède n'a été volé. Il m'a rendu le mal pour le bien.
      22 Que Dieu traite son serviteur David avec la plus grande sévérité, si je laisse en vie jusqu'au matin un seul homme parmi tous ceux qui appartiennent à Nabal ! »
      23 Lorsque Abigaïl aperçut David, elle descendit rapidement de l'âne, tomba sur son visage devant lui et se prosterna contre terre.
      24 Puis, se jetant à ses pieds, elle dit : « C’est ma faute, mon seigneur ! Permets à ta servante de te parler et écoute ses paroles.
      25 Que mon seigneur ne prête pas attention à ce méchant homme, à Nabal, car il porte bien son nom : il s’appelle Nabal et il y a chez lui de la folie. Quant à moi, ta servante, je n'ai pas vu les hommes que toi, mon seigneur, tu avais envoyés.
      26 Maintenant, mon seigneur, aussi vrai que l'Eternel est vivant et que ton âme est vivante, c'est l'Eternel qui t'a empêché de verser le sang et qui a retenu ta main. Que tes ennemis, que ceux qui veulent du mal à mon seigneur, soient pareils à Nabal !
      27 Accepte ce cadeau que moi, ta servante, je t’apporte, à toi mon seigneur, et qu'il soit distribué aux hommes qui marchent à la suite de mon seigneur.
      28 Pardonne la faute de ta servante ! En effet, l'Eternel accordera à mon seigneur une maison stable, car mon seigneur soutient les guerres de l'Eternel et on ne trouvera jamais rien de mauvais chez toi.
      29 Si quelqu'un se dresse pour te poursuivre et en veut à ta vie, ton âme, mon seigneur, sera bien gardée avec les vivants auprès de l'Eternel, ton Dieu. En revanche, il enverra au loin comme avec une fronde l'âme de tes ennemis.
      30 Lorsque l'Eternel aura fait à mon seigneur tout le bien qu'il t'a annoncé et qu'il t'aura établi chef sur Israël,
      31 mon seigneur n'aura ni remords ni trouble dans son cœur pour avoir versé le sang inutilement et pour s'être vengé lui-même. Et lorsque l'Eternel aura fait du bien à mon seigneur, souviens-toi de ta servante. »
      32 David dit à Abigaïl : « Béni soit l'Eternel, le Dieu d'Israël, qui t'a envoyée aujourd'hui à ma rencontre !
      33 Béni soit ton bon sens et bénie sois-tu, toi qui m'as empêché aujourd’hui de verser le sang et qui as retenu ma main !
      34 Mais l'Eternel, le Dieu d'Israël, qui m'a empêché de te faire du mal est vivant, si tu ne t'étais pas dépêchée de venir à ma rencontre, il ne serait pas resté un seul homme à Nabal d'ici le matin. »
      35 David prit ce qu'Abigaïl lui avait apporté et lui dit : « Monte en paix chez toi. Tu vois, je t'ai écoutée et je t'ai bien accueillie. »
      36 Abigaïl arriva vers Nabal alors qu’il faisait un festin digne d’un roi dans sa maison. Il avait le cœur joyeux et il était complètement ivre. Elle ne lui dit pas un seul mot jusqu'au matin.

      2 Samuel 13

      23 Deux ans après, comme il avait les tondeurs de moutons chez lui à Baal-Hatsor, près d'Ephraïm, Absalom invita tous les fils du roi.
      29 Les serviteurs d'Absalom traitèrent Amnon comme Absalom l'avait ordonné. Tous les fils du roi se levèrent alors, montèrent chacun sur son mulet et s'enfuirent.

      1 Chroniques 2

      55 ainsi que les clans des scribes installés à Jaebets, les Thireathiens, les Shimeathiens et les Sucathiens. Ce sont les Kéniens, issus de Hamath, l’ancêtre de la famille de Récab.

      Job 30

      1 » Et maintenant, je suis un objet de moquerie pour de plus jeunes que moi, pour ceux dont je méprisais trop les pères pour les mettre parmi les chiens de mon troupeau.

      Psaumes 23

      1 Psaume de David. L’Eternel est mon berger : je ne manquerai de rien.
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