TopFormation Les 7 miracles

Nombres 30

    • 2

      2 à 17 Loi sur la validité des vœux.

      Aux chefs des tribus. Comme il s'agit d'une question de droit civil, Moïse s'adresse aux représentants du pouvoir civil et il pose la règle d'après laquelle ils auront à juger les cas qui leur seront soumis. L'accomplissement des vœux consistant surtout en offrandes et en sacrifices, cette ordonnance se rattache naturellement aux deux chapitres précédents. Elle sert à compléter celle de Lévitique 27.1-34 et celle de Nombres 6.1-27 sur le naziréat, qui est un vœu.

      3

      Si un homme... C'est le principe général : tout vœu doit être tenu pour sacré. Ce principe ne peut être restreint que dans son application à la femme (versets 4 à 17) qui n'a pas l'indépendance de l'homme.

      Un vœu à l'Eternel... La loi distingue deux sortes d'engagements : celui par lequel l'homme voue quelque chose à l'Eternel et celui par lequel il s'impose un renoncement (verset 14).

      Tout ce qui est sorti de sa bouche. C'est le terme technique : tout engagement pris par lui, quel qu'en soit la teneur. Le vœu pour être valable doit avoir été prononcé à haute voix.

      4

      4 Ă  6 Premier cas : la jeune fille dans la maison paternelle.

      5

      Garde le silence. Ce silence est comme la sanction paternelle accordée au vœu.

      6

      Le jour où il l'apprend. Lors même que l'engagement d'abstinence serait déjà en cours d'exécution.

      7

      7 à 9 Second cas : la jeune fille qui se marie étant déjà liée par un vœu.

      8

      Et que son, mari l'apprenne. Le mari prend la place du père.

      10

      Troisième cas : la femme veuve ou répudiée.

      Veuve ou répudiée. Si la femme était indépendante, ses vœux sont en tout cas valables ; elle ne rentre pas sous l'autorité paternelle.

      11

      11 à 16 Quatrième cas : l'engagement pris par une femme mariée.

      Les vœux ou engagements ne sont valables qu'autant que le mari ne les annule pas.

      16

      Il se charge de la faute. Si le veto n'est pas intervenu au moment même où le mari a appris la chose, ce veto tardif empêche bien la femme d'exécuter son engagement, mais il y a faute commise envers Dieu à qui la promesse avait été faite, et la punition atteindra le mari, à moins qu'il n'offre un sacrifice pour le délit ; comparez Lévitique 5.5.

      17

      Un seul cas n'est pas mentionné celui d'une fille demeurant dans la maison paternelle au-delà de l'adolescence, sans s'être mariée ; on se demande si elle arrivait à l'indépendance. La loi se tait sur ce point. Ce résumé ne tient aucun compte du verset 3 qui n'était là que pour rappeler la règle générale.

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