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Nombres 4.23

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      Nombres 4

      1 Chroniques 23

      24 Maintenant que les enfants d'Israël étaient relativement nombreux, ils devaient se consacrer davantage au service du temple, en sorte que chaque Israélite qui apportait une offrande devait pouvoir trouver un Lévite disposé à l'aider.

      Quand un travail important doit être effectué, il est regrettable de constater le peu d'ouvriers disponibles. Un cœur nouveau et un esprit spirituel qui observent vraiment les commandements divins, tout en étant régénérés par ces derniers, établissent une grande distinction entre le véritable chrétien et les autres hommes ici-bas. Tout homme pieux ne peut qu'être satisfait d'œuvrer pour le Seigneur. Il tendra toujours à avoir du zèle, en étant à Son service. On ne peut avoir de meilleure joie, que de travailler pour un si bon Maître ! L'homme pieux ne cherchera pas à savoir coûte que coûte, s’il est appelé à commander les autres, ou rester subordonné à des supérieurs : il sera soumis à la Volonté divine.

      Puisions-nous chercher à servir le Seigneur avec droiture, en Le laissant gérer Ses desseins, par la foi en Sa Parole.

      Esaïe 63

      1

      La victoire de Christ sur Ses ennemis. (Esaïe 63:1-6)
      Sa Miséricorde envers Son église. (Esaïe 63:7-14)
      La prière de l'église. (Esaïe 63:15-19)

      Le prophète, dans sa vision, voit le Messie, lors de Son retour triomphal de la conquête de Ses ennemis, desquels Édom était un type. Ce Messie ne revenait pas, harassé par le combat, mais au contraire, dans la grandeur de Sa force, prêt à affronter toute puissance ennemie. Il déclare qu'Il jettera la « vendange de la terre » dans la grande cuve de la colère de Dieu, Apocalypse 14:19;19:13 ; par Sa propre Puissance, sans aucune aide humaine, Il écrasera Ses opposants les plus obstinés, au « jour de la vengeance », déterminé par Sa Parole, pour sauver Son église.

      Il est déjà venu sur terre, ayant l'aspect d'une apparente faiblesse, pour verser Son sang précieux, en tant qu'expiation de nos péchés ; Il paraîtra encore, au temps marqué, dans la grandeur de Sa force.

      La « vendange » mûrit rapidement ; le jour de la vengeance, qu'Il a fixé et déterminé, approche également avec rapidité ; que les pécheurs cherchent à être réconciliés avec le Juge de Droiture, avant qu'Il ne réduise leurs forces à néant. Christ n'a-t-Il pas annoncé, « Je viens bientôt » ?

      Puisse notre cœur pouvoir répondre : « Viens Seigneur ; que l'année de Ton retour vers tes rachetés arrive » !

      Romains 7

      14 Comparé à la sainte règle de conduite de la loi, inhérente à la Parole de Dieu, l'apôtre constate son propre éloignement de la perfection spirituelle : il lui semblait être complètement charnel ; il pensait n’être qu’un homme, vendu contre son gré à un « maître détesté », duquel il ne pouvait obtenir la liberté.

      Un véritable chrétien sert involontairement ce maître honni ; il ne peut se débarrasser de cette servitude irritante, tant que son Ami puissant et plein de Grâce, Celui qui est au-dessus de toutes choses, ne vienne le délivrer. Le mal qui subsiste en son cœur est une réelle et humiliante entrave à son service pour Dieu, tel celui des anges.

      Les puissants propos de ce texte témoignent du grand avancement de Paul, dans le cheminement vers la sainteté ; ils soulignent la profondeur de l’avilissement de sa personne et sa haine du péché.

      Si nous ne comprenons pas ce type de langage, c'est que nous sommes bien en deçà du niveau de sainteté de l’apôtre, de sa connaissance de la spiritualité de la loi de Dieu, du mal et de la haine morale qui peuvent résider en notre cœur. De nombreux croyants ont adopté ces principes de l'apôtre, montrant qu'ils conviennent à leur aversion profonde du péché, et à l'avilissement de leur propre personne.

      Paul s'étend ensuite sur le conflit journalier qui subsiste en lui, causé par la dépravation de son ancienne nature. Il était confronté fréquemment à de tels sentiments, de telles paroles ou actions qui ne concordaient pas avec son renouvellement spirituel et son affection pour le Seigneur. En distinguant sa véritable identité spirituelle, de son corps charnel, dans lequel demeure le mal, et en observant que ses mauvaises actions n’avaient pour origine que le péché qui demeurait en lui, l'apôtre n'avait pas l'intention d’annoncer que les hommes ne sont pas responsables de leurs fautes, mais il enseigne le côté négatif de leurs iniquités, même celles condamnées par leur conscience.

      Le péché qui demeure chez un homme, ne prouve pas qu'il y règne, ou qu'il domine ce dernier. Quelqu'un peut demeurer dans une ville, ou dans un pays, sans toutefois le gouverner...

      18 Plus le cœur est pur et saint, plus il pourra rapidement se rendre compte du péché qui réside en lui. Le croyant est le mieux placé pour évaluer la beauté de la sainteté et l'excellence de la loi divine. Plus il grandit dans la connaissance de la Grâce, plus il désire obéir au Seigneur.

      Il ne parvient pas, hélas, à accomplir tout le bien auquel il aspire ; le péché ressurgit toujours en lui, compte tenu de son ancienne nature, ce qui le pousse à pratiquer le mal, malgré la détermination de sa volonté.

      Cette pratique attristait l'apôtre. Si par la lutte entre la chair et l'Esprit, Paul ne parvenait pas à réaliser ce que ce Dernier lui suggérait, il ne voulait pas non plus accomplir ce que son ancienne nature l’incitait à faire.

      Le cas de Paul était absolument différent de ceux qui s'abandonnent délibérément à leurs penchants iniques, qui continuent, hélas, malgré les avertissements de la Parole et de leur conscience, à pratiquer le mal, se dirigeant ainsi avec préméditation, vers le chemin de la perdition !

      Puisque le croyant est sous le régime de la grâce et désire croître dans la sainteté, il prend pleinement plaisir à obéir à la Parole de Dieu ; cette « nouvelle créature » homme est régénérée par Dieu dans la marche véritable vers la sainteté !

      23 Ce texte ne présente pas l'apôtre comme pratiquant les œuvres de la chair, mais comme quelqu'un aspirant puissamment à marcher selon l’Esprit.

      Si certaines personnes interprètent volontairement mal ce passage, (comme d’ailleurs d’autres textes de l’Écriture), courant ainsi à leur propre destruction, les chrétiens véritables, quant à eux, y trouvent le motif de bénir Dieu, qui leur a apporté le réconfort et la consolation spirituels.

      Nous ne devons pas, contrairement à ceux qui sont aveuglés par leurs propres convoitises, chercher des fautes éventuelles dans la Parole de Dieu ; recherchons uniquement l’interprétation correcte des textes. Celui qui n'est pas engagé dans le conflit spirituel entre la chair et l’Esprit, ne peut comprendre clairement la signification de ce texte, ne pouvant juger exactement le conflit douloureux qui rongeait le cœur de l'apôtre, le conduisant à pleurer, tel un misérable, contraint à pratiquer encore le péché.

      Paul constatait qu’il était incapable de se délivrer lui-même de cette situation, ce qui le poussait à remercier Dieu avec ferveur de lui avoir révélé le chemin du salut, par le biais de Jésus-Christ, avec la promesse de délivrance de « l’ennemi » qui le poussait sans cesse à commettre l‘iniquité. Alors, dit-il : « je suis moi-même, par mon esprit, ma conscience, mes affections et mes buts, un homme régénéré par la Grâce divine, qui sert la loi de Dieu et lui obéit ; mais avec la chair, ma nature charnelle et les restes de sa dépravation, je sers la loi du péché, qui fait la guerre à la loi de mon esprit ».

      L’apôtre ne « servait » pas son ancienne nature en vivant délibérément en elle, mais il était incapable, même avec la meilleure volonté, de se libérer de cette servitude, éprouvant néanmoins le besoin de chercher de l'aide et la délivrance du ciel. Il est évident qu'il remercie Dieu pour Christ, notre Libérateur, Celui qui a expié nos péchés, Celui qui est notre Justice. Paul, avant sa conversion, ne connaissait pas l’existence d’un tel salut et se sentait indigne d’y accéder. Il était disposé à agir en tous points selon la loi, avec une bonne conscience, mais il en était empêché par son péché : il ne pouvait donc atteindre la perfection que la loi exige.

      Peut-il y avoir une délivrance, pour un homme toujours coupable, si ce n'est par la Grâce de Dieu, offerte par Jésus-Christ ? Le pouvoir de la Grâce divine et du Saint-Esprit aurait pu autoritairement « déraciner » le péché de notre cœur, mais la sagesse divine avait prévu d’agir autrement. Dieu a estimé que les chrétiens doivent ressentir constamment l'état misérable dans lequel ils se trouvent, sachant que seule la Grâce divine est capable de les sauver ; les enfants de Dieu doivent se garder de leur confiance en eux-mêmes ; ils doivent toujours tirer leur consolation et leur espérance dans la Grâce merveilleuse et gratuite de Dieu, en Christ !

      1 Corinthiens 9

      2 Corinthiens 6

      2 Corinthiens 10

      Galates 5

      Ephésiens 6

      10 La force spirituelle et le courage sont nécessaires, lors de l’épreuve, comme dans notre combat avec « l’ennemi ».

      Ceux qui sont convaincus de posséder la Grâce véritable, doivent viser à en obtenir toute l’entité : revêtir l'armure de Dieu, celle qu'Il nous a préparée et mise à notre disposition. L'armure chrétienne est faite pour être portée ; nous ne devons pas ôter cette armure tant que notre combat n’a pas cessé, ni achever notre course spirituelle. Ce combat ne consiste pas à s’opposer à des ennemis humains, ni à notre propre nature corrompue : nous avons en fait, affaire à un ennemi qui possède mille manières pour déstabiliser les âmes vulnérables. Les démons nous attaquent dans le domaine qui appartient à notre âme, ils opèrent pour dépraver « l'image » céleste qui réside en notre cœur. Nous devons, par la grâce de Dieu, prendre la résolution de ne pas céder à Satan. Résistez-lui, et il s'enfuira. Si nous lui « ouvrons la voie », il gagnera immanquablement du terrain...

      Si nous doutons de notre état spirituel, de notre Chef, ou de la solidité de notre armure spirituelle, nous donnons l'avantage à Satan.

      Ce texte décrit les différentes parties de l'armure des soldats bien armés, capables de soutenir les assauts les plus violents. rien n’est prévu pour protéger le dos : il n’y a rien pour défendre ceux qui tournent le dos au combat chrétien.

      La vérité, (ou la sincérité), représente la ceinture. Celle-ci entoure tous les autres constituants de notre armure, elle est d’ailleurs mentionnée en premier lieu. Il ne peut pas y avoir de religion sans authenticité. La justice de Christ, dont nous pouvons disposer, est une véritable cuirasse, elle nous protège des flèches du courroux divin. La justice de Christ, implantée en nous, fortifie notre cœur, contre les attaques de Satan.

      Une ferme résolution de lutter, ressemble à des guêtres, destinées à protéger nos jambes ; elle sert à tenir ferme dans notre marche ; dans les sentiers accidentés, les pieds doivent être chaussés avec la « préparation de l'Évangile de paix ».

      L'obéissance, lors de l’épreuve, doit être accompagnée d'une solide connaissance de l'Évangile.

      La foi est un tout, à l'heure de la tentation. Elle est basée sur des éléments invisibles ; elle reçoit Christ et les bienfaits de Sa rédemption : elle est un véritable bouclier, une défense efficace.

      Le diable est le « méchant ». Les tentations virulentes, par lesquelles l'âme est confrontée au « feu de l'enfer », sont de véritables flèches que Satan décoche contre nous. Elles peuvent consister également dans de mauvaises pensées à l’égard de Dieu, voire défaitistes contre nous-mêmes. La foi, qui se base sur la Parole de Dieu et la Grâce de Christ, éteint les flèches enflammées de la tentation.

      Le salut doit représenter notre casque. Une solide espérance du salut et une attente scripturaire de la victoire spirituelle, purifieront l'âme et lui éviteront d'être souillée par Satan.

      Au chrétien revêtu d’une telle armure, pour sa protection dans le combat, l'apôtre recommande une seule arme offensive ; elle est toutefois suffisante : c'est l'épée de l'Esprit, la Parole de Dieu. Elle subjugue et mortifie les mauvais désirs et les pensées blasphématoires qui peuvent s'éveiller en nous ; elle répond à l'incrédulité et aux différentes déviations qui peuvent nous assaillir de l’extérieur. Un texte biblique, relativement simple, bien compris et appliqué en toute droiture, détruit immédiatement toute tentation ou une objection négative, il subjugue l'adversaire le plus redoutable.

      La prière doit fixer toutes les parties de notre armure chrétienne. Différents devoirs existent dans l’exercice de la piété ; dans notre situation ici-bas, nous devons réserver un temps de prière. Une prière « artificielle » n’est guère efficace, cependant celle qui est sobre et fervente apporte toujours un bienfait.

      Nous devons avoir de saintes pensées dans notre cheminement spirituel. Un cœur vain sera inefficace dans la prière. Nous devons intercéder par toutes sortes de prières, en public, comme en privé, dans le secret ; en société ou seul ; solennellement ou spontanément ; une prière doit comporter : - La confession du péché ; - L'appel à la Miséricorde ; - Des actions de grâces pour les bénédictions reçues.

      Nous devons prier par la Grâce de Dieu, avec le Saint-Esprit, dans Sa dépendance et d'après Son enseignement. Nous devons persévérer dans nos demandes spécifiques, sans nous décourager. Nous devons prier, non seulement pour nous-mêmes, mais pour tous les saints.

      Nos ennemis spirituels sont puissants, et nous disposons de peu de force, mais notre Rédempteur est tout-puissant, et grâce à Lui, nous sommes capables de vaincre ! Nous devons donc réagir ! N'avons-nous pas souvent négligé de répondre aux appels divins ?

      Méditons les paroles de ce texte et persévérons dans l’exercice de la prière !

      19 L'Évangile était dans l’Ancien Testament un véritable mystère, jusqu'à ce qu'il soit révélé par Dieu ; le rôle des serviteurs de Dieu consiste désormais à annoncer cette « bonne nouvelle aux hommes ! »

      Les meilleurs, les plus éminents serviteurs de Dieu ont besoin du soutien des prières des croyants. Nous devons particulièrement prier pour ceux qui sont exposés à de grandes épreuves ou à des périls, dans leur ministère.

      « Que la paix et la charité, avec la foi, soient données aux frères. » Le terme paix comporte différentes significations : - La paix avec Dieu ; - La paix de la conscience ; - La paix parmi les croyants ; - La grâce de l'Esprit, qui produit la foi et l'amour.

      Paul désire tout cela pour ceux en qui la Grâce a déjà opéré. Toutes grâces et bénédictions parviennent aux enfants de Dieu par le biais de Jésus-Christ notre Seigneur. La grâce, c'est-à-dire, la faveur de Dieu, avec tous les biens spirituels et temporels qui en découlent, est avec tous ceux qui aiment notre Seigneur Jésus-Christ en toute sincérité ; avec eux seulement !

      1 Timothée 1

      18 L’exercice de la piété est un véritable combat contre le péché et contre Satan, combat conduit par le Seigneur Jésus, le « Maître d’œuvre » de notre salut.

      Toute la confiance que notre entourage a fondée sur nous devrait nous inciter à persévérer dans l’exercice du devoir. Ayons une conduite pleine de droiture, en tous points !

      Une des préventions et des plus importantes censures dans l'église primitive consistait à prévenir au mieux le péché, et à corriger le pécheur engagé sur une fausse route.

      Puissent tous ceux qui sont tentés de s’écarter du chemin de la piété et des préceptes de l'Évangile, se souvenir qu’une telle démarche ne peut conduire qu’au « naufrage » de la foi.

      2 Timothée 2

      2 Timothée 4

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