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15
En effet, même si vous aviez dix mille instructeurs chrétiens, vous n’auriez cependant qu’un seul père. Car c’est moi qui suis devenu votre père spirituel en vous annonçant la Bonne Nouvelle, moi qui vous ai appelés à la vie dans la communion du Christ Jésus.
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Ne suis-je donc pas libre ? Ne suis-je pas apôtre ? N’ai-je pas vu, de mes yeux, notre Seigneur ? (Je le sais, quelques-uns me dénient ce titre, mais) vous-mêmes, n’êtes-vous pas un fruit du travail que le Seigneur m’a confié ?
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Si certains refusent de reconnaître en moi un apôtre, vous, du moins, vous ne le ferez certainement pas, puisqu’en tant qu’Église du Seigneur, vous êtes la preuve qui scelle l’authenticité de mon service apostolique.
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C’est moi, Paul, qui écris cette salutation de ma propre main.
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Si quelqu’un n’aime pas le Seigneur, il n’a pas sa place parmi vous. Maranatha.
2
Notre lettre, la seule dont nous ayons besoin, c’est vous-mêmes : une lettre gravée dans nos cœurs, que tout le monde peut connaître et lire.
2
Moi Paul, je vous le déclare : si vous, chrétiens issus du paganisme, vous consentiez à vous faire circoncire, donc à vous soumettre au rite d’admission dans le judaïsme, le Christ ne vous serait plus d’aucune utilité.
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Remarquez ces grandes lettres : je les trace à votre intention de ma propre main.
2
à Timothée, mon vrai fils en la foi : que Dieu le Père et Jésus-Christ notre Seigneur te donnent grâce, bonté et paix.
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Je te salue, Tite, mon vrai fils en notre foi commune : Grâce et paix te soient données de la part de Dieu le Père et de Jésus-Christ notre Sauveur.
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Mes frères, si l’un de vous s’égare en s’écartant de la vérité, et qu’un autre le ramène sur le bon chemin,
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sachez que celui qui parvient à ramener un pécheur de la voie où il se perdait, sauvera son âme de la mort et permettra le pardon d’un grand nombre de péchés. :::::
Une telle offre de Paul, si pauvre, à Philémon qui paraît avoir été riche, aurait plutôt froissé les sentiments de ce dernier, d'autant plus que l'apôtre ne doute nullement de sa promptitude à lui accorder plus qu'il ne lui demande. (Philémon 1.21) C'est par sa reconnaissance et son amour que Paul s'acquittera de sa dette envers Philémon.