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Philippiens 2.12

So then, my beloved, even as you have always obeyed, not only in my presence, but now much more in my absence, work out your own salvation with fear and trembling.
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      Esdras 10

      Psaumes 2

      Psaumes 119

      Proverbes 10

      Proverbes 13

      Esaïe 66

      5 Le prophète se tourne vers ceux qui respectent la Parole de Dieu, il les réconforte et les encourage.

      Le Seigneur apparaîtra, à la joie de l'humble croyant, mais à la confusion des hypocrites et des persécuteurs. Quand l'Esprit descendit ici-bas, et quand l'évangile se répandit, émanant de Sion, des multitudes se convertirent en peu de temps. La Parole de Dieu, et particulièrement Ses Promesses et Ses Ordonnances, sont les consolations de l'église. Un bonheur sincère gagne tous les chrétiens quand un nouveau converti vient à Christ. En quelque endroit où il est reçu avec puissance, l'évangile est semblable à un fleuve de paix, nous portant vers un océan infini de bonheur éternel !

      Les réconforts divins atteignent l'homme au plus profond de son cœur ; la joie que dispense le Seigneur sera la force du croyant. La Justice et la Miséricorde divines seront manifestées, et magnifiées éternellement.

      Matthieu 11

      Luc 13

      23 Notre Sauveur est venu en ce monde pour amener les hommes à se repentir, et non pour satisfaire leur curiosité. Ne demandons pas : « combien seront sauvés » ? Mais plutôt : « est-ce que je suis l'un d'entre eux » ? Ne demandons pas non plus : « que deviendra untel ou untel » ? Mais : « que ferai-je, et qu'adviendra-t-il de mon âme » ?

      Nous devons lutter pour entrer par la porte étroite. C’est un commandement, pour chacun de nous : « efforcez-vous ». Tous ceux qui veulent être sauvés doivent entrer par cette porte étroite, ils doivent subir un changement de tout leur être. Ceux qui veulent entrer par cette porte doivent lutter pour entrer. Ce texte nous indique qu’il faut bien considérer la force de cette exhortation : puissions-nous être attentifs à cet appel !

      Une question a été posée au début de ce texte : « n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés » ? En fait, personne ne doit se décourager, aussi bien pour lui-même que pour les autres : les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers. Si nous atteignons le ciel, nous y apercevrons beaucoup de ceux que nous ne pensions pas rencontrer, et il y manquera beaucoup de ceux que nous comptions y trouver...

      Jean 6

      28 La foi en Christ est un « exercice » constant ; c’est le côté le plus important et le plus difficile de l'obéissance qui est exigée de notre part, par Dieu, en tant que pécheurs recherchant le salut.

      Lorsque par la Grâce, il est permis de vivre une vie de foi dans le Fils de Dieu, les âmes pieuses Le suivent, et un ministère spirituel, peut être alors entrepris. L’Éternel, qui autrefois dans le désert, a donné la nourriture du ciel (la manne) aux pères des enfants d’Israël, pour qu’ils restent en vie, nous donne maintenant le véritable « Pain », pour le salut des âmes. Le fait de venir à Jésus et de croire en Lui signifie symboliquement « manger de ce Pain de vie ». Christ annonce qu'Il est ce véritable Pain ; Il représente pour l'âme, ce que le pain est au corps, Il nourrit et entretient la vie spirituelle. Il est le « Pain de Dieu », ce Pain que le Père nous offre, pour nourrir notre âme. Le pain nourrit uniquement des corps en vie ; Christ est Lui-même ce Pain vivant ; Il nourrit par Sa propre puissance.

      Cette doctrine de Christ crucifié est toujours aussi vivifiante et réconfortante pour le croyant. Il est le Pain qui est descendu du ciel. Cette nourriture dénote la Divinité de la Personne de Christ, ainsi que son autorité ; elle est aussi l'origine divine de tout le bien qu’Il nous accorde.

      Puissions-nous par la foi et avec ferveur Lui demander : « Seigneur, donne-nous toujours de ce Pain » !

      Actes 9

      Actes 16

      Romains 2

      Romains 13

      11 Ce texte nous apporte plusieurs enseignements, relatifs à la conduite journalière du chrétien.

      - Quand doit-il se réveiller ? Maintenant ! Il doit s’échapper du sommeil de la sécurité matérielle, de la paresse et de la négligence, du sommeil de la « mort et de l’engourdissement spirituels ». – En ce qui concerne le temps : « le jour approche » ; c’est un moment important. Le salut est « à portée de main ». Veillons sur le chemin que nous empruntons, améliorons notre conduite, nous approchons de la fin de notre voyage. Soyons prêts ! La nuit s'éloigne, le jour approche. - Il est temps de nous vêtir. Quels anciens vêtements devons-nous ôter ? Ceux que nous portions la nuit. Nous devons rejeter les œuvres coupables des ténèbres. Que devons-nous revêtir ? Comment devons-nous « habiller » notre âme ? - Revêtons les armes de la lumière ! Un chrétien doit considérer qu'au départ, il est désarmé. Les grâces de l'Esprit constituent son armure, pour protéger son âme des tentations de Satan, et des assauts néfastes de ce monde. Revêtons-nous de Christ : cela inclut tout ! Revêtons la justice de Christ, pour notre justification ! Revêtons l'Esprit et la Grâce de Christ, pour notre sanctification ! Nous devons nous « revêtir » du Seigneur Jésus, Il doit nous gouverner, après nous avoir rachetés ; Il est l’Oint, désigné par le Père pour cette œuvre souveraine, que représente le salut. - Comment marcher : dès que nous sommes debout et prêts ! Nous ne devons pas nous asseoir de nouveau, mais nous avancer : marchons ! Dans le christianisme, il nous est enseigné comment marcher, de façon à plaire à Dieu, Celui qui nous voit en permanence. Marchons honnêtement, comme en plein jour, évitant les œuvres des ténèbres. Là où il y a tumulte et ivresse, il y a en général impudicité et libertinage, conflits et envies. Salomon regroupe tous ces maux dans Proverbes 23:29-35.

      - De quoi devons-nous faire provision ? Notre grand souci doit être de pourvoir à notre âme : devons-nous autant négliger notre corps ? Deux choses sont défendues : nous embarrasser des inquiétudes et des soucis et nous laisser dériver vers des désirs douteux. Le « nécessaire » doit être satisfait, mais les mauvais appétits doivent être contrôlés et éliminés. Recherchons la nourriture nécessaire à notre bonne santé, c’est notre devoir : il nous est enseigné de prier pour notre pain quotidien ; ne recherchons pas, par contre celle qui pourrait satisfaire notre convoitise, c’est une provocation contre Dieu, Psaume 78:18.

      1 Corinthiens 2

      1 Corinthiens 4

      14 Lorsque nous blâmons le péché en général, nous devons faire la distinction entre les pécheurs et leurs propres péchés. Les reproches ou les mises en garde, adressés avec amour, sont souvent susceptibles de corriger les fautifs.

      L'apôtre Paul parlait aux Corinthiens avec une certaine autorité, tel un père s’adressant à ses enfants, cependant, il les implorait néanmoins avec amour. Les serviteurs de Dieu doivent montrer l’exemple à ceux qu’ils côtoient ; ces derniers doivent suivre leur conduite, comme d’ailleurs ils doivent imiter celle de Christ, par la foi.

      Les chrétiens peuvent parfois se tromper sur certains sujets et avoir des opinions différentes, mais Christ et la vérité chrétienne demeurent, hier, aujourd'hui et éternellement !

      Toutes les fois que l'Évangile agit dans le cœur, il est efficace : Il n’agit pas qu’en paroles, mais aussi par la puissance du Saint-Esprit, afin de ramener à la vie, les pécheurs perdus ; Il les délivre de l'esclavage du péché et de Satan, Il les renouvelle entièrement ; Il réconforte et fortifie les saints, par la Puissance divine, ce que ne peut faire le discours le plus persuasif des hommes !

      Quelle joie, de pouvoir corriger son frère, avec amour et douceur, tout en maintenant une juste autorité !

      1 Corinthiens 9

      24 L'apôtre se compare lui-même aux coureurs et aux combattants des jeux du stade, bien connus à l’époque des Corinthiens.

      Dans la « course chrétienne », chacun peut courir pour obtenir le prix. Nous sommes donc fortement encouragés à persévérer avec toute notre force dans cette voie.

      À l’époque, ceux qui couraient dans ces jeux étaient soumis à un régime spécial ; ils se livraient à un entraînement très dur et pratiquaient toutes sorte d’exercices physiques.

      Ceux qui recherchent les intérêts de leur âme doivent combattre durement contre les convoitises charnelles. Les attraits relatifs au corps ne doivent pas prendre le dessus. L'apôtre insiste sur ces différents conseils, adressés aux Corinthiens. Il souligne le danger de céder aux désirs charnels, de choyer le corps, sa convoitise et ses appétits.

      Le désir de sainteté est nécessaire pour garder un serviteur de Dieu dans la fidélité de son ministère ; combien doit-il l’être davantage pour nous préserver de toute chute ! Retenons de ce texte, l'humilité et la prudence de Paul ; veillons aux dangers moraux qui nous entourent ici-bas !

      1 Corinthiens 15

      2 Corinthiens 7

      Galates 6

      Ephésiens 6

      5 Le devoir des serviteurs se résume en un mot : l’obéissance.

      Les serviteurs de l'époque de Paul étaient généralement des esclaves. Les apôtres devaient apprendre aux serviteurs et à leurs maîtres, leurs devoirs respectifs, pour alléger le joug de la servitude, tant que l'esclavage ne fut éradiqué par l'influence du christianisme.

      Les serviteurs doivent respecter ceux qui les dirigent. Ils doivent être loyaux, ne prétendant pas être obéissants quand ils ont l'intention de désobéir : ils doivent servir fidèlement et correctement leurs maîtres, non seulement quand ces derniers les observent, mais aussi quand ils ont « le dos tourné ».

      Un regard permanent dirigé vers le Seigneur Jésus-Christ rendra les hommes fidèles et honnêtes, là où ils sont placés, non pas à contrecœur, ni par contrainte, mais par amour pour leurs maîtres et leurs intérêts. Ceci facilitera leur service, contentera leurs maîtres, et leur conduite sera approuvée par le Seigneur. Dieu récompensera même la moindre tâche faite dans le sens du devoir, en vue de Le glorifier.

      Le texte nous indique ensuite quel le devoir des maîtres : « vous devez agir de la même manière ». Ayez envers vos serviteurs la même attitude que vous voudriez qu’ils aient envers vous ; manifestez pour eux de la bonne volonté et un certain égard, prenez soin que votre conduite soit approuvée par Dieu. Ne soyez pas tyranniques, ni autoritaires. Vous avez un Maître auquel vous devez obéir ; vous et vos domestiques, n’êtes que des serviteurs, au service de Christ !

      Si les maîtres et les serviteurs considéraient dans une juste mesure, leurs devoirs envers Dieu, ainsi que les comptes qu'ils devront bientôt Lui rendre, ils seraient plus attentifs quant à l’exercice de leurs devoirs mutuels et les familles seraient aussi plus heureuses...

      Philippiens 1

      27 Ceux qui professent appartenir à Christ, doivent se conduire d’une manière digne des vérités de l'Évangile, se soumettre à Ses préceptes pour dépendre de Ses promesses.

      Le terme original « politeuomai », traduit dans ce texte par « conduite », définit en fait l’attitude de citoyens à la recherchent de la bonne renommée, de la sécurité, de la paix et de la prospérité de leur ville.

      La foi envers l'Évangile mérite que l'on lutte pour elle ; elle rencontre en fait beaucoup d'opposition, ce qui devrait nous motiver à lutter pour elle.

      Un homme peut très bien rester indifférent au péché et aller en enfer ; mais celui qui veut se rendre au ciel, doit réagir contre son iniquité et s’appliquer à acquérir le salut.

      On peut rencontrer l’unité de cœur et l’affection parmi les chrétiens, même s’il y a diversité d’opinions sur de nombreux sujets. La foi est un don de Dieu, par le biais de Christ ; la disposition de cœur pour croire provient de Dieu. Nous pouvons estimer que nos souffrances pour Christ, sont un véritable don : sachons leur donner toute leur valeur.

      Le salut ne provient pas des épreuves matérielles, ni d’un sentiment de détresse : il vient uniquement de Dieu. La foi et la patience sont de véritables dons du ciel !

      Philippiens 2

      12 Nous devons nous appliquer à utiliser avec persévérance, tous les moyens qui conduisent à « faire fructifier » notre salut, tant que la vie nous est accordée ici-bas. Œuvrons fidèlement, de peur que malgré les bénédictions célestes reçues, nous entretenions une certaine oisiveté.

      « Travaillons à notre salut » car Dieu agit en nous. Ceci nous encourage à faire le maximum en la matière, parce que notre labeur ne sera pas vain : nous dépendons toujours de la Grâce divine. L'œuvre de la Grâce de Dieu consiste à nous donner la vie spirituelle et à motiver nos efforts. La Volonté de Dieu à notre égard est, à l’origine, Son œuvre excellente en nous.

      Accomplissez votre devoir avec bonne volonté, sans le critiquer éventuellement. Soyez assidu quant à l’exécution de votre travail, qu’il ne soit pas pour vous une occasion de chute. Dans un esprit de paix, ne donnez aucune possibilité aux autres de vous chercher querelle.

      Les enfants de Dieu doivent être différents des impies. Plus ces derniers sont pervers, plus nous devons chercher à garder notre intégrité professionnelle. La doctrine et l'exemple des véritables croyants finiront par persuader ceux qui nous entourent, ils dirigeront leur chemin vers Christ et la sainteté, tout comme un phare prévient les marins, pour qu'ils évitent les rochers, dirigeant ainsi leur course vers le port.

      Essayons de « briller ainsi ! » L'Évangile est la Parole de vie, Il nous fait connaître la vie éternelle au travers de Jésus-Christ.

      Une course sportive est synonyme de plein engagement et de vigueur, d'avance continuelle ; le travail exige de la constance, et une ferme application. Dieu désire avant tout que les croyants soient nombreux à se réjouir ; ceux qui ont la chance de bénéficier du service de fidèles serviteurs de Dieu ont de grandes raisons de se réjouir avec eux !

      19 Il n’y a rien de meilleur que d’accomplir notre devoir de manière simple et naturelle. Il doit être bien sûr, exécuté sincèrement, sans prétention, avec un cœur bien disposé, dans une saine optique.

      Nous sommes prompts à satisfaire notre propre crédit, nos aises, et notre sécurité, avant la vérité, la sainteté, et le devoir ; ce n'est pas ce que faisait Timothée. Paul désirait jouir de toute liberté, non pas pour pouvoir prendre du plaisir, mais pour pratiquer le bien.

      Épaphrodite était disposé à aller chez les Philippiens, afin de pouvoir être réconforté par ceux qui avaient été affligés par sa maladie. Il semble que cette dernière était due à son travail pour le Seigneur. L'apôtre recommande aux Philippiens d'aimer davantage Épaphrodite pour cette raison.

      Il est vraiment très agréable de voir Dieu nous octroyer de nouveau Ses bénédictions, après que nous ayons connu un temps d’épreuve ; ceci révèle à quel point ces dernières sont merveilleuses !

      Ce qui est octroyé en réponse à la prière, doit être reçu avec avec joie et une grande reconnaissance !

      Philippiens 3

      Philippiens 4

      1

      L'apôtre Paul exhorte les Philippiens à rester fermes dans le Seigneur. (Philippiens 4:1)
      Il donne des directives à certains, en particulier, puis à tous, en général. (Philippiens 4:2-9)
      Il exprime son contentement, quelles que soient les conditions dans lesquelles il se trouve. (Philippiens 4:10-19)
      Il conclut par une prière au Père, en Lui demandant de bénir cette église. (Philippiens 4:20-23)

      L’espérance spirituelle et la perspective de la vie éternelle, doivent nous rendre équilibrés et constants durant toute notre course chrétienne sur terre. Malgré le fait qu’il y ait des différences de dons et de grâces, nous sommes cependant renouvelés par le même Esprit, nous sommes tous frères. Rester ferme dans le Seigneur, c'est se tenir sous l’égide de Sa force, par Sa grâce !

      1 Thessaloniciens 1

      2 Timothée 2

      Hébreux 4

      1

      L'humilité et une crainte prudente du Seigneur sont nécessaires, de peur que certains ne viennent trop tard au repos céleste promis, suite à leur incrédulité. (\\# 1-10\\)
      Arguments et motifs pour la foi et l'espérance, dans notre approche de Dieu. (\\# 11-16\\)

      Les privilèges que nous avons sous la dispensation de l’Évangile, sont plus grands que ceux que chacun possédait sous celle de la loi de Moïse ; cependant, le même Évangile, dans sa substance, a été prêché dans les deux Testaments.

      Il y a eu de tous temps certains auditeurs qui n'ont pas su tirer profit spirituellement de ce qu'ils entendaient ; l'incrédulité est la racine de toute stérilité, lors de l’écoute de la Parole. La foi de l'auditeur vivifie la Parole qui lui est enseignée. Mais il subsiste une conséquence douloureuse à la négligence de cet enseignement, à une profession de foi vacillante ou perdue : cela se traduit chez les personnes qui acceptent la Parole trop tardivement...

      Soyons donc assidus et diligents, afin de pouvoir disposer d’une future entrée dans le Royaume de Dieu. Quand ce Dernier a terminé Son œuvre, lors de le création, Il s'est reposé ; il en sera de même des croyants, qui achèveront leurs œuvres, et bénéficieront de la satisfaction du repos. Il est évident qu'il y a un « sabbat plus spirituel » et encore plus excellent que celui du « septième jour », réservé au peuple de Dieu, ou que celui dans lequel Josué a conduit les Juifs, après la traversée du désert. Ce repos est un repos de grâce, de consolation et de sainteté, affirmé dans l'Évangile. Un repos dans la gloire, où les enfants de Dieu prendront plaisir à « l'accomplissement » de leur espérance, qui est l'objet de tous leurs désirs. Ce repos du sabbat, sujet traité par l'auteur de l'épître aux Hébreux, qui conclue qu'on doit y prendre plaisir, est indubitablement le repos céleste, promis au peuple de Dieu ; ce repos est complètement opposé aux tâches et aux troubles qui agitent ce monde et il sera obtenu lorsque le Seigneur Jésus paraîtra dans le ciel.

      Mais les incrédules n'entreront jamais dans ce repos spirituel, qu'il soit, par la Grâce, accordé peut-être ici-bas, ou glorieux ensuite, dans les cieux. Dieu a toujours déclaré que le repos de l'homme a été déclaré par Lui-même, et que l’Amour divin est le seul véritable trésor de l'âme ; la foi dans les promesses divines, par le biais du Fils, est l’unique chemin qui mène à ce repos !

      11 Méditons la fin de ce chapitre : le repos spirituel et éternel ; repos, sous la Grâce ici-bas, et dans la gloire céleste plus tard, en Christ en ce monde et avec Lui dans le ciel !

      Après un dur travail, bien exécuté, un bon repos suit ; le labeur du jour rend le repos bien agréable, le moment venu ! Œuvrons, aidons chacun à être diligent dans l’exercice de son devoir.

      Les Saintes Écritures sont la Parole de Dieu. Quand ce Dernier La place dans une demeure, par son Esprit, Il convainc et pousse les âmes à la conversion avec puissance, Il les console véritablement. L’Esprit transforme une âme qui a été longtemps sous l’emprise de l’orgueil, Il la pousse à l’humilité ; un homme pervers devient alors doux et obéissant à la loi divine !

      Les habitudes coupables, devenues naturelles pour l’impie, profondément enracinées en son âme, sont séparées et tranchées par cette « épée », qu’est la Parole de Dieu. Cette dernière fera découvrir aux hommes leurs pensées et leurs desseins réels, leur bassesse, les mauvais principes et les fins coupables qui les animent. La Parole révèlera au pécheur le vrai contenu de son cœur.

      Gardons fermement les doctrines de la foi chrétienne, ses principes vivants en notre cœur ; confessons clairement cette foi, qu’elle soit le sujet majeur de notre vie. Christ a réalisé une partie de Son sacerdoce ici-bas, en mourant pour nous ; Il œuvre également dans le ciel, en intercédant pour la cause des Siens, et en présentant les offrandes spirituelles de Son peuple.

      Au regard de la Sagesse Infinie, il était nécessaire que le Sauveur des hommes puisse non seulement imaginer, mais qu'Il ait également vécu réellement ce que ses créatures peuvent éprouver ; il était donc essentiel qu'Il ait une véritable expérience de tous les effets inhérents au péché, pour que celui-ci puisse être ôté.

      Dieu a envoyé Son propre Fils « dans une chair semblable à celle du péché, » Romains 8:3 ; mais à cause de Sa sainteté et de Sa pureté, Il a souffert du mal occasionné par nos fautes ; par conséquent, Il est le plus apte à délivrer Son peuple de sa culpabilité et du pouvoir de l’iniquité.

      Nous devons nous encourager devant l'excellence de notre « Souverain Sacrificateur », et nous approcher avec confiance du Trône de la Grâce. La Miséricorde et la Grâce sont ce dont nous avons vraiment besoin ; la première pour le pardon de tous nos péchés, et la seconde pour la purification de nos âmes. En plus de notre dépendance journalière envers Dieu, pour nos besoins actuels, nous devons confier au Seigneur tout notre cheminement ici-bas par la prière ; nous devons Lui demander de nous éloigner de la tentation, quel que soit l’instant que nous traversons, jusqu’à l’approche du terme de notre vie.

      Nous devons nous approcher de Christ avec vénération, dans une crainte pieuse, sans être « traînés » devant le trône de Sa Justice, mais étant invité, par Son Amour, au propitiatoire, où règne la Grâce. Nous pourrons, avec hardiesse, entrer dans le « saint des saints », uniquement grâce au sang de Jésus ! Il est notre Avocat, et Il a acquis tout ce dont notre âme a besoin ou pourrait désirer !

      Hébreux 5

      Hébreux 6

      11 L'espérance mentionnée dans ce texte est une recherche certaine des bénédictions promises par Dieu ; cette espérance est animée par l’amour que l’on éprouve pour Dieu, elle conditionne notre attente et la mesure de Ses engagements.

      L'espérance comporte divers degrés, tout comme la foi. La promesse que Dieu a faite aux croyants provient du dessein éternel qu’Il a établi, elle est immuable et en phase avec le Père éternel, le Fils, et l'Esprit. Les promesses de Dieu sont pour nous une ferme assurance ; nous avons dans ce texte deux éléments immuables : le conseil et le serment de Dieu, au sujet desquels Il ne peut mentir. Si cette vérité n’était pas, elle serait contraire à la nature et à la volonté divines. Comme Dieu ne peut pas mentir, la destruction de l'incrédule et le salut du croyant sont inexorables, l'une comme l'autre.

      Observons dans ce texte que ceux à qui Dieu a accordé la joie de demeurer en Lui, bénéficient de promesses, par « héritage ». Les consolations de Dieu sont suffisamment solides pour soutenir Son peuple, même dans les épreuves les plus lourdes. Dieu est un véritable « Refuge », pour tous les pécheurs qui recherchent Sa Miséricorde, à travers la Rédemption de Christ, selon Sa Grâce, laissant de côté toute autre considération.

      Nous sommes en ce monde tel un navire sur la mer, ballotté ça et là, courant souvent le risque de partir à la dérive. Nous avons besoin d'une « ancre » pour nous garder fermement. L'espérance que nous accorde l'Évangile est notre « ancre », dans les tempêtes ici-bas. Cette ancre est sûre et solide, sinon elle ne pourrait pas nous garder ainsi, en sécurité !

      La Grâce de Dieu, les mérites et la médiation de Christ, comme les influences puissantes de son Esprit, constituent les bases d’une solide espérance spirituelle. Christ est l'objet et le fondement de l'espérance du croyant. Portons donc nos affections sur les « choses d'en haut », et attendons patiemment leur venue, lorsque nous paraîtrons avec Christ, dans Sa gloire !

      Hébreux 12

      1

      Exhortation à être constant dans nos voies et à persévérer. L'exemple de Christ ; le dessein de la Grâce de Dieu dans toutes les souffrances que les croyants ont endurées. (Hébreux 12:1-11)
      La paix et la sainteté sont recommandées, avec des mises en garde contre le mépris des bénédictions spirituelles. (Hébreux 12:12-17)
      La dispensation du Nouveau Testament est bien plus excellente que celle de l'Ancien. (Hébreux 12:18-29)

      L'obéissance et la persévérance dans la foi en Christ, voilà « la course » que devaient effectuer les Hébreux, course par laquelle il est possible de gagner la « couronne de gloire », ou la misère éternelle, en cas d’échec ; cette course nous concerne également.

      Dans l’expression, « le péché qui nous enveloppe si facilement », (premier verset de ce texte), nous devons comprendre : un péché auquel beaucoup d'entre nous sont prompts à succomber, ou à celui auquel nous sommes le plus exposés, que ce soit par habitude, par notre âge, ou suivant les circonstances. Ce texte nous adresse une exhortation très importante : tant qu’un péché reste enraciné dans le cœur d’un homme, sans être combattu ni subjugué, il empêchera celui-ci de « courir » dans sa course spirituelle chrétienne, en lui ôtant toute motivation pour vaincre, et en laissant place à tout découragement.

      Que ceux qui sont fatigués et faibles spirituellement, puissent se rappeler que Jésus, Celui qui est Saint, a souffert, pour les sauver de la ruine éternelle. Si de telles personnes portaient vraiment leur regard par Jésus, elles seraient fortifiées spirituellement, en toute sainteté, elles seraient gardées de toute chute provoquée leurs désirs charnels.

      Recherchons le plus fréquemment possible la présence de Jésus. Que sont nos petites épreuves par rapport à Son agonie à la croix ? Que sont nos « déserts spirituels », face à Ses souffrances ? Que représentent nos peines par rapport à celles de beaucoup d'autres personnes ? On rencontre parfois chez les croyants une tendance à défaillir dans leurs faiblesses, à succomber facilement sous les épreuves et les afflictions ; ceci est dû à l'imperfection de la grâce qui est en leur cœur et aux restes de la corruption qui subsistent en eux.

      Les chrétiens ne doivent pas faiblir, face à l’épreuve. Bien que leurs ennemis et leurs persécuteurs puissent leur infliger de dures souffrances, il s'agit cependant de châtiments que Dieu permet de leur voir supporter ; leur Père céleste « supervise » tout, et Sa Sagesse aura réponse à tout. Face à leurs afflictions, ces âmes ne doivent pas faillir, ni perdre courage, car elles demeurent, malgré leurs péchés, dans « la main de Dieu et sous Sa houlette ». Elles ne doivent pas se décourager ni « crouler » sous les épreuves, ni se tourmenter, mais doivent les supporter, avec foi et patience.

      Dieu peut permettre aux impies de rester dans l’iniquité, mais Il corrigera le péché de Ses propres enfants. En tant que tel, Il agit comme un Père. Nos parents ici-bas peuvent parfois nous châtier pour satisfaire un sentiment personnel plutôt que pour réformer nos manières. Mais notre Père céleste ne veut jamais nous faire souffrir par plaisir, ni affliger en vain Ses enfants : Il le fait toujours pour notre bien.

      Notre vie entière est en quelque sorte un long apprentissage, il reste bien imparfait quant à notre exercice spirituel ; à cause de notre état pécheur, nous devons donc nous soumettre à la discipline céleste. Quand nous serons parvenus à la perfection, nous serons alors complètement réconciliés avec le ciel et le châtiment que Dieu peut parfois nous faire encore endurer, disparaîtra. Le châtiment de Dieu n'est pas synonyme de condamnation ; il peut être supporté avec patience, pour nous conduire vers une sainteté croissante.

      Apprenons bien à considérer les afflictions que nous supportons ici-bas ; si elles semblent provenir des hommes, elles sont en fait des corrections envoyées par notre Père, plein de Grâce et de Sagesse, pour notre bien spirituel !

      1 Pierre 2

      11 Même les meilleurs des hommes pieux, « la génération choisie », « le peuple de Dieu », ont besoin d'être exhortés pour se garder des pires iniquités. Les convoitises charnelles sont les plus destructrices de l'âme. Un Jugement fâcheux les attend...

      Dieu s’approche des âmes, pour les appeler à la repentance, par Sa Parole et par Sa Grâce ; beaucoup Le glorifieront, et Son peuple, dans la voie de la sainteté, connaîtra un heureux changement !

      2 Pierre 1

      2 Pierre 3

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