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Philippiens 3.20

Pour nous, nous sommes citoyens des cieux ; d'où nous attendons aussi le Sauveur, le Seigneur Jésus-Christ,
Pour nous, notre cité est dans les cieux ; de là nous attendons comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ,

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      Psaumes 16

      Psaumes 17

      Psaumes 73

      Proverbes 15

      Esaïe 26

      1

      Les Miséricordes divines, encouragent la confiance en l'Éternel. (Esaïe 26:1-4)
      Les jugements divins. (Esaïe 26:5-11)
      Le peuple de Dieu est exhorté à s'attendre à Lui. (Esaïe 26:12-19)
      La délivrance promise. (Esaïe 26:20,21)

      Ce jour, mentionné dans le premier verset, semble se situer au moment où la « Babylone » du nouveau Testament sera réduite à néant. Les promesses immuables et les engagements de l'Éternel sont les véritables fondements et murs de l'église.

      Les portes de la ville citée dans ce texte, seront ouvertes. Que cela puisse encourager les pécheurs à rejoindre le Seigneur ! « Tu assures la paix », peut-on lire au verset Esaïe 26:3 ; il s'agit d'une paix parfaite, une paix intérieure et extérieure en même temps, la paix avec Dieu, celle de la conscience, qui est permanente, en toutes occasions !

      Plaçons notre confiance dans le Seigneur, goûtons à cette paix, qui durera éternellement. Quel que soit le crédit que nous pouvons accorder à ce monde, il ne sera que temporaire ; ceux qui s'appuient sur Dieu, Le rencontreront inexorablement, mais recevront aussi de Sa part, la force qui les conduira dans une béatitude éternelle.

      Sachons-donc Le « reconnaître » dans toutes nos voies, et appuyons-nous sur Lui dans toutes les épreuves !

      Matthieu 6

      19 L'esprit « du monde » est la manifestation classique, mais hélas fatale, de l'hypocrisie ; par nul autre péché, Satan ne peut avoir un contrôle plus déterminé et plus négatif sur l'âme, sous une apparente piété de cette dernière. Cette âme, quant à elle, considérera que toutes choses vont pour le mieux, éprouvant par ce fait, du plaisir et une certaine paix, surpassant tout.

      Les instructions formulées par Christ sont à l’origine de nombreuses joies, surtout quand il s’agit des perspectives concernant l’au-delà, perspectives aujourd’hui encore invisibles, mais néanmoins éternelles, en lesquelles nous devons placer notre espérance.

      Il y a des trésors dans le ciel. Il n’y a pas de plus grande sagesse que d’accorder toute notre attention à notre assurance pour la vie éternelle, au travers de Jésus-Christ, n’étant que des « spectateurs » en ce qui concerne toutes choses ici-bas, les considérant comme n’étant pas dignes d'être comparées à notre Sauveur, et rejetant tout ce qui nous éloigne de ce Dernier. Malgré les aléas de ce monde, nous avons l’espérance de disposer d'un héritage incorruptible dans les cieux !

      L'homme du monde a des raisonnements basiques qui sont vains ; en conséquence, tout ce qui en découle ne peut être qu’erroné. Ceci s'applique également à la fausse piété : ce qui n'est pas la lumière spirituelle authentique n'est que ténèbres épaisses. C’est un constat terrible, mais néanmoins fréquent ; nous devons donc nous examiner nous-mêmes, selon la Parole de Dieu, en priant avec ferveur qu’Elle nous enseigne, par l’Esprit.

      Un homme peut être d’une certaine utilité envers plusieurs maîtres, mais il ne peut pas se consacrer au service de plus d'un maître à la fois.

      Dieu exige un cœur entier, qui ne doit pas être partagé avec le monde. Quand deux maîtres s'opposent l'un à l'autre, nul homme ne peut servir les deux. Celui qui est au service du monde et qui l'aime, ne peut que mépriser Dieu ; celui qui aime Dieu, doit abandonner l'amitié du monde.

      Matthieu 19

      Luc 12

      Luc 14

      Actes 1

      1 Corinthiens 1

      2 Corinthiens 4

      2 Corinthiens 5

      1

      L'espérance et le désir de l'apôtre de jouir de la gloire céleste. (2 Corinthiens 5:1-8)
      Cette espérance l'incitait à être assidu, dans son zèle pour soutenir les Corinthiens. (2 Corinthiens 5:9-15)
      La nécessité de la régénération et de la réconciliation avec Dieu, par le biais de Christ. (2 Corinthiens 5:16-21)

      Le croyant, par la foi, ne dispose pas seulement de l’assurance d'une vie ultérieure, céleste, quand celle d’ici-bas sera terminée, mais il s’appuie sur la solide espérance, par la Grâce, de voir le ciel ; cette vision spirituelle dévoile une « demeure », un endroit de repos, un « lieu caché » pour l’instant.

      Dans la maison de notre Père se trouvent beaucoup de demeures, dont l'Architecte et le Bâtisseur sont Dieu lui-même. Une félicité future est préparée par Dieu à l’intention de ceux qui l’aiment : ces derniers demeureront dans des habitations éternelles, n’ayant aucune ressemblance avec celles d’ici bas, qui ne sont que de pauvres « maisons d'argile », dans lesquelles notre âme demeure ; toutes les habitations de ce monde ne sont bâties que sur des fondations de poussière...

      Le corps de chair est un lourd fardeau, les calamités de la vie représentent une lourde charge. Les croyants gémissent, leur existence étant accablée par le péché et par les nombreuses corruptions qui se manifestent encore en eux.

      La mort nous « dévêtira » de notre « vêtement de chair » : de tous les plaisirs de la vie, comme de nos problèmes ici bas. Les âmes croyantes seront revêtues de « vêtements d'éloge », parées de « robes de droiture et de gloire ». Les grâces présentes et les réconforts de l'Esprit ne sont que les prémices de la Grâce éternelle et de la félicité. La présence de Dieu, ici bas, avec nous, par l’Esprit et Ses ordonnances, n’est comparable en aucune mesure avec ce que nous connaîtrons dans les lieux célestes !

      La foi nous anime ici-bas, dans les lieux célestes, ce sera la vue ! Il est de notre devoir, et de notre intérêt, de marcher par la foi, jusqu'à ce que nous vivions par la vue. Cette vérité montre clairement le bonheur qu’il y a, de se savoir aimés par les âmes des croyants qui se trouvent déjà en compagnie de la glorieuse présence du Seigneur.

      Nous sommes rattachés, intégrés au « corps » du Seigneur. Avec quelle puissance le Seigneur cherche à avoir l'âme des croyants intimement unie à Lui-même : « tu es une des âmes que J'ai aimées et choisies ; une de celles qui me sont données » !

      La mort n’est-elle pas un véritable sujet de crainte, pour celui dont l’existence sera loin de toute présence du Seigneur ?

      Galates 4

      Ephésiens 2

      19 L'Église est comparée à une ville, dont chaque pécheur converti est le citoyen. Elle est également comparée à une maison, où chaque pécheur converti est un membre d’une même famille ; il est à la fois serviteur et enfant de Dieu, au sein de Sa maison. L'église est aussi comparée à un édifice, dont le fondement repose sur la doctrine de Christ ; il a été d’abord édifié par les prophètes de l'Ancien Testament, puis par les apôtres du Nouveau.

      Dieu demeure maintenant dans le cœur de tous les croyants ; ils deviennent ainsi le « temple » du Seigneur, par le biais de l'œuvre du Saint-Esprit béni.

      Demandons-nous si notre espérance repose réellement sur Christ, sur la doctrine de Sa Parole ? Sommes-nous consacrés à Dieu, composons-nous vraiment Son « saint temple », à travers Christ ? Sommes-nous une « habitation de Dieu », par l'Esprit, sommes-nous spirituellement disposés à Le servir, portons-nous avec puissance les fruits de l'Esprit ? Prenons bien soin de ne pas chagriner ce Dernier, le Consolateur. Désirons Sa présence pleine de Grâce, et l’influence qu’Il exerce en notre cœur.

      Cherchons à accomplir le devoir qu’Il nous dicte, à la gloire de Dieu !

      Philippiens 1

      21 La mort est une grande perte pour l’homme charnel, ou pour celui qui « est du monde », car il perd tous ses agréments terrestres et tous ses espoirs ; mais pour le véritable croyant, elle est un gain, car elle met un terme à toute sa faiblesse et à sa misère. La mort délivre l’enfant de Dieu de tous les maux de la vie, et l'amène à posséder le bien le plus précieux.

      La difficulté de l'apôtre ne consistait pas à faire le choix entre la vie dans ce monde et celle du ciel : entre les deux, il n'y a en effet aucune comparaison ; mais Paul était tiraillé entre le fait de servir Christ en ce monde et celui de connaître la félicité éternelle dans le ciel. Les deux points de vue n'étaient pas mauvais, ce qui rendait le choix d’autant plus difficile : agir pour Christ ou demeurer avec Lui.

      Nous pouvons constater au passage, le pouvoir de la foi et de la Grâce divine ; cette dernière peut aller jusqu’à nous disposer à mourir, pour être avec le Seigneur.

      Ici-bas, nous sommes entourés par le péché ; quand nous serons avec Christ, nous échapperons au mal et à la tentation, au chagrin et à la mort, à jamais !

      Mais ceux qui désirent de tout leur cœur monter au ciel pour être face à face avec Christ, doivent toutefois être disposés à rester en ce monde aussi longtemps que Dieu a une tâche à leur confier. Plus ils percevront les bienfaits de Sa Providence, même inattendus, plus on pourra percevoir l’action divine en eux !

      Philippiens 3

      Colossiens 1

      Colossiens 3

      1

      Les Colossiens sont exhortés : - à tourner leurs pensées vers le ciel ; (Colossiens 3:1-4)
      - à mortifier toutes leurs affections corrompues ; (Colossiens 3:5-11)
      - à vivre dans l'amour fraternel, l'abstention du mal et le pardon mutuel ; (Colossiens 3:12-17)
      - à pratiquer les devoirs des épouses et des maris, des enfants, des parents, et des serviteurs. (Colossiens 3:18-25)

      Puisque les chrétiens sont libérés de la loi de cérémonie (mosaïque), ils doivent marcher le plus attentivement possible avec Dieu, en toute obéissance à l'Évangile. Comme le ciel et la terre sont opposés l'un à l'autre, on ne peut pas les suivre simultanément : l'affection en faveur de l'un diminuera immanquablement celle envers l'autre.

      Ceux qui sont nés de nouveau sont « morts au péché » : en fait, la domination de ce dernier est brisée, son pouvoir est graduellement « subjugué » par la Grâce, pour être en fin de compte étouffé par la perfection de la Gloire de Dieu. Dans ce texte, « être mort » signifie ceci : ceux qui bénéficient du Saint-Esprit, Celui qui mortifie en eux la convoitise de la chair, sont capables de mépriser les attraits de ce monde, pour tendre vers ceux du ciel.

      Jusqu’à présent, nous n’avons pas encore vu Christ ; nous savons, par contre, qu’en Sa présence, nous ne courons aucun danger ! « L’eau vive » coule dans notre âme par l’influence du Saint-Esprit, par la foi. Christ, par Son Esprit, habite dans le cœur du croyant et ce dernier vit pour Lui, dans tout ce qu'il accomplit.

      Lors de la deuxième venue de Christ, il y aura un « rassemblement général » de tous les rachetés ; ceux dont la vie est maintenant « cachée » en Christ, paraîtront alors avec Lui, dans Sa gloire.

      Sommes-nous réellement à la recherche d’un tel honneur, ou conservons-nous encore notre attachement envers le monde, avec son mode de vie ?

      1 Thessaloniciens 1

      1 Thessaloniciens 4

      2 Thessaloniciens 1

      2 Timothée 4

      Tite 2

      Hébreux 9

      Hébreux 10

      Hébreux 12

      1 Pierre 1

      2 Pierre 3

      Apocalypse 1

      Apocalypse 21

      22 Une parfaite et franche communion avec Dieu, nous apportera d’avantage que toutes les institutions de l'évangile. Quelles autres paroles que celles de ce texte peuvent davantage exprimer l'union et la Co égalité du Fils avec le Père, dans la Divinité ? Quel monde lugubre aurions-nous, si le soleil ne répandait pas sa lumière !

      D’où provient, dans ce texte, cette lumière dans le ciel ? C'est la Gloire de Dieu qui éclaire cette ville, et l'Agneau qui en est la Lumière. Dieu, par l’intermédiaire de Christ, sera une Fontaine éternelle de connaissance et de joie pour les saints, dans le ciel. Ce passage nous indique qu’il n'y a pas de nuit : il n'y a donc pas besoin de fermer les portes ; partout règne la paix et la sécurité !

      Tout cela nous montre que nous devons être de plus en plus amenés à penser au ciel, un ciel rempli de la Gloire de Dieu, et éclairé par la présence du Seigneur Jésus ! Rien de coupable ni d'impur, d’idolâtre, de faux, de trompeur, ne peut y entrer. Tous les « habitants » sont rendus parfaits, dans la sainteté.

      Aujourd’hui, ici-bas, les saints ne peuvent que constater la présence d’un triste « amalgame » de corruption, qui les entrave dans leur service pour le Seigneur, et qui altère leur communion avec Lui ; mais, dès leur entrée dans lieu très saint (spirituel), ils sont lavés dans la « cuve » du Sang de Christ, et sont présentés ensuite au Père, sans aucune tache !

      Nul n'est admis dans le ciel s'il se livre à l'abomination. Il ne s'y trouve aucun hypocrite, ni aucun menteur. Puisque rien d'impur ne peut entrer dans les lieux célestes, puissions-nous être interpellés par les visions décrites dans ce texte, et utiliser toutes nos compétences à parfaire notre sainteté dans la crainte de Dieu !

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