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Évangile selon Matthieu chapitre 27 partie 2

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    • Matthieu 27

      35 Ensuite, les soldats le clouent sur une croix. Ils tirent au sort pour savoir qui aura ses vêtements. Puis ils les partagent entre eux,
      36 et ils s’assoient là pour garder Jésus.
      37 Au-dessus de sa tête, il y a une pancarte, elle indique pourquoi il est condamné. On a écrit : « C’est Jésus, le roi des Juifs. »
      38 Les soldats clouent aussi deux bandits sur des croix à côté de Jésus, l’un à sa droite et l’autre à sa gauche.
      39 Les gens qui passent par là secouent la tête et ils insultent Jésus
      40 en disant : « Tu voulais détruire le temple et le reconstruire en trois jours. Eh bien, si tu es le Fils de Dieu, sauve-toi toi-même et descends de la croix ! »
      41 Les chefs des prêtres avec les maîtres de la loi et les anciens se moquent de Jésus. Ils disent :
      42 « Il a sauvé les autres, mais il ne peut pas se sauver lui-même ! C’est le roi d’Israël ! Maintenant, il n’a qu’à descendre de la croix, alors nous croirons en lui.
      43 Il a fait confiance à Dieu. Eh bien, si Dieu l’aime, il n’a qu’à le sauver maintenant ! En effet, cet homme a dit : “Je suis Fils de Dieu.” »
      44 Même les bandits qu’on a cloués sur des croix à côté de Jésus l’insultent de la même façon.
      45 À partir de midi, il fait nuit dans tout le pays jusqu’à trois heures de l’après-midi.
      46 Vers trois heures, Jésus crie très fort : « Éli, Éli, lema sabaktani ? » Cela veut dire : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
      47 Parmi ceux qui sont là, certains l’entendent et disent : « Il appelle Élie ! »
      48 Aussitôt, l’un d’eux part en courant. Il prend une éponge et la trempe dans du vinaigre. Il met l’éponge au bout d’un roseau et la présente à Jésus pour qu’il boive.
      49 Mais les autres disent : « Attends ! Nous allons voir si Élie vient le sauver ! »
      50 De nouveau, Jésus pousse un grand cri et il meurt.
      51 À ce moment-là, le grand rideau qui est dans le temple se déchire en deux morceaux, depuis le haut jusqu’en bas. La terre tremble, les rochers se fendent.
      52 Les tombes s’ouvrent, et les corps de beaucoup d’amis de Dieu, qui étaient morts, se réveillent.
      53 Plus tard, quand Jésus se réveille de la mort, ils sortent des tombes. Ils entrent dans Jérusalem, la ville sainte, et ils se montrent à beaucoup de gens.
      54 L’officier romain et les soldats qui gardent Jésus avec lui voient que la terre tremble. Ils voient aussi tout ce qui se passe. Alors ils ont très peur et ils disent : « Vraiment, cet homme était Fils de Dieu ! »
      55 Beaucoup de femmes sont là, elles regardent de loin. Elles ont suivi Jésus depuis la Galilée, pour le servir.
      56 Parmi elles, il y a Marie de Magdala, Marie la mère de Jacques et de Joseph, et la mère des fils de Zébédée.
      57 C’est le soir, un homme riche arrive. Il est de la ville d’Arimathée et s’appelle Joseph. Lui aussi est disciple de Jésus.
      58 Il va voir Pilate, le gouverneur, et lui demande le corps de Jésus. Alors Pilate commande de lui donner le corps.
      59 Joseph le prend et l’enveloppe dans un drap neuf.
      60 Il met le corps dans la tombe qu’il vient de faire creuser pour lui-même dans le rocher. Ensuite, il roule une grosse pierre pour fermer l’entrée de la tombe, et il s’en va.
      61 Marie de Magdala et l’autre Marie sont là, assises en face de la tombe.
      62 Le jour suivant arrive. C’est le jour qui suit la préparation du sabbat. Les chefs des prêtres et les Pharisiens se réunissent chez Pilate.
      63 Et ils lui disent : « Excellence, nous nous souvenons d’une chose. Ce menteur a dit, quand il était encore vivant : “Après trois jours, je me réveillerai de la mort.”
      64 Donc, commande que des soldats gardent la tombe jusqu’au troisième jour, sinon, ses disciples pourront venir voler son corps. Ils diront ensuite au peuple : “Il s’est réveillé de la mort !” Ce dernier mensonge serait encore plus grave que le premier ! »
      65 Pilate leur dit : « Voici des soldats ! Allez ! Faites garder la tombe comme vous voulez ! »
      66 Ils vont préparer la garde de la tombe. Ils bloquent la pierre de l’entrée et ils mettent les soldats pour la surveiller.
    • Matthieu 27

      35 Il était habituel à cette époque d’accabler de honte les malfaiteurs crucifiés, en apposant sur un écriteau, le crime pour lequel ils étaient condamnés : on fit ainsi au-dessus de la tête de Christ. Tous les actes destinés à humilier Jésus ont été en fait « dirigés » par Dieu, pour finalement honorer Son Fils.

      Deux voleurs furent crucifiés en même temps que Jésus. Christ à Sa crucifixion, a été compté parmi les transgresseurs, afin que nous soyons comptés parmi les saints, à notre mort. Les insultes et les railleries que Jésus endura sont mentionnées dans ce texte.

      Les ennemis de Christ cherchent à induire les hommes en erreur, en leur présentant de fausses idées sur la religion. Les principaux sacrificateurs, les scribes, et les anciens, reprochaient à Jésus le fait de se prétendre le Roi d'Israël. De nombreuses personnes auraient été en faveur de ce Roi, s'Il était descendu seul de la croix ; elles auraient voulu entrer dans Son Royaume sans qu’Il passe par cette tribulation : mais s'il n'y avait pas eu la croix, personne n’aurait reçu la couronne de la Rédemption !

      Ceux qui veulent régner avec Christ doivent être disposés à souffrir avec Lui. Notre Seigneur, en ayant accepté de satisfaire la Justice divine, a subi les souffrances de la croix, se soumettant ainsi au pire châtiment des hommes.

      Chaque instant particulier mentionnant les souffrances de Christ, a été prédit dans les écrits des Prophètes ou dans les Psaumes : tout s’est accompli !

      45 Durant les trois heures où il y eut des ténèbres sur toute la terre, Jésus était à l’agonie, luttant contre les puissances des ténèbres, et souffrant de la haine de son Père, à l’encontre du péché de l'homme : pour cette iniquité, l’âme du Seigneur était alors une véritable « offrande ». Jamais on ne connut une telle période de trois heures d’atroces souffrances, depuis le jour où Dieu créa l'homme sur la terre, jamais une scène aussi sombre et affreuse ne se déroula ici-bas. Le but ultime de la croix consiste en la rédemption de l'homme et son salut. Jésus émit une plainte, celle qui est décrite dans le Psaume 22:1. En cela, Il nous enseigne à utiliser la Parole de Dieu lorsque nous prions, en nous recommandant d’utiliser les expressions qui y figurent. Dans son existence, le croyant peut avoir goûté des moments d'amertume, mais ils sont bien pâles devant la profondeur des souffrances endurées par Christ. Il apprend cependant par là, la grandeur de l'Amour du Sauveur pour les pécheurs et il est convaincu de l’horreur extrême du mal et du péché. Il doit à Christ la délivrance de la colère divine à venir, pour ceux qui se repentent !

      Les ennemis de Jésus tournèrent méchamment Sa plainte en dérision. Les nombreux reproches lancés contre la Parole de Dieu et Son peuple, résultent en fait d'erreurs grossières commises par les ennemis du Seigneur.

      Christ, avant d’expirer, a parlé avec force, pour montrer qu’Il était encore bien en vie et qu’Il se livrait volontairement entre les mains de Son Père. Il a eu la force de lancer un défi aux puissances de la mort : Il voulait montrer que par l'Esprit éternel, Il s'offrait Lui-même, étant en même temps le Sacrificateur et le Sacrifice ; Jésus poussa de nouveau un grand cri, et rendit l'esprit.

      Sur la croix, le Fils de Dieu est mort par la violence de la peine qui lui a été infligée. Son âme a quitté Son corps : ce dernier était réellement mort. Il est certain que Christ est passé par la mort, c’était nécessaire. Il entreprit d’être Lui-même une « offrande » pour le péché, et Il le fit en donnant volontairement Sa vie.

      51 Le voile du temple déchiré signifiait que Christ, par Sa mort, a ouvert un chemin qui mène directement à Dieu. Nous avons maintenant un chemin direct, qui, de manière imagée, nous fait passer du propitiatoire, vers le trône de la gloire : par le biais de Christ, nous avons un accès au trône de la Grâce.

      Lorsque nous considérons véritablement la mort de Christ, cela doit alors déchirer notre cœur, même s’il est dur comme le roc. Ce cœur est vraiment endurci s'il ne cède pas, s'il ne « fond » pas, face à Jésus-Christ, Celui qui a été crucifié devant tous. Lors de la crucifixion, des tombes se sont ouvertes, et beaucoup de saints « endormis » se sont levés. À qui sont-ils apparus, et de quelle manière, comment disparurent-ils ensuite, cela ne nous est pas dit ; ne soyons pas plus curieux, au sujet de ce qui n’est pas écrit dans la parole de Dieu !

      Les manifestations terrifiantes de Dieu déstabilisent quelquefois étrangement les pécheurs, quant à leurs convictions obstinées, elles contribuent en fait à leur réveil. C’est ce qui provoqua la terreur du centenier et des soldats romains qui gardaient Jésus.

      Nous pouvons méditer en toute sérénité sur les nombreux témoignages qui concernent le caractère de Jésus ; si nous ne Lui donnons aucun motif qui puisse L’offenser, nous pouvons Lui laisser le soin de purifier notre âme, si du moins nous désirons vivre pour Lui ! Puissions-nous, avec l'œil de la foi, voir Christ crucifié, et être animés par ce grand amour avec lequel Il nous a aimés.

      Les amis de Jésus ne pouvaient pas faire plus que de Le regarder de loin ; ils Le voyaient, sans toutefois pouvoir L'aider. Jamais l’horrible nature du péché ni ses conséquences n'ont été plus affreusement affichés, qu’en ce jour, où le Fils bien-aimé du Père a été pendu sur la croix, souffrant pour l’iniquité des autres, Lui le Juste pour les injustes, afin de pouvoir les présenter devant Dieu. Soyons donc disposés à Le servir !

      57 Dans l'ensevelissement de Christ, il n'y eut ni faste ni solennité. De même que Christ n'avait pas de maison personnelle, nul endroit pour se reposer durant Sa vie, Il n'eut pas non plus de tombe, où faire déposer son corps, à l’heure de Sa mort. Notre Seigneur Jésus, Celui qui n'avait aucun péché, n'avait même pas de sépulcre...

      Les Juifs avaient prévu de placer Sa tombe parmi les méchants, et qu'Il soit enseveli avec les voleurs avec lesquels Il fut crucifié : Dieu en décida autrement, afin « qu'Il soit avec le riche dans sa mort », \\# Isa 53:9\\. Des funérailles peuvent être une cause de terreur pour certains, mais si nous nous souvenons comment Christ, par Son ensevelissement, a changé « l’emprise du tombeau » sur les croyants, cela doit être pour nous une cause de réjouissance !

      Nous devons toujours « imiter » en quelque sorte, l'ensevelissement de Christ, en étant continuellement occupés à « inhumer spirituellement » nos péchés !

      62 Lors du sabbat juif, les principaux sacrificateurs et les pharisiens, qui auraient dû vaquer à leurs affaires religieuses, traitèrent avec Pilate sur le moyen de garder le sépulcre de Jésus : ils désiraient en effet qu'il n'y ait aucune preuve indubitable de la résurrection de notre Seigneur. Pilate leur répondit qu'ils pouvaient protéger le sépulcre avec tout le soin qu'ils désiraient. Ils scellèrent donc la pierre, mirent en place des gardes, et furent satisfaits de toutes ces mesures entreprises.

      Mais le fait de faire garder le sépulcre contre toute intervention des disciples du Seigneur, de force pourtant bien modeste, était une folie inutile ; il était vain de vouloir tenter de garder ce tombeau contre la Puissance divine ; ces hommes estimèrent toutefois agir sagement... En fait le Seigneur prit ces « sages » à leur propre piège !

      Toute la rage et les plans des ennemis de Christ ne pourront que promouvoir Sa gloire !

    • Matthieu 27

      35 Après l’avoir cloué sur la croix, les soldats partagèrent ses vêtements entre eux en les tirant au sort.
      36 Puis ils s’assirent pour monter la garde.
      37 Au-dessus de la tête de Jésus, on avait fixé un écriteau avec le motif de sa condamnation : « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs ».
      38 Deux brigands furent crucifiés en même temps que lui. On plaça l’un à sa droite, l’autre à sa gauche.
      39 Les passants lui lançaient des insultes. Avec des hochements de tête,
      40 ils lui criaient : — Hé ! toi qui voulais démolir le temple et le reconstruire en trois jours, commence donc par te sauver toi-même ! Si tu es réellement le Fils de Dieu, descends de la croix !
      41 De même, les chefs des prêtres, ainsi que les interprètes de la loi et les responsables du peuple, l’accablaient de leurs sarcasmes en disant : —
      42 Lui qui sauvait les autres, le voilà incapable de se sauver lui-même ! C’est ça, le roi d’Israël ? Qu’il descende donc de la croix, alors nous croirons en lui !
      43 Il a compté sur Dieu. Eh bien, si Dieu s’intéresse à lui, qu’il le tire de là, à présent ! N’a-t-il pas dit : « Je suis le Fils de Dieu » ?
      44 Les brigands crucifiés avec lui l’injuriaient de la même manière.
      45 À partir de midi et jusqu’à trois heures de l’après-midi, tout le pays fut plongé dans l’obscurité.
      46 Vers trois heures, Jésus poussa un grand cri : — Eli, Eli, lema sabachthani ? Ce qui veut dire : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?
      47 Quand certains assistants entendirent ces paroles, ils s’exclamèrent : — Le voilà qui appelle Élie !
      48 L’un d’entre eux courut aussitôt prendre une éponge, qu’il imbiba de vinaigre et attacha au bout d’un bambou. Il la lui tendit pour le faire boire,
      49 quand les autres lui dirent : — Attends ! On va voir si Élie viendra le délivrer.
      50 À ce moment, Jésus poussa de nouveau un grand cri et rendit l’esprit.
      51 Et voici qu’au même instant, le rideau (qui séparait le lieu saint du lieu très-saint) dans le temple se fendit en deux en se déchirant de haut en bas. La terre trembla et les rochers éclatèrent.
      52 Des tombes s’ouvrirent et les corps de plusieurs hommes de Dieu qui étaient morts ressuscitèrent.
      53 Ils quittèrent leurs tombeaux et, après la résurrection de Jésus, ils entrèrent dans la ville sainte, où beaucoup de personnes les aperçurent.
      54 En voyant le tremblement de terre et tout ce qui se passait, l’officier romain et les soldats qui gardaient Jésus furent saisis d’épouvante et s’écrièrent : — Vraiment, cet homme était bien le Fils de Dieu.
      55 Il y avait aussi, à quelque distance de là, plusieurs femmes qui avaient suivi Jésus depuis la Galilée, pour être à son service.
      56 Parmi elles, il y avait notamment Marie de Magdala, Marie, la mère de Jacques et de Joseph et la mère des fils de Zébédée.
      57 Vers le soir, un homme riche appelé Joseph, originaire de la ville d’Arimathée, se présenta. Lui aussi était devenu un disciple de Jésus.
      58 Il se rendit auprès de Pilate et lui demanda le corps de Jésus. Pilate donna l’ordre de le lui remettre.
      59 Alors, Joseph prit le corps, l’enroula dans un drap de lin très propre
      60 et le déposa dans le tombeau tout neuf qu’il s’était fait tailler pour lui-même dans le roc. Puis il fit rouler une grosse pierre devant l’entrée du tombeau et s’en alla.
      61 Or, Marie de Magdala et l’autre Marie restèrent assises là, en face de la tombe.
      62 Le lendemain de ce vendredi, les chefs des prêtres et une délégation de pharisiens se rendirent ensemble chez Pilate
      63 pour lui dire : — Seigneur, nous nous sommes rappelé que de son vivant, cet imposteur a dit : « Après trois jours, je ressusciterai ».
      64 Veuille donc donner des ordres pour que la tombe soit étroitement surveillée jusqu’à ce troisième jour. En effet, il faut à tout prix éviter que ses disciples ne viennent dérober le corps afin de pouvoir dire ensuite au peuple : « Il est ressuscité d’entre les morts ». Cette dernière tromperie serait encore pire que la première.
      65 Pilate leur déclara : — D’accord ! Voici des soldats. Assurez-vous de la protection du sépulcre et prenez toutes vos précautions pour le faire garder comme vous l’entendrez.
      66 Ils partirent donc et firent surveiller la tombe en postant des sentinelles pour monter la garde, après avoir apposé, en leur présence, des scellés sur la pierre.
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