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1
Je veux que vous vous rappeliez, frères, ce qui est arrivé à nos ancêtres du temps de Moïse. Ils ont tous été sous la protection du nuage et ils ont tous passé à travers la mer Rouge.
1
Parlons maintenant des dons du Saint-Esprit : Frères, je désire que vous connaissiez la vérité à propos de ces dons.
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Il y a diverses sortes de dons spirituels, mais c’est le même Esprit qui les accorde.
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Il y a diverses façons de servir, mais c’est le même Seigneur que l’on sert.
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Il y a diverses activités, mais c’est le même Dieu qui les produit toutes en tous.
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En chacun l’Esprit Saint se manifeste par un don pour le bien de tous.
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L’Esprit donne à l’un de parler selon la sagesse, et à un autre le même Esprit donne de parler selon la connaissance.
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Ce seul et même Esprit donne à l’un une foi exceptionnelle et à un autre le pouvoir de guérir les malades.
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L’Esprit accorde à l’un de pouvoir accomplir des miracles, à un autre le don de transmettre des messages reçus de Dieu, à un autre encore la capacité de distinguer les faux esprits du véritable Esprit. A l’un il donne la possibilité de parler en des langues inconnues et à un autre la possibilité d’interpréter ces langues.
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C’est le seul et même Esprit qui produit tout cela ; il accorde à chacun un don différent, comme il le veut.
1
Cherchez donc avant tout à recevoir l’amour. Désirez aussi les dons spirituels, surtout celui de transmettre les messages reçus de Dieu.
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Celui qui parle en des langues inconnues ne parle pas aux hommes mais à Dieu, car personne ne le comprend. Par la puissance de l’Esprit, il exprime des vérités mystérieuses.
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Mais celui qui transmet des messages divins parle aux autres pour les faire progresser dans la foi, pour les encourager et pour les consoler.
4
Celui qui parle en des langues inconnues est seul à en tirer profit, tandis que celui qui transmet des messages divins en fait profiter l’Église entière.
5
Je veux bien que vous parliez tous en des langues inconnues, mais je désire encore plus que vous puissiez transmettre des messages divins. En effet, celui qui donne de tels messages est plus utile que celui qui parle en des langues inconnues, à moins que quelqu’un ne soit capable d’expliquer ce qu’il dit afin que l’Église entière en profite.
6
Ainsi, frères, je vous le demande : quand je viendrai chez vous, si je vous parle en des langues inconnues, en quoi vous serai-je utile ? A rien, à moins que je ne vous communique une révélation, une connaissance, un message divin, ou encore un enseignement.
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Prenons l’exemple d’instruments de musique comme la flûte ou la harpe : si les notes ne sont pas données distinctement, comment reconnaîtra-t-on la mélodie jouée sur l’un ou l’autre de ces instruments ?
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Et si le joueur de trompette ne fait pas retentir un appel clair, qui se préparera au combat ?
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De même, comment pourra-t-on comprendre de quoi vous parlez si le message que vous exprimez au moyen de langues inconnues n’est pas clair ? Vous parlerez pour le vent !
10
Il y a bien des langues différentes dans le monde, mais aucune d’entre elles n’est dépourvue de sens.
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Cependant, si je ne connais pas une langue, celui qui la parle sera un étranger pour moi et moi un étranger pour lui.
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Ainsi, puisque vous désirez avec ardeur les dons de l’Esprit, cherchez à être riches surtout de ceux qui font progresser l’Église.
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Par conséquent, celui qui parle en des langues inconnues doit demander à Dieu le don d’interpréter ces langues.
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Car si je prie dans de telles langues, mon esprit est bien en prière, mais mon intelligence demeure inactive.
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Que vais-je donc faire ? Je prierai avec mon esprit, mais je prierai aussi avec mon intelligence ; je chanterai avec mon esprit, mais je chanterai aussi avec mon intelligence.
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En effet, si tu remercies Dieu uniquement en esprit, comment celui qui est un simple auditeur dans l’assemblée pourra-t-il répondre « Amen » à ta prière de reconnaissance ? Il ne sait vraiment pas ce que tu dis.
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Même si ta prière de reconnaissance est très belle, l’autre n’en tire aucun profit.
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Je remercie Dieu de ce que je parle en des langues inconnues plus que vous tous.
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Si quelqu’un pense être messager de Dieu ou pense avoir un don spirituel, il doit reconnaître dans ce que je vous écris un commandement du Seigneur.
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Nous voulons en effet que vous sachiez, frères, par quelles détresses nous avons passé dans la province d’Asie : le poids en a été si lourd pour nous, si insupportable, que nous désespérions de conserver la vie.
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C’est lui qui a fait des dons particuliers aux hommes : des uns il a fait des apôtres, d’autres des prophètes, d’autres encore des évangélistes, des pasteurs ou des enseignants.
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Frères, nous désirons que vous connaissiez la vérité au sujet de ceux qui sont morts, afin que vous ne soyez pas tristes comme les autres, ceux qui n’ont pas d’espérance.
8
Mais il est une chose que vous ne devez pas oublier, mes chers amis : c’est que, pour le Seigneur, un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour.
1 à 11 Les dons spirituels sont divers, mais tous produits pas le même Esprit.
Grec : "Touchant les spirituels." Il est évident par ce qui suit que le substantif sous-entendu c'est les dons et non les hommes (spirituels), comme on l'a prétendu.
L'apôtre consacre trois chapitres cet important sujet. (Ch. 12-14.)
"Cette partie de l'épître est sans contredit celle de tout le Nouveau Testament qui est le plus propre à faire revivre à nos yeux l'époque la plus remarquable de l'histoire, et à nous peindre ces premiers temps où la jeune Eglise commençait à étendre ses ailes dans l'humanité, et révélait son existence par les plus étonnants phénomènes. Au jour de la Pentecôte, la vie d'en haut s'était répandue comme un torrent sur les disciples du Seigneur. Le feu de l'Esprit de Dieu pénétra bientôt dans ces Eglises nouvellement nées, et produisit en ceux qui se placèrent sous son influence une profondeur de connaissance, une force de volonté, des transports de joie céleste inconnus à la terre, et dont l'éclat fut d'autant plus vif que ces Eglises apostoliques étaient entourées des profondes ténèbres du paganisme. Dans leur première et surabondante effusion, dans leur première lutte contre les puissances du monde et du mal, les dons de l'Esprit se manifestèrent par des faits merveilleux que nul ne pouvait expliquer selon les lois ordinaires de la nature. La puissance divine, par laquelle Christ avait agi sur le monde visible, semblait s'être répandue sur son Eglise entière ! Ces dons miraculeux de la jeune Eglise continuèrent à se produire, quoiqu'en diminuant par degrés, jusque vers la fin du IIIe siècle, c'est-à-dire jusqu'au temps où elle devint victorieuse du monde païen. C'est parmi les Grecs, et spécialement à Corinthe, que les dons de l'Esprit se manifestèrent avec le plus de puissance et de variété. Ils y parurent sous toutes les formes, (versets 8-10) dans leur ardente activité. Et comme plusieurs de ceux qui étaient doués de ces grâces si saintes en elles-mêmes, étaient loin encore d'une entière sanctification ; comme les penchants du vieil homme se mêlaient en eux aux dons de Dieu et en troublaient la pureté, il était difficile que l'exercice de ces dons ne fût pas accompagné de divers abus. C'est ce qui eut lieu particulièrement au sujet du don des langues, auquel les Corinthiens attachaient une valeur proportionnée à l'éclat qu'il faisait rejaillir sur ceux qui le possédaient. Afin de faire comprendre aux Corinthiens le vrai rapport du don des langues aux autres dons, l'apôtre jette d'abord un regard sur toutes ces manifestations de L'Esprit de Dieu : puis il montre, par l'analogie de l'organisme humain, que, dans l'Eglise de Dieu, tous les dons, malgré leur diversité, ont la même origine et le même but. (Chap. 12.) Il établit ensuite que ce qui couronne tous les dons, ce qui en fait la vraie valeur, ce qui doit les pénétrer d'une saveur divine, c'est l'amour. (Chap. 13.) Enfin il développe, sur le don des langues, les principes qui doivent en diriger l'emploi. (Chap. 14.)" Olshausen.
La variété et l'usage des dons spirituels. (1 Corinthiens 12:1-11)
Les dons spirituels sont des pouvoirs extraordinaires accordés aux chrétiens dès les premiers temps de l’église, pour convaincre les non-croyants et répandre l'Évangile.Dans le corps humain, chaque membre a sa place et son usage. (1 Corinthiens 12:12-26)
Ceci s’applique à l'Église. (1 Corinthiens 12:27-30)
Ce qu’il y a de plus excellent que les dons spirituels. (1 Corinthiens 12:31)
Les dons et les grâces sont de nature tout à fait différente. Les deux ont été octroyés librement par Dieu. La Grâce est accordée pour le salut de celui qui la possède. Les dons servent au bienfait et au salut des autres ; il peut y avoir abondance de dons, avec une dispensation modeste de la grâce.
Les dons extraordinaires du Saint-Esprit ont été octroyés dans certaines assemblées, comme celle des Corinthiens, dépourvus alors d’une réelle piété et d’amour fraternel authentique. Tels des païens, ils n'avaient pas vraiment été influencés par l'Esprit de Christ...
Personne ne peut appeler Christ « Seigneur », et prétendre Lui appartenir, sans posséder la foi que peut accorder le Saint-Esprit. Nul ne peut croire en son cœur que Jésus est le Christ, si ce n'est par le Saint-Esprit.
Il y a divers dons dans l’assemblée, diverses fonctions à remplir, provenant d'un même Dieu, d'un même Seigneur, d'un même Esprit : le Père, le Fils, et le Saint-Esprit, à l'origine de toutes bénédictions spirituelles. Personne ne peut disposer de ces dons à titre personnel. Plus un chrétien mettra ses dons à la disposition des autres, plus il tirera de ces derniers un bénéficie spirituel.
Les dons mentionnés dans ce texte sont en parfaite harmonie avec la doctrine chrétienne, comme par exemple, la connaissance de certains mystères de la Parole, ou une véritable aptitude à donner d’excellents conseils. On trouve également dans ce texte, le don de guérison, celui d'accomplir des miracles, d'expliquer l'Écriture, par un don particulier de l'Esprit, la capacité de parler et d’interpréter des langues...
Si nous avons une certaine connaissance de la Vérité, ou la moindre possibilité de La faire connaître, nous devons en donner toute la gloire à Dieu. Plus les dons sont importants, plus son détenteur est exposé à certaines tentations, plus il doit posséder la Grâce, nécessaire à son humilité et à sa spiritualité ; cette personne pourra être confrontée à de nombreuses expériences douloureuses, voire humiliantes.
Nous n'avons aucune raison de nous glorifier des dons qui nous sont octroyés, ni de mépriser ceux qui n'en ont pas.