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1
Il y avait au pays de Huts un homme appelé Job ; et cet homme était intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal.
19
Il emmène nus ceux qui sont en autorité, et il renverse les forts.
21
Il répand le mépris sur les principaux ; il rend lâche la ceinture des forts.
1
Pourquoi se mutinent les nations, et pourquoi les peuples projettent-ils des choses vaines ?
2
Les Rois de la terre se trouvent en personne, et les Princes consultent ensemble contre l'Eternel, et contre son Oint.
3
Rompons, [disent-ils], leurs liens, et jetons loin de nous leurs cordes.
4
Celui qui habite dans les cieux se rira d'eux ; le Seigneur s'en moquera.
5
Alors il leur parlera en sa colère, et il les remplira de terreur par la grandeur de son courroux.
6
Et moi, [dira-t-il], j'ai sacré mon Roi sur Sion, la montagne de ma Sainteté.
10
L'Eternel dissipe le conseil des nations, il anéantit les desseins des peuples ;
37
[Scin. ] Prends garde à l'homme intègre, et considère l'homme droit ; car la fin d'un tel homme est la prospérité.
11
Certes les principaux de Tsohan sont fous, les sages d'entre les conseillers de Pharaon sont un conseil abruti ; comment dites-vous à Pharaon ; je suis fils des sages, le fils des Rois anciens ?
12
Où sont-ils maintenant ? où sont, [dis-je], tes sages ? qu'ils t'annoncent, je te prie, s'ils le savent, ce que l'Eternel des armées a décrété contre l'Egypte.
13
Les principaux de Tsohan sont devenus insensés ; les principaux de Noph se sont trompés ; les Cantons des Tribus d'Egypte l'ont fait égarer.
23
C'est lui qui réduit les Princes à rien, et qui fait être les gouverneurs de la terre comme une chose de néant.
48
Soyez donc parfaits, comme votre Père qui est aux cieux est parfait.
22
Et celui qui a reçu la semence entre les épines, c'est celui qui écoute la parole de Dieu, mais l'inquiétude pour les choses de ce monde, et la tromperie des richesses étouffent la parole, et elle devient infructueuse.
21
Jésus lui dit : si tu veux être parfait, va, vends ce que tu as, et le donne aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel ; puis viens, et me suis.
8
Et le maître loua l'économe infidèle de ce qu'il avait agi prudemment. Ainsi les enfants de ce siècle sont plus prudents en leur génération, que les enfants de lumière.
25
Et qui as dit par la bouche de David ton serviteur : pourquoi se sont émues les Nations, et les peuples ont-ils projeté des choses vaines ?
26
Les Rois de la terre se sont trouvés en personne, et les Princes se sont joints ensemble contre le Seigneur, et contre son Christ.
27
En effet, contre ton saint Fils Jésus, que tu as oint, se sont assemblés Hérode et Ponce Pilate, avec les Gentils, et les peuples d'Israël,
28
Pour faire toutes les choses que ta main et ton conseil avaient auparavant déterminé qui seraient faites.
18
Car la parole de la croix est une folie à ceux qui périssent ; mais à nous qui obtenons le salut, elle est la vertu de Dieu.
19
Vu qu'il est écrit : j'abolirai la sagesse des sages, et j'anéantirai l'intelligence des hommes intelligents.
20
Où est le sage ? où est le Scribe ? où est le Disputeur de ce Siècle ? Dieu n'a-t-il pas manifesté la folie de la sagesse de ce monde ?
28
Et Dieu a choisi les choses viles de ce monde, et les méprisées, même celles qui ne sont point, pour abolir celles qui sont.
1
Pour moi donc, mes frères, quand je suis venu vers vous, je n'y suis point venu avec des discours pompeux, remplis de la sagesse [humaine], en vous annonçant le témoignage de Dieu.
8
[Et] laquelle aucun des princes de ce siècle n'a connue ; car s'ils l'eussent connue, jamais ils n'eussent crucifié le Seigneur de gloire.
13
Lesquelles aussi nous proposons, non point avec les paroles que la sagesse humaine enseigne, mais avec celles qu'enseigne le Saint-Esprit, appropriant les choses spirituelles à ceux qui sont spirituels.
20
Mes frères, ne soyez point des enfants en prudence, mais soyez de petits enfants en malice ; et par rapport à la prudence, soyez des hommes faits.
12
Car c'est ici notre gloire, [savoir] le témoignage de notre conscience, de ce qu'en simplicité et sincérité de Dieu, et non point avec une sagesse charnelle, mais selon la grâce de Dieu, nous avons conversé dans le monde, et particulièrement avec vous.
4
Desquels le Dieu de ce siècle a aveuglé les entendements, [c'est-à-dire], des incrédules, afin que la lumière de l'Évangile de la gloire de Christ, lequel est l'image de Dieu, ne leur resplendît point.
11
Au reste, mes frères, réjouissez-vous, tendez à vous rendre parfaits, soyez consolés, soyez tous d'un consentement, vivez en paix, et le Dieu de charité et de paix sera avec vous.
2
Dans lesquels vous avez marché autrefois, suivant le train de ce monde, selon le Prince de la puissance de l'air, qui est l'esprit qui agit maintenant avec efficace dans les enfants rebelles [à Dieu].
11
Lui-même donc a donné les uns [pour être] Apôtres, les autres [pour être] Prophètes, les autres [pour être] Evangélistes, les autres [pour être] Pasteurs et Docteurs.
12
Pour [travailler] à la perfection des Saints, pour l’oeuvre du ministère, pour l'édification du corps de Christ.
13
Jusqu'à ce que nous nous rencontrions tous dans l'unité de la foi, et de la connaissance du Fils de Dieu, dans l'état d'un homme parfait, dans la mesure de la parfaite stature de Christ ;
12
Non que j'aie déjà atteint [le but], ou que je sois déjà rendu accompli : mais je poursuis [ce but] pour tâcher d'y parvenir, c'est pourquoi aussi j'ai été pris par Jésus-Christ.
13
Mes frères, pour moi, je ne me persuade pas d'avoir atteint [le but] ;
14
Mais [je fais] une chose, [c'est qu'en] oubliant les choses qui sont derrière [moi], et m'avançant vers celles qui sont devant [moi], je cours vers le but, [savoir] au prix de la céleste vocation, [qui est] de Dieu en Jésus-Christ ;
15
C'est pourquoi, nous tous qui sommes parfaits ayons ce même sentiment ; et si en quelque chose vous avez un autre sentiment, Dieu vous le révélera aussi.
12
Epaphras, qui est des vôtres, Serviteur de Christ, vous salue, combattant toujours pour vous par ses prières, afin que vous demeuriez parfaits et accomplis en toute la volonté de Dieu.
14
Mais la viande solide est pour ceux qui sont déjà hommes faits, [c'est-à-dire], pour ceux qui pour y être habitués, ont les sens exercés à discerner le bien et le mal.
2
Car nous péchons tous en plusieurs choses ; si quelqu'un ne pèche pas en paroles, c’est un homme parfait, et il peut même tenir en bride tout le corps.
15
Car ce n'est pas là la sagesse qui descend d'en haut ; mais c'est [une sagesse] terrestre, sensuelle et diabolique.
10
Or le Dieu de toute grâce, qui nous a appelés à sa gloire éternelle en Jésus-Christ, après que vous aurez souffert un peu de temps, vous rende accomplis, vous affermisse, vous fortifie, [et] vous établisse.
L'apôtre, après avoir opposé le simple Evangile à la sagesse des hommes, (1Corinthiens 1.17-31 ; 2.1-5) montre maintenant que le contenu de sa prédication, compris dans sa vivante profondeur, est pourtant une sagesse.
Ostervald, avec sa négligence ordinaire des particules et des articles, en traduisant ici "la sagesse," met l'apôtre en contradiction avec lui-même, puisqu'il déclare si souvent qu'il ne prêche pas la sagesse.
Paul a bien soin de distinguer celle qu'il prêche de celle dont il a parlé précédemment ; c'est une sagesse, sans doute, mais une sagesse, non de ce siècle, etc. Il lui importe de ne pas laisser planer un malentendu sur son enseignement, comme si l'Evangile était incompatible avec la vraie sagesse, placée si haut déjà dans les livres de l'Ancien Testament.
Mais cette sagesse, quelle est-elle ? Calvin, et avec lui plusieurs interprètes, répondent que c'est simplement l'Evangile, tel que Paul le prêchait partout, et les parfaits auxquels il propose cette sagesse seraient les hommes intègres, d'un jugement sain et droit, qui reçoivent cet Evangile. Ces vues ne sont pas admissibles. (Voy. versets 13-15 ; comparez 1Corinthiens 3.1)
Ce mot : les parfaits ne suppose pas la perfection morale dans toute la rigueur de l'acception, sans doute ; mais bien, selon son sens étymologique en grec, ce qui a grandi, comme un homme fait, ce qui a mûri, comme un fruit, ou encore, ce qui a atteint son but.
Dans son sens moral, appliqué au développement de l'âme, ce mot désigne l'homme qui a, en soi, le principe de la perfection, et déjà, jusqu'à un certain degré, la maturité, la stature de l'homme fait. (Comparer 1Corinthiens 3.1 ; 14.20, où ce mot est opposé à l'état d'enfance ; Ephésiens 4.13 ; Philippiens 3.15)
Or, à ceux qui ont atteint cette maturité, à ceux qu'il peut appeler des hommes spirituels, parce qu'ils ne sont plus ni "charnels," ni des "enfants en Christ," (1Corinthiens 3.1) l'apôtre dit qu'il propose l'Evangile, non plus comme "une folie" (ils ne le considèrent plus ainsi), mais comme une sagesse.
Pour eux, en effet, chez qui "la parole de la croix" a vaincu la fausse et orgueilleuse sagesse qui leur faisait voir dans l'Evangile une folie ; pour ces hommes déjà mûris par une expérience personnelle de la vie chrétienne, i1 est possible, non seulement de proposer la vérité sous d'autres formes, mais de dérouler à leurs yeux les doctrines les plus profondes de la révélation, de leur en faire saisir l'enchaînement. (Hébreux 5.12-14 ; 6.1)
Au nombre des vérités que l'apôtre appelle "le lait des enfants" sont la repentance, la foi en Jésus-Christ, etc. Parmi les doctrines dont l'étude doit occuper les méditations des chrétiens plus mûrs, on peut nommer : l'enchaînement harmonique des institutions de l'Anc. et du Nouveau Testament pour le salut de l'humanité ; les perspectives du règne de Jésus-Christ dans son accomplissement futur ; la glorification graduelle de Dieu comme Père, Fils et Saint-Esprit dans les révélations divines ; la souveraineté de la grâce de Dieu, manifestée librement en ceux qu'elle appelle et sanctifie pour le salut, sans détruire leur liberté ni leur responsabilité.
Ce sont ces doctrines, en effet, qui font le plus vivement sentir la nécessité et aussi la divine beauté de la révélation. Du reste, ces doctrines de la sagesse chrétienne ne renferment rien qui ne se trouvât en germe dans les premiers éléments de la foi ; les apôtres ne connaissent point de vérités secrètes réservées à des initiés seulement ; il ne s'agit donc ici que de la vérité, saisie avec plus ou moins de profondeur et d'ensemble. Dans les versets suivants, versets 7-12, l'apôtre explique d'ailleurs lui-même ce qu'il entend par la sagesse.
Cette sagesse n'est ni de ce siècle (aïôn, l'économie présente), qui ne peut pas même la reconnaître comme telle, ni des principaux de ce siècle (Grec : "archontes"), par où il faut entendre, soit les grands, les puissants, les gouvernants de ce siècle, comme le prouve verset 8 ; soit ceux qui dominent par la sagesse, la science, l'éloquence, etc.
- Ces mots qui vont être anéantis (Grec : "étant anéantis, abolis, rendus inutiles") sont employés par l'apôtre au présent, parce qu'il voit ce jugement de Dieu sur les grandeurs de ce siècle déjà exercé, soit par l'Evangile qui "abolit la sagesse des sages," soit par l'action constante du temps sur ce monde qui "passe avec sa convoitise." (Comparer 1Corinthiens 1.28)
Dieu de grands desseins pour ceux qui l'aiment et qui s'attendent à Lui, desseins que les hommes sont incapables de découvrir par eux-mêmes, que nul enseignement de ce monde ne peut leur révéler.
Sachons découvrir dans l'Écriture, ce que le Seigneur a préparé pour nous, selon ce qu’Il Lui a plu de nous révéler !