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1 Corinthiens 4.6

Dans ce que je viens de dire, j’ai parlé de moi et d’Apollos pour appliquer à un cas concret les principes généraux que j’aimerais vous inculquer. Je voudrais que, par exemple, vous appreniez la leçon donnée par cette maxime : « Rien au-delà de ce qui est écrit », c’est-à-dire que vous soumettiez votre jugement sur les hommes à l’Écriture. Cessez donc de vous opposer les uns aux autres en vous considérant comme les champions de maîtres rivaux. Laissez tomber ces comparaisons vaniteuses, ces engouements déplacés qui vous font exalter l’un aux dépens de l’autre.
C'est à cause de vous, frères, que j'ai fait de ces choses une application à ma personne et à celle d'Apollos, afin que vous appreniez en nos personnes à ne pas aller au delà de ce qui est écrit, et que nul de vous ne conçoive de l'orgueil en faveur de l'un contre l'autre.
Or, frères, j'ai tourné ceci sur moi et sur Apollos, à cause de vous, afin qu'en nous, vous appreniez à ne pas élever vos pensées au-dessus de ce qui est écrit, afin que vous ne vous enfliez pour l'un contre un autre.
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    • Nombres 11

      Job 11

      Psaumes 8

      Psaumes 146

      Esaïe 2

      Jérémie 17

      5 Celui qui place sa confiance en l'homme, sera comme la bruyère dedans le désert, comme un arbre nu, un triste arbuste, le produit d'une terre stérile, inutile et sans valeur. Ceux qui se confient en leur propre droiture et en leurs forces, pensant qu'ils peuvent agir sans le secours de Christ, ne s'appuient que sur la « chair », et leur âme ne peut prospérer, loin de toute Grâce ou de tout réconfort.

      Ceux, par contre, qui fondent leur espérance en Dieu, s'épanouiront tels des arbres florissants, dont la feuille ne se flétrit point. Ils vivront l'esprit en paix, pleinement satisfaits ; ils ne seront pas anxieux au temps de la sécheresse. Ceux qui font de Dieu leur « Assurance », trouveront en Lui tout ce dont ils ont besoin. Ils ne cesseront pas de porter le fruit de la sainteté et des bonnes œuvres.

      Le cœur, (« la conscience de l'homme »), dans son état de chute et de corruption, est trompeur par-dessus tout. Il appelle le mal, bien et le bien, mal ; il change l'amertume en douceur. Le cœur est désespérément mauvais ; il est destiné à mourir, inéluctablement. Il est en effet très néfaste, de voir la conscience, dont le rôle est de révéler nos erreurs, nous bercer par de vaines illusions. Nous ne pouvons pas connaître l'état réel de notre cœur, ni savoir quelle sera notre conduite, à l'heure de la tentation. Qui peut comprendre ses propres erreurs ? Combien est-il encore plus difficile de sonder le cœur des autres, ou pire, pouvoir compter sur eux !

      Celui qui, à ce sujet, s'appuie sur les directives divines, et apprend à observer son propre cœur, en constatera le triste état, et en tirera les leçons destinées à diriger sa conduite en conséquence.

      Mais il reste encore dans notre cœur, comme d'ailleurs dans celui des autres, beaucoup d'inconnu : que de méchanceté y réside, Dieu la discerne très bien ! Les hommes peuvent se tromper eux-mêmes, mais on ne peut leurrer Dieu. Celui qui acquiert des richesses par des procédés peu recommandables, ne pourra jamais en tirer une joie paisible, alors qu'il croit pouvoir fonder tout son espoir en elles.

      Tout ceci montre bien les déceptions qu'un tel homme du monde ressentira à la veille de sa mort, sachant qu'il doit laisser ses richesses derrière lui ! Bien que ces dernières ne puissent pas quitter cette terre, il en sera autrement pour la culpabilité d'un homme : elle sera pour lui un tourment éternel.

      L'homme riche se met en peine pour obtenir des biens ; une fois acquis, il les « couve » et devrait pouvoir se reposer ; mais en fait, il n'est jamais satisfait : les voies du péché de la convoitise ont finalement été vaines.

      Soyons sages, réagissons à temps ! Que ce que nous acquérons puisse l'être en toute honnêteté ; sachons être charitables avec ce que nous possédons, nous en tirerons alors une sagesse éternelle !

      Matthieu 23

      Jean 3

      Romains 12

      3 L’orgueil est un péché naturel dont nous avons besoin d'être avertis.

      Tous les saints forment un corps en Christ, Celui qui en est la Tête et le Centre. Dans le corps spirituel quelques-uns sont parfaitement aptes à accomplir certaines tâches, auxquelles ils sont appelés ; d'autres sont destinés à des services différents.

      Nous devons accomplir tout le bien dont nous sommes capables, les uns envers les autres, dans l'intérêt commun. Si nous prenions conscience sérieusement des capacités dont nous sommes dotés, (et que nous sommes loin d’exploiter correctement), cela nous rendrait plus reconnaissants envers Dieu. Mais comme nous ne devons pas être fiers de nos talents, nous ne devons pas, de la même manière, sous prétexte d'humilité, devenir oisifs, afin de ne pas chercher à « vivre aux crochets » des autres. Nous ne devons pas dire : « je ne suis rien, donc je vais rester encore assis et ne rien faire » ; tenons plutôt ces propos : « je ne suis rien par moi-même, mais je me donnerai à l'extrême, dans la force de la Grâce de Christ » !

      Quels que soient nos dons, notre situation, cherchons à servir humblement, avec diligence, dans la joie et en toute simplicité, non pas en recherchant notre propre intérêt, mais celui des autres, pour ce monde et celui qui est à venir !

      1 Corinthiens 1

      1 Corinthiens 3

      5 Les serviteurs de Dieu, au sujet desquels les Corinthiens étaient divisés, n'étaient que des instruments utilisés par le Seigneur.

      Nous ne devons pas mettre les serviteurs de Dieu à la place du Seigneur ! Celui qui « plante » et celui qui « arrose » ne sont qu'un, tous deux n’ayant qu’un seul Maître ; ils se basent sur le même fondement spirituel, ils doivent avoir le même objectif, le même travail et le même engagement.

      Leurs dons sont différents mais proviennent d'un seul et même Esprit, pour servir de tout leur cœur, vers les mêmes buts. Ceux qui travaillent avec le plus d’énergie iront le plus loin. Ceux qui sont les plus fidèles auront la plus grande récompense. Tous travaillent ensemble avec Dieu, pour promouvoir Sa Gloire, et le salut des âmes ; Le Seigneur connaît leurs œuvres, Il veillera à ce qu'ils ne travaillent pas en vain. Ils sont à Son service et Il veillera sur eux avec soin !

      1 Corinthiens 4

      1 Corinthiens 5

      1 Corinthiens 8

      1

      Le danger d'être fier de ses connaissances. (1 Corinthiens 8:1-6)
      Le mal qu'il y a à offenser des frères vulnérables. (1 Corinthiens 8:7-13)

      Il n'y a pas de meilleure preuve d'ignorance que la vanité de la connaissance ! On peut acquérir beaucoup de savoir, sans pouvoir l’appliquer à un noble but.

      Ceux qui estiment, avec fierté, posséder une grande instruction, sont en fait les moins aptes à en faire bon usage. Satan les tente par ce type d’orgueil, comme il le fait pour d'autres, en les attirant dans les pièges de la sensualité. La connaissance qui enfle celui qui pense la posséder, est aussi dangereuse que l’orgueil de celui qui estime être juste : cela se vérifie dans leur conduite.

      Sans amour fraternel, toute connaissance humaine est sans valeur. Les païens ont des dieux (ou des idoles), à qui ils se consacrent plus ou moins : ces derniers sont bien nombreux ! En fait, ils n’ont aucune réalité.

      Les chrétiens possèdent un Dieu unique, omnipotent, qui a tout créé. Un seul Dieu, « Dieu le Père », qui représente la Divinité unique, absolue, digne de recevoir toute leur adoration. Le Seigneur Jésus-Christ, « Emmanuel », Nom qui signifie « Dieu manifesté en chair », est Un avec le Père, et avec nous ; Christ est notre Médiateur, le Seigneur de tout ; en Lui, nous venons au Père, et par Lui, Dieu nous adresse toutes bénédictions, sous l'influence et l'œuvre du Saint-Esprit.

      Sachons nous éloigner de toute adoration envers les nombreuses idoles, qui ne sont de véritables dieux que pour les païens ; refusons tout culte voué aux saints ou aux anges, mais éprouvons-nous pour savoir si nous venons vraiment à Dieu, par la foi en Christ !

      1 Corinthiens 9

      1 Corinthiens 13

      4 Ce texte nous montre quelques « bénéfices » apportés par l’amour, afin que nous puissions juger si nous les possédons, ou dans le cas contraire, que nous ne cessions de les rechercher. L’amour est une preuve tangible de notre régénération spirituelle, il est à la base de notre foi en Christ.

      Dans cette belle description de la nature et des effets de l'amour, l’apôtre désirait montrer aux Corinthiens que leur conduite était, sous de nombreux aspects, loin d’être en phase avec ces préceptes. La charité (l’amour) est totalement opposée à l'égoïsme ; elle ne désire ni ne cherche sa renommée, son honneur, son profit, ni sa satisfaction. Elle ne cherche pas à anéantir spécialement notre amour-propre, ni nos intérêts. Elle ne se satisfait jamais en blessant les autres, ou en les négligeant. Elle recherche toujours le bien-être et l’avantage personnel de notre prochain.

      L’amour du chrétien est vraiment merveilleux ! Quel beau témoignage pourrait avoir le christianisme, si ceux qui le professent vivaient davantage sous ce principe divin, en considérant l’intérêt qui lui est dû, et en respectant le commandement que son Auteur merveilleux a institué à son sujet !

      Demandons-nous si cet amour divin demeure en notre cœur. Guide-t-il notre comportement envers tous les hommes ? Sommes-nous disposés à laisser de côté notre égoïsme ? Nous avons dans ce texte un véritable appel à la vigilance, à l'assiduité, et la prière !

      2 Corinthiens 4

      2 Corinthiens 10

      7 Paul paraissait sévère au premier abord, certains même, le craignaient ; en fait, tous ces préjugés étaient erronés.

      Nous ne devons pas penser qu’une personne n'appartient pas à Christ, au simple vu de sa conduite : ne la jugeons pas selon son apparence extérieure ; l’absence de certains traits de comportement ne peut prouver qu'un homme ne soit pas un véritable chrétien, ou un fidèle serviteur de notre humble Sauveur.

      12 Il serait bon de ne nous comparer qu’à ceux qui nous dépassent brillamment, ce serait un excellent trait de modestie !

      L'apôtre se fixe une bonne règle de conduite : il ne désire pas se vanter démesurément, autrement que dans les limites que Dieu lui a assignées. Rien ne peut nous induire davantage en erreur, que de juger des personnes (et leurs opinions) selon nos propres critères. Il est relativement commun de juger notre piété d'après les opinions et les règles de ce monde ! Mais quelle différence, au contraire, avec le jugement de la Parole de Dieu !

      Nos propres compliments sont les pires. Au lieu de nous séduire nous-mêmes, efforçons-nous de chercher l'approbation divine. En un mot, glorifions le Seigneur pour notre salut, et pour tout ce qui démontre l'évidence de Son Amour, ou les moyens de promouvoir Sa Gloire.

      Au lieu de nous complimenter nous-mêmes, ou de rechercher l'éloge de notre entourage, recherchons l'honneur qui ne provient que de Dieu !

      2 Corinthiens 11

      2 Corinthiens 12

      Colossiens 2

      18 Le fait de s’adresser uniquement aux anges pouvait faire croire à une fausse humilité, comme si les hommes, conscients de leur indignité, ne pouvaient parler directement à Dieu. Cette pensée n'avait en fait aucun sens ; elle pouvait signifier en effet : ne pas oser usurper l’honneur d’approcher le Père, honneur revenant seulement à Christ, en ne permettant pas à la créature d’approcher le Créateur. Il y avait vraiment de l'orgueil dans ce semblant d'humilité.

      Ceux qui vouent un culte aux anges répudient Christ, le seul Médiateur entre Dieu et les hommes. Le fait de faire appel à des intercesseurs autres que Christ en personne, représente une véritable insulte à ce Dernier, la Tête de l'Église. Quand les hommes nient l'influence de Christ en leur cœur, ils se vouent alors à diverses sortes d’égarements...

      Le corps de Christ est un élément qui croît. Les véritables croyants ne peuvent pas vivre selon les vaines manières de ce monde. La véritable sagesse consiste à suivre les préceptes de l'Évangile, dans une soumission entière à Christ, l’unique chef de Son église.

      Les pénitences et les jeûnes que l'on peut s'imposer, peuvent donner aux autres l’impression d’une rare spiritualité et d’une bonne disposition à souffrir pour le Seigneur, mais en fait, cela ne rend aucun honneur à Dieu. Ce genre d’activité peut tendre, dans une vaine manière, à satisfaire l'esprit charnel, en gratifiant l’amour propre, une soi-disant sagesse, et une satisfaction personnelle, (avec un éventuel mépris des autres.) Ces activités ne sont qu'une ostentation de pseudo sagesse ou un semblant de témoignage, sans utilité, ni satisfaction de la chair.

      Ce que le Seigneur a considéré comme sans importance, estimons-le comme tel, laissons cependant aux autres toute liberté en ce sens ; souvenons-nous que toutes les activités de ce monde ne sont qu’éphémères, cherchons vraiment à glorifier Dieu, quant à leur usage...

      1 Thessaloniciens 1

      2 Timothée 2

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