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11
Je garde tes enseignements dans mon cœur pour ne pas pécher contre toi.
38
Vous ne croyez pas celui que le Père a envoyé. C’est pourquoi vous n’accueillez pas ses paroles.
31
Jésus dit aux Juifs qui ont cru en lui : « Si vous restez fidèles à mes paroles, vous serez vraiment mes disciples.
7
Si vous restez attachés à moi, et si mes paroles restent en vous, demandez ce que vous voulez, et vous l’aurez.
10
Enfin, devenez forts avec la force très puissante du Seigneur.
13
Je suis capable de tout cela grâce au Christ qui me rend fort.
11
Sa puissance magnifique vous rendra forts pour tout. Alors vous résisterez et vous supporterez tout avec patience.
16
Que la parole du Christ habite parmi vous avec toute sa richesse. Donnez-vous des enseignements et des conseils avec toute la sagesse possible. Remerciez Dieu de tout votre cœur, en chantant des psaumes, des hymnes et des cantiques qui viennent de l’Esprit Saint.
1
Toi, mon fils, cherche à devenir toujours plus fort grâce à l’amour du Christ Jésus.
10
Le Seigneur ajoute : Voici l’alliance que je vais établir avec le peuple d’Israël après ces jours-là. Je leur donnerai de l’intelligence pour connaître mes lois, j’écrirai celles-ci dans leur cœur. Je serai leur Dieu et ils seront mon peuple.
10
Nous disons peut-être : « Nous n’avons pas commis de péchés. » Dans ce cas, nous faisons de Dieu un menteur, et sa parole n’est pas en nous.
13
Vous, les parents, je vous dis : « Vous connaissez celui qui existe depuis toujours. » Vous, les jeunes, je vous dis : « Vous avez vaincu le Mauvais. »
14
Vous, les enfants, je vous dis encore : « Vous connaissez le Père. » Vous, les parents, je vous dis encore : « Vous connaissez celui qui existe depuis toujours. » Vous, les jeunes, je vous dis encore : « Vous êtes forts, la parole de Dieu reste en vous, et vous avez vaincu le Mauvais. »
2
Nous vous aimons parce que la vérité reste en nous, et elle sera avec nous pour toujours.
3
J’ai été très heureux quand des frères sont arrivés. En effet, ils ont rendu témoignage à la vérité qui est en toi : oui, tu vis dans la vérité.
3
Tu restes patient : tu as souffert à cause de moi et tu n’as pas été découragé.
7
« Celui qui a des oreilles, qu’il écoute ce que l’Esprit Saint dit aux Églises ! « Aux vainqueurs, je donnerai à manger les fruits de l’arbre de vie qui est dans le jardin de Dieu. »
Ils ont obtenu le pardon de leurs péchés à cause de son nom, du nom de Jésus-Christ, de ce nom par lequel il s'est révélé à eux comme le Sauveur.
Ensuite, pour rendre son exhortation plus incisive, l'apôtre interpelle ses lecteurs selon leurs divers âges : pères, jeunes gens. Ces termes sont pris au sens propre, et non comme désignant divers degrés de l'expérience chrétienne.
- Jean dit trois fois : je vous écris, et trois fois : je vous ai écrit (selon Sin., B. majuscules).
Quelques interprètes pensent que le verbe au passé se rapporte à ce qui précède dans l'épître, le verbe au présent à ce qui va suivre.
D'autres voient dans ce changement de temps, comme dans la répétition des assurances données aux pères et aux jeunes gens, l'intention de l'auteur de confirmer ce qu'il vient de dire pour l'affermissement de leur foi : "Je vous l'écris et je n'ai rien à en retrancher, je vous l'ai écrit, cela subsiste." (Comparer une expression semblable dans Jean 19.22).
Quelques interprètes pensent que le mot j'écris se rapporte à cette lettre, et le mot j'ai écrit, à un autre ouvrage de l'apôtre, à l'Evangile ou à une lettre perdue.
Beaucoup plus naturelle est l'explication qui admet que le présent se rapporte à la lettre dans son ensemble ou à l'acte même d'écrire, (1Jean 1.4 ; 2.1) et le passé à ce qu'il a déjà écrit dans cette lettre et spécialement aux dernières paroles, (versets 3-11) qui présentent l'obéissance aux commandements de Dieu, notamment à celui de l'amour fraternel, comme la condition essentielle de la vie en Dieu. Pour posséder celle-ci, les chrétiens doivent remplir une autre condition, négative, que Jean va indiquer. (versets 15-17)
- Quant aux grâces spéciales que l'apôtre rappelle a ses frères pour leur affermissement, il présente d'abord à tous (mes petits enfants, verset 12) l'assurance du pardon de leurs péchés à cause du nom de Jésus ; car cette assurance seule, avec la paix et la liberté qu'elle procure, peut élever le chrétien audessus de tous les doutes, le préserver de tous les dangers, en lui donnant un filial accès auprès de Dieu qui est sa force.
Aux pères, l'apôtre rappelle deux fois (versets 13,14) qu'ils ont eu le bonheur de connaître (versets 5,6, note) depuis longtemps le Sauveur, Celui qui est dès le commencement, (1Jean 1.1) et de faire déjà l'expérience de sa fidélité et de son amour. Comment donc ne pas se confier en lui jusqu'à la fin ?
Aux jeunes gens, il redit deux fois (versets 13,14) que, malgré la puissance des tentations qui assaillent leur âge, ils ont vaincu le malin, (1Jean 3.12 ; 5.18,19) qu'ils sont forts en Dieu (Luc 11.21 ; Ephésiens 6.10) et par sa parole qui demeure en eux. (2Timothée 2..) Comment maintenant deviendraient-ils lâches pour le combat, perdant ainsi tous les fruits de leurs victoires ?
Enfin, aux chrétiens de tout âge, qu'il embrasse de nouveau dans ce terme de tendresse : petits enfants, l'apôtre aime à rappeler qu'ils ont eu, dès leur entrée dans la vie, l'immense privilège de connaître Dieu comme un tendre Père dont l'amour réclame justement tout leur cœur, toute leur vie. Que ces paroles devaient être puissantes pour tous, venant d'un apôtre qui avait vieilli dans les combats où il encourage ses frères !