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1 Pierre 3.1

Je voudrais m’adresser à présent aux femmes mariées : que chacune d’entre vous soit de même soumise à son mari, pour que ceux d’entre eux qui refusent de croire à la parole, soient gagnés à la foi, sans parole, par le témoignage silencieux de votre vie quotidienne,
Femmes, soyez de même soumises à vos maris, afin que s'il y en a qui n'obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans la parole, par la conduite de leurs femmes ;
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      Genèse 3

      16 La femme, par son péché, est condamnée à souffrir et à être assujettie ; les punitions à ce manquement, ont été déterminées après qu'elle ait succombé au désir de ses yeux, de sa chair et de son orgueil. Le péché n'apporte que souffrance et tristesse dans le monde, ce qui provoque des torrents de larmes. Ne cherchons pas l'origine de tous nos soucis quand nous vivons dans le péché. Le commandement divin « Il dominera sur toi » s'adresse aux épouses. Si l'homme n'avait pas péché, il aurait tout régi avec sagesse et amour ; de même, la femme aurait obéi avec douceur et humilité. Adam a fait porter la responsabilité de la faute à sa femme ; mais bien qu'Ève soit en faute d'avoir persuadé son mari de manger du fruit défendu, il revient à Adam de porter la responsabilité de l'avoir écoutée. Ainsi, au jour du Jugement, les indulgences demandées par les hommes quant à leurs frivolités, se retourneront contre eux. Dieu a montré son déplaisir envers Adam. Premièrement, en maudissant son environnement habitable. Dieu avait donné à la descendance humaine une terre où il faisait bon vivre ; celle-ci est maintenant souillée par le péché humain. Adam n'a pas été maudit, comme le serpent le fut, uniquement le sol en subit les conséquences. Deuxièmement son travail et ses plaisirs sont tachés d'amertume. Le travail est notre devoir, il doit être accompli avec fidélité ; toute pratique d'oisiveté finira par être condamnée. Les désagréments et la fatigue dus au travail ne sont qu'une juste rétribution que nous devons subir avec patience ; et ce n'est même pas la punition que nous devrions avoir à cause de notre péché.

      Bien que l'homme ne soit pas astreint à manger la poussière, comme le serpent, il en est réduit à se nourrir avec l'herbe des champs. Troisièmement, la durée de sa vie sera réduite ; si l'on considère tous les ennuis qui lui sont échus après la chute, c'est presque une faveur de lui avoir donné peu de jours à vivre ici-bas.

      Bien que la mort soit redoutable par nature, et bien triste, même à la fin d'une vie bien remplie, cela aboutit toujours par cette punition. Le péché a apporté la mort dans le monde : si Adam n'avait pas commis d'iniquité, il ne serait pas mort. Il a ouvert le chemin de la tentation, mais le Seigneur a pallié à sa faute. Quelle satisfaction admirative nous pouvons avoir, devant la mort et les souffrances expiatoires de notre Seigneur Jésus !

      Il a ainsi subi la sentence prévue à l'origine pour nos premiers parents. Est-ce que les douleurs de l'enfantement sont survenues par le péché ? Nous pouvons lire en, Isa 53:11 à quel point l'âme de Christ a souffert ; Il a souffert jusqu'à la mort, Actes 2:24. Est-ce que la servitude est survenue par le péché ? Christ est né sous la loi, Galates 4:4. Il a été fait malédiction pour nous, Il a été maudit dans Sa mort, Galates 3:13. Les épines sont-elles venues par le péché ?

      Notre Sauveur a été couronné d'épines, pour nous. Est-ce que la sueur est survenue par le péché ? Il a été couvert de sueur pour nous, il a été couvert de grumeaux de sang. Est-ce que la douleur est due au péché ? Il a été fait homme de douleur ; pendant Son agonie, Son âme a été au comble de la souffrance. Est-ce que la mort est survenue suite au péché ? Il a été obéissant jusqu'à la mort. Le remède est proportionnel à la blessure. Béni soit Dieu pour son Fils, notre Seigneur Jésus-Christ.

      Esther 1

      Proverbes 11

      Proverbes 18

      Matthieu 18

      15 Si celui qui professe être chrétien, est offensé par quelqu'un, il ne doit pas se plaindre aux autres, comme c'est souvent le cas, mais aller, en privé, vers celui qui l’a blessé, afin de lui exposer le problème avec bonté, et lui montrer sa conduite répréhensible. Cette démarche (vers ce chrétien authentique), devrait généralement produire tout l'effet désiré, et les deux parties devraient être ainsi réconciliées.

      Ces principes peuvent s’appliquer n'importe où et en toutes circonstances, mais ils sont hélas bien souvent négligés par tous. La conduite que Christ enseigna expressément à Ses disciples est hélas peu suivie !

      Dans tous nos différends, nous devons chercher les directives à suivre par la prière : ne sous-estimons pas les promesses divines. Où que ce soit, et à chaque fois que nous nous rencontrons au Nom de Christ, nous devons considérer ce Dernier comme présent parmi nous.

      Romains 6

      Romains 7

      Romains 10

      1 Corinthiens 7

      1 Corinthiens 9

      1 Corinthiens 11

      1 Corinthiens 14

      34 Lorsque l'apôtre exhorte les femmes chrétiennes à s'informer sur des sujets religieux, auprès de leur mari à la maison, il montre que les familles croyantes doivent se réunir, afin de développer leur connaissance spirituelle.

      L'Esprit de Christ ne peut jamais se contredire lui-même ; si les révélations spirituelles que peuvent avoir les femmes, sont contraires à celles de l'apôtre, c’est qu’elles ne proviennent pas du même Esprit.

      La poursuite de la paix, de la vérité, et de l'ordre dans l'église, consiste à rechercher ce qui est bon pour cette dernière : savoir supporter ce qui n'est pas nuisible à son bien-être, en observant un bon comportement, de l'ordre et de la décence, lors des rassemblements.

      Ephésiens 5

      22 Les épouses doivent rester soumises à leurs maris, « dans » le Seigneur : cela implique qu’elles doivent les honorer et leur obéir, par amour pour eux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leurs épouses.

      L'amour de Christ pour l'église nous sert d’exemple : un exemple sincère, pur et constant, malgré les « chutes » éventuelles de cette dernière. Christ s'est donné Lui-même pour l'Église, afin qu'Il puisse la sanctifier en ce monde et la glorifier, plus tard, dans le ciel ; Il s’est sacrifié pour elle, afin de donner à tous ses membres, par l’influence du Saint-Esprit, (dont l'eau du baptême est la représentation extérieure), un principe de sainteté et les délivrer de toute culpabilité, de toute pollution spirituelle et de tout esclavage provoqué par le péché.

      L'Église et les croyants ne seront pas sans taches ni sans rides, tant qu'ils ne seront pas parvenus à connaître la gloire céleste. Seuls ceux qui sont sanctifiés, pourront ensuite être glorifiés.

      Les paroles mentionnées par l'apôtre, relatives au mariage, rappellent celles concernant Adam et Ève, dans la Genèse ; elles ont cependant un sens complémentaire, en ce qui concerne l'union entre Christ et Son église. Cette union est évidemment une allégorie.

      S’il peut y avoir des échecs et des chutes dans cette relation Christ-Église, à cause de notre nature humaine, cela ne change rien quant à l’existence réelle de cette union.

      Tous les devoirs concernant le mariage sont contenus dans l'unité et l'amour. Pendant qu’au sein de l’Église, nous adorons Christ et que nous nous réjouissons dans Son amour condescendant, les maris et leurs épouses apprennent ici quels sont leurs devoirs mutuels. Si cette ordonnance biblique était mieux respectée, les plus terribles épreuves conjugales pourraient être prévenues et leurs conséquences douloureuses seraient ainsi évitées.

      Colossiens 3

      18 Les épîtres, surtout destinées à afficher la gloire de la Grâce Divine, et à magnifier le Seigneur Jésus, montrent explicitement quels sont les devoirs de la vie chrétienne. En fait, nous ne devons jamais séparer nos privilèges, des devoirs que nous dicte l'Évangile.

      Les épouses doivent être soumises à leur mari. Il ne s’agit pas ici d’une soumission « aveugle », à un seigneur violent, ni à un tyran sévère, mais à leur propre mari, ce qui doit être un véritable engagement et un devoir affectueux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leur épouse avec une tendre et fidèle affection. Quant aux enfants obéissants, ce sont les plus aptes à prospérer. Les parents doivent les élever avec tendresse.

      Les serviteurs doivent s’appliquer à leur tâche et obéir aux ordres de leurs maîtres en tous points, accomplissant ainsi leur devoir envers Dieu, leur Maître céleste. Ils doivent être à la fois, justes et appliqués, sans préjugés égoïstes, sans hypocrisie, ni fausse conduite. Les serviteurs qui craignent Dieu sont justes et fidèles lorsqu'ils œuvrent sous le regard de leur maître, car ils savent que Dieu les regarde également. Ils travaillent avec diligence, efficacement et sans paresse ; ils accomplissent leur tâche dans la joie, satisfaits de constater que la Providence divine les a placés ainsi. Pour encourager de tels serviteurs, qu'ils sachent qu'en servant leurs maîtres, sous le regard de Christ, ils servent en fait ce Dernier, qui, à la fin, leur attribuera leur récompense glorieuse. Par contre, celui qui accomplit mal sa tâche recevra sa juste rétribution. Dieu punira le serviteur injuste, comme Il récompensera celui qui est fidèle ; il en va de même pour les maîtres qui agissent mal envers leurs subordonnés : le Juge de la terre agira en toute Justice envers ces maîtres et ces serviteurs. Les deux se tiendront sur une « balance », au jour du Jugement.

      La véritable piété pourrait vraiment rendre le monde heureux, si elle prédominait en tous lieux, influençant chaque situation et chaque relation de vie ! Mais les contestataires permanents, peu soucieux d’accomplir leurs devoirs, se trompent eux-mêmes, tout en adressant leurs reproches injustifiés à l'Évangile.

      Colossiens 4

      2 Thessaloniciens 1

      1 Timothée 2

      Tite 2

      Hébreux 5

      Hébreux 11

      8 Nous sommes souvent appelés à détacher nos liens qui nous lient au monde, à perdre nos intérêts et nos commodités d’ici-bas. Si nous sommes les « héritiers de la foi d'Abraham », nous obéirons et irons de l'avant, bien que nous ne sachions pas ce qui nous attend ; nous emprunterons alors le chemin du devoir, espérant fermement l'accomplissement des promesses de Dieu.

      L'épreuve de la foi d'Abraham consistait simplement à obéir totalement à l'appel de Dieu. Sara reçut la « promesse » comme étant celle de Dieu ; étant ainsi convaincue, elle estima avec assurance que non seulement, ce Dernier pouvait, exécuter cette promesse, mais qu’Il le ferait.

      Beaucoup de personnes, auxquelles Dieu a fait des promesses, ne reçoivent pas immédiatement ce qui leur a été promis. La foi peut faire patienter, en vue de bénédictions lointaines, comme les voir s’accomplir très rapidement ; elle peut se réjouir en ces bénédictions, bien que nous soyons « qu'étrangers » ici-bas : la demeure des saints (ou des pèlerins) se trouve en effet dans le ciel ! Par la foi, ces derniers sont vainqueurs sur l’anxiété que peut provoquer la mort, ils sont prêts à dire « au revoir » à ce monde, à toutes ses plaisir comme à toutes ses souffrances.

      Les coupables qui ont été jadis véritablement sauvés et appelés vers le Royaume céleste, n'ont aucunement l'envie de revenir en ce monde. Tous les croyants authentiques aspirent à l'héritage céleste ; plus leur foi est déterminée, plus ils sont fervents de cœur ! Malgré les dégâts qu’ont pu occasionner leurs péchés, et la pauvreté de leur condition spirituelle, Dieu n'a pas honte d'être appelé LEUR Dieu ; telle est Sa Miséricorde et Son Amour envers eux. Que les rachetés n'aient jamais honte d'être appelés Son peuple, ni de faire partie de ceux qui sont tant méprisés ici-bas ! Par dessus tout, qu'ils veillent à ce qu'ils ne soient l’objet d’aucune honte ni d’aucun reproche envers leur Dieu.

      L'épreuve et l'acte de foi les plus grands, cités dans la Parole, se retrouvent dans l'offrande qu'a faite Abraham, avec son fils Isaac, Ge 22:2. Dans ce texte, chaque terme retrace une épreuve.

      Notre devoir consiste à distinguer et à dissiper nos doutes éventuels et nos craintes, en regardant, comme l’a fait Abraham, à la Toute-puissance divine. La meilleure façon d’apprécier tout ce que nous possédons est de tout remettre à Dieu ; Il continuera alors à nous octroyer ce qu’il y a de meilleur.

      Considérons quelle a été notre obéissance à Dieu, lorsque qu’Il nous a appelés à des actes de bien moindre envergure que ceux qui sont cités dans ce texte. Avons-nous abandonné tout ce que nous avions, totalement persuadés que le Seigneur compenserait toutes nos pertes, et nous bénirait par Ses dispensations, même celles qui pourraient nous paraître les plus affligeantes ?

      Jacques 5

      19 Un saint homme, ou un sage, ne doit pas se vanter d'être à l'abri de toute erreur, ni refuser de reconnaître une faute. On trouve toujours quelque erreur doctrinale, à l’origine de chaque maladresse. Certaines personnes sont foncièrement mauvaises, s’adonnant à de mauvais principes...

      La conversion se définit ainsi : le fait qu’un pécheur change les voies qu’il pratique ; il ne s’agit pas d’un simple détour, ni d'une notion différente de pensée, mais d’un changement radical. Il n'y a rien d’efficace ni d’absolu pour cacher le péché, il est nécessaire de l'abandonner complètement. De nombreux péchés sont de véritables entraves à la conversion, influençant négativement de nombreuses personnes...

      Le salut d'une âme est infiniment plus important que la préservation des nombreuses vies, ou du bien-être d'un peuple entier. Gardons ces vérités à l'esprit, n'économisons pas notre peine pour le service de Dieu : ce qui en découle prouvera que notre travail n'est pas vain dans le Seigneur.

      Depuis plus de six mille ans Dieu a multiplié Ses pardons ; Sa Grâce, entièrement gratuite, n'est ni fatiguée ni affaiblie ! Il est certain que la Miséricorde divine est comparable à un océan immense. Puisse le Seigneur nous donner une part de cette Miséricorde abondante, à travers le sang de Christ, et la sanctification de l'Esprit !

      1 Pierre 1

      1 Pierre 3

      1 Pierre 4

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