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1 Rois 18.21

Et Élie s'approcha de tout le peuple, et dit : Combien de temps hésiterez-vous entre les deux côtés ? Si l'Éternel est Dieu, suivez-le ; et si c'est Baal, suivez-le ! Et le peuple ne lui répondit mot.
Élie s’avança devant tout le peuple et dit : « Quand cesserez-vous de sautiller tantôt sur un pied, tantôt sur l’autre ? Ou bien c’est le Seigneur qui est le vrai Dieu, et alors rendez un culte au Seigneur ! Ou bien c’est Baal qui est le vrai Dieu, et alors rendez un culte à Baal ! » Mais personne dans le peuple ne répondit.
Elijah came near to all the people, and said, "How long will you waver between the two sides? If Yahweh is God, follow him; but if Baal, then follow him." The people answered him not a word.
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      Genèse 24

      Genèse 44

      Exode 5

      1

      Le mécontentement de Pharaon ; Il augmente la charge des enfants d'Israël. (Exode 5:1-9)
      La souffrance des enfants d'Israël ; La complainte de Moïse envers Dieu. (Exode 5:10-23)

      Malgré l'état misérable du peuple d'Israël, Dieu désire le sauver au temps marqué, par l'intervention de Moïse. Pharaon méprisait toutes les requêtes de délivrance qui lui étaient adressées par le patriarche. Il ne connaissait pas Jéhovah, il ne le craignait nullement, ni ne l'aimait, ce qui le conduisait à refuser de lui obéir. Un tel orgueil de Pharaon, une telle cupidité et une si grande ambition politique ne pouvaient que le conduire à sa perte. Ce que Moïse et Aaron demandaient, était tout à fait raisonnable : ils n'ont fait que transmettre une demande pour laisser aller le peuple trois jours dans le désert.

      Il en va de même dans notre conduite chrétienne : nous devons réserver du temps pour offrir nos sacrifices spirituels au Seigneur, notre Dieu.

      Le raisonnement de Pharaon, qui soutenait que les enfants d'Israël étaient paresseux et qu'en conséquence, il n'était pas pensable de les laisser partir pour offrir des sacrifices, était un raisonnement absurde. Il se méprenait complètement en voulant par ce fait, augmenter leur charge de travail.

      De nos jours, il est fréquent de rencontrer des personnes plus disposées à formuler des reproches envers leurs voisins qui consacrent quelques heures au service de Dieu, plutôt que de blâmer les autres, qui s'adonnent aux plaisirs iniques de ce monde.

      Ce refus de Pharaon était vraiment inhumain. Moïse et Aaron, dans cette lutte, en portaient indirectement les conséquences. Les persécuteurs prennent un certain plaisir à mépriser et à éprouver les serviteurs de Dieu. Le quota habituel de production de briques devait être atteint, malgré le manque de fourniture de paille nécessaire à leur fabrication. Une telle augmentation de charge de travail devait finalement être annoncée au peuple : elle ne pouvait que lui briser les reins, ou en cas de non accomplissement, provoquer la punition.

      Deutéronome 4

      Josué 24

      15 Il est essentiel que ceux qui veulent servir Dieu, le fassent avec un esprit résolu. Le véritable amour est le principal sentiment qui peut faire naître en nous la volonté d'être à Son service. Le Père désire seulement qu'on L'adore, en esprit et en vérité. Le côté charnel humain est inimitié contre Dieu, et de ce fait, nous rend incapable de Lui adresser toute adoration spirituelle, d'où la nécessité d'être nés de nouveau.

      Un grand nombre d'enfants d'Israël se contentèrent d'accomplir simplement les tâches qui leur étaient imposées. Josué les plaça face à leur responsabilité : rester indifférent, ou servir l'Éternel ; « choisissez qui vous voulez servir, c'est à vous de décider ». Avant sa mort, le patriarche désirait faire cette déclaration au peuple, quel que soit le choix de ce dernier.

      Ceux qui sont assurés d'aller au ciel, doivent s'attendre à cheminer contre tous les courants contraires. Ils ne doivent pas suivre la majorité, mais au contraire, ceux qui pratiquent le bien. Personne ne peut prétendre avoir une conduite parfaite, en toutes circonstances, à moins qu'il ne se soumette devant Dieu, avant d'entreprendre toute action.

      Les Israélites furent d'accord avec Josué, étant influencés par l'exemple du patriarche, si richement béni.

      Beaucoup veulent servir le Seigneur. Ils doivent alors bien observer la conduite des hommes pieux : quelle est leur influence vis-à-vis des autres, quel zèle ils manifestent pour accomplir leur tâche.

      Josué exhorta les enfants d'Israël à servir l'Éternel de tout leur cœur. Ils durent d'abord renoncer à accomplir cette tâche par eux-mêmes, ce qui aurait été une chose vaine. Cette consécration du peuple pour Dieu étant le résultat d'un choix délibéré, Josué scella ce vœu par une cérémonie solennelle : il érigea un monument. Ce fut pratiquement la dernière manifestation extérieure du patriarche. Si les enfants d'Israël sombraient à nouveau dans le péché, leur sang retomberait sur leur tête. Que ce soit dans la maison de Dieu, à la table du Seigneur, ou même dans divers lieux où nous avons promis solennellement de Le servir devant des témoins, nous pouvons être assurés que si nous défaillons, étant tentés de L'abandonner, Il saura placer la crainte dans notre cœur pour nous remettre dans le droit chemin. Dieu seul peut nous accorder la Grâce de bénir nos tentatives d'engagement à Son service !

      1 Samuel 7

      1 Rois 18

      21 Dans ce texte, nous voyons que plusieurs, parmi le peuple d'Israël, ne savaient plus à quel dieu se fier : finalement, ils se tournèrent vers l'Éternel. Élie invita tous les enfants d'Israël à déterminer, entre Jéhovah ou Baal, quel était vraiment le Dieu suprême, le Créateur, le Gouverneur, et le Juge du monde, le Seul qui soit digne d'être suivi.

      Il est dangereux d'hésiter, sans prendre de décision, entre le service de Dieu et l'asservissement du péché, la domination de Christ et celle de nos convoitises. Si Jésus est le Seul qui puisse nous sauver, sachons nous confier en Lui en toutes choses ; si la Bible représente véritablement pour nous, la Parole de Dieu, sachons L'honorer et La recevoir entièrement, en soumettant notre raisonnement humain à l'enseignement divin qu'elle contient.

      Élie proposa de mettre à l'épreuve les faux prophètes. Baal était alors majoritairement vénéré en Israël, mais cela n'a pas intimidé le prophète de l'Éternel. Il s'écria : « le dieu qui répondra par le feu sera Dieu ». L'expiation divine ne pouvait être faite que par le biais d'un sacrifice, avant que le Jugement de l'Éternel ne soit transformé en Miséricorde. Dieu, ayant la faculté de pardonner le péché, par le biais d'un sacrifice, est le Seul qui puisse sauver les Siens de la fatalité de la mort. L'Éternel n'a jamais exigé que Ses adorateurs emploient pour L'honorer, les mêmes rites que ceux utilisés pour Baal ; malgré le fait que le service du diable puisse satisfaire et choyer le corps, il comporte d'autres caractéristiques, telles que la cruauté, l'envie et l'ivresse.

      Dieu nous demande de mortifier les convoitises et les corruptions auxquelles nous sommes sujets ; mais les pénitences et les brutalités corporelles ne Lui procurent aucune satisfaction. Qui exigeait que les prêtres de Baal se fassent de telles incisions ? Quelques mots exprimés avec une foi sereine, accompagnée d'une ardente affection pour la Gloire de Dieu et d'un amour pour l'âme de notre prochain, ainsi que la soif de recevoir la faveur et la présence du Seigneur, constituent les éléments de la prière efficace et fervente du « juste », prière qui sera loin d'être vaine. Élie n'a pas cherché sa propre gloire, mais celle de Dieu, pour le bien du peuple. Tous les enfants d'Israël furent convaincus et satisfaits par le miracle divin ; Jéhovah est le seul Dieu.

      Il est certain que plusieurs, parmi le peuple, furent convaincus de la Puissance divine, sans toutefois se convertir à Dieu.

      Bénis soient ceux qui n'ont pas connu les évènements relatés dans ce texte et qui ont cru en l'Éternel : leur cœur a été alors davantage touché par Sa Parole que celui des hommes qui virent ce miracle.

      2 Rois 17

      1 Chroniques 17

      2 Chroniques 33

      Job 40

      Psaumes 100

      Sophonie 1

      Matthieu 6

      Matthieu 22

      34 Un docteur de la loi posa une question à notre Seigneur pour L'éprouver, tant sur Ses connaissances, que sur Son jugement. L'amour pour Dieu est le premier et le plus grand commandement, l’essentiel de la première table de la loi.

      Notre amour pour Dieu doit être sincère, il ne doit pas être constitué uniquement de paroles.

      Notre amour sera toujours bien modeste, comparé à celui du Seigneur pour nous ; nous devons en conséquence, engager tous les moyens dont dispose notre âme pour nous tourner vers Lui, dans la consécration.

      Aimer notre prochain comme nous-mêmes est le deuxième grand commandement. L’amour du « moi », source des plus grands péchés, doit être étouffé, il doit être chassé et mortifié ; il existe, malgré tout, un amour de notre propre personne, qui régit le plus grand de nos devoirs : celui de nous préoccuper du salut de notre âme et de notre être.

      Nous devons aimer notre prochain avec la même ferveur et la même droiture que nous-mêmes ; dans de nombreux cas nous devrions faire abnégation de nous-mêmes... pour le bien des autres.

      Que ces deux commandements puissent « façonner » nos cœurs !

      Luc 6

      Romains 3

      19 Il est vain de vouloir rechercher la justification par les œuvres de la loi. Tous les hommes doivent plaider coupable. L’âme qui est fautive devant Dieu, se trouve dans un terrible état ; nul homme ne peut être justifié par la loi qui le condamne pour ne pas l’avoir respectée. La corruption de notre nature enrayera toujours toute tentative de justification par nos propres œuvres.

      Romains 6

      16 Tout homme est serviteur d’un maître, auquel il doit rendre des comptes, qu’il s’agisse des culpabilités de son cœur, qui conduisent à la mort, ou de l'obéissance nouvelle et spirituelle implantée par la régénération.

      Dans ce texte, l'apôtre se réjouit de voir les nouveaux convertis obéir de tout cœur à l'Évangile, auquel ils se conforment en tous points. De même que du métal prenant la forme d’un vase neuf, quand il est fondu et versé dans un moule, le croyant, né de nouveau, devient une autre créature. Il y a ainsi une grande différence dans la liberté de pensée de l’impie et l'esprit du croyant : ils sont opposés quant à leur « esclavage » ; cela permet au véritable chrétien, assurant le service de son Seigneur légitime, de Le considérer comme son Père, tout en sachant qu’il est lui-même Son fils et Son héritier, par l'adoption de la Grâce.

      Quand on est dominé par le péché, on en devient esclave, volontairement, sans en détester, hélas, le pouvoir néfaste. Ceux qui sont maintenant serviteurs de Dieu, étaient jadis esclaves du péché.

      21 Le plaisir et le profit du péché ne sont absolument pas ses « fruits ». Les pécheurs ne sont que des « semeurs d'iniquité et de vanité », ne moissonnant que les mauvais fruits qui en résultent. La honte est arrivée dans le monde avec le péché, et elle en est encore une manifestation certaine. Le fruit du péché, c'est la mort. Bien que le chemin de l’iniquité puisse paraître agréable et attirant, il ne finira cependant qu'en amertume.

      Devant une telle constatation, le croyant est libre, il est affranchi de l’esclavage du péché. Si le fruit de son existence est la sainteté, s'il connaît une croissance spirituelle active, sous le régime de la Grâce véritable, il connaîtra la vie éternelle, en fait, une fin très heureuse ! Bien que ce chemin de la sainteté, étroit et épineux, culmine au « sommet d'une colline », difficile à gravir, il mène cependant à la vie éternelle.

      Le don de Dieu est la vie éternelle. Ce don s’acquiert par le biais de notre Seigneur Jésus-Christ. Christ l'a « acheté », l'a préparé, nous y prépare et nous préserve ; Il représente tout notre salut !

      1 Corinthiens 10

      2 Corinthiens 6

      Apocalypse 3

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