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50
Laban et Betouel répondirent : « C’est le Seigneur qui a dirigé ces événements. Nous n’avons pas à en discuter.
16
« Que pourrions-nous dire, Monsieur l’Administrateur ? répondit Juda. Que pourrions-nous dire pour prouver notre innocence ? Dieu nous a démasqués : nous sommes coupables. Nous serons donc tes esclaves, avec celui qui avait la coupe dans son sac. »
1
Après ces événements, Moïse et Aaron allèrent trouver le Pharaon et lui dirent : « Voici ce qu’ordonne le Seigneur, Dieu d’Israël : “Laisse partir mon peuple, pour qu’il aille célébrer une fête en mon honneur dans le désert.” »
2
Le Pharaon répondit : « Qui est ce Seigneur à qui je devrais obéir en laissant partir les Israélites ? Je ne le connais pas et je ne vous laisserai pas partir ! »
35
Vous avez eu le privilège de voir cela, afin que vous sachiez que le Seigneur seul est Dieu, qu’il n’y a pas d’autres dieux que lui.
15
Si cela ne vous convient pas, alors choisissez aujourd’hui les dieux auxquels vous rendrez votre culte : par exemple ceux que vos ancêtres adoraient de l’autre côté de l’Euphrate, ou ceux des Amorites dont vous habitez le pays. Mais ma famille et moi, nous servirons le Seigneur. »
23
« Alors, dit Josué, débarrassez-vous des dieux étrangers qui se trouvent chez vous et attachez-vous de tout votre cœur au Seigneur, le Dieu d’Israël. »
24
Le peuple lui répondit : « Oui, nous voulons servir le Seigneur notre Dieu et obéir à ses ordres. »
3
Alors Samuel leur dit : « Si c’est de tout votre cœur que vous revenez au Seigneur, cessez d’adorer les idoles d’Astarté et de tous les autres dieux étrangers ; attachez-vous au Seigneur et servez-le, lui seul ; alors il vous sauvera du pouvoir des Philistins. »
39
Lorsque les Israélites virent cela, ils s’inclinèrent tous jusqu’à terre, puis ils se mirent à crier : « C’est le Seigneur qui est le vrai Dieu ! C’est le Seigneur qui est le vrai Dieu ! »
41
Ainsi, d’un côté, ils adoraient le Seigneur, et de l’autre, ils servaient leurs idoles ; et après eux, leurs enfants et tous leurs descendants ont continué de faire la même chose jusqu’à maintenant.
26
Seigneur, c’est toi qui es Dieu, et tu me promets maintenant ce bonheur !
13
et il le supplia d’avoir pitié. Dieu se laissa fléchir : il exauça sa requête, le ramena à Jérusalem et le rétablit dans sa royauté. Dès lors Manassé sut que le Seigneur est le seul vrai Dieu.
4
Je suis peu de chose. Que puis-je te répondre ? Je me mets la main sur la bouche et je me tais.
5
J’avais osé parler, je ne dirai plus rien. J’avais même insisté, je ne le ferai plus.
3
Sachez-le : c’est le Seigneur qui est Dieu, c’est lui qui nous a faits, et nous sommes à lui. Nous sommes son peuple, le troupeau dont il est le berger.
5
Je détruirai ceux qui montent sur les toits en terrasse pour adorer les astres, ceux qui célèbrent leur culte et prêtent serment tantôt en mon nom, tantôt au nom du dieu Milkom.
24
« Personne ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra le premier et aimera le second ; ou bien il s’attachera au premier et méprisera le second. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent. »
12
Il lui demanda : “Mon ami, comment es-tu entré ici sans costume de fête ?” Mais l’homme ne répondit rien.
34
Quand les Pharisiens apprirent que Jésus avait réduit au silence les Sadducéens, ils se réunirent.
36
« Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? »
13
Quand le jour parut, il appela ses disciples et en choisit douze qu’il nomma apôtres :
19
Nous savons que tout ce que dit la loi, elle le dit à ceux qui sont soumis à la loi, afin que nul ne puisse ouvrir la bouche pour se justifier et que le monde entier soit reconnu coupable devant Dieu.
16
Vous le savez bien : si vous vous mettez au service de quelqu’un pour lui obéir, vous devenez les esclaves du maître auquel vous obéissez ; il s’agit soit du péché qui conduit à la mort, soit de l’obéissance à Dieu qui conduit à une vie juste.
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Mais Dieu soit loué : vous qui étiez auparavant esclaves du péché, vous avez maintenant obéi de tout votre cœur au modèle présenté par l’enseignement que vous avez reçu.
18
Vous avez été libérés du péché et vous êtes entrés au service de ce qui est juste.
19
J’emploie cette façon humaine de parler à cause de votre faiblesse naturelle. Auparavant, vous vous étiez mis tout entiers comme esclaves au service de l’impureté et du mal qui produisent la révolte contre Dieu ; de même, maintenant, mettez-vous tout entiers comme esclaves au service de ce qui est juste pour mener une vie sainte.
20
Quand vous étiez esclaves du péché, vous étiez libres par rapport à ce qui est juste.
21
Qu’avez-vous gagné à commettre alors des actes dont vous avez honte maintenant ? Ces actes mènent à la mort !
22
Mais maintenant vous avez été libérés du péché et vous êtes au service de Dieu ; vous y gagnez d’être dirigés dans une vie sainte et de recevoir, à la fin, la vie éternelle.
21
Vous ne pouvez pas boire à la fois à la coupe du Seigneur et à la coupe des démons ; vous ne pouvez pas manger à la fois à la table du Seigneur et à la table des démons.
22
Ou bien voulons-nous susciter la jalousie du Seigneur ? Pensez-vous que nous soyons plus forts que lui ?
14
N’allez pas vous placer sous le même joug que les incroyants, d’une manière absurde. Comment, en effet, ce qui est juste pourrait-il s’associer à ce qui est mauvais ? Comment la lumière pourrait-elle s’unir à l’obscurité ?
15
Comment le Christ pourrait-il s’entendre avec le diable ? Ou bien, qu’est-ce qu’un croyant peut avoir en commun avec un incroyant ?
16
Quel accord peut-il y avoir entre le temple de Dieu et les idoles païennes ? Car nous sommes, nous, le temple du Dieu vivant, comme Dieu lui-même l’a dit : « Je demeurerai et je marcherai avec eux, je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. »
15
Je connais ton activité ; je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. Si seulement tu étais l’un ou l’autre !
16
Mais tu n’es ni bouillant ni froid, tu es tiède, de sorte que je vais te vomir de ma bouche !
Jusques à quand clocherez-vous... ? D'un côté ils se laissaient entraîner par les séductions du culte de Baal et, de l'autre, ils ne pouvaient se résoudre à rompre entièrement avec le Dieu national, Jéhova. Cette position indécise et inconséquente doit cesser. Il faut choisir le Dieu que vous servirez.
Il est dangereux d'hésiter, sans prendre de décision, entre le service de Dieu et l'asservissement du péché, la domination de Christ et celle de nos convoitises. Si Jésus est le Seul qui puisse nous sauver, sachons nous confier en Lui en toutes choses ; si la Bible représente véritablement pour nous, la Parole de Dieu, sachons L'honorer et La recevoir entièrement, en soumettant notre raisonnement humain à l'enseignement divin qu'elle contient.
Élie proposa de mettre à l'épreuve les faux prophètes. Baal était alors majoritairement vénéré en Israël, mais cela n'a pas intimidé le prophète de l'Éternel. Il s'écria : « le dieu qui répondra par le feu sera Dieu ». L'expiation divine ne pouvait être faite que par le biais d'un sacrifice, avant que le Jugement de l'Éternel ne soit transformé en Miséricorde. Dieu, ayant la faculté de pardonner le péché, par le biais d'un sacrifice, est le Seul qui puisse sauver les Siens de la fatalité de la mort. L'Éternel n'a jamais exigé que Ses adorateurs emploient pour L'honorer, les mêmes rites que ceux utilisés pour Baal ; malgré le fait que le service du diable puisse satisfaire et choyer le corps, il comporte d'autres caractéristiques, telles que la cruauté, l'envie et l'ivresse.
Dieu nous demande de mortifier les convoitises et les corruptions auxquelles nous sommes sujets ; mais les pénitences et les brutalités corporelles ne Lui procurent aucune satisfaction. Qui exigeait que les prêtres de Baal se fassent de telles incisions ? Quelques mots exprimés avec une foi sereine, accompagnée d'une ardente affection pour la Gloire de Dieu et d'un amour pour l'âme de notre prochain, ainsi que la soif de recevoir la faveur et la présence du Seigneur, constituent les éléments de la prière efficace et fervente du « juste », prière qui sera loin d'être vaine. Élie n'a pas cherché sa propre gloire, mais celle de Dieu, pour le bien du peuple. Tous les enfants d'Israël furent convaincus et satisfaits par le miracle divin ; Jéhovah est le seul Dieu.
Il est certain que plusieurs, parmi le peuple, furent convaincus de la Puissance divine, sans toutefois se convertir à Dieu.
Bénis soient ceux qui n'ont pas connu les évènements relatés dans ce texte et qui ont cru en l'Éternel : leur cœur a été alors davantage touché par Sa Parole que celui des hommes qui virent ce miracle.