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1 Thessaloniciens 4.9

Concernant l’amour fraternel, vous n’avez pas besoin d’instructions écrites de ma part, car Dieu vous a lui-même appris à vous aimer mutuellement.
Quant à la charité fraternelle, vous n'avez pas besoin que je vous en écrive, parce que vous-mêmes vous êtes enseignés de Dieu à vous aimer l'un l'autre.
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    • Lévitique 19

      Psaumes 133

      1

      L'excellence de l'amour fraternel.

      - Nous ne dirons jamais assez combien il serait bon que les peuples vivent ensemble, en paix. Cette pensée doit nous encourager car elle apporte des délices intarissables à ceux qui vivent dans l'unité. Un tel agrément est semblable à de l'huile sanctifiée, pour l'onction. C'est le fruit de l'Esprit, la preuve de notre union avec Christ et l'ornement de Son évangile. C'est à la fois profitable et plaisant. Cela apporte des bénédictions aussi nombreuses que les gouttes de rosée.

      Cette fraternité étouffe les feux des passions qui embrasent les hommes, comme la rosée rafraîchit la terre. Cette rosée humecte le cœur et le prépare à recevoir la semence de la Parole, pour la faire fructifier. Contemplez la preuve de l'excellence de l'amour fraternel : quand les frères demeurent ensemble, dans l'unité, le Seigneur ordonne et bénit. Dieu ordonne la bénédiction ; l'homme, quant à lui, ne peut qu'implorer cette bénédiction. Les croyants qui vivent dans l'amour et la paix auront tout de suite cet amour et cette paix de Dieu en eux, ils seront en Lui, à jamais, dans un monde d'amour et de paix éternels. Que tous puissent aimer le Seigneur et pardonner patiemment, comme Dieu, à cause de Christ, qui a pardonné à tous.

      Esaïe 51

      Jérémie 31

      Matthieu 22

      Jean 6

      Jean 13

      Jean 14

      Jean 15

      Actes 4

      32 Les disciples s'aimaient mutuellement. Ce sentiment résultait des préceptes que Christ leur donna, ainsi que de Sa prière à leur égard, lors de Sa mort à la croix. Ainsi en était il alors, et il en sera encore ainsi, quand l'Esprit sera répandu du ciel, sur nous !

      Les disciples prêchaient la doctrine de la résurrection de Christ ; de cet enseignement, lorsqu'il est correctement donné, découlent tous les devoirs, tous les privilèges, et toutes les consolations des chrétiens.

      Dans les paroles et dans les actes des apôtres, se manifestaient les fruits évidents de la Grâce de Christ. Ils étaient en ce monde, « morts spirituellement ». C'était de toute évidence, la présence de la Grâce de Dieu en eux ! Ils n’abandonnèrent pas leurs différents biens, mais leur cœur n’y était plus attaché. Ils ne déclaraient pas que ces biens leur appartenaient, parce qu'ils avaient, par affection, tout abandonné pour Christ, voulant ainsi se débarrasser de tout, pour mieux s'attacher à Lui.

      Il n'est pas étonnant de voir qu’ils ne formaient « qu'un même cœur » et qu'une « même âme », puisqu'ils étaient spirituellement très éloignés des richesses de ce monde. Ils avaient en effet tout en commun ; ils veillaient à ce que chacun ne manque de rien. L'argent était déposé aux pieds des apôtres...

      Une grande attention doit être apportée à la distribution de la charité publique, pour que l’on puisse donner à celui qui est dans le besoin, ou à celui qui n'est pas capable de subvenir à son nécessaire vital ; ceux qui donnent tout ce qu’ils peuvent pour faire le bien témoignant ainsi d'une bonne conscience, doivent être aidés.

      Ce texte mentionne une personne particulièrement remarquable quant à sa charité généreuse : il s’agit de Barnabas. Il se destinait à être un prédicateur de l’évangile, voulant se détacher des affaires de ce monde. Quand de telles dispositions de cœur prédominent chez une personne et sont exercées en des circonstances opportunes, le témoignage qui en ressort est déterminant pour les autres !

      Romains 12

      Ephésiens 5

      1

      Exhortation à l'amour fraternel. (Ephésiens 5:1,2)
      Avertissements relatifs à différents péchés. (Ephésiens 5:3-14)
      Directives pour changer de comportement, sur les devoirs relationnels. (Ephésiens 5:15-21)
      Les devoirs des épouses et des maris sont affermis par la relation spirituelle, entre Christ et l'Église. (Ephésiens 5:22-33)

      Puisque Dieu, grâce à l’œuvre de Christ à la croix, a pardonné tous vos péchés, « suivez » le Seigneur, soyez Ses « imitateurs » !

      Cherchez à Lui ressembler, particulièrement dans Son Amour et Sa Miséricorde, comme lui ressemblent les bien-aimés du Père.

      Dans le sacrifice de Christ, c’est Son amour qui triomphe ; sachons pleinement le considérer !

      1 Thessaloniciens 4

      9 Nous devons distinguer chez les autres, leurs bons côtés, dignes d’être honorés, pour que nous puissions les exhorter à y abonder de plus en plus.

      Tous ceux qui suivent les préceptes divins doivent s'aimer les uns les autres. L'enseignement de l'Esprit surpasse celui des hommes ; ce dernier est souvent vain et inutile, s’il n'est pas « cadré » par celui de Dieu.

      Ceux qui abondent dans la Grâce, ont toujours besoin de La faire croître et de persévérer ainsi jusqu'à la fin. Il est très désirable de posséder un tempérament calme et serein, d'avoir un comportement doux et paisible. Le but de Satan est de nous déstabiliser et nous avons, par nature, toutes les prédispositions pour être inquiets ; attachons-nous donc à rester sereins en toutes occasions !

      Ceux qui sont toujours agités et qui s’occupent sans cesse des affaires des autres, ont finalement peu de paix au cœur ; ils causent bien souvent de grands problèmes à leur prochain. Ils suivent rarement l'exhortation donnée dans ce texte : être appliqués dans l’exercice de leur devoir et travailler de leurs propres mains.

      Le christianisme n’est pas incompatible avec le travail ni avec l’exercice de notre devoir, il nous apprend à nous appliquer dans ce sens. Les déchéances des civilisations sont souvent dues à l’oisiveté, elles sont responsables de nombreux désordres ; ceux, par contre, qui sont appliqués, dans l’exercice de leur devoir, gagnent leur propre pain, en éprouvant ainsi un réel bonheur !

      1 Thessaloniciens 5

      1

      L'apôtre Paul exhorte les fidèles à être toujours prêts, lors de la venue de Christ pour juger la terre, évènement négligé par les impies et qui surprendra beaucoup de personnes. (1 Thessaloniciens 5:1-11)
      Paul mentionne plusieurs devoirs particuliers. (1 Thessaloniciens 5:12-22)
      Il conclut par une prière, par des salutations et une bénédiction. (1 Thessaloniciens 5:23-28)

      Il n’y a aucun intérêt, ni utilité à se poser des questions sur le moment précis du retour de Christ. Ce Dernier ne l'a même pas révélé aux apôtres.

      Différents évènements marquent cependant le temps : il est de notre devoir et de notre intérêt de les remarquer et de les observer ; quant au temps auquel nous devrons être jugés, nous ne le connaissons pas : le Seigneur n'a pas jugé nécessaire de nous le dévoiler.

      La venue de Christ ici-bas surprendra beaucoup de personnes. Notre Seigneur Lui-même l'a annoncé : chacun doit subir le trépas ; le jugement dernier devant s’appliquer à toute l'humanité, les mêmes remarques à ce sujet s’adressent à tous.

      La seconde venue de Christ terrifiera les impies. Leur destruction les surprendra dans leur vaine conduite, leurs illusions et leurs frivolités. Il n'y aura aucune possibilité d'échapper à la terreur ou au châtiment de ce jour particulier, jour qui sera merveilleux pour les « enfants de Dieu ». Ces derniers ne connaîtront pas les ténèbres : ils sont en effet des enfants de la Lumière ! Telle est l’heureuse condition de tous les véritables chrétiens.

      Combien, cependant, se persuadent faussement d’être en paix et en sécurité, alors qu’au dessus de leur tête plane l’anéantissement total que le ciel leur réserve...

      Efforçons-nous de rester « éveillés » spirituellement, exhortons-nous les uns les autres dans cette pensée, et restons vigilants à l’égard de nos « ennemis spirituels ».

      Hébreux 8

      Hébreux 10

      Hébreux 13

      1

      Exhortations à divers devoirs, à nous contenter de ce que la Providence nous alloue. (Hébreux 13:1-6)
      Respecter les directives des pasteurs fidèles, avertissements contre ce qui peut être suggéré par des doctrines étrangères à la Parole. (Hébreux 13:7-15)
      Exhortations supplémentaires aux devoirs, envers Dieu, notre prochain, et envers ceux qui nous dirigent dans le Seigneur. (Hébreux 13:16-21)
      Cette épître doit être sérieusement considérée. (Hébreux 13:22-25)

      Le dessein de Christ, en se livrant Lui-même pour nous, à la croix, a été de racheter les pécheurs, en vue de constituer un « peuple particulier », zélé pour les bonnes œuvres.

      La véritable piété provoque un lien d’amitié fraternelle, le plus intense qui soit.

      Nous trouvons dans ce texte de sérieuses exhortations, relatives à différents devoirs chrétiens, avec en particulier, celle du contentement. Plusieurs péchés s’opposent à cela : la cupidité, désir inassouvi de gagner de l’argent ici-bas, et la jalousie envers ceux qui en ont beaucoup plus que nous. Possédant des trésors spirituels dans le ciel, nous pouvons nous contenter du « moindre » ici-bas, ce que nous accorde en fait le Seigneur.

      Ceux qui n’obéissent pas à cette exhortation, restent sans cesse en quête de possession, bien que Dieu ait parfois élevé leur condition en ce monde.

      Adam, dans le jardin d’Éden, a connu le paradis, mais cependant, par son péché, n’était pas satisfait d’une telle situation ; certains anges dans le ciel restèrent également dans l’insatisfaction ; l'apôtre Paul, quant à lui, bien qu'humilié et dépouillé, a appris à tout moment, en tous points, à vivre dans le contentement.

      Les chrétiens doivent se satisfaire de leur sort présent et s’appuyer avec foi sur les promesses divines : « je ne te délaisserai point, je ne t'abandonnerai point. » Jos 1:5.

      Dans le texte original, il ne se trouve pas moins de cinq négations rassemblées pour confirmer cette promesse : le véritable croyant bénéficiera de la présence de Dieu, pleine de Grâce, durant sa vie, à l’aube de sa mort, et pour l’éternité ! Les hommes ne peuvent nuire à Dieu ; ce Dernier contrôle tout ce qu’ils font envers Son peuple élu, en bien ou en mal !

      1 Pierre 3

      8 Bien que les chrétiens ne puissent être toujours d’accord sur certains points, ils doivent cependant avoir de la compassion mutuelle, et s'aimer, en tant que frères.

      Si un homme désire vivre d’heureux jours ici-bas, et posséder la vie éternelle, dans le ciel, il doit maîtriser sa langue : ne pas proférer le mal, des propos abusifs, ou trompeurs. Il doit abandonner tout péché et s’en tenir éloigné, pratiquer tout le bien possible, rechercher la paix avec tous les hommes. Car Dieu, qui est omniprésent, veille sur les justes et prend soin d'eux.

      Nul ne doit faire du mal à ceux qui suivent l'exemple de Christ, le Modèle de bonté parfaite, qui prodiguait ici-bas, le bien aux autres comme à Ses disciples.

      1 Pierre 4

      2 Pierre 1

      1 Jean 2

      24 La vérité de Christ qui nous anime, nous permet de nous éloigner du péché et de demeurer en la Personne du Fils de Dieu, Jean 15:3,4.

      Que la valeur de la Vérité de l'Évangile est élevée ! Par Elle, la promesse de la vie éternelle est véritable. Cette promesse, établie par Dieu, manifeste Sa grandeur, Sa puissance et Sa bonté : ce sont les gages de la vie éternelle. L'Esprit de vérité ne ment jamais ! Dans la présente dispensation de la Grâce, Il nous enseigne ce qui est essentiel à notre connaissance de Dieu, en Christ, Il nous révèle Sa gloire, par l'Évangile.

      L'apôtre Jean répète ces tendres paroles, « petits enfants », ce qui dénote son affection pour les chrétiens. Il veut les persuader par l'amour. Les privilèges de l'Évangile obligent à certains devoirs ; ceux qui sont « oints spirituellement » par le Seigneur Jésus doivent se conformer à Ses commandements.

      Notre nouvelle nature spirituelle provient de Christ, notre Seigneur. Celui qui reste fidèle à la pratique de la piété, au temps de l'épreuve, montre qu'il est né « d'en haut », qu'il appartient réellement à Christ.

      Veillons donc à ne pas chercher de fausses vérités dans l'injustice, nous souvenant que seuls ceux qui sont nés de Dieu portent Sa sainte image, marchant dans Ses voies, qui ne sont que droiture.

      1 Jean 3

      11 Nous devons aimer le Seigneur Jésus, évaluer Son amour, et aimer tous nos frères en Christ ! Cet amour est le fruit révélateur de notre foi, et le signe caractéristique de notre nouvelle naissance.

      Quand on connaît bien le cœur de l'homme, on ne peut s'étonner du mépris et de l'inimitié des impies à l’encontre des enfants de Dieu. Nous savons qu’en Christ, nous sommes passés de la mort à la vie : nous pouvons le constater par notre foi en Christ, par l'amour que nous manifestons envers nos frères. Le fait de suivre une religion commune n’est pas synonyme de zèle, ni d'affection envers ceux qui portent la même étiquette et ont les mêmes sentiments que nous.

      La manifestation de la Grâce dans un cœur régénéré, est le commencement et le premier principe d'une vie pleine de gloire spirituelle ; ceux qui détestent leurs frères ne feront pas réellement partie des rachetés authentiques...

      16 Nous trouvons dans ce texte toute l’indulgence, le miracle et le mystère de l'Amour divin : Dieu, en Son Fils Jésus-Christ désire racheter l'église par Son propre sang.

      Il est certain que nous devons témoigner de l’amour envers ceux que Dieu a aimés, et même tant aimés. Le Saint-Esprit, attristé par l'égocentrisme de chacun, laissera un cœur égoïste sans consolation, rempli de ténèbres et de terreur...

      Par quel moyen peut-on savoir qu'un homme distingue toute l’ampleur de l'Amour de Christ (révélé par le Saint-Esprit) envers les pécheurs qui périssent, si l'attrait du monde surpasse sa compassion envers un frère en péril ? Chaque exemple d’un tel égoïsme doit contredire les preuves de la conversion d'un homme ; on doit tout entreprendre pour lutter contre un tel sentiment.

      Si notre conscience nous interpelle, face au péché ou à une négligence que nous avons pu commettre, Dieu nous le rappelle également. Que les avertissements que nous adresse notre conscience puissent être bien perçus, et aussitôt pris en compte !

      1 Jean 4

      7 L'Esprit de Dieu est l'Esprit de l’amour. Celui qui ne connaît pas Dieu, descendu chez les Siens, ne peut connaître le salut qu’Il offre en Son Fils Jésus-Christ. Dieu en effet, par Sa nature, est bon, et désire accorder le bonheur à Ses enfants. La bannière de Dieu c’est l’amour ; tous pourraient être parfaitement heureux, s’ils obéissaient vraiment à Ses préceptes !

      Tout ce qu’annonce l'Évangile, au sujet du pardon du péché et du salut, conformément à la gloire et à la justice de Dieu, montre que ce Dernier est amour. Les ténèbres, avec tous leurs mystères, sont hélas jointes à beaucoup de choses ici-bas...

      Dieu a montré qu'Il est amour, que nous ne pouvons pas manquer le bonheur éternel qu’Il propose, sauf par incrédulité et impénitence, alors qu'une justice impitoyable nous aurait condamnés à une misère désespérée, par refus de la loi de notre Créateur.

      Nulle parole, ni pensée, ne peut nous justifier, face à l'amour gratuit et étonnant d'un Dieu saint, envers les pécheurs ; Dieu, dont le manque d'esprit de vengeance a été démontré par le salut qu’Il offre en Son Fils, pouvait très bien, par Sa toute-puissante, créer un autre monde, avec des êtres parfaits...

      Recherchons-nous comment bénéficier d’un tel univers entier d’Amour, dans ses manifestations les plus merveilleuses ? Cet Amour réside dans la Personne et la croix de Christ. Un lien d'amour réel existe-t-il entre Dieu et les pécheurs ? En fait, nous n’avons pas aimé Dieu en premier, mais c’est Lui qui nous a d’abord aimés. Son amour ne peut être conçu comme infructueux envers nous ; quand il conduit le pécheur au salut, le but final et parfait est atteint.

      La foi est parachevée par les œuvres de Dieu. Il est manifeste que Dieu demeure en nous par son Esprit de régénération. Un chrétien qui aime est un chrétien parfait ; qui s'attache à exercer tout son devoir, à la perfection.

      L'amour « lubrifie les rouages » des affections et dispose tout en faveur du bien des frères en Christ. Un homme qui vaque à ses affaires avec une mauvaise volonté, accomplira toujours un travail médiocre... « Que Dieu demeure en nous, et nous en Lui ; » ces faits peuvent paraître vraiment inaccessibles pour les mortels que nous sommes, à moins que Dieu ne les ait placés en notre cœur. Comment le Père peut-Il être véritablement reconnu ? Par le témoignage qui procède du Saint-Esprit ! Ceux qui sont vraiment persuadés qu’ils sont des enfants de Dieu, ne peuvent que l'appeler « Abba », Père. Par amour pour Lui, ils détestent le péché et tout ce qui est en désaccord avec Sa sainte Volonté, qu’ils ne désirent qu’accomplir.

      Un tel témoignage est celui du Saint-Esprit !

      14 Le Père a envoyé le Fils, Il désirait Sa venue en ce monde : c’est ce qu’atteste l’apôtre Jean dans ce texte.

      « Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. » Cette confession inclut une foi qui sert de fondement au cœur ; elle permet à une âme d'exprimer sa reconnaissance à la Gloire de Dieu et Celle de Christ, elle pousse à mener une conduite opposée aux flatteries et à tout ce qui est vain en ce monde.

      Un jour de jugement divin universel doit avoir lieu : heureux ceux qui exprimeront une sainte assurance devant le Juge, en cette occasion, sachant que Christ est leur Ami et leur Avocat ! Heureux ceux qui auront une telle attitude, dans la perspective de ce jour, qui veillent, qui l'attendent, aspirant ainsi à l'apparition du grand Juge !

      Le véritable amour du croyant envers Dieu l’assure d’une réciprocité en ce qui concerne ce sentiment. L'amour nous apprend à souffrir pour Lui et avec Lui, de sorte que nous pouvons être assurés d’être aussi glorifiés avec lui, 2Ti 2:12.

      Nous devons faire une distinction entre la crainte et la peur de Dieu : la crainte de Dieu implique une haute estime et de la vénération pour Sa Personne. L'obéissance et la pratique de bonnes œuvres, sous le principe de l'amour, ne sont pas un joug difficile à supporter, à l’inverse d’un travail servile, accompli sans motivation, sous la menace de la colère d'un maître. La crainte va de pair avec l’obéissance de l’enfant de Dieu, elle pousse cette âme à accomplir volontairement, pour le bien de ses frères, le service de son Père bien-aimé.

      Quand nos doutes, nos craintes et nos appréhensions sont nombreux, cela révèle que notre amour est loin d'être parfait. Que le ciel et la terre soient toujours étonnés de l’Amour du Père : Il a envoyé Sa Parole pour inviter les pécheurs à bénéficier du grand salut en Jésus-Christ. Que ces âmes puissent saisir la consolation d’un tel changement merveilleux opéré en eux, et qu'elles rendent gloire au Père !

      L'amour de Dieu en Christ, qui réside dans le cœur des chrétiens, par l'Esprit d'adoption, est la grande preuve de leur conversion. Ceci doit se manifester par leur conduite, particulièrement envers leurs frères.

      Si un homme déclare aimer Dieu, et que, malgré cela, il se laisse aller à la colère, à la vengeance, ou à l’égoïsme, il renie en fait sa déclaration. Mais s'il est manifeste, en tant qu’enfant de Dieu, que notre inimitié « naturelle » est transformée en affection et en gratitude, bénissons le Nom de notre Dieu pour cette spiritualité qui révèle un bonheur éternel.

      Nous serons alors différents des faux docteurs, qui font semblant d'aimer Dieu, Celui qu'ils n'ont pas vu, alors qu'ils détestent leurs frères, qui eux, sont bien visibles...

      1 Jean 5

      1

      L'amour fraternel est le résultat de la nouvelle naissance, il rend agréable, l'obéissance à tous les commandements de Dieu. (1 Jean 5:1-5)
      Référence aux témoins, unis pour attester que Jésus, le Fils de Dieu, est le véritable Messie. (1 Jean 5:6-8)
      La satisfaction que le croyant éprouve au sujet de Christ, à la vie éternelle dont il bénéficie en Lui. (1 Jean 5:9-12)
      L'assurance que Dieu écoute et répond à la prière. (1 Jean 5:13-17)
      La condition heureuse des véritables croyants, et une exhortation à renoncer à toute idolâtrie. (1 Jean 5:18-21)

      L’amour véritable envers les enfants de Dieu se distingue de l’affection naturelle ou de certaines estimes, car il est uni à l'amour de Dieu et associé à l'obéissance à Ses commandements.

      Le Saint-Esprit qui professe l'amour fraternel, enseigne également l'obéissance ; celui qui, par habitude, commet le péché ou néglige la pratique de ses devoirs, ne peut pas aimer véritablement les enfants de Dieu.

      Du fait que les commandements de Dieu sont justes et saints, étant également de bonnes « règles à observer » pour la liberté et la joie spirituelle, ceux qui sont « nés de nouveau » et qui les aiment, ne les trouvent pas pénibles, regrettant toutefois de ne pas pouvoir mieux servir le Seigneur. Être au service de Dieu exige le désintéressement de soi ; les véritables chrétiens appliquent des principes qui leur font surmonter l’épreuve. Bien que cette dernière soit parfois à l’origine d’un conflit intérieur acerbe, et que l’enfant de Dieu régénéré puisse chuter, il se relèvera et renouvellera son combat avec résolution.

      Tous, exceptés les croyants, sont asservis, d'une manière ou d'une autre, aux diverses coutumes, opinions, ou intérêts de ce monde. La foi est à l’origine de la victoire contre le monde, elle constitue le moyen, l'instrument, l'armure spirituelle par laquelle nous sommes vainqueurs. Dans la foi et par la foi, nous sommes unis à Christ, dans le mépris des vains attraits de ce monde. La foi sanctifie le cœur, et le purifie des convoitises sensuelles par lesquelles le monde attire les âmes et domine sur elles.

      L’homme dans lequel demeure l'Esprit de Grâce est plus grand que celui qui n’est attiré que par le monde. Le véritable chrétien est vainqueur du monde, par la foi ; il voit, par les différents exemples de la conduite du Seigneur Jésus ici-bas, qu'il faut renoncer à ce monde et qu'il faut chercher à le vaincre. Un enfant de Dieu ne peut pas se satisfaire du monde, mais il regarde au-delà, ne cherchant qu’à accéder au ciel. Nous devons tous, selon l'exemple de Christ, vaincre le monde, ou bien c'est ce dernier qui nous mènera à la ruine...

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