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Les disciples d’Antioche décidèrent alors de secourir les frères habitant la Judée : chacun donnerait ce qu’il pourrait, et on le leur ferait parvenir.
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Cela jeta le trouble dans les esprits. Il s’ensuivit une vive discussion. Paul et Barnabas s’opposèrent vigoureusement à eux et contestèrent leur doctrine. Finalement, il fut décidé que Paul et Barnabas monteraient à Jérusalem avec quelques autres frères pour soumettre ce litige aux apôtres et aux responsables.
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Barnabas fut d’accord et proposa d’emmener aussi Jean, surnommé Marc.
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Je voulais vous montrer que tout mon savoir résidait en une personne : Jésus-Christ, et en un fait : sa mort sur la croix.
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Que préférez-vous ? Que je vienne chez vous avec un bâton pour vous frapper ou avec un esprit d’amour et de douceur ?
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Eh bien ! moi, bien que personnellement absent, je suis présent parmi vous par mon esprit et j’ai déjà porté mon jugement, comme si j’étais là, sur celui qui s’est rendu coupable d’une telle offense.
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C’était convaincu de cette atmosphère de confiance réciproque que je m’étais proposé de me rendre chez vous en premier lieu, afin de vous procurer une double joie :
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je comptais passer par Corinthe et vous saluer en allant en Macédoine, puis revenir de là-bas chez vous ; vous auriez alors pu m’aider à préparer mon voyage en Judée et m’y faire accompagner.
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Tel était mon projet. Ai-je donc agi avec légèreté en le concevant ? Suis-je « instable et capricieux » parce que j’ai changé mes plans ? Ou bien mes résolutions seraient-elles inspirées par des motifs purement humains, par des arrière-pensées ou par l’humeur du moment, tout comme celles des gens du monde, en sorte que si je dis oui, cela pourrait bien signifier non, et que mon oui aujourd’hui serait non demain ?
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Pourquoi donc ne suis-je pas encore revenu à Corinthe ? Pourquoi ai-je renoncé à ma visite ? Parce que je voulais vous ménager. Dieu connaît mon cœur, il sait qu’en mon âme et conscience, je dis la vérité.
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C’est pourquoi j’ai pris la ferme résolution d’éviter une nouvelle visite aussi pénible que la dernière : je ne veux pas retourner chez vous pour vous attrister une seconde fois.
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(Au lieu de venir vous voir, j’ai donc écrit cette lettre.) Je l’ai fait dans une profonde affliction et une grande détresse intérieure ; j’avais le cœur serré et les larmes aux yeux, car je voulais, non vous faire de la peine, mais vous amener à reconnaître l’affection sans bornes que je vous porte – oui, tout particulièrement à vous.
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En effet, à mon arrivée en Macédoine, je n’ai pas eu un instant de repos. De tous côtés, des épreuves m’attendaient ; autour de moi ce n’étaient que combats ; en moi, inquiétudes et craintes.
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Mais Dieu, le consolateur de ceux qui sont abattus, m’a réconforté par l’arrivée de Tite.
7
Ce qui m’a consolé, ce n’était pas tant sa venue que les nouvelles réjouissantes des bonnes expériences faites chez vous et du réconfort qu’il a trouvé parmi vous. Il m’a dit que vous désiriez ardemment me revoir et il nous a raconté combien vous étiez attristés par ce qui est arrivé ; il m’a assuré que vous étiez prêts maintenant à vous placer résolument à mes côtés et à réparer les torts que j’ai subis. Tout cela n’a fait qu’augmenter ma joie.
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C’est pourquoi je ne regrette plus à présent de vous avoir causé de la peine par ma lettre. Je l’avais d’abord regretté en voyant combien elle vous avait attristés sur le moment.
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Car je l’avoue, j’ai peur qu’à mon arrivée je ne vous trouve pas tels que je voudrais, et que vous, de votre côté, vous me trouviez tout autre que vous ne le souhaitez. Je crains de découvrir de la discorde, des jalousies, des rivalités, des passions, de l’égoïsme froissé, des mouvements de colère, un esprit de parti avec toute sa séquelle de disputes, dénigrements réciproques, insinuations, suffisance, etc. Bref, des désordres divers.
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J’ai bien peur qu’à ma prochaine visite, Dieu ne me réserve encore des expériences humiliantes chez vous ; je crains d’avoir à pleurer sur plusieurs pécheurs endurcis qui ne se seront pas détournés de leurs pratiques immorales, de l’esprit de jouissance, de la débauche et des dérèglements auxquels ils étaient autrefois asservis.
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Voilà pourquoi je vous écris tout cela pendant que je suis encore loin. Je souhaite tant n’avoir pas, à mon arrivée, à faire usage de l’autorité que je tiens du Seigneur. Il me l’a d’ailleurs donnée pour vous fortifier et vous édifier, mais pas pour vous démolir, pour construire votre Église, et non pour la détruire.
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Quand je t’aurai envoyé Artémas et Tychique, hâte-toi de venir me rejoindre à Nicopolis, car c’est là que j’ai décidé de passer l’hiver.
1 à 11 Pourquoi Paul a retardé son voyage à Corinthe.
C'est-à-dire ayant moi-même de la tristesse et en donnant aux autres. Voir 2Corinthiens 1.23.
Le texte reçu porte : "retourner vers vous avec tristesse," mais une variante beaucoup plus appuyée change l'ordre des mots et fait porter l'adverbe "de nouveau" sur "avec tristesse," ce qui suppose que l'apôtre a fait, "dans la tristesse" un précédent séjour à Corinthe, dont les Actes n'ont pas conservé le souvenir.
- L'apôtre poursuit ainsi l'explication du retard de son voyage, et il fait allusion au déplorable sujet qu'il avait traité dans la première épître, 1Corinthiens 5, et qui avait dû affliger profondément l'Eglise. Au lieu de retourner à Corinthe tant qu'y existait cette cause de douleur, il avait préféré leur écrire. (versets 3,4)
Les raisons pour lesquelles l'apôtre ne se rend pas à Corinthe. (2 Corinthiens 2:1-4)
L'apôtre Paul désirait avoir une rencontre chaleureuse avec les Corinthiens ; il leur avait écrit, confiant qu’il pouvait les réconforter et exhorter leur progression spirituelle, de façon à les voir heureux d’écarter tout désaccord avec lui.Les directives pour restaurer le pécheur repentant. (\\# 5-11\\)
Bilan du ministère de Paul, le succès dans la propagation de l'Évangile de Christ. (2 Corinthiens 2:12-17)
Nous devrions tout faire en sorte pour éviter de provoquer toute peine à notre prochain, même quand notre devoir nous dicterai le contraire...